Comme à l’époque de l’ancien chef de l’Etat Joseph Kabila, des proches de Félix Tshisekedi trempés dans le détournement des deniers publics et des dossiers de corruption, se trouvent dans le viseur de l’Union européenne (UE).


Plusieurs organisations de lutte contre la corruption ont fait monté le ton quelques jours avant la mise à jour par l’Union européenne, des sanctions à l’endroit de personnalités congolaises, proches de l’ancien président Joseph Kabila. Selon ces organisations, l’UE ne devrait pas seulement maintenir les sanctions contre les proches de Joseph Kabila, mais également les étendre sur les personnalités de l’administration Tshisekedi. ” Nous appelons la commission européenne de maintenir ses sanctions parce que tous ceux-là qui sont accusés de graves violations des droits de l’homme n’ont pas encore répondu de leurs actes au niveau de la justice tant internationale que nationale. Il ne serait pas intéressant de voir ces sanctions être levées “.


Ces organisations ont également appelé l’UE à étendre ses sanctions vers d’autres personnalités et acteurs politiques accusés des crimes financiers qui détournent des millions de dollars destinés aux populations qui continuent à croupir dans la misère.


A en croire M. Jimmy Kanda, l’un des porte-parole de la plateforme ” Le Congo n’est pas à vendre “, une organisation anti corruption, il est important que les différentes organisations qui travaillent sur la question, comprennent que ceux-là qui sont coupables des actes de corruption devront répondre de leurs forfaits au même titre que ceux-là qui ont violé.

A l’époque de Joseph Kabila, 11 ont été sanctionnés par l’Union européenne, pour avoir été auteurs de violations graves des droits de l’homme. Parmi elles se trouvent Evariste Boshab, ex ministre de l’Intérieur, Emmanuel Ramazani Shadry, ancien ministre et candidat dauphin perdant à la présidentielle de 2018.

José Wak
Media Congo Press

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