Nsingi Pululu dit ne pas être en contact avec le Président de la République s’agissant de la loi sur le verrouillage de l’accès à certains postes clés de la République. Le député national de la circonscription de la Funa à Kinshasa, porteur de la « loi Tshiani » à l’Assemblée nationale, répond, d’une certaine manière, à l’opinion qui voit une main noire de Félix Tshisekedi derrière sa démarche.





Face à son collègue Christelle Vuanga, tous deux invités de Top congo fm, le jeudi 15 juillet, Nsingi Pululu balaie d’un revers de la main des accusations selon lesquelles Félix Tshisekedi est de son camp. « Je n’ai pas vu le chef de l’État à ce sujet. Et je ne sais pas s’il soutient ou non cette proposition de loi », rassure-t-il.


Comme Nsingi Pululu, Mboso Kodia Puanga avait, il y a deux jours du haut de la tribune de l’Assemblée nationale, fustigé le comportement de ceux qui attribuent l’initiative sur la « loi Tshiani » au chef de l’État. Le speaker de la chambre basse du Parlement a affirmé qu’il s’agit d’une démarche d’un député national, reconnue par la Constitution et les lois du pays.

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