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RDC : L'avocat du DG de la RVA sollicite l'implication "personnelle" de Tshisekedi pour que la "vraie justice" soit rendue en appel

March 13, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhcffHrUoigsnS4NgvxMC3zEhhCBwA7WcxFQuhR-dhvY6HKeR4WHy-ShHnhtMhH5QIv9FJKbuIYJBHcsyCUTXcMjWdWQKxYHqM0m4I7vG0iZ7ahF7j2QDSuuqKC5pReAl68jHCOnEwhaA/s1024/image1024x768+%25281%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="666" data-original-width="1024" height="416" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhcffHrUoigsnS4NgvxMC3zEhhCBwA7WcxFQuhR-dhvY6HKeR4WHy-ShHnhtMhH5QIv9FJKbuIYJBHcsyCUTXcMjWdWQKxYHqM0m4I7vG0iZ7ahF7j2QDSuuqKC5pReAl68jHCOnEwhaA/w640-h416/image1024x768+%25281%2529.jpg" width="640" /></a></div> Maître Josué Mpele Lohombo, avocat du directeur général de la Régie des Voies Aériennes (RVA), Abdallah Bilenge, sollicite l'implication "personnelle" du président Félix Tshisekedi pour que la Cour de cassation qui va siéger, lundi prochain, en chambre d'appel dans l'affaire de son client, puisse rendre la "vraie justice" et ainsi, laver l'image de l'État de droit de la République démocratique du Congo.  "(...) nous sollicitons l'implication personnelle du magistrat suprême qui est le chef de l'État pour que la Cour de cassation qui doit siéger ce lundi 15 mars 2021 comme chambre d'appel rende la vraie justice et redore l'image ternie de l'État de droit", indique-t-il dans une note dénommée "scandale judiciaire à la RVA" parvenue à 7SUR7.CD ce samedi.
 
 
 
 
 
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Par ailleurs, le conseil du DG Abdallah Bilenge rappelle que son client a été condamné par la Cour d'appel de Kinshasa-Gombe "sous prétexte que ce dernier en lieu et place de payer des cotisations sociales, a plutôt privilégié le paiement des agents et cadres de la RVA entre la période allant de 2016 à 2020. "Ce qui est étonnant dans cette affaire, c'est le fait que la Cour d'appel, sachant que la Trésorerie de la RVA est incapable de payer les salaires et les cotisations sociales, soutient qu'il fallait prioriser les droits sociaux (Impôt professionnel sur les revenus, Caisse nationale de sécurité sociale, Office national de l'Emploi et Institut national de préparation professionnelle) en sacrifiant les salaires des fonctionnaires", déclare-t-il. À l'en croire, depuis que le DG Abdallah est en prison, il y a aujourd'hui 5 mois, son adjoint n'arrive pas à payer ni les salaires encore moins les droits sociaux (IPR, CNSS, ONEM et INPP) "sans inquiétudes et pourtant cela provoque la grogne sociale".
 
 
 
 
 
 
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 Le DG de la RVA, Abdallah Bilenge, a été condamné, au mois de janvier de l'année en cours, à 20 ans de prison pour détournement des droits dus à l'IPR, la CNSS,  l'ONEM et l'INPP. Il est incarcéré à la prison de Makala (centre pénitentiaire de Kinshasa) depuis le mois de novembre 2020.

Politique RDC : L'avocat du DG de la RVA sollicite l'implication "personnelle" de Tshisekedi pour que la "vraie justice" soit rendue en appel

Maître Josué Mpele Lohombo, avocat du directeur général de la Régie des Voies Aériennes (RVA), Abdallah Bilenge, sollicite l'implication...

PASTEUR GUILLY SUR L ' AFFAIRE KALEV MUTOMB, DEMISSION DE MATATA PONYO ET LES ELECTIONS EN 2023 ? FELIX TSHISEKEDI AKO SALA NDE RECENSEMENT ELECTION EZA TE ! ( VIDEO )

March 13, 2021

PASTEUR GUILLY SUR L ' AFFAIRE KALEV MUTOMB, DEMISSION DE MATATA PONYO ET LES ELECTIONS EN 2023 ? FELIX TSHISEKEDI AKO SALA NDE RECENSEMENT ELECTION EZA TE ! ( VIDEO )

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RDC: Vaccin AstraZeneca, une question orale adressée au Ministre de la Santé publique Eteni Longondo

March 13, 2021

A 3 jours du début annoncé de la campagne de vaccination contre la Covid-19 et la rentrée parlementaire, le député national Bertin Mubonzi, président interfédéral des jeunes de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC) à Kinshasa, a ce vendredi 12 mars, adressé une question orale au Ministre de la Santé publique Eteni Longondo. Cette initiative parlementaire tend à obtenir d’amples explications sur le vaccin AstraZeneca, qui  présentait des complications dans certains pays de l’Union européenne. Cet élu demande ainsi au gouvernement congolais, de mener les enquêtes sur le vaccin avant d’être administré à la population .
 
 
 
 
 
 
 
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 “Les questions qui vous reviennent avant cette vaccination, est-ce que les épidémiologiste ont donné un avis favorable sur ce vaccin? Est-ce que nous avons la garantie que le vaccin est vraiment de bonne qualité? Je crois que ce sont des questions pour lesquelles le ministre peut nous rassurer. Pour que nous puissions tous, nous faire vacciner”, a-t-il dit.

Santé RDC: Vaccin AstraZeneca, une question orale adressée au Ministre de la Santé publique Eteni Longondo

A 3 jours du début annoncé de la campagne de vaccination contre la Covid-19 et la rentrée parlementaire, le député national Bertin Mubonzi, ...

RDC : Kalev en cavale ?

March 13, 2021

L’ancien homme fort du régime Kabila et ancien Administrateur de la très redoutée Agence Nationale de Renseignements (ANR), Kalev Mutond, est désormais dans des sales draps, deux ans seulement après l’avènement de Félix Tshisekedi au Palais de la Nation. Kalev Mutond est dans l’œil du cyclone de la justice congolaise. Plusieurs plaintes sont déposées au Parquet général de Kinshasa-Gombe contre celui que d’aucuns croyaient être invincible il y a seulement quelques mois encore, pour notamment « tortures, arrestations arbitraires et tentatives d’assassinat ». Hier puissant patron des renseignements congolais, ce pilier du système Kabila est aujourd’hui noyé dans des démêlées judiciaires, ce que lui-même et ses avocats qualifient « de manipulation politico-tribalo-judiciaire hyper médiatisée ». <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgRpckU0wWmyE-bGfD5MhnxFJ7E5AP1iDi6rMwkL1RTLPodzrOI8ucKKWWJUjL6rbKdIf_Xb0WTRkdt-TCIpMdWiVwv4kTthI7F5d8Ffmm4bmGpldiQhZNCAJU5ySyp3Nf4KbdVDlpM8g/s840/kalev-1+%25281%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="559" data-original-width="840" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgRpckU0wWmyE-bGfD5MhnxFJ7E5AP1iDi6rMwkL1RTLPodzrOI8ucKKWWJUjL6rbKdIf_Xb0WTRkdt-TCIpMdWiVwv4kTthI7F5d8Ffmm4bmGpldiQhZNCAJU5ySyp3Nf4KbdVDlpM8g/w640-h426/kalev-1+%25281%2529.jpg" width="640" /></a></div>  Ancien membre de l’Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Congo (AFDL), le mouvement de rébellion de Laurent-Désiré Kabila, Kalev Mutond est resté pendant de longues années dans le cercle très restreint du Président honoraire Joseph Kabila. Depuis 4 ans, il est placé sous sanctions par les Etats-Unis et la Belgique pour entrave au processus électoral et violations des droits humains. Soupçonné d’entretenir des liens avec d’anciens rebelles du M23 et de vouloir déstabiliser les institutions, Kalev Mutond fait l’objet d’une interdiction de sortie du territoire et avait été interpellé le 12 février 2020 par la Direction générale de migration (DGM) à l’aéroport de N’djili à Kinshasa. Avalanche de plaintes
 
 
 
 
 
 
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 Plusieurs personnalités politiques ont déposé chacune une plainte contre l’ancien « superflic ». Un revirement spectaculaire qui n’était encore qu’un rêve hier. Pas moins de 10 plaintes attendent Kalev Mutond. Parmi ses principaux plaignants, il y a notamment Joseph Kapepula, Christopher Ngoy, l’ancien Bâtonnier Jean-Claude Muyambo, le Député Gecoco Mulumba, Francis Kalombo un ancien proche de Kabila, Vano Kiboko et Jean-Claude Katende des droits de l’homme. Motif avancé : « arrestation arbitraires, tortures physiques et morales, traitements inhumains et dégradants et tentatives d’assassinat ». Après les plaintes, place aux invitations de la justice. D’abord une convocation, puis un mandat de comparution avec obligation de se présenter. Kalev Mutond joue aux abonnés absents. Il ne répond pas à la convocation ni au mandat de comparution lui envoyés par le Parquet général de Kinshasa/Gombe. Si pour l’ancien Bâtonnier Jean-Claude Muyambo, Kalev Mutond « nargue » la Justice, car pour lui-même il faut un autre magistrat instructeur pour les dossiers qui le concerne. Kalev Mutond qui jurait ne devoir rendre des comptes qu’à Félix Tshisekedi pour des faits lui reprochés alors qu’il était à la tête de l’ANR, s’apprêterait, apprend-on, à collaborer désormais avec la Justice. Des policiers fantômes Le matin du jeudi 11 mars, Kalev Mutond annonce que sa résidence est « encerclée par des policiers lourdement armés ». Cette annonce, Kalev la fait après avoir refusé de répondre au mandat de comparution lui adressé, bien que le Procureur ait prévenu qu’il allait user de ses pouvoirs en cas d’absence de Kalev à l’invitation. Selon l’ex superflic, il y avait « trois jeeps des policiers » autour de sa résidence. La nuit. Kalev Mutond reste la seule personne à avoir vu ces policiers. Ses voisins disent n’avoir rien constaté de la présence des policiers autour de sa résidence. Des témoins interrogés par POLITICO.CD disent n’avoir pas non plus vu des policiers dans la résidence de l’ancien patron de l’ANR. Des journalistes de Radio Okapi ont également circulé autour de la résidence de Kalev le même jour et disent n’avoir vu aucun policier. Ces policiers « fantômes » seraient alors en train de hanter les nuits de cet ancien dignitaire du régime de Kabila.
 
 
 
 
 
 
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 Kalev en cavale ? Depuis le début de ses nuits hantées, l’homme est introuvable. Tout le monde le cherche. Même les marabouts. “Veuillez rechercher activement le nommé Kalev Mutondo, administrateur général honoraire de l’Agence nationale des renseignements (ANR)”, a écrit le Procureur général Bonheur Luntaka Madi. Le parquet général de la Cour d’appel de Kinshasa/Gombe vient de lancer, le même 11 mars, un avis de recherche à l’encontre de l’ancien patron des renseignements de la RDC. Selon le magazine Jeune Afrique, Kalev Mutond s’est rendu « discrètement » dans la soirée du 11 mars chez Kitenge Yezu, Haut représentant du Président Félix Tshisekedi. Le but de cette visite est de solliciter « l’aide » de l’homme fort de l’actuel régime, à « plaider sa cause » auprès du Président de la République. Accompagné d’Adolphe Lumanu, « leur hôte n’a pas été réceptif à leur démarche et a demandé à Kalev Mutond de coopérer avec la justice. Le Chef de l’Etat a été tenu informé de cette rencontre », lit-on sur Jeune Afrique. Kalev reste en cavale. Politico.cd

Justice Politique RDC : Kalev en cavale ?

L’ancien homme fort du régime Kabila et ancien Administrateur de la très redoutée Agence Nationale de Renseignements (ANR), Kalev Mutond, es...

La Banque mondiale lève sa suspension de soutenir la gratuité de l’enseignement primaire en RDC

March 13, 2021

Après avoir annoncé la suspension de son soutien à la gratuité de l’enseignement primaire en République démocratique du Congo, la Banque mondiale a annoncé vendredi 12 mars renouveler son engagement à soutenir cette vision du Président Félix Tshisekedi. C’est au cours d’un entretien en visioconférence que le vice président de cette institution pour l’Afrique de l’Est et Australe, M. Hafez Ghanem a informé au Président congolais.
 
 
 
 
 
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 La banque mondiale avait prévu un premier versement de 100 millions USD en décembre 2020 en faveur du ministère de l’enseignement primaire secondaire et technique. Ce décaissement n’a pas été fait après les révélations de l’inspection générale des finances (IGF) sur des manquements notamment des cas de fraude et de détournements de fonds publics.

Politique La Banque mondiale lève sa suspension de soutenir la gratuité de l’enseignement primaire en RDC

Après avoir annoncé la suspension de son soutien à la gratuité de l’enseignement primaire en République démocratique du Congo, la Banque mon...

RDC: Bahati informe au chef de l’État de la situation des dettes de l’ordre de 14 millions USD dans les comptes du Sénat

March 13, 2021

Le Président de la République, Félix- Antoine Tshisekedi Tshilombo a accordé une audience, le vendredi à la Cité de l’Union africaine, à Modeste Bahati Lukwebo, Président du bureau du Sénat. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhG4lPDTCfpadCJA5ktzftz584tr31SkI1kHpfWFTNJJ20dn7p_gUkIZxIuWQu7eWq9-08NVq1Dr07dlQKXqnCerKlf3HhabXxuEgykh9ksb5EZMVR0UDuZ_jg0Q_Q4BZV4TGII-vlpqg/s640/bahati_lukwebo_21_0888_jpg_640_350_1+%25281%2529.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="640" height="350" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhG4lPDTCfpadCJA5ktzftz584tr31SkI1kHpfWFTNJJ20dn7p_gUkIZxIuWQu7eWq9-08NVq1Dr07dlQKXqnCerKlf3HhabXxuEgykh9ksb5EZMVR0UDuZ_jg0Q_Q4BZV4TGII-vlpqg/w640-h350/bahati_lukwebo_21_0888_jpg_640_350_1+%25281%2529.jpeg" width="640" /></a></div> À cette occasion, les questions relatives à la prochaine rentrée parlementaire et à la situation financière du Sénat ont été passées en revue. La chambre haute du Parlement est dans une mauvaise posture a révélé l’hôte du Président de la République au sujet des finances de cette institution.
 
 
 
 
 
 
 
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 14 millions USD de dettes laissées par le bureau précédent, à en croire Bahati Lukwebo. Qu’à cela ne tienne, la nouvelle équipe dirigeante du Sénat doit continuer à assumer le bon fonctionnement de la prestigieuse institution mais aussi tenter d’éponger le passif, notamment les différentes dettes envers des tiers, à savoir des découverts bancaires, de même que des dettes envers les sénateurs, des jetons de présence et des frais de mission et autres dus aux fournisseurs. Par ailleurs, le Président du Sénat a sollicité auprès du chef de l’État une audience en faveur du nouveau bureau qu’il dirige ainsi que les sénateurs membres de l’Union sacrée de la Nation.
 
 
 
 
 
 
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 À noter que c’est la première audience que le Président de la République accorde à Bahati Lukwebo depuis son élection comme Président du Sénat.

Politique RDC: Bahati informe au chef de l’État de la situation des dettes de l’ordre de 14 millions USD dans les comptes du Sénat

Le Président de la République, Félix- Antoine Tshisekedi Tshilombo a accordé une audience, le vendredi à la Cité de l’Union africaine, à Mod...

Démission Matata Ponyo: le PPRD parle d'une diversion

March 13, 2021

Quelques heures après l’annonce de la démission de Matata Ponyo, la réaction du Parti du peuple pour la Reconstruction et la démocratie (PPRD) a été tranchante. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEitCj7Ue0Gtd2Dso5aySyDcmf6kmDCcn99BuiNQlpWkkaiXMYLaYDncGQJZ0dyY2HvWXajMpfBne3TcF8dx8C5FU69xkXFwoTCFjJulPvAwBghYufwtrYfnrocSNkrwbSWcykvZNeugjg/s1024/Matata4-1024x563.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="563" data-original-width="1024" height="352" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEitCj7Ue0Gtd2Dso5aySyDcmf6kmDCcn99BuiNQlpWkkaiXMYLaYDncGQJZ0dyY2HvWXajMpfBne3TcF8dx8C5FU69xkXFwoTCFjJulPvAwBghYufwtrYfnrocSNkrwbSWcykvZNeugjg/w640-h352/Matata4-1024x563.jpg" width="640" /></a></div> Avec un ton polémiste et des mots fâcheux, le secrétaire général adjoint de l’ancien parti présidentiel, Ferdinand Kambere a expliqué que « Augustin Matata n’a jamais participé à aucune réunion statutaire du PPRD ».
 
 
 
 
 
 
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 De ce fait, poursuit-il, “ une démission sans respecter la procédure est non seulement une diversion mais aussi un non événement ». Sur Twitter, le PPRD estime que la démission de Matata Ponyo est un non événement d’autant plus qu’il ne faisait plus partie du parti après son départ du gouvernement en 2018. «Le PPRD informe l’opinion que le sénateur A. Matata Ponyo avait quitté le parti depuis décembre 2018 après son départ du gouvernement. Il a créé son propre parti, ATIC, et a aligné des candidats sur l’ensemble du pays pour ne récolter que 3 députés, malgré les moyens financiers mis en jeu», s’enflamme la direction politique du parti de Joseph Kabila.
 
 
 
 
 
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 Rien ne semble aller au sein du parti du président honoraire. Le PPRD vacille avec de départs en cascade. En plus de la démission annoncée ce vendredi 12 mars de l’un de ténors, Augustin Matata Ponyo, il convient aussi de signaler que le torchon brûle entre le secrétaire permanent Ramazani Shadari et la Ligue de jeunes du parti.

Politique Démission Matata Ponyo: le PPRD parle d'une diversion

Quelques heures après l’annonce de la démission de Matata Ponyo, la réaction du Parti du peuple pour la Reconstruction et la démocratie (PPR...

Sénat : "Médecins de nuit" choisi pour la prise en charge médicale des sénateurs

March 13, 2021

Le bureau Bahati veut marquer d’une pierre blanche, son mandat à la tête du Sénat. En moins d’un mois d’existence, le leader de l’AFDC-A vient de déclencher le processus des réformes de la Chambre. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvkozqdFZ1WbVNuvqsAhyhtLxNnOiBYZt2ORpV8yMnwBrabSxFuX9wLmylyBSwv-zJJqY6PsKZ0yL_jL9DihdCLGfQ5xQSZfYi3C8kUjPiXojY-tp1RYTmhPo5FLmodvzoDc0yvELRsw/s999/PSX_20210312_194011-1.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="333" data-original-width="999" height="425" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvkozqdFZ1WbVNuvqsAhyhtLxNnOiBYZt2ORpV8yMnwBrabSxFuX9wLmylyBSwv-zJJqY6PsKZ0yL_jL9DihdCLGfQ5xQSZfYi3C8kUjPiXojY-tp1RYTmhPo5FLmodvzoDc0yvELRsw/w640-h425/PSX_20210312_194011-1.jpg" width="640" /></a></div> Pour la première étape, l’accent est mis sur la santé. D’ores et déjà, les sénateurs, les membres de famille à leurs charges et le personnel des cabinets politiques seront soignés au centre hospitalier Médecins de nuit (SOS), situé sur l’avenue Province n° 4747, dans la commune de la Gombe.
 
 
 
 
 
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 Dans un communiqué parvenu à Ouraganfm.cd, la questeur adjointe du Sénat, Ida Kidima a donné toutes dispositions provisoires relatives à cette prise en charge médicale. « Le personnel administratif du secrétariat général du Sénat et les membres de famille à leurs charges seront soignés au centre hospitalier Clinique des Anges, situé sur l’avenue Mushi derrière le Palais du Peuple et au n° 5153 de l’avenue Route de Matadi dans la commune de Ngaliema », indique-t-on dans le communiqué.
 
 
 
 
 
 
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 <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjqOE1aNqCe_3PDfx_cndhXyBC4gh8tYXC54madiZCVGDxWYB6wQ8qm9m-eS5FRTEgFCahmjhsopbkIeEMxy4Z9tWbcOO4xFrReGeN5BS9L0b1WmyW4VRSde51qr0f6f2_0EnxnTvmZCA/s1080/PSX_20210312_193111-1.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1080" data-original-width="927" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjqOE1aNqCe_3PDfx_cndhXyBC4gh8tYXC54madiZCVGDxWYB6wQ8qm9m-eS5FRTEgFCahmjhsopbkIeEMxy4Z9tWbcOO4xFrReGeN5BS9L0b1WmyW4VRSde51qr0f6f2_0EnxnTvmZCA/w550-h640/PSX_20210312_193111-1.jpg" width="550" /></a></div> A en croire la même source, l’accès auprès des centres hospitaliers indiqués, se fera seulement sur présentation d’un bon d’envoi délivré par la questeur adjointe, Ida Kidima. Par cet acte, Modeste Bahati et ses collaborateurs viennent de donner les premiers signaux de leur gestion transparente pour l’intérêt des représentants des provinces et du personnel administratif, a témoigné un sénateur. Ainsi, souhaite-t-il, tout au long de la session de mars que le bureau va certainement s’atteler sur d’autres réformes dans différents domaines en vue d’améliorer les conditions de vie des parlementaires.
 
 
 
 
 
 
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 Il faut rappeler qu’avant l’arrivée du bureau Bahati, les sénateurs et personnel administratif bénéficiaient des soins médicaux à l’hôpital du Cinquantenaire, à la Clinique Ngaliema et au CMK.

Santé Société Sénat : "Médecins de nuit" choisi pour la prise en charge médicale des sénateurs

Le bureau Bahati veut marquer d’une pierre blanche, son mandat à la tête du Sénat. En moins d’un mois d’existence, le leader de l’AFDC-A vi...

Kinshasa : Les agents de la fonction publique exigent « l’augmentation du salaire » des huissiers

March 13, 2021

Les agents de la fonction publique sont descendus dans la rue ce vendredi 12 mars devant le Palais de la Nation à Kinshasa pour exiger  l’augmentation du salaire des huissiers . <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimpkAqUCuBkhQ1A4tWoq35OsqylN4ZmQ6Ef4iA9H1EGG-s3ZKqnEOEPYYrSGCi_STGzWaLvACiMAHoWxYvO47EWYCHFlUAZ3ck5wwY4165dGfyuN_K3k6mAzfunQ0sV1WnRGmhmF4PQA/s800/fonction_publique.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="480" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimpkAqUCuBkhQ1A4tWoq35OsqylN4ZmQ6Ef4iA9H1EGG-s3ZKqnEOEPYYrSGCi_STGzWaLvACiMAHoWxYvO47EWYCHFlUAZ3ck5wwY4165dGfyuN_K3k6mAzfunQ0sV1WnRGmhmF4PQA/w640-h480/fonction_publique.jpg" width="640" /></a></div> L’intersyndicale Nationale de l’Administration Publique (INAP) appelle le gouvernement congolais au respect des accords de Bibwa signés en 2016.   « Depuis 2016, ils ont signé un accord avec nous selon lequel un huissier doit toucher 200 dollars américains le mois. Mais jusque là, le huissier ne touche que 95 dollars, ce qui ne représente absolument rien »  , a expliqué Freddy Luwawa, Vice-président de l’INAP.
 
 
 
 
 
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 Par la même occasion, ces vaillants agents de la fonction publique réclament la réduction de l’Impôt Professionnel sur le Revenu (IPR) qui s’élève à 15% sur leurs salaires mensuels.  « C’est sur base de quel accord ? dit-il,  Aujourd’hui on nous coupe les 15% sur un maigre salaire. Pourquoi ? » , s’interroge la même source. Cependant, ces agents revendiquent aussi le respect du cadre organique de l’Administration Publique tel que reconnu par l’ancien patron de la fonction publique, Michel Bongongo.
 
 
 
 
 
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 « Les arrêtés de régularisation signés par Michel Bongongo n’ont jamais été appliqués »  , a-t-il conclu. Ces agents de la fonction publique promettent d’autres actions de grande envergure pour faire entendre leur voix.

Société Kinshasa : Les agents de la fonction publique exigent « l’augmentation du salaire » des huissiers

Les agents de la fonction publique sont descendus dans la rue ce vendredi 12 mars devant le Palais de la Nation à Kinshasa pour exiger l’au...

Élections 2023 : Jean-Pierre Lisanga Bonganga met en garde contre « toute dérive »

March 13, 2021

La DYSOC de Jean-Pierre Lisanga Bonganga condamne avec fermeté les attaques cinglantes contre les prélats catholiques après s’être prononcés sur la question relative à l’organisation des élections en 2023. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQkJ-_fZmF5l-r4FWXTOTgRmT4t6-3ECiMJOPzRaORTVk_NYWfHCeleHDMIskY9rSQnIsO8UIKxThyphenhyphen3OdV7cD-X-bQbkDwj1WiLbiBTQlsHHwvW5BT0BuhgdpTYNNU_PhvQKj88Z3NAg/s640/lisanga_bonganga_jean_pierre_20_02_jpg_640_350_1+%25283%2529.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="640" height="350" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgQkJ-_fZmF5l-r4FWXTOTgRmT4t6-3ECiMJOPzRaORTVk_NYWfHCeleHDMIskY9rSQnIsO8UIKxThyphenhyphen3OdV7cD-X-bQbkDwj1WiLbiBTQlsHHwvW5BT0BuhgdpTYNNU_PhvQKj88Z3NAg/w640-h350/lisanga_bonganga_jean_pierre_20_02_jpg_640_350_1+%25283%2529.jpeg" width="640" /></a></div> « C’est pourquoi la DYSOC met en garde quiconque menacerait les princes des confessions religieuses qui se sont prononcés sur la question relative à l’organisation des élections en 2023. La DYSOC rappelle en même temps qu’il nous reste 1.022 jours à la tenue des prochaines élections présidentielles et législatives. De ce fait, elle invite vivement le peuple congolais à y veiller en tenant compte des dernières informations fournies par le président de la CENI sur l’organisation du quatrième cycle électoral en 2023 ».
 
 
 
 
 
 
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 La DYSCO qui soutient le combat de la vérité des Urnes de Martin Fayulu s’oppose fermement à « l’idée malveillante de l’organisation du recensement comme préalable à la tenue des élections et n’acceptera aucun glissement quant à ce », a indique son Coordonnateur dans un communiqué dont copie est exploitée par 24H.CD. A titre de rappel , la question relative à l’organisation des élections en 2023 a été soulevée par la CENCO dans son rappel citoyen qui lui a malheurs valu les répliques de tout acabit.
 
 
 
 
 
 
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 L’église catholique aurait vu l’idée de dernière la tête du pouvoir en place de glisser ,ce qui passe par le recensement soumis comme préalable par l’UDPS de Kabund et Kabuya avant toutes élections en 2023.

Politique Élections 2023 : Jean-Pierre Lisanga Bonganga met en garde contre « toute dérive »

La DYSOC de Jean-Pierre Lisanga Bonganga condamne avec fermeté les attaques cinglantes contre les prélats catholiques après s’être prononcés...

Gouvernement : Sama Lukonde face aux « Chucky » politiques (édito)

March 13, 2021

Renouvellement de la classe politique! La phrase est sur toutes les lèvres dans tous les carrefours de l’agora politique congolais à l’aube du dévoilement de la composition du Gouvernement Sama Lukonde. Certes, le renouveau est une bonne chose mais avec qui? Car, s’il s’avère évident pour plusieurs qu’il faudra que le Premier Ministre Sama Lukonde constitue une équipe exempte des figures « avant hier Mobustistes, hier Kabilistes puis aujourd’hui Tshisekedistes », il n’en demeure pas moins évident que l’actuel locataire de la Primature est, dans ce challenge du renouvellement, face à des « Chucky  » politiques. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiYxORAepOybF98ZJh9eIGUJx9xA6HeFVxK7jNlySqLrVr8CmqE95QyGN4vmsw1yv5UtMCOxbO9zESn9_p2MgKczsnnN9ZAgdoVpbxjo0gr437TqGjM1sEwVw-eeAfCbAdlghevulFnRQ/s640/sama_lukonde_consult_21_02145_jpeg_640_350_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="640" height="350" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiYxORAepOybF98ZJh9eIGUJx9xA6HeFVxK7jNlySqLrVr8CmqE95QyGN4vmsw1yv5UtMCOxbO9zESn9_p2MgKczsnnN9ZAgdoVpbxjo0gr437TqGjM1sEwVw-eeAfCbAdlghevulFnRQ/w640-h350/sama_lukonde_consult_21_02145_jpeg_640_350_1.jpeg" width="640" /></a></div> Oui. Pour la petite histoire, au Cinéma Hollywoodien Chucky est une poupée tueuse possédée par l’esprit d’un tueur nommé Charles Lee Ray. Ici, sur la scène politique congolaise encore très zaïroise, s’il reste de rigueur que les autorités morales et chefs des partis éternels ministres doivent aligner des figures frais incarnant le renouvellement, il n’en n’est pas erroné de faire attention aux « candidats marionnettes » qui, une fois aux affaires feront vivre à la Chucky l’enfer au successeur de Pépé Ilunkamba à la tête du Gouvernement.
 
 
 
 
 
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 Possédés non par les idéaux d’une nouvelle manière de faire la politique en faveur de la population, ces  » Chucky » politiques seront, si embarqués, des vrais metteurs en scène d’un film d’horreur qui saura couler les espoirs nourris autour de la venue de l’Union Sacrée de la Nation.
 
 
 
 
 
 
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 L’heure est donc propice pour que le Premier Ministre Sama Lukonde Kyenge passe à la loupe chaque heureux candidat à son équipe gouvernementale car embarquer des jeunes juste parce que jeunes sous le label « renouvellement » n’est pas gage de renouveler la manière de gérer la République. Il faudra exorciser tous les Chucky si pas les écarter. Qui dit mieux. Actu7

Politique Gouvernement : Sama Lukonde face aux « Chucky » politiques (édito)

Renouvellement de la classe politique! La phrase est sur toutes les lèvres dans tous les carrefours de l’agora politique congolais à l’aube ...

Réforme de la CENI : Voici les 16 propositions de Fayulu et Muzito

March 13, 2021

Martin Fayulu, coordonnateur en exercice de la coalition Lamuka et Adolphe Muzito, un des leaders de cette plateforme politique ont, a travers une conférence de presse tenue ce vendredi 12 mars 2021 au Centre d’Etudes pour l’Action Sociale (Cepas) à Kinshasa, dévoilé le contenu des réformes institutionnelles sur la loi portant organisation et fonctionnement de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI). <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYwU4l0Y0hOiKyX36NygSm39xD4g6PkzJ8V_vOJ8r8Wc3KcYOKYRSsQzgi-iqXoBMHqWb9s_YdogE2uCffAO94sHVtyXc0mRQ_YlFHOzA-fxpZI2yoGOPO7CMENiZnEHOpZhbjyHlwgw/s620/FAYULU-POINT-DE-PRESSE-2-620x330.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="330" data-original-width="620" height="340" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYwU4l0Y0hOiKyX36NygSm39xD4g6PkzJ8V_vOJ8r8Wc3KcYOKYRSsQzgi-iqXoBMHqWb9s_YdogE2uCffAO94sHVtyXc0mRQ_YlFHOzA-fxpZI2yoGOPO7CMENiZnEHOpZhbjyHlwgw/w640-h340/FAYULU-POINT-DE-PRESSE-2-620x330.jpg" width="640" /></a></div> Selon eux, les réformes électorales en RDC passent par ces 16 points essentiels à savoir :
 
 
 
 
 
 
 
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 Dépolitisation de la CENI ;Rendre l’organisation et la gestion des élections crédibles et transparentes ;Renforcer l’autorité des membres de la plénière de la CENI ;Garantir l’indépendance et l’impartialité des membres du personnel de la CENI ;Proclamer les résultats qui reflètent la vérité des urnes ;Élargir la gestion de la CENI à d’autres forces de la société civile ;Revisiter les organes de gestion de la CENI ;
 
 
 
 
 
 
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 Dépouiller le pouvoir du secrétaire exécutif national de la CENI ;Sélectionner les membres de la CENI sur base de leurs compétences ;Déconcentrer les pouvoirs du secrétaire exécutif national actuel ;Réaffirmer le principe d’autonomie administrative de la CENI ;Rendre effectif le service d’audit interne au sein de la CENI ;Mettre fin à l’impunité des intervenants dans le processus électoral ;Faire respecter la durée des mandats des membres de la CENI ;Garantir le droit à la sécurité sociale du personnel de la CENI ;Garantir la liberté syndicale aux agents et cadres techniques de la CENI.Ces animateurs de la coalition Lamuka ont, par ailleurs, rejeté l’idée du recensement général de la population congolaise avant les élections.
 
 
 
 
 
 
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 Martin Fayulu et Adolphe Muzito ont, en outre, ouvert la coalition Lamuka à d’autres partis politiques qui n’ont pas été membres du présidium au départ. Mais qui ont adhéré après l’auto-exclusion de Jean Pierre Bemba et Moïse Katumbi qui ont choisi de faire partie de l’Union sacrée de la Nation mise en place par le président Félix Tshisekedi.

Politique Réforme de la CENI : Voici les 16 propositions de Fayulu et Muzito

Martin Fayulu, coordonnateur en exercice de la coalition Lamuka et Adolphe Muzito, un des leaders de cette plateforme politique ont, a trave...

Assemblée nationale : le bureau Mboso ouvre lundi sa première session ordinaire

March 13, 2021

Les députés nationaux reprennent le chemin de l’hémicycle de l’Assemblée nationale ce lundi 15 mars 2021, une première session ordinaire pour le bureau Mboso qui a déjà du pain sur la planche. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjEoTcXsW93bL8nm2cCunTEPdwVFvdbCD7sSLwlm2p1Na4GOOGP2W8WCa83w6rp9w9JM-fT0LpJ3NMLohHKXQXRpO1fPyNqtKJ35SVCSpI_-asbPfJ4aGM2Nm4K7i0ecGJluEbsF74t-g/s917/mboso_nkodia_20_3.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="611" data-original-width="917" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjEoTcXsW93bL8nm2cCunTEPdwVFvdbCD7sSLwlm2p1Na4GOOGP2W8WCa83w6rp9w9JM-fT0LpJ3NMLohHKXQXRpO1fPyNqtKJ35SVCSpI_-asbPfJ4aGM2Nm4K7i0ecGJluEbsF74t-g/w640-h426/mboso_nkodia_20_3.jpg" width="640" /></a></div> Des questions relatives aux différentes réformes constituent l’enjeu majeur de la session de mars. Le rapporteur de l’Assemblée nationale, Joseph Lembi qui a confirmé l’ouverture de la session renseigne que beaucoup de dossiers seront examinés mais seulement, a-t-il souligné, l’inscription des matières doit respecter la procédure parlementaire. « Je vous confirme ici que l’ouverture de la session aura lieu le lundi 15 mars avec beaucoup d’enjeux mais l’inscription des matières au calendrier de la session doit répondre à une procédure, c’est-à-dire que la conférence des présidents doit élaborer le calendrier, l’adopter et enfin soumettre à la séance plénière. Mais s’il m’étais permis de proposer, je prendrais l’audition du rapport de la CENI, la loi portant organisation et fonctionnement de la CENI, la loi électorale et autres ».
 
 
 
 
 
 
 
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 Néanmoins, Joseph Lembi a laissé entendre que son équipe est à pied d’œuvre pour mieux reconfigurer la conférence des présidents et les commissions parlementaires en vue de se conformer aux réalités actuelles. « Nous avons un souci en termes de conférence des présidents parce que les postes des responsabilités au niveau des commissions étaient attribués à la majorité qui était acquise au début de la législature. Maintenant que le contexte a changé, nous n’avons pas la même majorité. Et donc, c’est au bureau et à l’Union sacrée de savoir comment traîter la question », a-t-il expliqué.
 
 
 
 
 
 
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 Pendant ce temps, le député Bertin Mobonzi a déposé une question écrite au bureau de la Chambre basse demandant au ministre sortant de la Santé, de suspendre la campagne de la vaccination contre le Covid-19 par précaution. Le cadre UNC estime que le parlementaires doivent être éclairés suffisamment avant de convaincre la population à se faire vacciner.

Politique Assemblée nationale : le bureau Mboso ouvre lundi sa première session ordinaire

Les députés nationaux reprennent le chemin de l’hémicycle de l’Assemblée nationale ce lundi 15 mars 2021, une première session ordinaire pou...

Le Chef de l’État et le président du Sénat échangent en prévision de la session ordinaire de mars

March 13, 2021

Les questions relatives à la prochaine rentrée parlementaire et à la situation financière au Sénat ont été passées en revue au cours de l’audience que le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a accordée, vendredi à la cité de l’Union africaine, à Modeste Bahati Lukwebo, président du bureau du Sénat. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5orvt6QGw-xngltzK8DCBX5amkkIMbq51O7KcSEyWrFhr5iRIABwinTlejx00q-nRNVXA_RZOgLMafIzpWOcZcH4HS-RT7sY5FMBvxEuGPNDb3SqhWDLB8tXeif64hWTIkXVOQTAJlQ/s600/BB19NqUo+%25281%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="328" data-original-width="600" height="350" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5orvt6QGw-xngltzK8DCBX5amkkIMbq51O7KcSEyWrFhr5iRIABwinTlejx00q-nRNVXA_RZOgLMafIzpWOcZcH4HS-RT7sY5FMBvxEuGPNDb3SqhWDLB8tXeif64hWTIkXVOQTAJlQ/w640-h350/BB19NqUo+%25281%2529.jpg" width="640" /></a></div> Le président du  bureau du Sénat a indiqué à la presse, au sortir de l’audience, qu’il a échangé avec le Chef de l’État spécialement sur des questions en rapport avec la prochaine rentrée parlementaire.
 
 
 
 
 
 
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 Pour Bahati Lukwebo, il y a lieu d’avouer que la situation qu’il a rencontrée au Sénat n’est pas du tout reluisante, surtout la situation financière où il doit payer les dettes de l’ordre de 14 millions USD laissées par son prédécesseur. A en croire Bahati Lukwebo, son bureau est devant une situation où, à la fois, il doit continuer à assumer le bon fonctionnement du Sénat et également éponger notamment les différentes dettes envers des tiers, à savoir  des découverts bancaires qui sont de l’ordre de 17 millions USD, de même que des dettes envers les sénateurs, des jetons de présence et des frais de mission et autres envers des fournisseurs.
 
 
 
 
 
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 Il a fait savoir, par ailleurs, qu’il a demandé à ce que le Chef de l’État puisse le recevoir avec tout son bureau tel qu’il a été élu, de même que les sénateurs membres de l’Union sacrée de la Nation. C’est la première audience que le Président de la République accorde à Bahati Lukwebo depuis son élection comme président du bureau du Sénat, rappelle-t-on.

Politique Le Chef de l’État et le président du Sénat échangent en prévision de la session ordinaire de mars

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RDC : « La démission de Matata (Ponyo) est à la fois une diversion et un non événement » (PPRD)

March 12, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_VNiVOZm8eYhDsiTKaReaCGCAsPf_C2F70yqBr-dlZ-R2k0tF6TztgGm3ajjJyd1KqPALtWIEgjsVCNMVxmWmzjGsXEI4HYBPgcmlOdVaMSx57HwCmziWPVY0A_izUuc3gYiGq5bInQ/s640/matata_ponyo_21_022_jpg_640_350_1.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="640" height="350" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg_VNiVOZm8eYhDsiTKaReaCGCAsPf_C2F70yqBr-dlZ-R2k0tF6TztgGm3ajjJyd1KqPALtWIEgjsVCNMVxmWmzjGsXEI4HYBPgcmlOdVaMSx57HwCmziWPVY0A_izUuc3gYiGq5bInQ/w640-h350/matata_ponyo_21_022_jpg_640_350_1.jpeg" width="640" /></a></div> Le Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD) a réagi ce vendredi 12 mars suite à la démission de l’ancien Premier ministre Augustin Matata Ponyo de ce parti. Le parti du président honoraire Joseph Kabila s’est exprimé en ces termes : “La soi disante démission de Matata sans respect de la procédure est non seulement une diversion mais aussi un non événement” tout en révélant que le membre démissionnaire n’a jamais participé à aucune réunion statutaire de cette formation politique. À en croire le PPRD, le sénateur Matata Ponyo a quitté le parti depuis 2018 après son départ du Gouvernement. En 2018, ce dernier a créé son parti ATIC et avait aligné des candidats sur l’ensemble du pays pour ne récolter que trois députés malgré les moyens financier mis en jeu.
 
 
 
 
 
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 Matata Ponyo qui vient d’annoncer, ce même vendredi 12 mars, avoir quitté officiellement le PPRD et le Front Commun pour le Congo (FCC) pour des raisons de convenance personnelle. Il a, à l’occasion, remercié le président honoraire Joseph Kabila pour l’avoir permis d’oeuvrer pendant 12 années au sein de ce parti et d’occuper des fonctions telles que celle de ministre des Finances et puis de Premier Ministre par la suite. Depuis les élections de 2018, Matata Ponyo était en froid aussi bien avec le FCC que le PPRD. Dans une tribune du 8 janvier dernier, ce dernier avait fustigé la gestion du FCC. Pour lui, le FCC n’a jamais été un regroupement politique fondé autour d’un idéal commun. Par conséquent, son implosion était prévisible.
 
 
 
 
 
 
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 « Ce que je pense est que le FCC n’avait à sa création ni âme, ni esprit. Il ne l’a toujours pas et ne l’aura jamais, à moins d’un miracle. En effet, tous les groupements de partis regroupés au sein du FCC avaient chacun son idéal qui ne cadrait nécessairement pas avec celui des autres. Un corps sans âme, ni esprit peut-il vivre ou survivre ? Nullement. Bien plus, les objectifs des uns et des autres n’étaient pas les mêmes ! », avait-il expliqué.

Politique RDC : « La démission de Matata (Ponyo) est à la fois une diversion et un non événement » (PPRD)

Le Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD) a réagi ce vendredi 12 mars suite à la démission de l’ancien Premier min...

Covid-19 : La RDC suspend préventivement l'utilisation du vaccin AstraZeneca

March 12, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEivpFqBPaGTwYUdryCMVLIjIbl08QyqRynEVimj4NE_mKSJmPHVMtPGtIjUb2Wc1Ia0VxfrliS5lcyXCNZkK9MH-GYJvujbtC7DVUo6TZPOdGMIruau1sDUB2mO6Kj0BiZfvKNy6soOmQ/s700/https___d1e00ek4ebabms.cloudfront.net_production_2c889fa1-aaac-450a-bd3d-bbe7bd87d84b.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="394" data-original-width="700" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEivpFqBPaGTwYUdryCMVLIjIbl08QyqRynEVimj4NE_mKSJmPHVMtPGtIjUb2Wc1Ia0VxfrliS5lcyXCNZkK9MH-GYJvujbtC7DVUo6TZPOdGMIruau1sDUB2mO6Kj0BiZfvKNy6soOmQ/w640-h360/https___d1e00ek4ebabms.cloudfront.net_production_2c889fa1-aaac-450a-bd3d-bbe7bd87d84b.jpg" width="640" /></a></div> La République démocratique du Congo suspend l'utilisation du vaccin AstraZeneca pour des raisons de prévention et en attendant la conclusion de l'examen du lot ayant causé des effets secondaires majeurs dans certains pays d'Europe.  Elle suspend également le lancement de la campagne de vaccination contre la pandémie dont le go devait être donné le lundi 15 mars prochain. Cependant, elle signale qu'une communication officielle du ministre de la santé, le docteur Eteni Longondo, est attendue dans les prochaines heures.
 
 
 
 
 
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   La décision des autorités congolaises fait suite à la suspension par certains pays de l'Europe de l'utilisation du vaccin AstraZeneca. C'est notamment le Danemark,  l'Italie et la Norvège. La RDC a réceptionné ses premières doses de vaccin, mardi 2 mars de l'année en cours. Il s'agit de 1,7 million de vaccin AstraZeneca.

Santé Covid-19 : La RDC suspend préventivement l'utilisation du vaccin AstraZeneca

La République démocratique du Congo suspend l'utilisation du vaccin AstraZeneca pour des raisons de prévention et en attendant la conclu...

Gouvernement Sama Lukonde: "Rien n'est encore clair" (Eliezer Thambwe)

March 12, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjOWA1JTo38Ho2qXq5n7ZsMicFhgt57NLUGRP6wYqQMVXDK5kh7IHvfo0t4wIM-CMybSw6DTleo_x8fPdGdJacDubiW-BrnD9t4S2O7_x69hA8k5EnuZFEsz_yNPkzUoRHOIhQKCM3Cqw/s471/3365c77b-7d5f-4e11-8af9-be7341cb6796.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="272" data-original-width="471" height="370" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjOWA1JTo38Ho2qXq5n7ZsMicFhgt57NLUGRP6wYqQMVXDK5kh7IHvfo0t4wIM-CMybSw6DTleo_x8fPdGdJacDubiW-BrnD9t4S2O7_x69hA8k5EnuZFEsz_yNPkzUoRHOIhQKCM3Cqw/w640-h370/3365c77b-7d5f-4e11-8af9-be7341cb6796.jpg" width="640" /></a></div> Ensemble pour la République, parti politique de Moïse Katumbi, n'a pas encore déposé "les listes des candidats ministrables. On va les déposer sur base de quoi ?", s'interroge, sur Top Congo FM, le député national Eliezer Thambwe.
 
 
 
 
 
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 Qui précise que "cela ne se fera que quand le Premier ministre dira à Ensemble (le nombre et les noms des ministères qui lui reviennent) avant d'y aligner ceux qui correspondent à ces postes là". D'ailleurs, "ce ne sont pas tous les regroupements de l'Union sacrée qui ont déposé leurs listes des candidats ministrables. Jusque-là, rien n'est encore clair. Il est question de déterminer quels sont les postes accordés à chacun".
 
 
 
 
 
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 Pour lui, "ceux qui se précipitent pour déposer leurs dossiers manquent de maîtrise. On doit savoir quels postes proposés à quelles formations politiques pour y aligner quels candidats".

Politique Gouvernement Sama Lukonde: "Rien n'est encore clair" (Eliezer Thambwe)

Ensemble pour la République, parti politique de Moïse Katumbi, n'a pas encore déposé "les listes des candidats ministrables. On va ...

Martin Fayulu opposé au recensement comme préalable à l’organisation des élections en 2023

March 12, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiw7XXNfKgzcoDkpYR3_K3gw8xBWFSmcAD5jwldBd4xzAawhn_Y6TgsLyH7TXaH8rVOZ9j-z8sC3huaJd3TC0r7sMHR9R5mSXytqkYeJyePTF-1yDC74d74Ge9CAQpJeppmpo6Dnh1ZTQ/s408/2E2051B6-0D97-425B-A658-57F65A2F65AF_w408_r1_s.webp" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="230" data-original-width="408" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiw7XXNfKgzcoDkpYR3_K3gw8xBWFSmcAD5jwldBd4xzAawhn_Y6TgsLyH7TXaH8rVOZ9j-z8sC3huaJd3TC0r7sMHR9R5mSXytqkYeJyePTF-1yDC74d74Ge9CAQpJeppmpo6Dnh1ZTQ/w640-h360/2E2051B6-0D97-425B-A658-57F65A2F65AF_w408_r1_s.webp" width="640" /></a></div> Au cours de la séance de présentation de sa proposition de révision de la loi organique portant organisation et fonctionnement de la Ceni ce vendredi 12 mars au CEPAS, le présidium de Lamuka, actuellement constitué de Martin Fayulu et Adolphe Muzito s’est opposé au recensement avant les élections de 2023. « Non au recensement comme préalable aux élections. Les conditions dont la sécurité ne sont pas réunies. L’enrôlement des électeurs est incontournable. Le recensement est trop coûteux« , a indiqué Martin Fayulu qui estime que recenser la population avant les élections a pour seul objectif « de glisser ». Fayulu a aussi a l’occasion plaidé pour la dépolitisation de la Ceni. « Il faut la confier à la Société civile, dont confessions religieuses, mouvements des femmes, mouvements citoyens et de Droits de l’homme. La Ceni n’est pas un lieu d’enrichissement. Ni de manipulations politiciennes« . Cette position de Lamuka va à l’encontre de celle de l’UDPS, rendue publique il y a quelques jours par Augustin Kabuya. « L’UDPS est pressée d’aller aux élections mais à une seule condition, qu’ils puissent identifier les Congolais. Qui est Congolais et qui ne l’est pas, parce que nous ne voulons pas qu’il y ait des troubles comme lors des dernières élections ici. Nous UDPS, avions dit ceci : si nous accédons au pouvoir, nous allons organiser des vraies élections. Nous allons identifier les vrais Congolais pour aller aux élections. Que personne ne fasse peur à personne. Ça, ce n’est qu’un début, nous allons sillonner tout le pays en 2021 pour montrer le rapport de force. Qu’ils envoient leurs gens dans les réseaux sociaux dire qu’on a peur des élections. Nous, nous n’aurons jamais peur des élections« , a dit Augustin Kabuya. Dans sa dernière sortie médiatique, le directeur général de l’Office national de l’identification de la population (ONIP) avait fait savoir qu’ « Il faut 350 millions de dollars pour un recensement général en RDC », et d’ajouter « Si nous commençons maintenant, au plus tard en décembre 2022, nous aurons le fichier général de la population. En gros, c’est 2 ans. Il ne faut pas associer l’ONIP aux élections».

Politique Martin Fayulu opposé au recensement comme préalable à l’organisation des élections en 2023

Au cours de la séance de présentation de sa proposition de révision de la loi organique portant organisation et fonctionnement de la Ceni ce...

F.Kambere : "Ceux qui n'ont pas de conviction quittent le PPRD par peur des poursuites, menace et chantage utilisés par le chef de l'État"

March 12, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-_Jr83lRX49TmyLpR8nKrXYNFuG5-glNm7AV6gD9Dui2MmJHojJoI8X_kZZqqt8LbKAKrsi98JgUA_yaGkEUHpF8ES8dQCbgcWAAP5AFzaX6OKdNFOOeF3nAt42L8hRvIekc-k55MgA/s1024/EBtmdlSXoAE6GVN+%25281%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="768" data-original-width="1024" height="480" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-_Jr83lRX49TmyLpR8nKrXYNFuG5-glNm7AV6gD9Dui2MmJHojJoI8X_kZZqqt8LbKAKrsi98JgUA_yaGkEUHpF8ES8dQCbgcWAAP5AFzaX6OKdNFOOeF3nAt42L8hRvIekc-k55MgA/w640-h480/EBtmdlSXoAE6GVN+%25281%2529.jpg" width="640" /></a></div> Ferdinand Kambere, secrétaire permanent adjoint du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD), a dans une interview accordée à 7SUR7.CD ce vendredi 12 mars 2021 en rapport avec les différents départs enregistrés au sein du Parti, accusé le président de la République Félix Tshisekedi, d'utiliser une stratégie des chantages, menaces et poursuites contre leurs membres moyennant l'adhésion à l'Union sacrée de la nation. Toutefois, F. Kambere pense que la plupart de ceux qui quittent le PPRD n'ont pas de conviction. « Nous sommes à plus de 6 mois que les gens sont dans l'éperdument, surtout les élus, les anciens gestionnaires de la chose publique, d'autres qui ont peur des poursuites, parce qu'en même temps le chef de l'État a utilisé la stratégie des chantages sur les uns, de menace de dissoudre l'Assemblée, l'IGF qui vient sur la route des uns et des autres. Vous voyez les menaces contre l'ancien AG de l'ANR, donc on installe une sorte de terreur tels que ceux qui n'ont pas vraiment de conviction sont en train d'être emportés comme des petits papiers devant un vent. Mais ceux qui ont des conventions malgré les menaces, les chantages ils vont rester sereins et imperturbables », a déclaré Ferdinand Kambere.
 
 
 
 
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 Et de poursuivre : « Je crois que comme vous le savez, l'adhésion est libre donc quand on veut partir on part aussi librement. Mais la signification de tous ces départs là comme vous êtes en train de le constater, c'est ce qui pose quand-même problème parce que le contexte par lequel tout est en train d'être fait, c'est quand-même parce que le président de la République a appelé les gens a adhérer à ce que lui appelle une nouvelle vision ». Pour rappel, l'ex-premier ministre Augustin Matata Ponyo a quitté ce vendredi le PPRD et le FCC pour des raisons personnelles. Ce dernier est dans le collimateur de l'Inspection Générale de Finances (IGF), concernant la gestion du Parc Agro alimentaire de Bukanga-Lonzo.

Politique F.Kambere : "Ceux qui n'ont pas de conviction quittent le PPRD par peur des poursuites, menace et chantage utilisés par le chef de l'État"

Ferdinand Kambere, secrétaire permanent adjoint du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD), a dans une interview acco...

RDC: Le Juge congolais Antoine Kesia-Mbe Mindua, élu deuxième vice-président de la CPI

March 12, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCxW5mTMezZOD8TBYiFdVQqa3At37tKQE6VZf2OMD6GKG4b4uGb8ZyWTaSpJCHrSR91uius0FK12iER3ExvtZk8cBdAb03ak_eDg7-LVzGsIAgzLHhWN9zQ7kosuSgxYsqItM7HIN36A/s405/2021-judges-presidency_1.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="396" data-original-width="405" height="626" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCxW5mTMezZOD8TBYiFdVQqa3At37tKQE6VZf2OMD6GKG4b4uGb8ZyWTaSpJCHrSR91uius0FK12iER3ExvtZk8cBdAb03ak_eDg7-LVzGsIAgzLHhWN9zQ7kosuSgxYsqItM7HIN36A/w640-h626/2021-judges-presidency_1.jpg" width="640" /></a></div> Dans un communiqué publié le 11 mars, la Cour Pénale Internationale (Haye), a élu en séance plénière, le Juge Antoine Kesia-Mbe Mindua de nationalité congolaise, comme  deuxième vice-président de la CPI. La nouvelle présidence de la Cour Pénale Internationale élue aura un mandat qui court de 2021 à 2024 (3 ans).Elle est composée de: Juge Piotr Hofmański à la présidence de la Cour pour un mandat de trois ans avec effet immédiat. Le juge Luz del Carmen Ibáñez Carranza a été élu premier vice-président et le juge Antoine Kesia-Mbe Mindua deuxième vice-président. Du Juge Antoine Kesia-Mbe Mindua, on sait qu’Il est entré en fonction le 11 mars 2015 à la cour pénale internationale. Il a été élu parmi le Groupe des États d’Europe orientale (liste B).
 
 
 
 
 
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 Le Juge Antoine Kesia-Mbe Mindua est né en 1956. Il a fait ses études de Droit et des Sciences Politiques à Kinshasa capitale République Démocratique du Congo. Il a poursuivi les enseignements à Nancy et Strasbourg (France) et à Genève (Suisse). Après avoir obtenu son doctorat en Droit International à l’Université de Genève en 1995, il a successivement travaillé comme Juriste et Chef de l’Unité des Procédures Judiciaires au Tribunal Pénal International pour le Rwanda à Arusha (Tanzanie) de 1996 à 2001 et comme Juge de première instance au Tribunal Pénal International pour l’ex-Yougoslavie à La Haye (Pays-Bas) depuis 2006 jusqu’à ce jour sans interruption. Le Juge Mindua a également été Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République Démocratique du Congo auprès de la Confédération Helvétique à Berne (Suisse) et Représentant Permanent auprès des Nations Unies à Genève de 2001 à 2006. Durant son mandat à Genève, le Docteur Mindua a exercé plusieurs fonctions multilatérales.
 
 
 
 
 
 
 
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 Il a notamment été Vice-Président du Comité Exécutif du Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés, Président du Groupe des 77 et la Chine, et Coordinateur du Groupe des 21 à la Conférence des Nations Unies sur le Désarmement. Le Juge Mindua est également Professeur d’Université à Kinshasa et à Genève. Il enseigne le Droit International Public ainsi que le Droit International Pénal.

Politique RDC: Le Juge congolais Antoine Kesia-Mbe Mindua, élu deuxième vice-président de la CPI

Dans un communiqué publié le 11 mars, la Cour Pénale Internationale (Haye), a élu en séance plénière, le Juge Antoine Kesia-Mbe Mindua de ...

RDC: Présumée tension entre Kabund et Bahati, Remy Musungayi parle au contraire d’un climat de parfaite collaboration

March 12, 2021

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjbBXlJ5mXnz_fp4YwhsHNpzdDsWOgTWwNW9t1QVg9VdoREtxlyrULbF06KKS1ieUjQLxcjsSnZVuAuTnKmUIFjabswPvL2TYabjeHw-Oocpysc8GBm6I6Jzr1_HwJF1qFV4h5wR6tdNA/s1280/maxresdefault+%25284%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="720" data-original-width="1280" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjbBXlJ5mXnz_fp4YwhsHNpzdDsWOgTWwNW9t1QVg9VdoREtxlyrULbF06KKS1ieUjQLxcjsSnZVuAuTnKmUIFjabswPvL2TYabjeHw-Oocpysc8GBm6I6Jzr1_HwJF1qFV4h5wR6tdNA/w640-h360/maxresdefault+%25284%2529.jpg" width="640" /></a></div> Au sujet de la formation du gouvernement de l’Union Sacrée, il se distille dans l’opinion publique, une présumée tension entre le président ad.interim de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) Jean-Marc Kabund, et l’autorité morale du regroupement politique Alliance des Forces Démocratiques du Congo et Alliés (AFDC/A)Modeste Bahati Lukwebo.  À l’issue d’une réunion tenue le jeudi 11 mars 2021 à Kinshasa par les membres de AFDC/A autour de Bahati Lukwebo, Rémy Musungayi, rapporteur général de ce regroupement parle plutôt d’un climat de parfaite collaboration entre les deux personnalités.
 
 
 
 
 
 
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 “L’AFDC/A fait remarquer à l’opinion tant Nationale qu’internationale, qu’il existe un climat de parfaite collaboration avec tous les partis et regroupements politiques de l’Union Sacrée de la Nation”a-t-il rapporté Rémy Musungayi a insisté que la cohésion existe entre les différents partis membres de leur regroupement qui se range derrière leur autorité statutaire.
 
 
 
 
 
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 “L’AFC/A fait remarquer qu’elle reste une et indivisible. Tous les députés et sénateurs réitèrent leur loyauté à l’honorable Bahati Lukwebo. Tous les députés et sénateurs faisant partie de AFDC/A, se serrent les coudes derrière la vision du Chef de l’État. Il n’existe aucun conflit, aucune dissidence ausein de notre regroupement AFDC/A” a fait savoir Remy Musungayi. Signalons par ailleurs que parmi les députés ayant pris part à cette réunion, l’on note la présence des députés du Parti Travailliste (PT) de Steve Mbikayi, qui ont fustigé la campagne menée contre Bahati Lukwebo.

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March 12, 2021

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