La ville de Goma, déjà traumatisée par l’occupation rebelle et les violences quotidiennes, fait face à un nouveau phénomène angoissant : des individus non identifiés marquent nuitamment des habitations avec des signes mystérieux, déclenchant une vague de panique parmi les habitants. Ces marquages, interprétés comme des repères pour des attaques ciblées, poussent des familles entières à fuir temporairement leurs domiciles.


Ce qui se passe réellement

✔ Des signes inexplicables apparaissent sur les murs ou portails pendant la nuit.
✔ Plusieurs quartiers touchés : Kyeshero, avenue Mirugi (10 parcelles marquées), Karisimbi.
✔ Mode opératoire présumé :

  • Les maisons marquées seraient ciblées par des bandits armés la nuit suivante.

  • Certains habitants fuient par précaution après avoir repéré ces symboles.

« On se réveille avec ces traces, comme si on nous avait mis une étiquette. Personne ne dort plus. » — Un résident de Kyeshero.


Une ville déjà au bord du gouffre

Goma, sous occupation partielle du M23 depuis janvier 2025, vit une insécurité chronique :

  • Tueries quotidiennes, kidnappings, pillages.

  • Déplacements massifs de populations fuyant les combats.

  • Crise humanitaire (manque de nourriture, d’eau, de soins).

Ce nouveau phénomène aggrave la psychose :

  • Patrouilles citoyennes improvisées (veilles nocturnes épuisantes).

  • Enfants et adultes privés de sommeil, par peur des attaques.

  • Rumeurs amplifiées par l’absence de réaction officielle.


Qui est derrière ces marquages ?

Les théories divergent :
🔴 Bandits urbains : Repérage pour cambriolages ou enlèvements.
🔴 Milices locales : Intimidation ou revendication territoriale.
🔴 M23 ou groupes affiliés : Stratégie pour semer la terreur.

« Ces marques ressemblent à celles utilisées par des gangs à Nairobi. Mais ici, avec la guerre, tout est possible. » — Observateur sécuritaire.

Appels à l’aide :

  • La population exige une enquête transparente.

  • Les organisations humanitaires alertent sur l’impact psychologique.


Que faire face à cette menace ?

  1. Ne pas paniquer mais rester vigilant.

  2. Effacer les marques discrètement (sans attirer l’attention).

  3. Signaler toute activité suspecte aux groupes de veille locaux.

  4. Exiger une protection des rares forces de l’ordre encore présentes.

#GomaEnDanger #StopTerrorUrban
« Goma ne mérite pas ça. Où est la MONUSCO ? Où est l’État congolais ? » — Jeune patrouilleur de Karisimbi.


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