Une invitation adressée à Lisanga Bonganga par une juridiction a fait le tour dans les réseaux sociaux il y a peu.




Pour la DYSOC, il s’agit tout simplement d’un acharnement en raison des ambitions de Lisanga Bonganga pour la tenue d’un dialogue pour l’adoption consensuelle des réformes institutionnelles et électorales, comme voie idoine de sortie de crise.

La coordination de la DYSOC l’a fait savoir à l’opinion tant nationale qu’internationale à travers un communiqué de presse rendu public ce mercredi 22 septembre 2021 au sujet d’un document paru sur les réseaux sociaux, faisant état d’une invitation adressée à son Coordonnateur, Monsieur Jean Pierre Lisanga Bonganga, président National du parti politique, Convention Chrétienne pour la Démocratie « CCD », à se présenter au Parquet Général près la Cour d’Appel de Kinshasa/Matete, pour une communication.


"Sans qu’il ne soit nécessaire de spéculer sur les faits ayant motivé cette invitation, la DYSOC est convaincue que son Coordonnateur est victime d’un acharnement politique, au regard de ses nombreuses déclarations appuyant la coalition Lamuka des présidents Martin Fayula et Adolphe Muzito et soutenant notamment, la tenue d’un dialogue, pour l’adoption consensuelle des réformes institutionnelles et électorales, comme voie idoine de sortie de crise qui enchaine notre pays, depuis les élections chaotiques du 30 décembre 2018", peut-on lire dans ce communiqué.


Des informations en possession de la DYSOC, renseignent qu’il existe aujourd’hui, deux camps opposés dans l’entourage du ¨Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.


D’une part le camp des colombes, indique-t-on dans ce commentaire, qui soutient la tenue d’un dialogue pour mettre fin à la crise et d’autre part, le camp des faucons jusqu’au boutistes, qui ne veulent pas quitter la prison du déni de la crise qui ronge notre pays.


La Coordination de la DYSOC s’oppose farouchement à toutes les velléités du pouvoir en place, à réduire au silence les adversaires politiques aux élections de 2023, au travers de l’instrumentalisation et de la manipulation de la justice de notre pays, par montage grossier des dossiers judiciaires.


Aussi, s’insurge –t-elle contre toute démarche politicienne tendant à priver Jean-Pierre Lisanga Bonganga de sa liberté, à cause de ses opinions contre le pouvoir en place. Elle fonde l’espoir que le pouvoir judiciaire, en tant que garant des droits fondamentaux des citoyens et des libertés individuelles, tels que consacrés par la Constitution, ne servira pas d’instrument de règlement des comptes politiques. Car, le peuple congolais, passionné d’une bonne administration de la justice et du respect de la Constitution et des lois de la République y veillera.


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