Abordant la question sensible de la révision constitutionnelle, le Chef de l’État a réaffirmé son rôle de « garant de la Nation », soulignant qu’aucun opposant ne pourrait lui interdire de modifier la Constitution. Il a toutefois tenu à rassurer la population : ses propos tenus à Kisangani sur la Constitution « n’ont rien à voir avec un troisième mandat », dissipant ainsi les spéculations.
Cette déclaration place à nouveau la révision constitutionnelle au cœur des débats nationaux, dans un contexte politique marqué par des tensions croissantes.