En RDC, la théâtralisation semble être une occasion pour se faire un nom en politique. Saï Saï, Esobe ou encore Vue de loin risqueraient de perdre leurs rôles face à ces politiques de dernière heure en quête de popularité.

Djalolistes chevronnés, ils ne se privent d’aucunes occasions à se faire aimer par le chef de l’Etat.

Certes de bonne guerre, mais quant à y sortir une histoire rocambolesque sur le choix d’achat porter par une institution « indépendante » il y a de quoi susciter de l’intérêt de l’opinion avertie. Lequel intérêt semble mettre à nu le vrai problème.

L’erreur pour ces détracteurs de la centrale électorale, c’est d’ignorer que Denis Kadima avait sollicité l’accompagnement de l’IGF depuis son arrivée à la tête de la CENI. Gage de bonne gouvernance des ressources financières de la part du numéro un de la CENI.

En effet, les accusations faites récemment contre la CENI par le ministre des finances, Nicolas kazadi, parraissent peu crédiblles. Ce, à la lumière de dernières révélations (document attaché)

Nicolas kazadi aurait donc souhaité que le charroi automobile de la CENI soit renouvelé par l’entreprise SADA Motors, qui appartiendrait la CENI à son frère biologique.







Dans cette lettre adressée, le 20 janvier 2022, au bureau de la CENI, SADA Motors avait sollicité une collaboration. Sollicitation restée sans suite, au grand dam de Nicolas Kazadi.

Ainsi, profitant de son passage sur Top Congo FM, le ministre s’est décidé à régler ses comptes.

Contactées par la rédaction de capsud.net, nos sources à la CENI confirment l’authenticité de la lettre. Elles indiquent également que la démarche entreprise par SADA Motors n’a pu aboutir car pouvant causer conflit d’intérêts.

A croire que le donneur des leçons de bonne gestion financière ne serait en réalité qu’un entremetteur commercial.

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Emongo Jérôme

 









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