«C'est le cas des vidéos lui transférées dans lesquelles des insultes avaient été proférées à l'endroit du chef de l'État, dont la dernière le 29 mai, soit la veille de son arrestation», a -t- il expliqué.
La défense a aussi souligné l’incompétence de la Cour militaire et rappelé qu’en sa qualité de civil, Salomon Kalonda ne devrait être justiciable des juridictions militaires.
C'est dans cette logique qu'elle a demandé l’annulation totale de tous les procès-verbaux dressés dans cette procédure pour violation des dispositions légales.
Il convient de souligner que le prévenu Salomon Kalonda s'est présenté physiquement à son procès.
"Je suis malade et je suis ici contre l'avis de mes médecins. Autant la mort peut m'emporter par la maladie, autant cette situation avec ce procès de la honte peut aussi m'emporter", s'est il exprimé.