BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Cure d’assainissement de l’espace aérien : Justin Kalumba frappe trois compagnies d’aviation !

April 13, 2014

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L’Autorité de l’aviation civile vient de retirer les licences d’exploitation de trois compagnies aériennes opérant en RD. Congo. C’est l’annonce faite à la presse, le samedi 12 avril 2014, Justin Kalumba Mwana Ngongo, Ministre des Transports et Voies de Communication. Il s’agit de  Sociétés Biega Airways, Congo Express et Okapi Airlines.

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Le retrait de leurs licences d’exploitation, précise le ministre, intervient au terme des exigences de la phase 2 du processus de re-certification des compagnies aériennes opérant en RD. Congo, tel que recommandé par l’Association internationale des transporteurs aériens (IATA).  Par ailleurs, il menace, dans cette même action, de retirer les licences de quatre autres compagnies, au cas où elles ne parvenaient pas à corriger des ‘’lacunes mineures’’ constatées dans leur organisation, dans un délai d’un mois. C’est le cas de Doren Air Congo, Mango Airlines, Transair Cargo Services et Will Airlift. <br />
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Pour opérer en RD. Congo, Justin Kalumba veut retenir seulement les compagnies qui seront déclarées aptes, à l’issue de ce contrôle, non seulement du point de vue de  leur organisation. Mais,  également,  en ce qui concerne l’état de navigabilité de leurs membres d’équipage.  A cet effet, il aligne tout une armada de mesures que son ministère est prêt à exécuter avec la grande fermeté, en vue de résorber très rapidement les problèmes graves de sécurité qui minent le secteur d’aviation civile congolaise. <br />
<br />
En effet, depuis quelques années, l’aviation civile congolaise ne jouit pas d’une bonne réputation auprès de l’Organisation de l’Aviation civile Internationale (OACI), à cause de  cas d’accidents réguliers qui, pour la plupart, pouvaient être évités.<br />
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Plusieurs sociétés de transport aérien ont carrément été mises sur la liste noire de cette institution. Elles sont frappées d’interdiction de voler dans l’espace de l’Union européenne.<br />
<br />
Face à la persistance des craches  et autres anomalies qui gangrènent le ciel congolais, des mesures drastiques sont prises tant par l’OACI que par l'IATA dans le seul but de pousser les autorités du secteur à normaliser la situation dans le domaine de la sécurité des opérations, de la navigabilité des avions, de l’exploitation et de la certification des licences pour le personnel aérien.<br />
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Auparavant, il avait  pris tout le temps, pour se concerter avec les compagnies aériennes congolaises en vue de les pousser à ajuster les tirs.<br />
<br />
C’est au terme de ce travail, à la fois, de sensibilisation et de prévention que les récentes sanctions sont tombées contre les compagnies jugées récalcitrantes qui ont vu leurs appareils cloués au sol.  <br />
<br />
Pour Justin Kalumba, la recommandation de l’IATA en cette matière viserait l’assainissement du secteur aérien en RD. Congo où il est identifié le niveau de sécurité et de sûreté parmi les plus bas au monde.<br />
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La certification des transporteurs aériens et le calibrage des équipements d’aide à la navigation constituent les deux problèmes majeurs qui se dressent sur la voie de la crédibilisation de l’aéronautique congolaise.<br />
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La dernière mesure de l’IATA vient rappeler que le chemin reste encore long et que le pays a encore beaucoup à faire,  pour se conformer aux exigences de l’OACI.<br />
<br />
« Il importe de noter que le Gouvernement continuera à s’investir dans l’application de toute mesure tendant à réinstaurer la sécurité et la Sûreté du transport aérien en RDC afin d’en rehausser à tout prix le niveau », a rassuré Justin Kalumba, avant d’affirmer que la correction du problème grave de sécurité lié à la certification des opérateurs aériens, avec toutes les mesures qu’elle implique, constitue une des étapes menant inéluctablement vers l’assainissement du secteur aérien congolais.<br />
<br />
« Nous n’avons nullement le droit d’atermoyer sur cette question, car il en va non seulement de la crédibilité de notre aviation civile, mais également, et surtout, de la préservation des vies humaines », a commenté le numéro Un du secteur. Il n’a pas caché sa détermination à poursuivre avec des décisions sévères face aux grands maux qui brument le ciel congolais. <br />
<br />
Peter Tshibangu  <br />
<span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span><br />

Economie la Nation Cure d’assainissement de l’espace aérien : Justin Kalumba frappe trois compagnies d’aviation !

L’Autorité de l’aviation civile vient de retirer les licences d’exploitation de trois compagnies aériennes opérant en RD. Congo. C’est l’an...

Au Centre Wallonie-Bruxelles : Lucifer a défendu sa cause devant une cour d’exception !

April 13, 2014

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Le Centre  Wallonie-Bruxelles a présenté une pièce de théâtre intitulée : « Lucifer ». La salle Brel était remplie d’un public venu suivre, le mercredi 9 avril  2014, le procès ouvert contre Satan,  le diable alias  ‘’Lucifer’’. Il est accusé de tous les maux qu’endure l’humanité. Celui-ci,  clame et prouve son innocence devant une cour d’exception, en présence d’un membre de jury, un avocat et un assistant. Jadis appelé ange de lumière, il est, pour l’instant, ange des ténèbres. Il a plaidé non coupable face aux  chefs d’accusations portés contre lui  dans l’affaire.</h3>

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<br /><br />La salle était calme. Sur le panneau, on pouvait lire, légende écrite  par Mbuyu Kalema, mis en scène par Israël  Tshipamba, Kabeya Cabestan et David Ilunga. Un  procès qui  a mis  le diable en cour d’exception pour défendre ses méfaits. Il est accusé d’être le  père fondateur de la mort, de la haine, de la jalousie et créateur de tout ce qui porte préjudice à la vie de l’homme. Dans sa réplique, il déclare : « Le fait d’être appelé Satan ne veut pas dire qu’on est auteur de tout le mal qui se présente dans la vie courante de l’homme. Plutôt, le mal a vécu avant que quiconque ne soit créé sur la terre. La  preuve est que Dieu a dit à l’homme : « Voici, j’ai mis le bien et le mal devant toi.  Mais, moi je te demanderai de choisir le bien afin que tu vives »,  à qui attribuer la charge de ces méfaits ? ». « Comment voulez-vous attribuer la charge à Satan d’être responsable de tous les méfaits commis par les hommes ? », s’interroge son avocat.  Selon lui, l’homme pèche parce qu’il est incité  par un mauvais esprit qui le  pousse à faire du mal. Pourtant, il est doté d’une certaine intelligence qui lui permet d’être  responsable de sa vie.<br /><br />Satan ajoute qu’Eve, au jardin d’Eden, avait le libre choix d’accepter ou de refuser de  manger le fruit. Alors, Satan se pose la question de savoir pourquoi son nom est impliqué dans une  affaire où l’homme agit par sa  mauvaise foi, poussé par ses sentiments personnels ! « Je ne suis qu’un simple instrument qui fait la transition ou une assistance  pour  les personnes qui veulent atteindre leur but, c’est tout »,  a conclu Lucifer.<br /><br />Merveille Kapongo

Art Au tour de Kinshasa Au Centre Wallonie-Bruxelles : Lucifer a défendu sa cause devant une cour d’exception !

Le Centre Wallonie-Bruxelles a présenté une pièce de théâtre intitulée : « Lucifer ». La salle Brel était remplie d’un public venu suivre,...

Kinshasa : l’avenue Gambela bientôt disponible à la circulation… (vidéo)

April 13, 2014

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Longtemps laissée dans un état de délabrement très avancé, l’avenue Gambela, dans son tronçon compris entre le rond-point Forces Publiques et l’avenue Kasa-Vubu, sera bientôt disponible à la circulation. C’est ce qu’a déclaré un élément de l’équipe technique de l’Office des Voiries et Drainage (OVD), dans un témoignage recueilli sur terrain, le vendredi 10 avril 2014.

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Ces travaux financés par le Fonds d’Entretien Routier (FONER),  amorcent leur  phase de finition, avec la  pause des enrobés.  La  plus heureuse  dans cette affaire se trouve être la population environnante. Elle salue la volonté des autorités du pays à réhabiliter ce tronçon, après plusieurs années d’attente. D’autres qui ont vu leur  commerce être handicapé,  le long de cette avenue ne cachent  pas leur soulagement. « La circulation était pratiquement paralysée. Il suffisait d’une petite pluie pour que la catastrophe s’impose », témoigne un commerçant.   <br />
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L’avenue Gambela reste praticable, dans sa partie de la commune de Ngiri-Ngiri. La moitié de la commune de Kasa-Vubu est restée longtemps dans un état déplorable, empêchant une fluidité de la circulation. Après la réhabilitation du tronçon compris entre le rond-point Forces Publiques et l’avenue Kasa-Vubu, reste celui qui mène jusqu’au rond-point Gambela de recevoir un dernier coup de ballet.<br />
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La commune de Kasa-Vubu qui, dans le cadre du projet des grands chantiers pilotés  par le Gouvernement, bénéficie d’infrastructures modernes à l’instar de l’hôpital du Cinquantenaire, nouvellement inauguré, serait presque comblé de vider tous ses nids de poule.<br />
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Jimmy Biata

Au tour de Kinshasa Kinshasa : l’avenue Gambela bientôt disponible à la circulation… (vidéo)

Longtemps laissée dans un état de délabrement très avancé, l’avenue Gambela, dans son tronçon compris entre le rond-point Forces Publiques ...

Scandale dans la gestion du Patrimoine de l’Etat : Fridolin Kasweshi parle de la spoliation à grande échelle ! (vidéo)

April 13, 2014

Les Députés ont répondu  à la séance plénière du  mercredi 9 avril 2014 dernier, dans la salle de  congrès du Palais du peuple.
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<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong> Trois Ministres du Gouvernement Central étaient à la barre,  pour répondre à deux questions d’actualité  ainsi qu’à une question orale avec débat. Il s’agit de Fridolin Kasweshi, Charles Nawej  et Richard Muyej, respectivement,  Ministre des ITPR, AT et UH ; Affaires soci</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>ales, actions humanitaire  et Solidarité Nationale   et  de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires coutumières. Fridolin Kasweshi a, pour sa part, répondu à la question d’actualité de l’Honorable Martin Kabuya Mulamba Kabitanga sur les actes de spoliation des immeubles de l’Etat. Quatre préoccupations ont été relevées dans ladite question d’actualité, notamment,  ‘’Comment est constitué, présentement, le patrimoine d’immeubles relevant du domaine privé de l’Etat dont la gestion est placée sous votre autorité en République Démocratique du Congo,  en général  et,  particulièrement,  à Kinshasa ?  Quel est le tableau des immeubles occupés anarchiquement ou menacés d’être grevés par des spoliateurs ? Quelles sont des dispositions prises pour sauvegarder ces immeubles ? Quels concours bénéficiez-vous des services du cadastre pour sécuriser ces immeubles tant convoités et en proie  à une spoliation certaine ?  En réponse en ces questions, le Ministre de l’ATUHITPR a retracé quelques faits historiques concernant les différentes mutations opérées dans la gestion de ce secteur.</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
‘’Les immeubles constituant le patrimoine immobilier du domaine privé de l’Etat sont issus des immeubles érigés par la Colonie pour loger les cadres et agents coloniaux ; des immeubles achetés ou construits par l’Etat, notamment par la Présidence de la République ; des immeubles saisis par l’Etat dans le cadre du règlement du contentieux belgo-congolais, notamment les immeubles Ex-Sabena appelés Building du 20 Mai et 24 Novembre ; des propriétés des entreprises paraétatiques dissoutes, notamment la Société de Crédits aux Classes Moyennes et Industries « SCCMI »’’, a expliqué Fridolin Kasweshi. Il a, par ailleurs,  retracé  quelques faits historiques concernant les différentes mutations opérées dans la gestion de ce secteur,  avant de parler du contexte présent. ‘’A ce jour, le Ministre en charge de l’Urbanisme et Habitat, à travers l’arrêté ministériel n°CAB/MIN-ATUHITPR/001/2014 du 14 janvier 2014,  a dénombré  1211 villas, 28 immeubles à 424 appartements, 38 locaux, 12 studios et 1 cave, et 4 résidences à 24 appartements situées au camp Tshatshi, soit 1710 unités de logement’’, a-t-il fait savoir.   Par ailleurs, il convient de signaler que les 1710 unités intègrent aujourd’hui les villas et appartements situés dans différents camps militaires et civils à travers la ville de Kinshasa, que la Gestion Immobilière n’avait pas jadis comptabilisés, mais objets de spoliation à ce jour.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Concernant la question relative aux immeubles spoliés, menacés de spoliation ou occupés anarchiquement, Kasweshi, du haut de la tribune, a signalé  que le groupe de travail mis en place, composé des experts du Ministère de la Justice et Droits Humains et de l’Administration de l’Urbanisme et Habitat, a identifié à ce jour dans la ville de Kinshasa, 151 cas d’immeubles spoliés ou menacés de spoliation dans les communes dont 135 pour la commune de la Gombe  et 10 pour la commune de Ngaliema.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Tous ce cas font perdre à l’Etat d’importantes recettes et ne permettent pas à l’administration de l’Urbanisme et Habitat d’atteindre les assignations budgétaires. S’agissant de  dispositions prises pour sauvegarder les immeubles, de 1984 à 2008, plusieurs missions de contrôle, d’audit, d’inventaire, et différentes commissions ont été organisées pour récupérer les biens de l’Etat spoliés et décourager les velléités de prédation sur le patrimoine immobilier du domaine privé de l’Etat. ‘’En particulier, par décret n°07/03 du 26 mars 2008, fut créée la Commission de Récupération des Immeubles et Terrains de l’Etat « CRITE » en sigle,  avec pour mission essentielle,  de s’assurer de la régularité de l’acquisition par des particuliers,  des immeubles et terrains d’Etat  ainsi que de toutes décisions de restitution prises à ce sujet par l’Office des Biens  Mal acquis, en sigle « OBMA » ou par le Ministre de la Justice’’, a-t-il soutenu.   A l’en croire, cette commission qui a suscité l’espoir de ceux qui militent pour le rétablissement  de l’Etat,  a été confrontée à des difficultés de différents ordres et aucun immeuble n’a été formellement récupéré suite au mode opératoire des spoliateurs qui fait appel à un vaste réseau de complicité entre différentes administrations.  </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Dans son allocution,  le Ministre regrette le fait que toutes les tentatives de restauration du patrimoine immobilier du domaine privé de l’Etat, le constat est le même : il y a spoliation à grande échelle. ‘’Certains rapports ont même repris les adresses ainsi que des identités des présumés spoliateurs : mais le mal est très profond et ceux qui sont chargés  d’endiguer ce fléau, doivent s’armer de beaucoup de courage, d’opiniâtreté et de volonté inébranlable, face à tous les obstacles rencontrés et aux astuces utilisées’’, a-t-il argué.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Protection et sauvegarde du patrimoine</strong></div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Après ce constat amer, le Ministère de l’ATUHITPR aurait  initié d’autres actions pour la protection et la sauvegarde du patrimoine immobilier du domaine privé de l’Etat par quelques actions non des moindres. Il s’agit,  entre autres,  de l’identification des immeubles, appartements et villas du domaine privé de l’Etat dans la ville de Kinshasa par arrêté ministériel n°CAB/MIN- ATUHITPR/020/2013 du 24 septembre 2013 portant identification du patrimoine immobilier du domaine privé de l’Etat et de  l’arrêté ministériel n°CAB/MIN-ATUHITPR/001/2014 du 14 janvier 2014 complétant l’arrêté ministériel précédent publiés au Journal Officiel. Il y a lieu de soutenir que les listes contenues dans ces deux arrêtés feront l’objet des compléments au fur et à mesure de l’identification,  la collecte des données étant affectée par l’absence de la tenue régulière des inventaires.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Parmi les actions posées par le Ministère, l’on retient aussi le transfert du domaine privé au domaine public de l’Etat de certains immeubles en état de délabrement ou menacés de spoliation.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
‘’ C’est le cas  de 7 immeubles de la Place Royal et ceux attribués à certains services publics tels que la Direction Générale des Recettes Administratives, Domaniales, judiciaires et de participations « DGRAD », la Direction Générale de Migration « DGM » et le Secrétaire Général aux Hydrocarbures’’, a dit le Ministre.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
Face à cette situation de spoliation, certaines mesures sont envisagées pour assurer la protection du patrimoine immobilier de l’Etat. Il sera question d’engager, soutient-il, d’engager  des poursuites judiciaires en matière répressive contre tous les intéressés qui ont assigné l’Etat en justice au sujet de son patrimoine immobilier et foncier, pour faux et usage de faux et spoliation, très  souvent,  avec la complicité de l’Administration, des Hauts cadres de l’Armée, de la Police et de la Justice.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
En ce qui concerne les Agents de l’Administration à divers niveaux (Fonctionnaires, Magistrats, Agents de Sécurité et Eléments de la Police et des Forces Armées) complices dans la spoliation du patrimoine immobilier de l’Etat, il siérait d’envisager, au-delà des sanctions administratives sévères allant jusqu’à la révocation.</div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
‘’Quant aux concours bénéficiés des services du cadastre pour sécuriser les immeubles, dans les limites de nos compétences respectives consacrées par l’ordonnance n°12/008 du 11 juin 2012 fixant les attributions des ministères, et au regard de la complexité du problème  qui n’a pas permis un meilleur aboutissement des initiatives prises antérieurement dans ce secteur, il est plus que nécessaire d’obtenir une synergie de différents pouvoirs, institutions et organes de l’Etat’’, a-t-il martelé.  </div>
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">
<strong>Kevin Inana</strong></div>
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la Nation Politique Scandale dans la gestion du Patrimoine de l’Etat : Fridolin Kasweshi parle de la spoliation à grande échelle ! (vidéo)

Les Députés ont répondu à la séance plénière du mercredi 9 avril 2014 dernier, dans la salle de congrès du Palais du peuple. ...

Reddy Amisi chez Tonton Gaël de l'émission TENDANCE A de Kin 24 du 11 Avril 2014 ( vidéo)

April 12, 2014

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVd7ans9bDsACf9KAMgrLrVO1jn51VaPzPt_AtdOu1rK1Ktm_nmjnGfnRGxLQ0w3UPoYkigk9K197sa7BFeigZ624p73koenAD4UoEDlMVgNHuqk6ImqIv0EZbBNy4F3VcpYOVagIJuy74/s1600/Snapshot_16~1.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="232" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVd7ans9bDsACf9KAMgrLrVO1jn51VaPzPt_AtdOu1rK1Ktm_nmjnGfnRGxLQ0w3UPoYkigk9K197sa7BFeigZ624p73koenAD4UoEDlMVgNHuqk6ImqIv0EZbBNy4F3VcpYOVagIJuy74/s1600/Snapshot_16~1.jpg" width="400" /></a><span style="font-size: large;">Reddy Amisi chez Tonton Gaël de l'émission TENDANCE A de Kin 24 du 11 Avril 2014 ( vidéo)</span></h3>
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Musique Reddy Amisi chez Tonton Gaël de l'émission TENDANCE A de Kin 24 du 11 Avril 2014 ( vidéo)

Reddy Amisi chez Tonton Gaël de l'émission TENDANCE A de Kin 24 du 11 Avril 2014 ( vidéo)

Voici la Grande édition du Journal télévisé et revue de presse de télé 50 de ce Vendredi 11 Avril 2014 (vidéo)

April 11, 2014

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7Oe03oeM5kIq9z0cI8sVNQyP3C8Lbrggmy9yBt6GGUKYFE9FFxKFKHebAB2d59i7yAyQjvATKJFWPqcoSs2rO68ayiabP0FlKQWlHLTSvWKn7jUyeWn8lPzYzFQEPz5DJdHUaOUf7xd1X/s1600/M.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7Oe03oeM5kIq9z0cI8sVNQyP3C8Lbrggmy9yBt6GGUKYFE9FFxKFKHebAB2d59i7yAyQjvATKJFWPqcoSs2rO68ayiabP0FlKQWlHLTSvWKn7jUyeWn8lPzYzFQEPz5DJdHUaOUf7xd1X/s1600/M.jpg" width="400" /></a></div>
Voici la Grande édition du Journal télévisé et revue de presse de  télé 50 de ce Vendredi 11 Avril 2014 (vidéo)

Au tour de Kinshasa la Nation le journal Politique Voici la Grande édition du Journal télévisé et revue de presse de télé 50 de ce Vendredi 11 Avril 2014 (vidéo)

Voici la Grande édition du Journal télévisé et revue de presse de télé 50 de ce Vendredi 11 Avril 2014 (vidéo)

Une femme volée pendant un interview sur l'insécurité.( vidéo)

April 11, 2014

Ce mercredi 9 avril 2014 sur la grande avenue Presidente Vargas au Brésil, une femme a été agressée et s'est faite voler son collier alors qu'elle donnait une interview télévisée pour le journal de Rio de Janeiro. Le voleur n'a pas hésité à arracher le bijou autour de son cou alors qu'elle se trouvait face caméra. Ironie du sort, la victime donnait justement un interview pour la chaîne RJTV sur le thème de l'insécurité dans le centre de la capitale. Soudain, un adolescent s'approche, passe sa main autour du cou de la femme, lui arrache son collier et s'enfuit en courant. Témoin de la scène, le journaliste s'est alors précipité vers le voleur mais n'a pas réussi à le rattrapper.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj29h7EMqPIHX9wxqG5dXcriUwxcUP5YVUon_0Gt-QGxYWGWRaQ8aK2XMBvO2NBErVqMPSkHK7lbtiXIoxYTZDcKbDsdexa8qxjtyJoxucdRho_fdMK9sfbSrOnFu4etpa2S-_R0TGmS_1W/s1600/Snapshot_6~4.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="195" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj29h7EMqPIHX9wxqG5dXcriUwxcUP5YVUon_0Gt-QGxYWGWRaQ8aK2XMBvO2NBErVqMPSkHK7lbtiXIoxYTZDcKbDsdexa8qxjtyJoxucdRho_fdMK9sfbSrOnFu4etpa2S-_R0TGmS_1W/s1600/Snapshot_6~4.jpg" width="400" /></a></h3>
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<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj29h7EMqPIHX9wxqG5dXcriUwxcUP5YVUon_0Gt-QGxYWGWRaQ8aK2XMBvO2NBErVqMPSkHK7lbtiXIoxYTZDcKbDsdexa8qxjtyJoxucdRho_fdMK9sfbSrOnFu4etpa2S-_R0TGmS_1W/s1600/Snapshot_6~4.jpg" rel="image_src" width="400"></link>

Divers internationale Une femme volée pendant un interview sur l'insécurité.( vidéo)

Ce mercredi 9 avril 2014 sur la grande avenue Presidente Vargas au Brésil, une femme a été agressée et s'est faite voler son collier alo...

Kinsuka : les morts mal à l’aise

April 11, 2014

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<span style="font-size: large;">Depuis jeudi 20 mars 2014, des éléments de la Police Militaire patrouillent au cimetière de Kinshasa. A en croire des sources crédibles, leur mission est d’empêcher la poursuite des travaux des constructions anarchiques qui y ont repris de plus belle mais aussi toute tentative de nouvelle construction. </span></h3>
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Et, pour montrer que la force reste à la loi, ils ont procédé à l’arrestation de tous les contremaitres, maçons, aide-maçons, charpentiers, ferrailleurs, plombiers et autres briquetiers surpris sur les différents chantiers.</div>
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Les autorités urbaines et municipales, indique-t-on, seraient décidées à traquer tous ceux qui troublent le repos des morts dans ce site. Ceux-ci se sentant de plus en plus mal à l’aise, les « PM » semblent décidés à remettre de l’ordre dans un cimetière où les inhumations clandestines continuent, en même temps que l’érection anarchique des maisons d’habitation. C’est donc une épreuve de force entre ceux qui tiennent à ériger Kinsuka Kinshasa en « nouvelle cité » et l’administration urbaine, décidée à faire respecter le repos éternel des morts.</div>
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Le direct
        
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Au tour de Kinshasa la Nation Kinsuka : les morts mal à l’aise

Depuis jeudi 20 mars 2014, des éléments de la Police Militaire patrouillent au cimetière de Kinshasa. A en croire des sources crédibles, le...

BOMA : UN DÉPUTÉ DANS LA TOURMENTE

April 11, 2014

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<span style="font-size: large;">* Faisant notamment référence aux litiges financiers, un rapport de la Mairie et deux tracts confirment l’insécurité dans laquelle se trouve Adrien Phoba.</span></h3>
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<br />
Présumé être mêlé surtout dans cette affaire de trafics des êtres humains dans son propre fief électoral, le député MPRC serait en difficulté vis-à-vis de certains de ses électeurs. Pour une frange de l’opinion, à Boma, l’agression dont a été victime le 22 février dernier résulterait de tous ces litiges.<br />
En fait, renseigne un rapport de la Mairie de Boma, le 22 février 2014, Adrien Phoba ne s’attendait certainement pas à un quelconque incident dans son propre fief électoral. A son arrivée dans la ville de Boma dans le cadre de ses vacances parlementaires, il a été escorté par un groupe des gens qui lui sont encore fidèles. Habillé en soutane noire, il ne se souvenait sûrement pas qu’il y avait des gens qui l’attendaient pour lui régler les comptes. Accueilli dans cette hostilité, il a reçu un projectile lui lancé en pleine figure par des inciviques non autrement identifiés. <br />
Grièvement atteint et blessé à l’œil gauche, le député national a été acheminé dans un centre médical de la ville pour les premiers soins. Le lendemain, il a dû quitter rapidement la ville de Boma pour se rendre à Kinshasa en vue d’atteindre Bruxelles pour une prise en charge médicale bien appropriée.<br />
<br />
DES TRACTS QUI ANNONÇAIENT LES COULEURS}<br />
<br />
Selon un rapport de sécurité adressé à la mairie de Boma, la veille de l’agression du député Phoba, deux tracts estampillés "Bana Boma " et contenant des menaces contre sa personne avaient circulé dans la ville. Le premier tract, a-t-on signalé, interdisait au député de prendre la parole à Boma tant qu’il ne fera pas au préalable libérer M Séraphin Luzolo détenu à Kinshasa par les services depuis le 03 septembre 2013. Il convient de signaler que Séraphin Luzolo a été appréhendé par les services pour avoir tenté de corrompre le chef de poste de l’ANR de la commune de Nzadi pour obtenir une convocation au nom de l’épouse du député Phoba en séjour en Belgique afin de lui faciliter l’obtention d’un asile politique. <br />
Le deuxième tract portant la signature de " Bana Boma " rappelait à Adrien Phoba leur colère contre lui du fait d’avoir abandonné son envoyé Séraphin Luzolo à son triste sort et son refus d’écouter la famille de l’infortuné qui a cherché en vain à l’approcher. Le même rapport a encore indiqué qu’une enquête avait été ouverte à ce sujet. Avec ce rapport, il y a lieu de comprendre clairement que les mécontents, mieux l’attendaient de pieds fermes. <br />
Ces mêmes sources citent, par exemple, des invectives que l’élu subit régulièrement de la part de ses paisibles compatriotes à qui il aurait soutiré de l’argent comptant contre une fausse promesse de voyage en Europe.<br />
<br />
LES " NGULU " ATTENDENT DE RENTRER DANS LEURS DROITS}<br />
<br />
<br />
<br />
On est dans une affaire qualifiée de trafic d’êtres humains, très connu à Kinshasa sous le nom de " Ngulu. " Fatiguées de ce qu’il considèrent comme une fourberie et ne s’attendant plus à un règlement à l’amiable dans cette affaire, les victimes ont commencé à exprimer leur ras-le-bol.<br />
Intéressé par l’information, ‘’Forum des As’’ est parvenu à avoir au moins les noms, les adresses et les numéros téléphoniques de certains de ces candidats à l’imigration clandestine, devenus des dindons de la farce. Sur la liste de ces fameux " Ngulu ", figure entre autres la veuve Ntoto Masevo, domiciliée au numéro 46 de l’avenue Lisala, commune de Kalamu, qui lui aurait remis des milliers de dollars et le titre de propriété de sa maison dans le but d’amener son fils en Europe voici bientôt un an et deux jeunes débrouillards, Victor et Yves. Tous tiennent à rentrer dans leurs droits. <br />
Bien entendu, l’élu de Boma nie toute implication dans un quelconque réseau de trafic d’êtres humains. Cependant, dans la ville, plus d’un Bomatracien n’accorderait plus aucun crédit à ses dénégations depuis que ses victimes ont pris la décision de porter l’affaire sur la place publique. Outre le dossier "Ngulu", à Boma il se raconte le calvaire des témoins électoraux du 28 novembre 2011 qui n’auraient jamais été payés depuis. FDA</div>
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Politique BOMA : UN DÉPUTÉ DANS LA TOURMENTE

* Faisant notamment référence aux litiges financiers, un rapport de la Mairie et deux tracts confirment l’insécurité dans laquelle se tr...

Une pétition en chantier pour la révision : Constitution, la DPE/MP à la recherche de 100.000 signatures !

April 11, 2014

<h3>
<span style="font-size: large;">*Incontestablement engagée dans la mouvance de la révision constitutionnelle, la Dynamique des Partis Extraparlementaires de la Majorité Présidentielle,  DPE/MP, fait remarquer que la Constitution du 18 Février 2006 n’est pas muette. </span></h3>
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<div>
 Elle parle de tout à travers ses accessoires, ses articles. Elle parle surtout  de sa propre révision  sujette  à trois théories. Notamment, la théorie de l'autonomie de volonté, la théorie de l'acte contraire et la théorie de l'accessoire qui suit le principal. Et, conformément à l’autonomie de volonté, la Constitution, rappelle la DPE/MP, donne mandat à quatre personnalités, pour l’initiative de  sa révision,  en cas de besoin. Il s’agit du  Président de la République, du  Gouvernement, après délibération en Conseil des ministres, à chacune des Chambres du Parlement à l’initiative de la moitié de ses membres et, enfin, à une fraction du peuple congolais, en l’occurrence,  100.000 personnes s’exprimant par une pétition adressée à l’une des deux Chambres. A en croire M. Sylvère Boswa, c’est cette dernière piste que son regroupement politique, la DPE/MP, entend exploiter. Aussi, la DPE/MP prépare-t-il  une pétition portant révision constitutionnelle pour  laquelle elle va courir derrière 100.000 signatures, à travers toute la République, avant son dépôt à la Représentation nationale. Puis, viendra le tour du   référendum. Car, rassure le Président de la DPE/MP, tout doit être approuvé par référendum. Sauf,  si l’Assemblée Nationale et le Sénat réunis en Congrès approuvent à la majorité des 3/5 de leurs  membres. Dans un avenir proche, apprend-on, la DPE/MP va proposer à la population une série de moutures de Constitution, pour le choix.  Découvrez la position de la DPE/MP, à travers la Déclaration Politique,  ci-après. </div>
<div>
<br />
-    1. La DPE/MP fait remarquer que la Constitution du 18 Février 2006 n’est pas muette. Elle parle. Elle parle de tout à travers ses accessoires. Surtout, elle parle de sa propre révision qui fait actuellement couler beaucoup d’encre dans les milieux politiques congolais. Cette révision constitutionnelle n’est pas un mythe mais une réalité voulue par le Peuple Congolais et promulguée par le Président de la République, Chef de l’Etat.<br />
-    2. La DPE/MP rappelle que la Constitution peut être définie comme l’esprit du corps du Peuple Congolais exprimée en référendum et votée à 85% en Décembre 2005. Elle insiste sur le fait que l’article 220 qui est devenu célèbre n’est pas la Constitution mais n’est que l’un des 229 accessoires de la Constitution.<br />
<br />
Par conséquent, la révision de la Constitution du 18 Février 2006 n’est pas attaquable par qui que ce soit. Car, elle est la volonté exprimée par elle-même à l’article 218.</div>
<div>
-    3. La DPE/MP fait également sienne la révision de la Constitution du 18 Février 2006 au regard de trois théories, à savoir la théorie de l'autonomie de volonté, la théorie de l'acte contraire et la théorie de l'accessoire qui suit le principal.</div>
<div>
<b>1.    De la théorie de l'autonomie de volonté</b></div>
<div>
-    4. La DPE/MP reconnaît que la Constitution du 18 Février 2006 est une personne morale dotée d’une personnalité juridique, c’est-à-dire,  capable de décider sur son sort, capable de faire ou de ne pas faire.<br />
La Constitution donne mandat selon son autonomie de volonté à quatre personnalités à initier sa révision en cas de besoin. Il s’agit de personnalités ci-après :</div>
<div>
•    1. Le Président de la République, Chef de l’Etat qui est, en même temps, Garant de cette Constitution</div>
<div>
•    2. Le Gouvernement de la République, après délibération en Conseil des ministres</div>
<div>
•    3. A chacune des Chambres du Parlement à l’initiative de la moitié de ses membres</div>
<div>
•    4. A une fraction du peuple congolais, en l’occurrence 100.000 personnes s’exprimant par une pétition adressée à une des deux Chambres. Tout doit être approuvé par référendum, sauf si l’Assemblée Nationale et le Sénat réunis en Congrès approuvent à la majorité des 3/5 des membres les composant.<br />
-    Donc, conformément à l’Article 218 (accessoire), la Constitution a la volonté d’être révisée quand il le faut. C’est sa volonté, sa seule volonté et que cette volonté mérite d’être respectée par tout le monde en République Démocratique du Congo. C’est l’économie de la théorie de volonté qui est garantie par le droit commun mondial.<br />
<b>2.    De la théorie de l'acte contraire</b></div>
<div>
-    5. La DPE/MP, tout en considérant que la Constitution est une émanation du peuple, déclare urbi orbi que sa révision constitutionnelle subit la théorie de l’acte contraire conformément à l’autonomie de volonté manifestée à l’article 218. Cette théorie de l’acte contraire stipule que la même institution ou la même autorité qui a le pouvoir de prendre l’acte peut le modifier ou l’annuler dans le parallélisme des compétences et des formes. Il s’agit dans le cas<br />
<b>sous examen des institutions ou autorités ci-après :</b></div>
<div>
•    1. Président de la République<br />
•    2. Gouvernement de la République<br />
•    3. Parlement National<br />
•    4. Peuple Congolais. Pour ce qui concerne le parallélisme des compétences. Quant au parallélisme des formes, il s’agit du référendum populaire.<br />
<b>3.    De la théorie de l'accessoire qui suit le principal</b></div>
<div>
-    6. La DPE/MP rappelle enfin que la Constitution du 18 Février 2006 a comme accessoires 229 articles qui la composent. Ainsi, aucun article ne peut être au-dessus de la Constitution puisque la volonté est une expression libre de la personne morale ou physique de faire ou de ne pas faire. Les tiers concernés ou non concernés n’ont aucun droit d’aller à l’encontre de cette volonté exprimée par la personne principale à l’acte à poser ou posé.</div>
<div>
<br /></div>
<div>
-    7. La DPE/MP indique, à cet effet, que l’article 220 étant un accessoire, il n’échappe pas, par conséquent, au principe de droit qui stipule que l’accessoire suit le principal. De ce fait et en application de trois théories ou principes évoqués ci-haut, il convient de dire qu’il n’y a aucune raison profonde, il n’y a aucun obstacle et aucun blocage pouvant empêcher à un de ces quatre mandataires constitutionnels et légaux d’initier la révision de la Constitution de 2006.</div>
<div>
-    8. La DPE/MP rejette et condamne avec la dernière énergie les politiciens et les acteurs de la société civile qui s’agitent et s’opposent, sans titre ni droit, à l’idée de révision de la Constitution sur l’unique base de l’accessoire.</div>
<div>
-    9. La DPE/MP précise que la révision constitutionnelle n’est ni une infraction politique, ni une infraction de droit commun en République Démocratique du Congo et en vertu du principe du droit qui stipule que ce que la loi n’interdit pas, est permis. Or, dans le cas d’espèce, la Constitution elle-même autorise sa révision selon l’accessoire 218.</div>
<div>
-    10. La DPE/MP fait remarquer aux politiciens et à la société civile qu'ils n’ont pas eu mandat, à cet effet, de la part de la Constitution de dire quoique ce soit dans ce domaine précis.</div>
<div>
-    11. La DPE/MP exhorte les quatre mandataires de la Constitution, notamment la Président de la République, le Gouvernement de la République, le Parlement National et le Peuple Congolais, à soutenir toute initiative visant  à réviser la Constitution. Et, dans un avenir proche, la DPE/MP va proposer à la population une série de moutures de constitution qui devraient régir la République Démocratique du Congo.</div>
<div>
-    12. Enfin, de ce qui précède, la Dynamique des Partis Extraparlementaires de la Majorité Présidentielle demande avec patriotisme aux mandataires constitutionnels et légaux de demeurer unis et solidaires quant à la révision de la Constitution du 18 Février 2006.</div>
<div>
Que Dieu Tout-Puissant bénisse le Congo, son Président et son Peuple.<br />
Fait à Kinshasa, le 09 Avril 2014<br />
POUR LA DYNAMIQUE DES PARTIS EXTRAPARLEMENTAIRES<br />
DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE,<br />
-Le Président,<br />
BOSWA ISEKOMBE Sylvère<br />
Secrétaire Général du PCCO<br />
-Le Premier Vice-Président,<br />
KABASELE TSHIMANGA Crispin<br />
Président National de l'UDS<br />
-Le Deuxième Vice-Président,<br />
Me NAWEJ YAV Désiré<br />
Président National du PCDC<br />
-Le Porte-parole,<br />
BONIOMA ISELONGE Benjamin<br />
Président National du RCR<br />
-Le Secrétaire,<br />
OMOKUMBO MANGA Dieudonné<br />
Président National du RNR<br />
-Le Secrétaire Adjoint,<br />
Me ALELE NGILA Ruffin<br />
Secrétaire Général de la RCPD<br />
-Le Trésorier,<br />
Révérend KUYALA MULUDIKI Norbert<br />
Président National de l'APR<br />
-Le Trésorier Adjoint,<br />
Révérend KAWANGA LELE Israël<br />
Secrétaire Général du MSPS<br />
-La Conseillère,<br />
Prof. NKONGOLO MULUMBA Annie<br />
Présidente Nationale du PLDC<br />
-Le Président de la Commission d'Arbitrage,<br />
Prof. IKUPASA O’MOS Guy<br />
Président National d'AMEN<br />
- Le Premier Vice-président de la Commission d'Arbitrage,<br />
Prof. ONDJEMBE A. S. Albert<br />
Président National de l'UDRD<br />
- Le Deuxième Vice-président de la Commission d'Arbitrage,<br />
Me NGAMA PASTORA MWA LISONA<br />
Président National du COLO<br />
-Le Rapporteur,<br />
LOLO BAKONGA Martin<br />
Secrétaire Général d'AMO<span class="texte" style="color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span></div>
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Le direct
        
                <br />
<div class="art-blockcontent">
<div class="art-blockcontent-body">
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Politique Une pétition en chantier pour la révision : Constitution, la DPE/MP à la recherche de 100.000 signatures !

*Incontestablement engagée dans la mouvance de la révision constitutionnelle, la Dynamique des Partis Extraparlementaires de la Majorité Pr...

Un mort, quitte son cercueil et attaque le prêtre en pleine cérémonie funèbre !

April 10, 2014

<br />
<h3>
<span style="font-size: large;">Ça s’est passé lundi dernier (7 avril 2014) dans une église de Rome, un homme de 53 ans, au nom de Flavio M. victime d’une crise cardiaque et donné pour mort, s’est mis à bouger à l’intérieur de son cercueil devant les personnes qui assistaient aux funérailles, selon l’agence MAP,</span></h3>
<span style="font-size: large;"><br /></span>

<div>
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<div>
Il a donné, selon la même source, un violent coup au couvercle du cercueil pour en sortir et s’est attaqué au prêtre qui restait de marbre en voyant « le mort ressuscité » se ruer vers lui.</div>
<div>
<br />
L’agression a coûté au prêtre dix points de sutures au cou, alors que « le mort ressuscité », qui avait perdu conscience quelques instants après, a été transporté à l’hôpital. Ses jours ne sont pas en danger.</div>
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<br />
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Divers internationale Un mort, quitte son cercueil et attaque le prêtre en pleine cérémonie funèbre !

Ça s’est passé lundi dernier (7 avril 2014) dans une église de Rome, un homme de 53 ans, au nom de Flavio M. victime d’une crise cardiaq...

Shaka Kongo tres faché contre le site AVIS DU PUBLIC (vidéo)

April 10, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
Mort d'Evoloko D'ORFAZ BMW Pelisa Comme le disent très souvent les Kinois : Didier Masuki Asopi boule.<br />
<br />
En effet, mobali ya Mandefu ya Pembe propriétaire du site Avis du Public a cru tomber sur un scoop en venant démentir la mort d'Evoloko Atshuamo via ses collaborateurs certes dynamiques mais jeunes pour connaitre le passé de notre musique qui selon eux, avait été annoncée à la télévision par Shaka Kongo . Ils ont poussés l'idiotie jusqu'à aller au domicile de Nkumu Evoloko pour lui demander ses impressions dans le but à peine voilé de créer un buzz. Shaka Kongo n'a commis aucune faute, il a été clair dans ses propos. Il s'agissait d'un alias Evoloko, un musicien de l'orchestre ORFAZ des forces armées Zaïroise et Shaka Kongo dans son émission ( <a href="http://www.sangoyacongo.com/2014/04/cest-triste-evoloko-nest-plus-shaka.html">rétrouver cette vidéo en cliquant ici....</a>) proposa même au public des images d'archives. Shaka Kongo a déjà saisi ses avocats. Trop c'est trop et c'est à la justice de regler cette affaire afin que les chasseurs de Buzzs ne puissent plus nuire à la quiétudes des hônnetes gens mûs des bonnes intentions. Que cela serve de leçons aux apprentis journaliste de tout poil.<br />
<br />
Rédaction Sangoyacongo<br />
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Shaka Kongo tres faché contre le site AVIS DU PUBLIC (vidéo)

Mort d'Evoloko D'ORFAZ BMW Pelisa Comme le disent très souvent les Kinois : Didier Masuki Asopi boule. En effet, mobali ya Mande...

David Matadi Kibala parle du conflit de Werrason et son fils Ferre Gola et demande à Karmapa de respecter Koffi Olomide.( vidé

April 10, 2014

<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4a2XNwx1nLR7Y7L05f3KvA48-DUJIwJJUhobg8csKsEW_BW2yrHgo8QiMXohyqquUaCA1fLEEFm3zOcx7Tmwt1Hdnt3xe2n1AvGOxltRBK0JvtqLam_SDZswvs-fwHtYqPYEXx8q_EC7Q/s1600/Snapshot_1~2.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="217" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh4a2XNwx1nLR7Y7L05f3KvA48-DUJIwJJUhobg8csKsEW_BW2yrHgo8QiMXohyqquUaCA1fLEEFm3zOcx7Tmwt1Hdnt3xe2n1AvGOxltRBK0JvtqLam_SDZswvs-fwHtYqPYEXx8q_EC7Q/s1600/Snapshot_1~2.jpg" width="400" /></a></div>
<span style="font-size: large;"><a href="http://www.diaspordc.com/2014/04/video-david-matadi-kibala-parle-du.html">David Matadi Kibala parle du conflit de Werrason et son fils Ferre Gola et demande à Karmapa de respecter Koffi Olomide. </a>( vidéo)</span><script async="" src="//pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

<br />
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Au tour de Kinshasa Musique David Matadi Kibala parle du conflit de Werrason et son fils Ferre Gola et demande à Karmapa de respecter Koffi Olomide.( vidé

David Matadi Kibala parle du conflit de Werrason et son fils Ferre Gola et demande à Karmapa de respecter Koffi Olomide. ( vidéo) ...

CARTE SIM À 50 USD : DE L’INTOX ! (articles+vidéo)

April 10, 2014

<h3>
* Dans un communiqué officiel publié hier soir, le ministère des PT-NTIC dénonce une vaste campagne de désinformation des Congolais L’onde de choc du numérique n’épargne plus aucune région du monde. La planète Terre a basculé dans le tout numérique. L’économie mondiale de plus en plus numérisée est tirée par le numérique, nouveau moteur de la croissance.
</h3>
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<br />
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<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEixDRS2gwEsLCI5i8xCeqjFqz1eDqsWtBP4FiLlVdU9AG8p-aPasG-KV6pA5l5p2BxeixG49dzOKG0U7kxJc9UnkqNQOAA43EaDV2jWJ9jeAvS3yJszQcHa66xSRzQrHw8fNaHLgLVhrbVu/s1600/Kin-Key_Mulumba.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEixDRS2gwEsLCI5i8xCeqjFqz1eDqsWtBP4FiLlVdU9AG8p-aPasG-KV6pA5l5p2BxeixG49dzOKG0U7kxJc9UnkqNQOAA43EaDV2jWJ9jeAvS3yJszQcHa66xSRzQrHw8fNaHLgLVhrbVu/s1600/Kin-Key_Mulumba.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEixDRS2gwEsLCI5i8xCeqjFqz1eDqsWtBP4FiLlVdU9AG8p-aPasG-KV6pA5l5p2BxeixG49dzOKG0U7kxJc9UnkqNQOAA43EaDV2jWJ9jeAvS3yJszQcHa66xSRzQrHw8fNaHLgLVhrbVu/s1600/Kin-Key_Mulumba.jpg" width="400" /></a></div>
<h3>
</h3>
<br />
Des pays développés à ceux dits émergents, le credo est le même. Bonjour les Nouvelles technologies de l’Informations et de la communication (NTIC). Ce n’est pas par hasard que les plus grosses fortunes se recrutent parmi les cracks des NTIC. Ce le cas du milliardaire Bill Gates, créateur du Microsoft ou encore de Mark Zuckerberg, concepteur de facebook. Au ministère Rd Congolais des Postes, Télécommunication et Nouvelles technologies de l’Information et de la Communication, le primat des NTIC a été intégré dans toutes les réflexions. Le patron de ce secteur porteur de croissance, Kin Kiey Mulumba a, dès son installation avenue des Huileries, pris l’exacte mesure de l’enjeu. Résultat, le ministre des PT-NTIC est devenu un des ministères pourvoyeurs des recettes. D’un ministère quasi confidentiel, l’ex-département des PTT pèse de plus en plus lourd. La fonction créée l’organe c’est vrai. Mais il est aussi des hommes qui font l’organe. C’est le cas du titulaire actuel des PT-NTIC. Il a, en plus, fait de son cabinet un véritable think tank. Au fait, un cabinet ministériel et ses dépendants est d’abord une boîte à idées.<br />
<br />
Le prix de la carte Sim passe à 50 USD ! Voilà une vraie fausse information distillée à dessein dans l’opinion depuis quelques jours. Pourtant, ni le ministère des Postes, Télécommunications, Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (PT-NTIC) ni le Gouvernement de la République, n’a fixé un quelconque prix de la carte SIM. Mais, d’où vient que l’opinion soit intoxiquée au point de croire naïvement que le prix de la carte Sim était passé à 50 USD ? A y regarder de près, il s’agit juste d’une vaste campagne de désinformation des Congolais. C’est ce que dénonce le ministère des PT-NTIC à travers un communiqué officiel publié hier soir.<br />
Mais, y a-t-il de fumée sans feu ? C’est là qu’intervient la préoccupation du ministère des PT-NTIC qui, constatant l’acquisition de la carte SIM dans la rue et la vente au premier venu, sans pièce d’identité, a jugé bon de prendre le taureau par les cornes. Car, ce genre de pratique consacre un régime d’anarchie qui n’existe nulle part au monde où l’acquisition d’une carte SIM est strictement réglementée. <br />
Faut-il fermer les yeux ? C’est donc pour mettre fin à cette anarchie attentatoire à la sécurité publique et à la vie privée des Congolais par la pratique d’appels anonymes et le vagabondage des cartes SIM, alimentant la fraude sur les appels internationaux entrants par les Sim box, que le ministère des PTNTIC table sur la nécessité et l’urgence de mettre en place une réglementation.<br />
D’ailleurs, le travail d’un cabinet n’est pas de se limiter aux audiences du ministre, mais de réfléchir, de proposer des simulations, des scénarii pour permettre au pays d’aller de l’avant. Certaines de ces simulations finissent par se transformer en décisions, d’autres se limitent à enrichir les archives de la République. Si c’est ce qu’on reproche au cabinet des PT-NTIC, cela est vraiment regrettable. Il s’agit donc, pour le cas d’espèce, d’un dossier en étude à l’interne pour explorer les différentes pistes et non d’une décision comme les détracteurs du ministre Tryphon Kin-kiey Mulumba ont tenté de le faire passer dans l’opinion.<br />
« C’est dans ce sens que le Gouvernement de la République a ouvert ce chantier dans un secteur porteur de croissance par l’examen d’un projet portant sur une nouvelle fiscalité dans le secteur des télécoms », précise le communiqué adressé à « Forum des As ». C’est vraiment dommage qu’une campagne de presse, bien de chez nous, soit pu être déclenchée contre un projet, alors qu’aucune décision n’a été prise et ce, par aucune instance. Pourtant, aux PT-NTIC, on affirme disposer d’éléments objectifs tant sur le système d’acquisition d’une carte SIM dans le monde que sur ce qui est faisable ou pas en RD Congo.<br />
La même campagne, rappelle-t-on, avait été observée à Kinshasa avec le Point d’atterrage de la fibre optique WACS de Muanda, tout comme autour du haut débit voire le très haut débit. Tout comme les campagnes sur la technologie de 3G vendue dix fois plus, sur le point CD, sur le code 00243 où le trésor public s’en est tiré avec 12 millions de dollars en un an. Mais, précise-t-on encore, les PT-NTIC sont un service d’assiette et de recherche des moyens permettant à l’Etat congolais de mettre le cap sur l’émergence qui, seule, permettra de rendre le Congo, plus beau qu’avant.<br />
C’est dire que, comme pour les autres fois, la dernière tentative contre le ministère des PT-NTIC constitue également un coup d’épée dans l’eau. Heureusement que le ministre Tryphon Kin-kiey Mulumba, qui en a vu de verte et de pas mûr, est immunisé contre ce genre de coup fourré. Voilà qui pousse les observateurs à s’interroger sur la vraie démarche des détracteurs du ministre. M. M.<br />
<br />
COMMUNIQUE OFFICIEL}<br />
<br />
<br />
<br />
Le Ministère des Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication observe depuis quelques jours une vaste campagne de désinformation des Congolais avec comme point d’orgue le prix de la carte SIM. <br />
Le Ministère des Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication informe les Congolaises et les Congolais que ni le Ministère des PTNTIC, ni le Gouvernement de la République, n’ont fixé un quelconque prix de la carte SIM.<br />
Par conséquent, le Ministère des PTNTIC oppose un démenti cinglant à ces informations de mauvais goût.<br />
Le Ministère des Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication constate que l’acquisition de la carte SIM dans la rue et la vente au premier venu, sans pièce d’identité, consacre un régime d’anarchie qui n’existe nulle part dans aucun pays au monde où l’acquisition d’une carte SIM est strictement réglementée.<br />
Afin de mettre fin à cette anarchie attentatoire à la sécurité publique et à la vie privée des Congolais et des Congolaises par la pratique d’appels anonymes et le vagabondage des cartes SIM, alimentant la fraude sur les appels internationaux entrants par les Sim box, le Ministère des PTNTIC est convaincu de la nécessité et de l’urgence de mettre en place une réglementation. <br />
C’est dans ce sens que le Gouvernement de la République a ouvert ce chantier dans un secteur porteur de croissance par l’examen d’un projet portant sur une nouvelle fiscalité dans le secteur des télécommunications.<br />
Il est étonnant qu’une campagne de presse ait pu être menée contre un projet sur lequel aucune décision n’a été prise par aucune instance alors que le Ministère des Postes, Télécommunications et NTIC dispose d’éléments objectifs, aussi bien sur le système d’acquisition d’une carte SIM à travers le monde que sur ce qui est faisable ou pas dans notre pays.<br />
La même campagne avait déjà chahuté le Point d’atterrage de la fibre optique WACS de Muanda, tout comme le haut débit voire le très haut débit dans la capitale. On rappelle aussi bien les campagnes sur la technologie de 3G qui aurait pu être vendue, semble-t-il, dix fois plus, sur le point CD, ou sur le code 00243 dont la maîtrise a généré 12 millions de dollars en un an au Trésor public. <br />
Le Ministère des Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication, dans son rôle de service d’assiette, recherche, sans désemparer, les moyens permettant à l’Etat congolais de mettre le cap sur l’émergence qui seule, permettra de rendre le Congo, plus beau qu’avant.<br />
<br />
Fait à Kinshasa le 09 avril 2014<br />
La cellule de Communication <br />
du Ministère des PTNTIC}

Economie la Nation CARTE SIM À 50 USD : DE L’INTOX ! (articles+vidéo)

* Dans un communiqué officiel publié hier soir, le ministère des PT-NTIC dénonce une vaste campagne de désinformation des Congolais L’onde ...

Situation sécuritaire à l’Est du pays : déserteurs Mai-Mai Yakutumba sous les tirs des Fardc

April 10, 2014

<br />
<h3>
<span style="font-size: large;">C’est ce qui ressort du point de presse hebdomadaire de la Monusco, tenue hier 9 avril 2014 à Kinshasa, sur la situation militaire à l’Est du pays. </span></h3>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<div>
En effet, selon la Monusco, les éléments des Forces armées de la République démocratique   ont plutôt ouvert le feu sur un groupe d’hommes appartenant  aux Mai-Mai Yakutumba  au Sud-Kivu qui  tentaient de fuir le centre d’hébergement où ils sont casernés en attendant la suite du programme de démobilisation. </div>
<div>
<br /></div>
<div>
 Et en dépit de cet incident dont  certains ont redouté son impact négatif sur le processus actuel de désarmement volontaire et redition, le Porte-parole militaire de la Monusco  a rassuré l’opinion, affirmant que ce  qui a eu lieu dernièrement  dans cette partie du pays n’influençait en rien la dynamique actuelle d’intégration et de la redition volontaire de éléments de ce groupe rebelle qui ont exprimé le vœu de rejoindre  le processus de paix. </div>
<div>
<br /></div>
<div>
 Ainsi, le processus continue son chemin normalement. Pour preuve, les opérations de sensibilisation continuent normalement afin de convaincre ses compatriotes à opter pour la paix plutôt  que de rester en forêt pour faire la guerre.<br />
<br />
Toujours dans le même chapitre, le porte-parole de la Monusco, le colonel Philippe a par contre indiqué que la situation restait très volatile au Nord-Kivu du fait de la poursuite des opérations militaires conjointes « sukola 1 » et « Sukola 2 » que mènent les Fardc appuyées par les forces  onusiennes  dans le territoire de Beni et de Masisi contre les rebelles de l’Alliance des Forces démocratiques (ADF/ Nalu) et les miliciens de l’Alliance de patriotes pour un Congo libre et souverain, Apcls.<br />
<br />
C’est dans ce climat explosif  que la Monusco a déploré l’attaque, le 3 avril dernier  au nord de la ville de Beni, où deux individus roulant à moto ont jeté une   grenade  vers une patrouille  conjointe  des éléments de Fardc et ceux de  la Police nationale, faisant   six blessés parmi lesquels trois soldats Fardc, deux éléments de la Pnc et un motocycliste. La Monusco a aussi annoncé l’attaque le 6 avril  des positions des Fardc situées au Mont- Sinaï par les éléments de l’Apcls à l’arme lourde et à la roquette, ce qui a provoqué une contre-offensive  musclée des Fardc qui ont repoussé ces forces négatives  vers le Maniema  en reprenant le contrôle total de ses positions convoitées.<br />
<br />
Quant au  général Abdallah Wafi, patron des opérations de la police de la Monusco  qui intervenait dans la ville de Goma au Nord-Kivu,  il a fait savoir que la Monusco dans le cadre de la restructuration de sa mission  en Rd Congo,  était engagé aux côtés  des autorités politiques et administratives congolaises,  soit pour renforcer l’autorité de l’Etat où elle existait déjà, soit pour la restaurer où elle n’existait  pas afin que les populations dans les zones récemment  libérées puissent tirer toutes les dividendes de la paix retrouvée pour mieux s’engager dans le développement de leurs contrées. </div>
<div>
<br /></div>
<div>
 Car, a-t-il signifié, les opérations militaires seules ne suffisent pas, il faut à côté de ses opérations armées développer d’autres types de  stratégies avant, pendant et après ces opérations à travers plusieurs projets sociaux tels que la réinsertion sociale, réhabilitation des routes de desserte agricole et tous les autres projet de  nature à permettre aux gens de se réaliser.<br />
<br />
S’agissant de l’impact de la situation militaire qui prévaut à Bangui  dans les pays voisins, Abou Moussa,  représentant spécial du Secrétaire général de l’Onu effectue depuis hier, mercredi 9 avril et jeudi 10 avril  une mission en République du Congo et du 11 au 15 avril en RDC.  Cette mission a pour raison de s’enquérir auprès des gouvernements concernés de la situation    de milliers de  réfugiés centrafricains et des migrants qui ont trouvé refuge dans ces pays et ceux de la sous-région.<br />
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<b>La fiabilisation du fichier électoral se poursuit</b><br />
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En prévision de prochaines élections qui seront organisées  en 2016, on a aussi appris à travers une note d’information que les opérations de fiabilisation du fichier électoral et de sa stabilisation de  se poursuivaient normalement dans les vingt antennes de  la Ceni.  Notamment,  dans la province du Bandundu  et dans la localité de Befale dans la province de l’Equateur. </div>
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Dans la province du Bandundu, ces opérations ses poursuivent à PopoKabaka, Bandundu Ville, kikwit Ville, Bolobo, Kutu, Kwamouth, Yumbi, Feshi.  Par contre dans les autres provinces, l’opération de fiabilisation du fichier électoral et de la stabilisation des cartographies opérationnelles ont été effectuées  entre le  29 mars et le 7 avril  2014 et en attendant de collecter toutes les données sur toutes les antennes du pays, 4193 préposés, 531 formateurs et 180 informaticiens ont été identifiés à travers les dix provinces, renseigne ce document.<br />
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<b>                                                                         Philippe Vumpi, Joëlle Kombe (Stg/Upn)<br />et  VAN</b></div>
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