BA SANGO YA CONGO KINSHASA: Province

Manque des pluies à Lubumbashi : Muyambo pointe du doigt les Chinois

December 14, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgN7Uejv7_F18S9ZFIQAIrtlsOhydp2o-1eeVNFXzRPJ_WfhSjU1KYgArWr8e51N_J-eHwQ0KfEIkfRZV1L5mZQhyYyJFbEHgchTH73XazWqrDJM4VmVCg9vSSatI3CmN7ACONw17nsEjKbTQHUJKHmt3bGn5ptlV2NoKzNDVbkxgu-n4tuGkwSJb-3mg=s993" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="554" data-original-width="993" height="156" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgN7Uejv7_F18S9ZFIQAIrtlsOhydp2o-1eeVNFXzRPJ_WfhSjU1KYgArWr8e51N_J-eHwQ0KfEIkfRZV1L5mZQhyYyJFbEHgchTH73XazWqrDJM4VmVCg9vSSatI3CmN7ACONw17nsEjKbTQHUJKHmt3bGn5ptlV2NoKzNDVbkxgu-n4tuGkwSJb-3mg=s320" width="280" /></a></div>C’est un changement hors-norme et anormal dans la succession des saisons dans la partie Sud-Est du pays. Le changement climatique tant décrié dans le monde a commencé à manifester ses effets sur le sol congolais. Dans la province du Haut-Katanga, Jean-Claude Muyambo aurait trouvé la vraie cause à la base de cette drôle situation. Selon le politique, la cause maîtresse serait la déforestation anarchique de la forêt notamment le fait que des bois rouges soient coupés à Kasenga par des Chinois sans aucun contrôle. Alors que le mois de décembre dans la province du grand Katanga a toujours été caractérisé par des pluies abondantes, l’année 2021 fait grandement exception; situation gravement inquiétante pour la population en sachant que depuis septembre jusqu’au mois de décembre, la province n’a connu qu’une seule pluie. Les travaux de déforestation de la forêt avec comme cible principale les bois rouges seraient pour beaucoup dans ce changement brusque et brutal. « Drôle de situation à Lubumbashi, il fait excessivement chaud: Depuis septembre jusqu’à décembre.

Une seule pluie. Plus rien! Pour cause: Des bois rouges sont coupés à Kasenga, territoire situé à 200 KM de Lubumbashi par des Chinois», peut-on lire sur le compte Twitter de Jean-Claude Muyambo. Il convient de retenir que la RDC représente la deuxième plus grande forêt tropicale au monde avec 152 millions d’hectares, environ 80 millions d’hectares de terres sont arables sur le territoire congolais, et les ressources en eau disponibles représentent 13 % du potentiel hydroélectrique mondial. Malgré ces grandes richesses, le pays subit la déforestation, le braconnage, la pollution des cours d’eau et l’insalubrité. La RDC a l’un des dix taux de déforestation les plus élevés au monde, le pays détient la 2ème plus grande superficie de forêt primaire détruite en 2020, après le Brésil. La destruction des forêts, notamment en cas de défrichement par le feu, engendre la formation de gaz à effet de serre, très nuisible au bon développement et à la santé des enfants. Gaël Hombo/acturdc.com<div id="wpdevar_comment_2" style="box-sizing: border-box; width: 780px;"></div>

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C’est un changement hors-norme et anormal dans la succession des saisons dans la partie Sud-Est du pays. Le changement climatique tant décri...

Kasaï Oriental/Foire RDC-Kenya : le Groupe Equity réitère sa détermination d'être champion de la prospérité socio-économique en Afrique

December 14, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiOcZCYcbt7841zzB4F7HxvhBUh8ex1FMjesu6-CYI9LxJ-GKt2lw0tutZ_qHaynT0El0AiYjQRfo47bOtZQYq3MNO2Tj19M9iT7B8DpE8jjMT4XKmU-mdJTV4Ce5-Eav9bDT6EMrzWUSdkhj2o_fa89Av8M6gUa5y3d1JnDzONNvjBBptUkj8xyU3SeQ=s992" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="549" data-original-width="992" height="154" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiOcZCYcbt7841zzB4F7HxvhBUh8ex1FMjesu6-CYI9LxJ-GKt2lw0tutZ_qHaynT0El0AiYjQRfo47bOtZQYq3MNO2Tj19M9iT7B8DpE8jjMT4XKmU-mdJTV4Ce5-Eav9bDT6EMrzWUSdkhj2o_fa89Av8M6gUa5y3d1JnDzONNvjBBptUkj8xyU3SeQ=s320" width="280" /></a></div>La mission commerciale RDC-Kenya lancée depuis fin novembre dernier à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, a été clôturée, ce lundi 13 décembre 2021, à Mbuji-Mayi, dans la province du Kasaï-Oriental. C'est la gouverneure intérimaire de cette province, en présence de la délégation des investisseurs Kényans et Congolais, qui a clôturé ces travaux. Dans son discours, l'autorité provinciale a, notamment salué la volonté politique des présidents de ces deux pays amis, en l'occurrence la RDC et le Kenya qui, grâce à leurs relations, ont permis la tenue de ces assises. "C’est bien dans l’élan de la normalisation de la vie économique et financière que s’inscrit l’organisation de ce forum. Ici, je vous invite à rendre un hommage mérité à leurs excellences, le président congolais Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo et le président Kényan Uhuru Kenyatta pour avoir signé un accord de collaboration entre la RDC et le Kenya ; lequel résidera aux échanges d’expériences entre les investisseurs Kényans et les opérateurs économiques de notre pays", a-t-elle dit. De son côté, le directeur général de Equity BCDC, Célestin Mukeba, a indiqué que cette mission vise à débloquer les opportunités d’affaires entre ces peuples amis. "Le groupe a une vision et une mission d’être le champion de la prospérité socio-économique des populations africaines. Le groupe a, en outre, comme mission de transformer les vies, de redonner la dignité et d’entendre les opportunités de création des richesses.

C’est dans ce cadre que le groupe Equity holding a mobilisé plus de 300 investisseurs pour explorer les opportunités en RDC et aussi nouer les partenariats gagnant-gagnant avec leurs concitoyens de la RDC. C’est-ce qui a fait que le groupe mobilise les efforts ainsi que la force entrepreneuriale Kényane pour explorer des opportunités, créer des partenariats avec des entrepreneurs de la région", a déclaré Célestin Mukeba devant les invités venus de la République du Kenya et de toutes les provinces de la région du grand Kasaï. La Foire commerciale Equity RDC-Kenya a connu la participation active des gouverneurs de provinces de l’espace Grand Kasaï, entre autres, le Kasaï Oriental, le Kasaï Central, le Kasaï, la Lomami et le Sankuru. Ils ont chacun, lors de ces travaux, présenté les opportunités qu'offrent leurs provinces dans divers secteurs dont ceux de Mines, d'Agriculture, du Tourisme. Ils ont aussi exposé plusieurs défis à relever qui peuvent intéresser les investisseurs Kényans dans cette partie située au centre de la RDC. Ont pris part à ces assises d'affaires, l’ambassadeur du Kenya en RDC, Georges Masafu, et de plus d’une centaine d’investisseurs Kényans. 4 villes congolaises dont la capitale Kinshasa, Lubumbashi (Haut-Katanga), Goma (Nord-Kivu) et Mbuji-Mayi (Kasaï Oriental) ont été ciblées pour ces travaux. Kazadi Lukusa, à Mbuji-Mayi

Kasaï Oriental/Foire RDC-Kenya : le Groupe Equity réitère sa détermination d'être champion de la prospérité socio-économique en Afrique

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La mission commerciale RDC-Kenya lancée depuis fin novembre dernier à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, a été clôtu...

RDC: dans le Nord-Kivu, l'arrivée de l'armée ougandaise inquiète les habitants

December 13, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgsZV91uH-AydZXSJaNsef_00NxceIJL2haViOoNCZ6LWPoHJuxZCWq09jw9fsGcGPYN7B--BsjqiN0GtuuTAbntzC6fBgnohwgFD-SNn33XwRKWdiZzzBn5oJlzUol7LqaH7UD-IvDYaeiA1bpALfbJX5C53QbaHMExMQWwh9OAkAMgDHMc6fROSM5zw=s988" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="547" data-original-width="988" height="154" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgsZV91uH-AydZXSJaNsef_00NxceIJL2haViOoNCZ6LWPoHJuxZCWq09jw9fsGcGPYN7B--BsjqiN0GtuuTAbntzC6fBgnohwgFD-SNn33XwRKWdiZzzBn5oJlzUol7LqaH7UD-IvDYaeiA1bpALfbJX5C53QbaHMExMQWwh9OAkAMgDHMc6fROSM5zw=s320" width="280" /></a></div> Le major-général ougandais Kayanja Muhanga supervise les opération dans l'est de la RDC, ici le 8 décembre 2021. AFP - SEBASTIEN KITSA MUSAYI Dans l'est du pays, l’armée ougandaise déploie progressivement ses troupes depuis fin novembre. Le 9 décembre, un accord de défense commun a été signé entre le ministre congolais de la Défense et son homologue ougandais. Objectif : traquer les ADF, groupe armé d’origine ougandaise, qui sévissent dans la région de Béni, au nord-est de la RDC. À Goma, chef-lieu du Nord-Kivu, les ressortissants revivent de mauvais souvenirs après les années d'occupation de l'armée ougandaise de 1997 à 2003. Avec notre envoyée spéciale à Goma, Coralie Pierret Dans l’ombre d’un bar de Goma, un client scrute les entrées et les sorties. Il a grandi à Beni, la seconde ville de la province du Nord-Kivu, et reste jusqu’à aujourd’hui marqué par l’occupation ougandaise à la fin des années 90 : « Ce n'est pas la première fois que l'armée ougandaise arrive à Beni.

Je suis arrivé à Beni quand j'avais 10 ans. Ils tuaient, ils volaient... Ça ne s'oublie jamais. » À quelques rues, Stewart Muhindo, militant du mouvement citoyen La Lucha, est lui aussi ressortissant du grand Nord. Il était de ceux qui réclamaient depuis 2020 qu’un appui militaire extérieur soit apporté aux forces congolaises. « C'est quand même assez difficile à comprendre que les mêmes populations qui ont été victimes des affres de l'armée ougandaise soient obligées de la recevoir comme sauveuse, s'indigne le militant. Il y a le désarroi d'être tué chaque fois, mais il y a aussi cette crainte que les faits que nous avons vécus reviennent. »

Informations au compte-goutte Aujourd’hui, plus de 1 500 soldats ougandais ont traversé la frontière. Mais les informations arrivent au compte-goutte jusqu’à Goma, déplore Louise Nyota, la vice-présidente de la société civile du Nord-Kivu : « Il n'y a pas beaucoup d'informations. Quand nous faisons la réunion de sécurité, souvent nous, la société civile, ne sommes pas impliqués. Ici, maintenant, nous attendons les résultats... » Depuis 2013, selon l’épiscopat congolais, plus de 6 000 personnes ont été tuées dans la région de Beni. RFI

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Le major-général ougandais Kayanja Muhanga supervise les opération dans l'est de la RDC, ici le 8 décembre 2021. AFP - SEBASTIEN KITSA ...

Lubumbashi : des personnes armées non autrement identifiées ont fait irruption dans le domicile du pasteur-chanteur Lifoko du ciel

December 11, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjh9zTS1KWfMMF7i0-T_6zzCl10N4fnH6qzzgLV-RddpWW4EOXo4oVnRYS7NpU21W8KT4H9mJMRqGyAcf2tbZSl4W6_7oQNMxOuMuV1Zhbd7EDAY13qgbR7mZTmJCMsV4HnI8yWAi_hwjYPbqn9Aesi7cTCf6bj9xGdZ4YX101nyPivVmTt7uN2YhTa0g=s953" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="580" data-original-width="953" height="170" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjh9zTS1KWfMMF7i0-T_6zzCl10N4fnH6qzzgLV-RddpWW4EOXo4oVnRYS7NpU21W8KT4H9mJMRqGyAcf2tbZSl4W6_7oQNMxOuMuV1Zhbd7EDAY13qgbR7mZTmJCMsV4HnI8yWAi_hwjYPbqn9Aesi7cTCf6bj9xGdZ4YX101nyPivVmTt7uN2YhTa0g=s320" width="280" /></a></div>Une dizaine de bandits armés jusqu'aux dents ont fait irruption dans le domicile du pasteur-chanteur Lifoko du Ciel, à Lubumbashi, dans la nuit de jeudi à ce vendredi 10 décembre. L'annonce de cette nouvelle a été faite par Aigle Massengo, secrétaire du pasteur-chanteur. "Nous signalons aux croyants sous la conduite du Pasteur Lifoko et à tous les proches et aimables de Dieu que c'est à 1h 38' que nous avons eu la visite de plus de 10 assaillants armés qui ont fait irruption dans la résidence du Pasteur Lifoko du Ciel. Le gardien a été molesté. C'est ainsi que l'enfant du nom de frère Matondo a pris l'initiative d'ouvrir la porte pour secourir certainement le gardien.

Immédiatement,les malfrats ont mis la main sur lui, et l'ont frappé...il a été blessé et ligoté [par ces bandits ]. Ensuite, ils ont aussi lié Mr Christian avant de casser le studio qu'il occupe. Rapidement, la ménagère avait pris le soin de fermer la porte principale, ce qui les a énervés et ont cassé les vitres de la fenêtre", a-t-il témoigné. Et d'ajouter : "En étant devant la fenêtre, ils ont vu le petit Michael qui est de grande taille, l'un d'eux a crié, voici le Pasteur! Quelques secondes après, c'est un assaillant qui vient vérifier et déclarer par la suite 'ce n'est pas lui le pasteur'.

Comme ils voulaient savoir où est le Pasteur, J'ai répliqué qu'il a passé nuit à l'église pour la prière. Ils m'ont obligé d'ouvrir la porte, je leur ai demandé de quoi ils avaient besoin. Ils m'ont dit qu'ils avaient besoin de Makuta (Argent) et tous nos téléphones. Ils se sont alors dirigés vers la la fenêtre de la chambre du pasteur, ils l'ont cassée. Cela m'a conduit de prendre vite l'argent chez le pasteur puis je le leur ai remis...". Au moment où nous couchons ses quelques lignes, les motivations de ces assaillants et leurs commanditaires restent inconnues. Serge Mavungu Opinion Info

Lubumbashi : des personnes armées non autrement identifiées ont fait irruption dans le domicile du pasteur-chanteur Lifoko du ciel

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Une dizaine de bandits armés jusqu'aux dents ont fait irruption dans le domicile du pasteur-chanteur Lifoko du Ciel, à Lubumbashi, dans ...

L’épidémie de «Monkey Pox» confirmée au Maniema

December 11, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjoQK1yjtYL0JhuiLC-UMPkxeAhwtdm-w-p5E5xzH944g5rCqXkDqOOyT4LQk6t8u789tIbRdcrroRaVKLEMolA-scKQHDnEO0spDXa9DKGtEk1r-cBIXXWe6-EHDPeASg2XWnrPRkqhQuO3itWZVUxc7JwSlT9LM0LQWSESmFWdRE9qXQUDo418uGPKg=s1114" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="802" data-original-width="1114" height="201" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjoQK1yjtYL0JhuiLC-UMPkxeAhwtdm-w-p5E5xzH944g5rCqXkDqOOyT4LQk6t8u789tIbRdcrroRaVKLEMolA-scKQHDnEO0spDXa9DKGtEk1r-cBIXXWe6-EHDPeASg2XWnrPRkqhQuO3itWZVUxc7JwSlT9LM0LQWSESmFWdRE9qXQUDo418uGPKg=s320" width="280" /></a></div>On en sait un peu plus sur cette maladie inconnue qui sévit depuis quelques mois dans la province du Maniema, plus précisément en territoire de Kibomba. Il s’agit de l’épidémie de « Monkey Pox ». C’est le gouverneur ad intérim de cette province, Afani Idrissa, qui l’a annoncé dans un communiqué de presse rendu public ce jeudi 9 décembre 2021. La maladie se manifeste par des fortes fièvres qui peuvent amener à une anémie et des éruptions cutanées. Au regard des résultats des échantillons renvoyés par l’Institut  National de Recherche Biomédicale (INRB) qui confirme la maladie, l’autorité provinciale a déclaré officiellement l’épidémie de «Monkey Pox » dans cette province de la RDC et demandé à la population de respecter les mesures de prévention mises en place par les autorités provinciales.

Depuis son apparition, l’épidémie a déjà causé 24 décès dans la zone de santé de « Kunda ». 191 malades sont sous traitement médical et pris en charge par les services du ministère de la Santé. « La Zone de Santé de Kunda, dans le territoire de Kibomba, a déjà notifié 191 cas dont 21 décès dus au Monkey Pox. Au cours de la 40ème semaine, les échantillons prélevés dans les aires de santé de Wenga, Uthu et Weta ont été envoyés à l’INRB pour des analyses dont les résultats viennent de confirmer l’épidémie », note le communiqué. Pour arriver à l’éradiquer sur le sol de la province, le gouverneur ad intérim en appelle à l’appui du gouvernement central et des partenaires techniques du ministère de la Santé. Il sied de noter que le gouvernement approvisionne la zone touchée en médicaments et organise la sensibilisation des populations locales sur les définitions des cas et sur les mesures à prendre pour éviter de contracter la maladie.

Avant d’avoir la confirmation de cette maladie de part de l’INRB, les autorités sanitaires avait interdit la consommation de la viande de singe et de toute autre viande d’animaux retrouvés morts. D’après plusieurs sources, le « Monkeypox » a été découvert en 1958 lorsque des épidémies d’une maladie semblable à la variole se sont produites chez des singes macaques mangeurs de crabes gardés pour la recherche. La variole du singe vient de macaques crabiers gardés pour la recherche en Afrique centrale et occidentale et tue 1% des personnes infectées. Les macaques sont des espèces robustes de singes (primates) dont les bras et les jambes ont à peu près la même longueur. Certains chercheurs pensent que le virus se transmet des animaux aux humains lorsque le primate mord ou gratte une personne. Il peut également se propager de personne à personne par des gouttelettes respiratoires dans l’air, de la même manière que les humains se transmettent le COVID-19 les uns aux autres.

Les symptômes apparaissent généralement dans les cinq et 21 jours suivant l’infection. Ceux-ci incluent de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires, des ganglions lymphatiques enflés, des frissons et de la fatigue. Rappelons, par ailleurs, que le Maniema est déjà frappé par l’épidémie de rougeole. Celle-ci a été déclarée officiellement par le gouvernement, il y a près d’un mois. Depuis son apparition, près de 20 décès ont déjà été enregistrés et plus de 400 cas recensés dans la zone de santé touchée. Perside Diawaku/Le Phare

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On en sait un peu plus sur cette maladie inconnue qui sévit depuis quelques mois dans la province du Maniema, plus précisément en territoire...

Automobile Opération ougando-congolaise: les ministres de la Défense accordent leurs violons

December 10, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiLfjlDQDR0vAIG6WhFCW85YkNelr-LOlQn2JKjvZIzGrUQ7gHWutBQNdj2_4BkMT3aaLTZ-H3f2GLOydgKBBsS7gxT9obAgJYdnANSfvcYRT_kNhPeFJwalm2TNdTEkyIkLKGYSmC6Koto1h3jgijB4xyRK8ZOtYZqheR55mUyfuIodCH2PhwExGcf2w=s994" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="553" data-original-width="994" height="155" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEiLfjlDQDR0vAIG6WhFCW85YkNelr-LOlQn2JKjvZIzGrUQ7gHWutBQNdj2_4BkMT3aaLTZ-H3f2GLOydgKBBsS7gxT9obAgJYdnANSfvcYRT_kNhPeFJwalm2TNdTEkyIkLKGYSmC6Koto1h3jgijB4xyRK8ZOtYZqheR55mUyfuIodCH2PhwExGcf2w=s320" width="280" /></a></div> Le major-général ougandais Kayanja Muhanga supervise les opération dans l'est de la RDC, ici le 8 décembre 2021. AFP - SEBASTIEN KITSA MUSAYI Les ministres ougandais et congolais de la Défense ont achevé jeudi 9 décembre à Bunia, en Ituri, deux journées de travail sur la coordination des opérations militaires conjointes lancées depuis le 30 novembre dernier. Une déclaration finale a été rendue publique à l’issue de ces travaux. Avec notre correspondant à Kinshasa, Patient Ligodi Vincent Bamulangaki Ssempijja (Ouganda) et Gilbert Kabanda Kurhenga (RDC) étaient accompagné des officiers supérieurs des deux pays ainsi que des parlementaires membres de la commission défense de l’Assemblée nationale et des députés originaires du Nord-Kivu et de l’Ituri. Il était d’abord question de limiter la nature de la collaboration, de rassurer tout le monde et d’envisager l’avenir ensemble.

Les deux ministres ont d’emblée précisé que leurs discussions portent non seulement sur les opérations contre les ADF, mais aussi sur l’ensemble des autres groupes armés, milices et organisations terroristes opérant le long de la frontière séparant les deux pays et particulièrement le Nord-Kivu et l’Ituri. Plus globalement, ils s’engagent comme convenu à renforcer la coopération bilatérale et à formaliser tous les aspects de la coopération militaire dans le cadre des accords généraux de défense. Vincent Bamulangaki et Gilbert Kabanda Kurhenga ont également répondu aux récentes craintes d’ONG qui demandent le respect des droits de l’homme et la protection des civils durant ces opérations. Ainsi, ils se sont engagés à activer les mécanismes de contrôle de transparence, et de suivi au niveau national et international.

Selon les deux ministres de la Défense, ces opérations sont une approche essentielle pour parvenir à une paix durable dans la région. Ainsi, ils appellent les autres parties prenantes comme la Monusco ou encore toutes les organisations sous-régionales représentatives à soutenir cette initiative conjointe. RFI

Province sécurité Automobile Opération ougando-congolaise: les ministres de la Défense accordent leurs violons

Le major-général ougandais Kayanja Muhanga supervise les opération dans l'est de la RDC, ici le 8 décembre 2021. AFP - SEBASTIEN KITSA ...

Ituri : 9 miliciens CODECO arrêtés dans un hôtel

December 10, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhXipZlzhA2bq2b0h3UmeozknDLi3dmcO-_GblStZx6zZ4Oo5IWp9F6Ca1xx_U7wiRQ5ZJX9kHWp14Ba_tupSJ3xOdKEJlkGu-fbn6mn14YHQb0OxMMse98z9Vmfu_CRP_-OKgaIOHtLkbRUv0eyiO29L3lWeCsEFn7o45juayeWbShBSoj65BurY85SA=s1275" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="845" data-original-width="1275" height="185" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEhXipZlzhA2bq2b0h3UmeozknDLi3dmcO-_GblStZx6zZ4Oo5IWp9F6Ca1xx_U7wiRQ5ZJX9kHWp14Ba_tupSJ3xOdKEJlkGu-fbn6mn14YHQb0OxMMse98z9Vmfu_CRP_-OKgaIOHtLkbRUv0eyiO29L3lWeCsEFn7o45juayeWbShBSoj65BurY85SA=s320" width="280" /></a></div> Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont mis la main sur 9 miliciens de la Coopérative pour le développement du Congo (Codeco), la matinée de ce jeudi dans un hôtel dénommée Dredre dans le territoire de Mahangi, en province de l’Ituri. Aussitôt arrêtés, tous ces miliciens avec leurs armes à feu du type AK47 ont été transférés au sous-commissariat de la police, en entendant leur transfèrement dans la ville de Bunia, chef-lieu de la province de l’Ituri pour l’instruction de leur dossier. Le commandant de la police de la place appelle la population de Mahangi de continuer à dénoncer tout mouvement suspect, mais aussi à coopérer sa relâche avec les services de sécurité pour espérer au retour de la paix et de la sécurité dans cette zone pendant cette période de l’état de siège. Source: depeche.cd

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Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont mis la main sur 9 miliciens de la Coopérative pour le développement du...

RDC : le ministre ougandais de la Défense nationale est arrivé à Bunia

December 09, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEivf00vs3dEosDD4RIScEU-8a-NS5d_LFaKv9FupUNuS5rBx0iYGjkOyG7iMGmVZO1fkFprFtX-DF91nc2b89adooMlCT96_CyvJF0rURtV19cOGzJOfzGdpY_b04ina0B8Nr1t_rptOcIPF2_aExE4u9BqOD4lxHwGZceZpt-ksBrXrc49JEM931oksA=s992" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="553" data-original-width="992" height="155" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEivf00vs3dEosDD4RIScEU-8a-NS5d_LFaKv9FupUNuS5rBx0iYGjkOyG7iMGmVZO1fkFprFtX-DF91nc2b89adooMlCT96_CyvJF0rURtV19cOGzJOfzGdpY_b04ina0B8Nr1t_rptOcIPF2_aExE4u9BqOD4lxHwGZceZpt-ksBrXrc49JEM931oksA=s320" width="280" /></a></div> Le ministre ougandais de la Défense nationale, Vincent Bamalangachi est arrivé ce mercredi 8 décembre à Bunia, chef-lieu de la province de l'Ituri. Il est accompagné d'une délégation composée d’officiers supérieurs militaires de l’armée ougandaise. Dans une interview accordée à la presse, le patron des forces de défense Ougandaise précise que l’objectif de sa mission est d’échanger avec son homologue Congolais dans le cadre de la mutualisation des moyens des forces armées des deux pays pour les opérations de neutralisation des rebelles ADF.

Le ministre Congolais de la Défense, Gilbert Kabanda, séjourne depuis mardi 7 décembre à Bunia où il procède à des consultations avec les forces vives de la province pour l'évaluation de l'état de siège.  radiookapi.net

Politique Province RDC : le ministre ougandais de la Défense nationale est arrivé à Bunia

Le ministre ougandais de la Défense nationale, Vincent Bamalangachi est arrivé ce mercredi 8 décembre à Bunia, chef-lieu de la province de ...

Chasse aux ADF dans l’Est de la RDC : la Monusco dit respecter la décision des autorités congolaises

December 06, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjU9YPFJ8rAqm2DCaBU1JLWX8j1vVm2MGG2Jww--RTvcOfWdAUqfVNU0ZWYVX8BM2AK7pVW8liV2GRbMa1uuCBIc7lm5KP_LcODVY96rHmSMQcubLXQmXs0SukrSCOq52Rv3FXMBKSbY2MEmrW42FdReDwrNHQtIX2zKLOgOgUvVCefKY3TocGxq53Hcg=s866" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="499" data-original-width="866" height="161" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjU9YPFJ8rAqm2DCaBU1JLWX8j1vVm2MGG2Jww--RTvcOfWdAUqfVNU0ZWYVX8BM2AK7pVW8liV2GRbMa1uuCBIc7lm5KP_LcODVY96rHmSMQcubLXQmXs0SukrSCOq52Rv3FXMBKSbY2MEmrW42FdReDwrNHQtIX2zKLOgOgUvVCefKY3TocGxq53Hcg=s320" width="280" /></a></div> Décryptage *L’unité correctionnelle de la Monusco était en retraite cette semaine au Quartier général de la Mission à Kinshasa. Dans un entretien avec Honoré Misenga Kalala, la Cheffe de cette unité, Mme Patience Sai, complétée par son adjoint, a fait une évaluation du travail abattu cette année. Brèves ***Nos nouvelles en plus bref, le Royaume de Norvège et l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) ont signé le 24 novembre dernier un accord de partenariat pour lancer un projet de lutte contre l’esclavage moderne dans les sites miniers des provinces du Nord et du Sud-Kivu. La durée de ce projet est de trente mois et pour but d’améliorer la stabilité et l’accès aux droits humains des personnes qui se retrouvent dans les sites miniers, y compris des femmes et des enfants vulnérables dans les zones minières de l’Est de la RDC. **Restons dans encore dans cette partie du pays, 45 jeunes dont 17 filles de Sake, à 20 km de Goma, ont pris part cette semaine à une conférence-débat sur le processus de paix, la sécurité et le développement de leurs communautés respectives. Ce forum a été organisé par trois sections de la Monusco : les Affaires civiles, la Protection de l’enfant et l’Information publique.

***Enfin, le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), s’est dit consterné par une série d’attaques meurtrières menées par des groupes armés contre des personnes déplacées dans l’Est de la RDC. Dans un communiqué publié à ce propos, l’Agence de l’ONU pour les réfugiés a indiqué aussi avoir besoin d’un soutien financier supplémentaire pour ses opérations sous-financées afin de pouvoir renforcer son soutien aux déplacés internes Invité Le coordonnateur humanitaire de l’ONU en RDC, David Mc-Lacklan-Karr, était en mission à Lubumbashi jusqu’au mardi 30 novembre dernier. Il était accompagné de tous les chefs d’agence du système onusien en RD Congo. C’était pour élaborer un plan de travail pour 2 022. Le MAG UN revient sur l’entretien qu’il a accordé à Radio Okapi en répondant aux questions de Jean Ngandu. Nouvelle de province

Allons à Lubumbashi, dans le Haut-Katanga où ont été inaugurés les bureaux du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef). L’événement s’est passé mercredi 1er décembre en présence tout naturellement du Représentant résident de cette agence, Edouard Beigbeder. Celui-ci en a profité pour parler du lancement prochain de la nouvelle Radio Okapi Bana Okapi, une radio spécialement conçue pour les enfants. Ecoutez le Représentant de l’Unicef en RDC, au micro de Jean Ngandu. Question aux Nations unies La question a été posée à M. Adamou Dambagi, conseiller en information stratégique de l’ONUSIDA/RDC à l’occasion de la Journée mondiale de la lutte contre le Sida. C’était à la conférence de presse des Nations unies, mercredi dernier, à Kinshasa. Suivez la réponse du fonctionnaire onusien Promo UN Dans votre agenda, notez ceci pour la semaine qui commence : 06 décembre, c’est ce lundi, présentation par la Représentante spéciale et Cheffe de la Monusco, Bintou Keita, au Conseil de sécurité à New York, du rapport sur la situation en RDC.<div> </div><div>radiookapi.net</div>

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Décryptage *L’unité correctionnelle de la Monusco était en retraite cette semaine au Quartier général de la Mission à Kinshasa. Dans un ent...

Lieutenant-Général Luboya Nkashama aux Ituriens : » S’attaquer à la Monusco ou aux humanitaires, c’est se tromper de cible ! «

December 06, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEggh54ea8XpdM4Ymn8JwPtcyQyVwE3Jm4QrifBSBr_V71pa5sLcWoP_hTDppvSUdw7L8RxJ-ZxLRiy1ry9UWRM6aW66uCDt1ewztcGV0KnMVhlzX4P3bEXzcivfVMPHo3Zax-tZe4-dvheS5QckaTHWPF2Y9P_O4JFxIBHEd1g9X_znX6npvUFyIUdNog=s992" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="553" data-original-width="992" height="155" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEggh54ea8XpdM4Ymn8JwPtcyQyVwE3Jm4QrifBSBr_V71pa5sLcWoP_hTDppvSUdw7L8RxJ-ZxLRiy1ry9UWRM6aW66uCDt1ewztcGV0KnMVhlzX4P3bEXzcivfVMPHo3Zax-tZe4-dvheS5QckaTHWPF2Y9P_O4JFxIBHEd1g9X_znX6npvUFyIUdNog=s320" width="280" /></a></div>Depuis peu, des contingents de la MONUSCO, voire des humanitaires ne cessent de subir des attaques à travers la province de l’Ituri. Non seulement elles proviennent des groupes armés, mais aussi de la population civile. Le dernier cas en date remonte dans la soirée du mercredi 1er décembre 2021, quand certains jeunes de la ville de Bunia se sont attaqués aux contingents de la MONUSCO, conduisant ces derniers à faire usage des tirs d’armes pour disperser ces jeunes. Face à ces attaques en répétition, le gouverneur de province prévient: » La MONUSCO est en mission de pacification et de stabilisation de notre province à l’invitation du gouvernement de la République avec mandat de protection de la population civile tandis que les humanitaires viennent en aide à la population vulnérable ».

Dans un communiqué publié la soirée du vendredi 03 décembre, le chef de l’exécutif provincial condamne ces attaques en privilégiant la mutualisation des forces de tous les partenariats pour pacifier la province. Pour le Lieutenant-Général Luboya Nkashama : « vouloir s’attaquer à ces partenaires, c’est de se tromper de cible en jouant le jeu de notre ennemi commun notamment les groupes armés et leurs alliés ».

Néanmoins, l’armée rassure sa collaboration et sa détermination à garantir la sécurité à ces partenaires. En somme, le gouverneur de province invite plutôt la population à collaborer avec les services de sécurité pour restaurer l’autorité de l’État en cette période de l’état de siège en se désolidarisation des manipulateurs et des groupes armés. Verite Johnson/CONGOPROFOND.NET

Province sécurité Lieutenant-Général Luboya Nkashama aux Ituriens : » S’attaquer à la Monusco ou aux humanitaires, c’est se tromper de cible ! «

Depuis peu, des contingents de la MONUSCO, voire des humanitaires ne cessent de subir des attaques à travers la province de l’Ituri. Non seu...

Interdiction de couper le bois rouge dans le Haut-Katanga

December 06, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjbFxP5RPgDr9reZGKIEC4iAWGT3EyzmDZvi4PnyX-qcQnflBtRA3yaWfuRM_sSqeyFxhoQH2XaW-1bTyyOX855A9OSlgDTmGl7q2iuMYsuNWy9YykGYBAhH2jGIT8Q6Y7ReEybXY5Xa3TCN7NRy7h9bCHcCYXwMMZC9Vm2H3u2koiG2f-nylhvSeW7bw=s989" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="552" data-original-width="989" height="156" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjbFxP5RPgDr9reZGKIEC4iAWGT3EyzmDZvi4PnyX-qcQnflBtRA3yaWfuRM_sSqeyFxhoQH2XaW-1bTyyOX855A9OSlgDTmGl7q2iuMYsuNWy9YykGYBAhH2jGIT8Q6Y7ReEybXY5Xa3TCN7NRy7h9bCHcCYXwMMZC9Vm2H3u2koiG2f-nylhvSeW7bw=s320" width="280" /></a></div> Le vice-gouverneur du Haut-Katanga, Jean-Claude Kamfwa Kimimba, a interdit aux exploitants forestiers artisanaux de sa juridiction de couper le bois rouge afin de conserver la nature sur toute l’étendue de la province. Cette mesure du Gouvernement Kyabula vise à renforcer encore plus les dispositifs en vue de protéger l’environnement à l’heure où le monde fait face au réchauffement climatique. C’était au cours de la réunion qu’il a présidée jeudi au gouvernorat à leurs intentions.

Le Président des Exploitants Forestiers Artisanaux et Exportateurs du bois rouge Haut-Katanga, Jean Lwamba, a mis en garde tous ses membres quant au respect strict de cette décision. Jean-Pierre Ilunga Ngwej, Coordonnateur Provincial à l’Environnement est revenu sur cette mesure à l’issue de la réunion. ACP

Province Société Interdiction de couper le bois rouge dans le Haut-Katanga

Le vice-gouverneur du Haut-Katanga, Jean-Claude Kamfwa Kimimba, a interdit aux exploitants forestiers artisanaux de sa juridiction de coup...

Des ex-otages des ADF racontent la vie de ces rebelles : « Ils mangent difficilement. Parfois des maniocs ou des bananes sans sel »

December 06, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEheo1um6o0y2N2wfdCfw7p-KszlmMU2ffNGubww1fNjRsTKd2ryzSTTlDZkb9APfibcW8Qu73rRMrvl-jzmEBKuGWm7Hm_TCBXTPuh3bDnyf03FlPvPImORe1ax6c65AI-LzwqOEp16PAH5JCwHTeFAaZMqJ4A01ASTBqg9LfIuhxKLx1a1G58nx0Ob0Q=s1267" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="665" data-original-width="1267" height="147" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEheo1um6o0y2N2wfdCfw7p-KszlmMU2ffNGubww1fNjRsTKd2ryzSTTlDZkb9APfibcW8Qu73rRMrvl-jzmEBKuGWm7Hm_TCBXTPuh3bDnyf03FlPvPImORe1ax6c65AI-LzwqOEp16PAH5JCwHTeFAaZMqJ4A01ASTBqg9LfIuhxKLx1a1G58nx0Ob0Q=s320" width="280" /></a></div> Des rebelles Ougandais de l’Alliance des Forces Démocratiques (ADF) traversent des conditions de vie difficiles dans la brousse dans le territoire de Beni, au Nord-Kivu, et en Ituri, où ils se replient chaque fois après des attaques contre la population de cette partie de la République démocratique du Congo. Deux des 35 otages relâchés, le mercredi dernier, ont confié une interview exclusive à Actu30.cd. Ils font savoir que, dans la forêt, ces rebelles ADF détiennent des plantations des maniocs, des haricots et d’autres produits qu’ils exploitent juste pour leur survie. Un chauffeur Tanzanien qui figurait parmi ces otages, indique que ce sont les otages qui entretiennent ces plantations. Il ajoute que parmi ces rebelles il y a des citoyens Congolais, Tanzaniens, Burundais, Kényans, etc. À l’en croire, les rebelles ADF ont invité ces otages à devenir des musulmans pour qu’ils évitent de se faire tuer par eux.

« La vie que nous avons trouvée là-bas, ce n’est pas la meilleure. Ils nous ont soumis aux travaux d’entretien des maniocs, des arachides, des haricots et autres. D’autres entretenaient des champs. Ces ADF sont des gens normaux et sont de la religion musulmane. Ils nous ont demandé de devenir des musulmans. Parmi eux, il y a des Congolais, des Tanzaniens, des Somaliens, des Burundais, et même des Rwandais. Des éthiopiens sont là-bas », déclare-t-il sous l’anonymat. L’autre otage, un Congolais, affirme que les rebelles ADF mangent difficilement. Tantôt, des nourritures sans sel ou huile, dit-il. Ce dernier révèle que ces rebelles libèrent certains après paiement des rançons, avant de confirmer aussi l’existence de plusieurs nationalités dans les rangs des ADF.

« Ils mangent difficilement. Parfois des maniocs ou des bananes sans sel (…) Quand les voyez-vous vous voyez que réellement ils sont souffrants vraiment. Il y a toutes les nationalités, sauf les pygmées. Nous étions nombreux mais d’autres avaient été libérés après avoir payé de l’argent. C’est par pitié qu’ils nous ont libérés », relate cet ex-otage. Tous ont confirmé le bombardement des positions ADF par des avions militaires. Ils soulignent que les différentes opérations militaires ont anéanti considérablement la force des rebelles ADF.Anderson Shada Djuma Actu 30

Des ex-otages des ADF racontent la vie de ces rebelles : « Ils mangent difficilement. Parfois des maniocs ou des bananes sans sel »

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Des rebelles Ougandais de l’Alliance des Forces Démocratiques (ADF) traversent des conditions de vie difficiles dans la brousse dans le ter...

Kasaï : 6 militants de l'Envol de Sesanga tués par un véhicule qui roulait à vive allure près de Kamuesha (Police)

December 04, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgJzw0XlspXiWK9kDo0az-G5Y2h8LQ_37LiB3EppnXzz3G1YWN9v1cXEtbfvsXEsaMM3ChFBKaBvmGCNQ9NPf9l38STTeItZaWyO9WXAu4rWI9WVeJW4t8PBZvT8fot0mYifx8ucKaKMTlQyUEctftN9FR0WjlWghsgZu8IVSFiOSes-bo7YZgUzaTY_Q=s988" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="550" data-original-width="988" height="155" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgJzw0XlspXiWK9kDo0az-G5Y2h8LQ_37LiB3EppnXzz3G1YWN9v1cXEtbfvsXEsaMM3ChFBKaBvmGCNQ9NPf9l38STTeItZaWyO9WXAu4rWI9WVeJW4t8PBZvT8fot0mYifx8ucKaKMTlQyUEctftN9FR0WjlWghsgZu8IVSFiOSes-bo7YZgUzaTY_Q=s320" width="280" /></a></div></div>6 personnes ont trouvé la mort dans un accident de la circulation survenu dans la soirée du vendredi 3 décembre 2021, au village Mutshipayi, à environ 15 kms de la cité de Kamuesha en territoire de Tshikapa (Kasaï). D'après les sources policières contactées par 7SUR7.CD, il s'agit d'une Jeep Land Cruser de l'ONG AIDES qui quittait Kananga (Kasaï-Central) vers Tshikapa (Kasaï) qui a tamponné plusieurs militants du parti politique Envol qui manifestaient après l'installation d'une cellule de leur parti politique. « C'était vers 21 heures qu'une Jeep Land Cruser de l'ONG AIDES qui roulait à vive allure en partance de Kananga vers Tshikapa a tamponné les militants de l'Envol au village Mutshipayi près de Kamuesha.

<div> </div><div> </div><div> </div><div> Ces militants de l'Envol étaient sur les motos en train de manifester l'installation de la cellule de leur parti politique dans ce village. Nous avons compté 4 morts et 8 blessés graves la nuit. Ce matin, 2 blessés sont décédés. Ce qui fait le total de 6 morts et 6 blessés graves », a indiqué à 7SUR7.CD, le capitaine de la Police de Kamuesha, Jean-Luc Mabogo. Les morts ont été remis à leurs familles et les blessés sont internés au Centre de santé de Kamuesha pour des soins appropriés. Fabien Ngueshe, à Tshikapa<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> </div>  </div>

Politique Province Société Kasaï : 6 militants de l'Envol de Sesanga tués par un véhicule qui roulait à vive allure près de Kamuesha (Police)

6 personnes ont trouvé la mort dans un accident de la circulation survenu dans la soirée du vendredi 3 décembre 2021, au village Mutshipayi,...

Koffi à Beni : « Il n’y a pas que les balles mais par les mots, on peut aussi mettre fin à la guerre »

December 03, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjYxLWEB50zmVJcqk2o5au1PBdOygQQSkne62qQtaxxH37qAjAtCMvkDQ-ua5queegtIOFD8mquRo8HUY3NJ444XaukYrcCr6KnZP_9FlK-a7TYvlXx-3fMO-oyDAjiHQm5MUCHcekRcf5-P4Wem-yB7_eSnJeaYPADLeRjCHcauewN69Dw8B0RXuj2lw=s1492" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="835" data-original-width="1492" height="156" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjYxLWEB50zmVJcqk2o5au1PBdOygQQSkne62qQtaxxH37qAjAtCMvkDQ-ua5queegtIOFD8mquRo8HUY3NJ444XaukYrcCr6KnZP_9FlK-a7TYvlXx-3fMO-oyDAjiHQm5MUCHcekRcf5-P4Wem-yB7_eSnJeaYPADLeRjCHcauewN69Dw8B0RXuj2lw=s320" width="280" /></a></div> L’artiste musicien, Koffi Olomide s’est présenté ce jeudi 2 décembre 2021, devant la population de la ville de Beni au Nord-Kivu, sous sa casquette d’ambassadeur de la paix. Aussitôt arrivé les avant-midi dans la ville martyre, le patron de Quartier Latin international a présenté ses civilités comme de coutume au maire policier Muteba Kashale Narcisse avant d’assister les militaires blessés de guerre victimes des atrocités des rebelles ougandais de Forces démocratiques alliées (Adf). Ils sont internés aux pavillons militaires à l’hôpital gêneral de Référence de Beni.

« … Je savais qu’il y avait des blessés et je savais qu’il y a des gens qui ont risqué leur vie pour notre pays. Je suis parti les saluer pour leur dire de ne pas se décourager car ils ne sont pas seuls », a-t-il expliqué, affichant un air très compatissant. Pour Koffi Olomide, il est possible d’éradiquer l’insécurité à Beni non seulement par les armes mais aussi à travers les mots ou la parole. « Je voulais dire à mes compatriotes de Beni qu’ils ont un soldat de plus mais pas n’importe lequel. Vous savez qu’il n’y a pas que les balles, il n’y a pas que le fusil mais par les mots, on peut aussi mettre fin aux guerres », a rappelé le grand Mopao, arborant la tenue des contingents de la Monusco. Le musicien affirme être venu exprimer sa compassion aux habitants de Beni.

« A ceux-là qui ont perdu leurs frères, je voulais exprimer ma totale solidarité. J’aurais pu rester à Paris ou à Kinshasa ou aller où je veux mais j’ai choisi de venir à Beni car on en avait assez des intox », a précisé Koffi Olomide. Depuis qu’il séjourne au Nord-Kivu, le patron de Quartier latin se présente dans une casquette purement humanitaire. Il mobilise les fonds pour aider les militaires au front mais aussi les populations victimes des exactions des terroristes ougandais. Ouragan

Musique Province Société Koffi à Beni : « Il n’y a pas que les balles mais par les mots, on peut aussi mettre fin à la guerre »

L’artiste musicien, Koffi Olomide s’est présenté ce jeudi 2 décembre 2021, devant la population de la ville de Beni au Nord-Kivu, sous sa c...

Kolwezi : des militants de l'UNAFEC ont marché pour soutenir les institutions de la république

November 29, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgPCRb1oaobdo6Yh_jKX2OtKRt6QZTfgZOXwxfz_Doxcv233t2eYwBK-XWHz5RXUR0hWiTXOD54hb80PnHMH0U8szvPUani_uidPhm2xgVP5SwlD2MyUlyspozmQ_jBskv6JBpMTyuqPnnI2yZCVTsZY__FgK-t_6JaP5tAiTEIbtUekUpYVCNRHG6C2A=s993" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="551" data-original-width="993" height="155" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgPCRb1oaobdo6Yh_jKX2OtKRt6QZTfgZOXwxfz_Doxcv233t2eYwBK-XWHz5RXUR0hWiTXOD54hb80PnHMH0U8szvPUani_uidPhm2xgVP5SwlD2MyUlyspozmQ_jBskv6JBpMTyuqPnnI2yZCVTsZY__FgK-t_6JaP5tAiTEIbtUekUpYVCNRHG6C2A=s320" width="280" /></a></div> Les militants de l'Union nationale des fédéralistes du Congo (UNAFEC) ont marché le samedi 27 novembre 2021 dans la ville de Kolwezi, en province du Lualaba pour soutenir les institutions de la République démocratique du Congo. Ils ont pris d'assaut les avenues Maman Mujinga, Kasa-Vubu et Laurent Désiré Kabila dans le chef-lieu du Lualaba pour soutenir notamment la présidence de la république, l'Assemblée nationale, le Sénat et les institutions provinciales. « C'était une marche pour soutenir la présidence, l'Assemblée Nationale et le Sénat. Ici en province, le gouvernement provincial et l'Assemblé provinciale.

Surtout le nouveau bureau de la CENI. Nous voulons aller aux élections. Vous savez que nous de l'UNAFEC, on nous a écartés injustement. Nous voulons aussi siéger à l'hémicycle. Voilà pourquoi nous voulons qu'en 2023 qu'il ait les élections », a laissé entendre René Lumuna, président interterfédéral de l'UNAFEC. 
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 Ce dernier a également fait savoir que cette marche a été une façon pour l'UNAFEC de prouver à la face du monde que le parti est en vie malgré le décès de son ancien président national Antoine Gabriel Kyungu Wa Kumwanza. Il sied de noter que René Lumuna annonce la tenue, dans les tout prochains jours, d'autres manifestations de grande envergure. 
 
 Marcelo Mfumu depuis Kolwezi

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Les militants de l'Union nationale des fédéralistes du Congo (UNAFEC) ont marché le samedi 27 novembre 2021 dans la ville de Kolwezi, e...

Nord-Kivu : une quarantaine de militaires, policiers et écogardes de l’ICCN formés en gestion des armuriers

November 26, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgRANqctZ9gOyh8r7sk5RTmtb8Vpesj3jAvm4Qqkii3KTQgflv3pwpaNssRZKrTWZ6FrqLGUX9RSWmupHqxVKRiGCJJG0TFhAM-kJmn83Jws3LGqA_T6jj9E0Ha78CXW0o7xmvb3Qd6lG6bD0c_iRq7ck0ABlcS3Esi_iQuodn5JYZSX2h9WDWgY55YoA=s1043" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="693" data-original-width="1043" height="186" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEgRANqctZ9gOyh8r7sk5RTmtb8Vpesj3jAvm4Qqkii3KTQgflv3pwpaNssRZKrTWZ6FrqLGUX9RSWmupHqxVKRiGCJJG0TFhAM-kJmn83Jws3LGqA_T6jj9E0Ha78CXW0o7xmvb3Qd6lG6bD0c_iRq7ck0ABlcS3Esi_iQuodn5JYZSX2h9WDWgY55YoA=s320" width="280" /></a></div>Une quarantaine d’officiers des Forces armées de la RDC (FARDC) et de la Police nationale congolaise (PNC), ainsi que des écogardes de l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) ont été formés comme formateurs et armuriers. La cérémonie de remise de diplômes aux lauréats a eu lieu mercredi 24 novembre à l’école de Police de Mugunga. 30 officiers formateurs et 12 armuriers ont bénéficié de ces deux formations successives, notamment, en gestion des armureries.

Désormais, ces officiers disposent des connaissances dans l’entreposage, le stockage et la gestion de dépôts des munitions, des armes légères et petit calibre. « C’est très important pour nous, hommes de troupes. Comme vous le savez notre pays fait face à un environnement très pollué par la circulation illicite d’armes légères et de petit calibre », a déclaré l’un des apprenants, le commissaire Mutaka Kadakala Abel.

Il estime que la circulation illicite d’armes légères et de petit calibre est peut-être due à une mauvaise gestion de dépôts des armes et de munitions. « Cette formation nous a beaucoup aidé. Nous demandons à nos hiérarchies respectives de capter ses compétences que UNMAS vient de mettre à notre disposition pour que la République démocratique du Congo réponde favorablement à ses ambitions dans la gestion des armes et de munitions », a déclaré le commissaire Mutaka Abel. Cette session de formation a été organisée par la section de la lutte Antimines de la MONUSCO (UNMAS) de Goma.

Tout en félicitant les apprenants, UNMAS souhaite que les armuriers formés mettent en pratique les connaissances acquises afin de limiter le commerce d’armes illicites. « Si on veut stopper le marché illicite des armes de petit calibre, il faut que le travail commence au niveau des armureries et que les armuriers soient formés. Et donc mieux et plus on aura d’armureries aux normes et armuriers formés, moins d’armes sortiront et on limitera le commerce illicite d’armes », a affirmé Olivier Periola, formateur pour les armuriers au sein d’UNMAS. <div>radiookapi.net </div>

Province Société Nord-Kivu : une quarantaine de militaires, policiers et écogardes de l’ICCN formés en gestion des armuriers

Une quarantaine d’officiers des Forces armées de la RDC (FARDC) et de la Police nationale congolaise (PNC), ainsi que des écogardes de l’Ins...

Ituri: une attaque de CODECO fait au moins 107 morts dans des villages de Drodro et Largu

November 22, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjUKmXkLEqyfvcwdeWMNmK6LEK17a6GD7C-wCAz-GmvLmFi7w0DN_RTMBAFxcNFEDjGEGzKXC4OVwM-0YGJH662s7JlF0ZKO6JdF7MiVBHzksExWSk0nRtEtFZ4oPEqjayqopeIrcjKZ6rIcYiqrgbsl9lxsjs4vlhmXrKYiwT-xnnEK51ghhqduWK61A=s693" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="365" data-original-width="693" height="147" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjUKmXkLEqyfvcwdeWMNmK6LEK17a6GD7C-wCAz-GmvLmFi7w0DN_RTMBAFxcNFEDjGEGzKXC4OVwM-0YGJH662s7JlF0ZKO6JdF7MiVBHzksExWSk0nRtEtFZ4oPEqjayqopeIrcjKZ6rIcYiqrgbsl9lxsjs4vlhmXrKYiwT-xnnEK51ghhqduWK61A=s320" width="280" /></a></div> C’est un début de semaine ensanglanté et endeuillé pour la RDC en général et la province de l’Ituri en particulier. Ce lundi 22 novembre 2021, le baromètre sécuritaire du Kivu, a annoncé la triste nouvelle de l’assassinat de plus de 100 personnes lors d’une incursion de rebelles CODECO dans quelques villages du territoire de Djugu.« Au moins 107 corps ont été retrouvés suite à l’attaque, hier et aujourd’hui, des villages de Drodro, Largu et environs dans le territoire de Djugu en Ituri, par des miliciens Codeco« , a fait savoir ce projet piloté par le groupe d’étude sur le Congo GEC-BERCI et l’ONG américaine Human Rights watch. Cette communication fait savoir que « La grande majorité des morts sont des civils« . Lors de leur rencontre avec le chef de l’État, les députés nationaux élus de ce coin ont fait savoir que Tshisekedi avait reconnu que « l’état de siège est une expérience amère et qu’il faut assumer jusqu’au bout».
 
 
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 A l’occasion, il a savoir sa détermination d’en finir avec l’insécurité à l’Est et son engagement de dénicher le réseau mis en place par certains nationaux pour tirer profit de cette insécurité. Dans son adresse aux députés , le chef de l’État a indiqué que cette catégorie des citoyens sera transférée devant les instances compétentes pour être jugée. « Il a promis de booster les lignes en adoptant une attitude positive face à nos revendications. Il a reconnu qu’il y a la complicité au niveau interne, au sein de nos forces de sécurité, et il cherche à dénicher tous ceux qui collaborent avec les forces négatives pour les déférer devant les instances compétentes », a indiqué le député Gratien Iracan.
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 Cet élu poursuit que le chef de l’État tient à l’accompagnement des élus du peuple dans la pacification de cette zone. « Le Chef de l’Etat a demandé l’appui des députés nationaux pour l’aider à rétablir la paix. Nous aussi, nous observons si le Chef de l’Etat va respecter ses engagements vis-à-vis des élus pour aller de l’avant et retrouver la paix. Nous ne voulons pas qu’il y ait mort d’hommes, de déplacements massifs, de destructions méchantes, c’est ce qui est prioritaire pour les élus de l’Ituri et du Nord-Kivu. C’est important qu’on recadre les choses conformément aux résolutions de la commission défense et sécurité pour aller de l’avant», a-t-il ajouté. Et de conclure, « Le Chef de l’Etat a accepté de voir les choses dans le sens vu par la population. Avec l’état de siège, on avait une version du gouvernement et de l’armée mais les députés et la population avaient une autre perception.
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 Si on parvient à travailler dans le même sens, nous pensons qu’il y aura quand même des résultats. Le président a souhaité que les réunions mensuelles puissent se multiplier avec les élus et cela pour avoir les points de vue de la population. Plusieurs fois les députés nationaux lui ont affirmé qu’il y avait divorce entre la population et l’armée et que rien ne pourrait être fait pour ramener la paix dans pareille circonstance. Dans le cadre de mutualisation des forces, des démarches sont en cours avec les pays amis mais aussi avec des grandes forces comme celles des Nations unies qui sont ici et qui avaient posé des préalables ».

Par Siméon Isako

Province Société Ituri: une attaque de CODECO fait au moins 107 morts dans des villages de Drodro et Largu

C’est un début de semaine ensanglanté et endeuillé pour la RDC en général et la province de l’Ituri en particulier. Ce lundi 22 novembre 202...

Insécurité au Nord-Kivu et en Ituri : la prorogation de l’état de siège de plus en plus contestée

November 13, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjt464VRD59owFxgDWkGjSa3LX50DiYw2viA6wqHZ3O3F5_HLZi61gTYhLmLgXgnPEqhnAPbfnZtu2K-PgiJUmmPJYIviLF_gTvvbiwrK_ogBfs-WJ6tAQNfCmaEaPVyuXNvDu7xOcx2HjzjxxCHKcJdKtuorn1QtshkZ_7lTFeqDP0NJ84kZUn2TGWkg=s1185" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="645" data-original-width="1185" height="152" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEjt464VRD59owFxgDWkGjSa3LX50DiYw2viA6wqHZ3O3F5_HLZi61gTYhLmLgXgnPEqhnAPbfnZtu2K-PgiJUmmPJYIviLF_gTvvbiwrK_ogBfs-WJ6tAQNfCmaEaPVyuXNvDu7xOcx2HjzjxxCHKcJdKtuorn1QtshkZ_7lTFeqDP0NJ84kZUn2TGWkg=s320" width="280" /></a></div>Des voix s’élèvent pour exiger notamment une évaluation sans complaisance des opérations menées sur le terrain depuis l’instauration du régime d’exception. Le nombre de personnes opposées aux prorogations de l’état de siège ne cesse de s’accroître et des voix continuent de s’élever pour exiger des actions plus appropriées pour le retour de la paix au Nord-Kivu et en Ituri. Au cri d’alarme des députés nationaux du Nord-Kivu se joignent ceux de la société civile, en général, et celui des activistes du mouvement citoyen Lutte pour le changement (Lucha), en particulier. Tous condamnent la persistance de l’insécurité dans cette partie du pays et exigent désormais une évaluation sans complaisance de l’état de siège, préalable à une nouvelle prorogation de ce régime exceptionnel.

Parmi les actions menées sur le terrain, on peut citer la récente manifestation de la Lucha, organisée le 11 novembre à Béni pour s’opposer à une éventuelle douzième prorogation de l’état de siège. Les treize manifestants de ce mouvement citoyen ont été arrêtés et conduits à la garnison militaire de Béni-Butembo, dans l’est de la République démocratique du Congo. Il leur est reproché d’avoir organisé ladite manifestation en violation de l’ordonnance du chef de l’Etat instaurant l’état de siège. Au début du mois de novembre, l’Assemblée nationale avait voté la onzième prorogation de l’état de siège sur fond de contestation. Les députés de l’Ituri et du Nord-Kivu avaient boycotté la séance, exigeant un plan de sortie de cette mesure avant toute prorogation. Pour eux, l’état de siège ne résout rien car les violences ne font que s’aggraver dans les deux provinces. Ils avaient également exigé le départ des deux gouverneurs militaires ainsi que la démission du ministre de la Défense.

Selon un rapport publié le 9 novembre, la solution aux massacres de Beni-Irumu ne passerait pas forcément par l’instauration de l’état de siège. D’où la nécessité de chercher la solution ailleurs si vraiment il y a besoin de résoudre cette question. Les auteurs de ce rapport dénoncent la montée de la violence dans les territoires de Béni et Irumu, particulièrement pendant la période concernée par l’état de siège.* Jules Tambwe Itagali Adiac-Congo

Insécurité Province Insécurité au Nord-Kivu et en Ituri : la prorogation de l’état de siège de plus en plus contestée

Des voix s’élèvent pour exiger notamment une évaluation sans complaisance des opérations menées sur le terrain depuis l’instauration du régi...

Ituri : retour progressif à la vie normale à Komanda après des incursions rebelles (Société civile)

November 11, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEg11CibcHtrwTzS5eQE_lppj0t6Q3qwJMq5qMU7KxlforoDJYGwdli12O2wNPkDCuxiwMn86-2KmzcJ3TFcHDxJqCN7UsdeCDginSpDHeAUNoGNJqsR9ceGR4q75BoHTgHMT12xnj9-mUnObWWvReaKGbfiRgvGMKV0h_Mmh1aZkVjVkL1eucYfbEPA4g=s864" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="372" data-original-width="864" height="120" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEg11CibcHtrwTzS5eQE_lppj0t6Q3qwJMq5qMU7KxlforoDJYGwdli12O2wNPkDCuxiwMn86-2KmzcJ3TFcHDxJqCN7UsdeCDginSpDHeAUNoGNJqsR9ceGR4q75BoHTgHMT12xnj9-mUnObWWvReaKGbfiRgvGMKV0h_Mmh1aZkVjVkL1eucYfbEPA4g=s320" width="280" /></a></div> La vie reprend progressivement son cours normal à Komanda, un centre de négoce situé à plus ou moins 75 km au Sud de Bunia, dans la chefferie de Basili en territoire d'Irumu dans la province de l'Ituri. Ceci, après les incursions rebelles survenues vers la fin du mois de septembre et début octobre dernier. Les activités économiques ont repris, une institution financière de la place qui avait fermé ses portes est de nouveau opérationnelle, quelques écoles fonctionnent également. Selon Kakani Gustave, coordonnateur de la société civile de la chefferie de Basili, au moins 50% des habitants de Komanda ont déjà regagné leurs maisons et 70% des maisons de commerce ont rouvert leurs portes suite à l'accalmie qui règne actuellement dans ce milieu, grâce aux actions menées par les Forces Armées de la République Démocratique du Congo "FARDC" pour mettre en déroute les groupes armés et sécuriser la population.

"C'est chaque jour que enregistrons le retour des déplacés à Komanda, vous le voyez même maintenant. 50% des habitants sont déjà revenus et 70% des opérateurs économiques ont repris leurs activités comme d'habitude. Le marché fonctionne normalement et ça commence à prendre de l'ampleur comme d'habitude", a-t-il déclaré dans une interview accordée à 7SUR7.CD à Komanda, le mercredi 10 novembre 2021. Certains déplacés utilisent des engins roulants pour revenir chez eux et d'autres reviennent à pied, d'où le coordonnateur de ladite structure citoyenne invite les autorités provinciales à leur faciliter la tâche en mettant à leur disposition des véhicules.

Pour rappel, vers la fin du mois de septembre et début octobre derniers, de nombreux habitants de Komanda avaient fui les attaques des miliciens FPIC ( Front Patriotique et Intégrationniste du Congo) et des terroristes ADF, pour trouver asile dans certaines agglomérations sur la RN4, axe Komanda-Mambasa et d'autres vers Marabo, Irumu-Centre et ailleurs. Séraphin Banangana, de retour de Komanda

Province Société Ituri : retour progressif à la vie normale à Komanda après des incursions rebelles (Société civile)

La vie reprend progressivement son cours normal à Komanda, un centre de négoce situé à plus ou moins 75 km au Sud de Bunia, dans la chefferi...

Conflit entre l’UDPS et le FCC dans le haut-Katanga: Felix Kabange Numbi met en garde le parti de Félix Tshisekedi

October 15, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEj1eB2KloP6VWDzJyT1CsXzYQyRWgh68d8e0R5KzEmSBe0nPm77rGZfW2AtrPXRENFvppXWwuZRITy9FZxqALI9pI2xHZJrAf3tS9tNjY59_4cLtPiS_cppcrYE_PQ9sEbknKFMLH-wU9AlZXag8AE4dTt4UvEfobPsNQHqdgvawHc0w9YCTfSW6dZoJw=s1150" imageanchor="1" style=""><img border="0" data-original-height="857" data-original-width="1150" height="208" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/a/AVvXsEj1eB2KloP6VWDzJyT1CsXzYQyRWgh68d8e0R5KzEmSBe0nPm77rGZfW2AtrPXRENFvppXWwuZRITy9FZxqALI9pI2xHZJrAf3tS9tNjY59_4cLtPiS_cppcrYE_PQ9sEbknKFMLH-wU9AlZXag8AE4dTt4UvEfobPsNQHqdgvawHc0w9YCTfSW6dZoJw=s320" width="280" /></a></div>Dans une matinée politique organisée par Félix Kabange Numbi à l’intention des cadres du Front Commun pour le Congo (FCC), le mercredi 09 septembre dans la province du Haut-Katanga, le député national Félix Kabange Numbi a mis en garde le Camp UDPS qui cherche selon lui à ternir i’image de Joseph Kabila, ancien président de la RDC. « Ici le numéro 1 de la province s’appelle Jacques Kyabula, on ne peut pas commencer à tenir des meetings, des manifestations à Lubumbashi pour injurier l’autorité provinciale.

Le FCC n’acceptera pas et risque de réagir. Chacun a un chez soi. la région du Katanga est chez Joseph Kabila » s’insurge t-il. Et de poursuivre : « Nous ne tolérerons plus que quelqu’un vienne, allez faire vos histoires où vous voulez mais quand vous venez, respecter les gens que vous trouvez. Et lorsque nous vous trouvons en train de faire tout un meeting pour injurier le pauvre Joseph Kabila Kabange qui, à 45 ans, a accepté d’abandonner le pouvoir, et l’alternance a bénéficié à l’UDPS, est un manque de respect, ça nous ne tolérerons plus et plus jamais.

C’est un message que nous donnons et nous disons que nous avons averti ». Notez que les voie se sont levées pour condamner les déclarations de Félix Kabange Numbi, député proche de Joseph Kabila. GNM

Politique Province Conflit entre l’UDPS et le FCC dans le haut-Katanga: Felix Kabange Numbi met en garde le parti de Félix Tshisekedi

Dans une matinée politique organisée par Félix Kabange Numbi à l’intention des cadres du Front Commun pour le Congo (FCC), le mercredi 09 se...