BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Assemblée Nationale : Puela, Phoba et Ingila échappent à une invalidation

March 30, 2014

<br />
<h3>
<span style="font-size: large;">Depuis quelques jours, la rumeur des poursuites judiciaires contre des députés nationaux circulaient dans les couloirs du Palais du Peuple ainsi que dans les salons politiques de Kinshasa.</span></h3>
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Elle s’est amplifiée la veille au soir lorsque des sources parlementaires ont confirmé la tenue, le jeudi 27 mars 2014, d’une plénière à huis clos. A l’ordre du jour : une requête du Parquet Général de la République destinée à obtenir l’invalidation des incriminés.<br />
<br />
<br />
Effectivement, ladite plénière a eu lieu, entre députés nationaux, sans témoins.<br />
<br />
<br />
Mais des fuites organisées par les participants ont permis à la presse d’apprendre que la rumeur était fondée. En effet, suite à une plainte du gouverneur du Bas-Congo, déposée au Parquet général de la République à charge de Fabrice Puela, Adrien Phoba et Povo Ingila, le Bureau de l’Assemblée nationale a été saisi d’une requête en invalidation des mandats des trois parlementaires précités. Il leur serait reproché des propos indélicats à l’endroit du numéro un du Bas-Congo et l’outrage au Président de la République.<br />
<br />
<br />
Il semble qu’après un débat animé, le président du Bureau de l’Assemblée Nationale a proposé et obtenu la surséance de ladite requête, au motif que l’exclusion de Fabrice Puela, Adrien Phoba et Povo Ingila de l’Assemblée nationale et leur mise à la disposition de la justice risquaient d’aller à l’encontre la réconciliation nationale prônée lors des Concertations nationales. Il a été souligné aussi que le moment ne se prêtait pas à la division entre filles et fils du pays, d’autant plus que la loi d’amnistie a été expressément adoptée et promulguée en vue de renforcer la cohésion nationale.<br />
<br />
<br />
Voilà dans quelles circonstances, indique-t-on, les trois parlementaires ont échappé à l’invalidation, synonyme de levée de leur immunité et partant de leur vulnérabilité face à la machine de la justice.<br />
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On rappelle que lors de la session de septembre à décembre 2013, Fabrice Puela avait été privé de ses émoluments pendant trois mois, pour avoir été absent lors de la présentation de sa question orale au ministre des Affaires Etrangères, chef de la délégation congolaise aux pourparlers de Kampala.<br />
<br />
<br />
On a appris aussi que le projet d’interpellation de l’Abbé Malumalu, président de la CENI, déposé par le député Emery Okundji sera discuté incessamment. La plénière n’a pu lever une option en raison de la distribution tardive du texte.<br />
<br />
<br />
Eric Wemba<br />
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Politique Assemblée Nationale : Puela, Phoba et Ingila échappent à une invalidation

Depuis quelques jours, la rumeur des poursuites judiciaires contre des députés nationaux circulaient dans les couloirs du Palais du Peu...

Urgent ! Une première dans l'histoire du football congolais. TP Mazembe et AS-V club au devant de la seine !

March 29, 2014

Pour la première fois depuis 2009, AL AHLY d'Egypte sera absent de la phase de poule de la Ligue des Champions(éliminé par Al Ahly Benghazi 2-4) alors que depuis la rénovation de cette compétition en 1997, la RDC va pour la première fois être représentée par 2 clubs en quarts de finale (TP MAZEMBE et AS VCLUB). TP Mazembe - SEWE Sport 1-0/1-2 ET KAIZER CHIEFS - AS VCLUB 2-0/0-3 Tirage au sort des quarts de finale le 29 Avril 2014<script async="" src="//pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

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Sport Urgent ! Une première dans l'histoire du football congolais. TP Mazembe et AS-V club au devant de la seine !

Pour la première fois depuis 2009, AL AHLY d'Egypte sera absent de la phase de poule de la Ligue des Champions(éliminé par Al Ahly Bengh...

Zamba Zamba du 29/03/2014 avec DEPLIC COMME INVITE EN ACOUSTIQUE ! Rumba na seben. suivez

March 29, 2014

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Zamba Zamba du 29/03/2014 avec DEPLIC COMME INVITE EN ACOUSTIQUE

Au tour de Kinshasa Musique Zamba Zamba du 29/03/2014 avec DEPLIC COMME INVITE EN ACOUSTIQUE ! Rumba na seben. suivez

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Condamné à 10 ans de prison : Amnistie, unique voie de salut pour Diomi Ndongala !

March 29, 2014

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La sanction de la Cour Suprême de Justice est tombée le mercredi 26 mars dernier, sur le dossier judiciaire engagé contre l’opposant Diomi Ndongala. La haute juridiction nationale a établi la culpabilité du Président de la Démocratie Chrétienne, condamné pour viols sur mineures. Dix ans de prison ferme. C’est la peine infligée à celui qui est poursuivi pour les mêmes faits, depuis 2012. Le Ministère Public avait, d’ailleurs, requis une peine beaucoup plus lourde, de 23 ans de prison ferme.<script async src="//pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

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C’est une décision qui va faire parler d’elle dans les jours qui viennent dans des salons politiques. Eugène Diomi Ndongala, Président de la Démocratie Chrétienne et initiateur de la MPP (Majorité Présidentiel Populaire), une plateforme de soutien à Etienne Tshisekedi, a encore plusieurs années derrière les barreaux. Ainsi en a décidé la Cour Suprême de Justice, mercredi 26 mars 2014. Une condamnation de dix ans de prison ferme pour «viols sur deux mineures ».<br />
<br />
Les carottes semblent cuites pour cet opposant proche d’Etienne Tshisekedi, leader de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS). La Cour Suprême de Justice siégeant en dernière instance, toutes les voix de recours contre ce jugement lui sont hermétiquement fermées.<br />
<br />
Son unique espoir peut se fonder sur l’amnistie dont la loi venait d’être promulguée par le Chef de l’Etat, en février dernier. Une des recommandations issues des travaux de concertations nationales, cette amnistie devrait bénéficier à certains prisonniers dits ‘’politiques’’ pour décrisper le climat de la contestation. <br />
<br />
Sa famille politique, comme bon nombre d’opposants, estiment, en effet, que l’arrestation de Diomi Ndonga relèverait d’un coup politique que ses détracteurs auraient monté pour réduire au silence celui qui, après des élections contestées de 2011, s’était montré plus radical contre le régime en place.<br />
<br />
Dénonçant un « hold-up » électoral, Eugène Diomi Ndongala avait même boycotté sa participation à l’Assemblée Nationale, pour se conformer au mot d’ordre d’Etienne Tshisekedi.         <br />
<br />
C’est depuis 2012 qu’il est poursuivi pour viol sur mineurs. Porté disparu pendant quatre mois, il a été retrouvé à la veille du Sommet de la Francophonie, en octobre de la même année. Mis en résidence surveillée, puis détenu préventivement à la Prison Centrale de Makala depuis l’année dernière, Diomi Ndongala voit son bail se prolonger de neuf années supplémentaires, après cette sanction de la Cour Suprême de Justice. A moins que l’amnistie ou une grâce présidentielle ne vienne à sa rescousse.<br />
<br />
Socrate Nsimba<script async src="//pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

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Justice Politique Condamné à 10 ans de prison : Amnistie, unique voie de salut pour Diomi Ndongala !

La sanction de la Cour Suprême de Justice est tombée le mercredi 26 mars dernier, sur le dossier judiciaire engagé contre l’opposant Diomi ...

Le Groupe parlementaire de l’UDPS et Alliés tourne le dos à Fayulu et adhère à la démarche de la CENI

March 28, 2014

<h3>
<span style="font-size: large;">Spectaculaire retournement de situation dans le camps de l’opposition émiettée de plus belle avec le récent volte-face du groupe parlementaire UDPS et Alliés qui récuse maintenant l’action de torpille de la CENI initiée par l’opposant Fayulu pour adhérer à la démarche électorale poursuivie par l’institution citoyenne organisatrice des élections.</span></h3>
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg5eS63ZykoKOnnH4KygbtccZJL3PfPZt1gfwqFkskzAGECid7KQNKUbdxF8EBK1RXz778CdSt21CRkIgknOWZM3t3PZGzSS255o9eviuEzdPv1NMCSFFRt6VCQlvTV1QSY53NNIQq4H_NO/s1600/martinfayulu.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="280" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg5eS63ZykoKOnnH4KygbtccZJL3PfPZt1gfwqFkskzAGECid7KQNKUbdxF8EBK1RXz778CdSt21CRkIgknOWZM3t3PZGzSS255o9eviuEzdPv1NMCSFFRt6VCQlvTV1QSY53NNIQq4H_NO/s1600/martinfayulu.jpg" width="400" /></a></div>
Contrairement à la démarche de Martin Fayulu qui cherche des poux sur la tête d’une CENI chauve, dans une déclaration faite hier jeudi 27 mars 2014 au Palais du peuple, le Groupe parlementaire UDPS et Alliés, ainsi que quatre partis politiques de l’opposition représentés à l’Assemblée nationale ont stratégiquement adhéré à la démarche de l’Abbé Malumalu, Président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Ils ont en outre fait un point évaluatif sur le processus électoral de novembre 2011. <br />
<br />
<br />
Un désaveu ! Si Martin Fayulu cherche en réalité à remettre les compteurs à zéro avec sa politique de la terre brûlée pour le besoin de la cause, il faudra retenir de prime abord que le Groupe parlementaire UDPS et Alliés et les partis politiques de l’opposition représentés à l’Assemblée nationale ont reconnu que la session ordinaire actuelle à l’Assemblée nationale et au Sénat prend des contours particuliers au regard de la portée des matières éligibles à son ordre du jour.<br />
<br />
Comme d’habitude, ils ont mentionné l’idée de la révision constitutionnelle, ainsi que celle du changement de la constitution par référendum qui, à les en croire, est sérieusement envisagée. Ils affirment que le mode de scrutin des députés provinciaux passerait du scrutin direct au scrutin indirect (article 197), par le changement de la constitution via le référendum populaire, l’objectif étant d’élire le Président de la République au scrutin indirect, d’instaurer un septennat et d’établir un système des mandats illimités (article 220).<br />
<br />
En effet, le cycle électoral 2013-2016 procède de diverses évaluations du processus électoral de novembre 2011 et des recommandations y afférentes formulées dans le but d’améliorer la suite du processus au travers notamment de la mise en place d’un nouveau cadre institutionnel d’organisation des élections. Pour sceller cet effort de requalification du processus, le Parlement de la République a voté la loi organique n°13/012 du 19 Avril 2013 modifiant et complétant la loi organique n°10/013 du 28 juillet 2010 portant organisation et fonctionnement de la commission électorale nationale indépendante.<br />
<br />
<img height="255" src="http://www.digitalcongo.net/UserFiles/image/Photos_2011/Ceni/ceni_logo2.jpg" width="400" /><br />
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Ensuite, dans cette déclaration rendue publique par Samy Badibanga, Président de l’Udps et Alliés, il est souligné que dans sa formule rénovée, la CENI découle d’un exercice d’évaluation assorti d’une feuille de route dont l’action est circonscrite au parachèvement du processus électoral enclenché en 2011.<br />
<br />
Cela est d’autant plus vrai que le coût inhérent à l’aboutissement d’une entreprise de cette nature serait lourd à tout point de vue, même si la CENI doit s’atteler à formaliser techniquement les orientations politiques dégagées aux Concertations.<br />
<br />
Quant au débat sur l’éventualité de la révision constitutionnelle ou de l’opportunité du changement de la constitution par voie référendaire, le Groupe parlementaire UDPS et Alliés et les partis politiques de l’opposition représentés à l’Assemblée nationale pensent qu’à l’heure actuelle, la constitution dans ses dispositions ne pose aucun problème d’application. En définitive, cette déclaration semble vouloir une chose et son contraire au sein d’une opposition visiblement très déchirée.<br />
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<br style="font-family: Arial, Helvetica, Tahoma, san-serif; font-size: 13px; line-height: 23.399999618530273px;" />
<span style="border: 0px; font-family: Arial, Helvetica, Tahoma, san-serif; font-size: 13px; line-height: 23.399999618530273px; margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">Read more at <a href="http://congosynthese.com/news_reader.aspx?Id=4480#EixeLoR3EEdtjqU1.99" style="border: 0px; color: #003399; margin: 0px; padding: 0px; text-decoration: none; vertical-align: baseline;">http://congosynthese.com/news_reader.aspx?Id=4480#EixeLoR3EEdtjqU1.99</a></span></div>
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Politique Le Groupe parlementaire de l’UDPS et Alliés tourne le dos à Fayulu et adhère à la démarche de la CENI

Spectaculaire retournement de situation dans le camps de l’opposition émiettée de plus belle avec le récent volte-face du groupe parlementa...

Affaire Awa Fadiga : le décès d'un jeune mannequin émeut la Côte d'Ivoire

March 28, 2014

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<span style="font-size: large;">Awa Fadiga, un jeune mannequin ivoirien de 23 ans, est décédée mardi aux urgences du CHU de Cocody à Abidjan. Ses proches mettent directement en cause le manque de soins reçus à l’hôpital.</span></h3>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYuY5uu89Zz0jWq-ZWgC9zwbY12rAXYHkZ67jk1FZ0_l0FJyJ25yDpBa6uGGGJUr5-mTWhBWyYE9a7z7oS6_o_dhrcyA1suBexRUNrWGCERqdOr5VOoBjB419AdKHjyOFEaG66kc56Jndh/s1600/pasi.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="227" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYuY5uu89Zz0jWq-ZWgC9zwbY12rAXYHkZ67jk1FZ0_l0FJyJ25yDpBa6uGGGJUr5-mTWhBWyYE9a7z7oS6_o_dhrcyA1suBexRUNrWGCERqdOr5VOoBjB419AdKHjyOFEaG66kc56Jndh/s1600/pasi.jpg" width="400" /></a></div>
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Awa Fadiga avait 23 ans. Cette jeune mannequin est morte mardi 25 mars au service des urgences du CHU de Cocody. Selon ses proches, le manque de soin prodigué par le personnel hospitalier est directement responsable de son décès.</div>
<br />
Ce drame, rapporté par le site des Observateurs de France 24, a provoqué un profond émoi en Cote d'Ivoire. "Awa Fadiga, stop plus jamais ça", une page Facebook créée pour l'occasion, a déjà recueilli plus de 12 000 "like".<br />
<br />
Que s'est-il passé ? Le 23 mars en début de soirée, Awa Fadiga est agressée à l'arme blanche par un chauffeur de taxi. Des passants lui viennent en aide avant que la gendarmerie n'intervienne et que des pompiers ne l'emmènent aux urgences du CHU de Cocody vers 23h00. Selon le ministère de la Santé, elle est déjà "dans un état comateux".<br />
<br />
Ses proches expliquent ensuite avoir constaté le lendemain à 13h qu'aucun soin ne lui avait été prodigué depuis son admission aux urgences. La raison : le non-paiement des frais médicaux demandés par l'hôpital, affirment-ils.<br />
<br />
Une fois sur place, l’amie et les parents d’Awa payent pour que la jeune femme reçoive les médicaments nécessaires, explique le site des Observateurs de France 24. Sans succès : la jeune mannequin décède mardi à 7 h du matin malgré plusieurs heures de réanimation.<br />
<br />
Nelly Yavo, l'agent de la victime, donne sa version des faits.<br />
<br />
<br />
<br />
La version de l'hôpital est totalement différente. Contacté par France 24, le service de communication du CHU a expliqué, en se basant le cahier des admissions tenu par le personnel soignant, que la jeune femme avait été prise en charge dès son arrivée.<br />
<br />
<a href="http://www.sante.gouv.ci/index2.php?page=actu&ID=166">Dans un communiqué publié le 25 mars, le ministère de la Santé</a> a de son côté assuré que Awa Fadiga  "a reçu les premiers soins médicaux que nécessitait son état, par voie veineuse, y compris un nettoyage et des soins corporels par les filles de salle, avec eau savonneuse et antiseptique".<br />
<br />
Le ministère estime que la victime est "décédée suite à une agression inadmissible et intolérable qui n’engage pas la responsabilité des services de santé."<br />
<br />
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : <a href="http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20140327163033/#ixzz2xJIGGlC2">Côte d'Ivoire | Affaire Awa Fadiga : le décès d'un jeune mannequin émeut la Côte d'Ivoire | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique</a> <br />
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internationale la Nation Affaire Awa Fadiga : le décès d'un jeune mannequin émeut la Côte d'Ivoire

Awa Fadiga, un jeune mannequin ivoirien de 23 ans, est décédée mardi aux urgences du CHU de Cocody à Abidjan. Ses proches mettent directeme...

Ni révision, ni changement de la Constitution: Udps et Alliés, Samy Badibanga appelle à la vigilance !

March 28, 2014

<h3>
<span style="font-size: large;">*Au nom de ses pairs de l’Udps & Alliés ainsi que des partis politiques de l’opposition représentés à la Chambre Basse du Parlement, l’Honorable Samy Badibanga Ntita est monté au créneau, ce jeudi 27 mars 2014. Objectif ?  Fustiger l’absence de volonté politique et le non-respect des textes, deux obstacles majeurs qui, selon lui, empêchent l’émergence d’un Etat de droit en RD-Congo. </span></h3>
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Il en veut pour preuve, l’idée de la révision de la loi fondamentale qui se fraye  du  chemin  et qui voudrait passer par le référendum populaire, en visant le mode de scrutin, le nombre, la durée et le caractère illimité des mandats du Président de la République. De la sorte, analyse-t-il, par la révision  constitutionnelle  de la  Constitution,  le mode de scrutin des Députés provinciaux passerait du scrutin direct au scrutin indirect (art 197). Et,  par le changement de la Constitution via le référendum populaire, l’objectif serait  d’élire le Président de la République au scrutin indirect, d’instaurer un septennat et d’établir un système des mandats illimités (art 220). Pour l’élu de Mont-Amba, il appartient à la CENI d’adapter son travail à la Constitution et non l’inverse. C’est, dit-il, l’épreuve de compétence que doit relever l’équipe dirigeante de la Centrale électorale. Par ailleurs, insiste-t-il,  c’est le refus d’une frange de politiques au pouvoir de tirer les conséquences de l’article 220 qui érige en dispositions intangibles les questions relatives au nombre et à la durée des mandats du Président de la République qui justifie les convulsions politiques actuelles, donnant ainsi en spectacle,  la RDC aux yeux de l’opinion tant nationale qu’internationale. Et, à lui  d’ajouter : ‘‘qu’à y regarder de près, au lieu de préparer l’alternance démocratique dans le respect des règles de l’art et de s’assurer d’une sortie honorable, le pouvoir en place fait de la résistance et voudrait expérimenter des formules périlleuses qui ont valeur d’usine à gaz’’. Samy Badibanga, tirant ainsi  la sonnette d’alarme,  exhorte les forces vives de la nation à  rester vigilantes et  la communauté internationale qui joue pour  sa crédibilité,  de prendre la mesure de la gravité de la menace afin de ne laisser place à aucune velléité de violation du droit ou  de fait de la Constitution de 2006, socle du consensus national chèrement acquis.  Découvrez, ci-après, l’intégralité de la Déclaration du groupe parlementaire Udps et Alliés et des partis politiques de l’Opposition représentés à l’Assemblée nationale en rapport avec l’idée de la révision constitutionnelle.<br />
<br />
Déclaration  du Groupe Parlementaire UDPS et Alliés et des Partis politiques de l’Opposition représentés à l’Assemblée Nationale<br />
<br />
Le Groupe parlementaire UDPS ET ALLIES et les partis politiques de l’Opposition représentés à l’Assemblée nationale constatent que la session ordinaire actuelle à l’Assemblée nationale et au Sénat prend des contours particuliers au regard de la portée des matières éligibles à son ordre du jour.<br />
<br />
D’entrée des jeux, l’absence de volonté politique et le non-respect des textes sont les deux obstacles majeurs qui empêchent l’émergence d’un Etat de droit dans notre pays.<br />
<br />
A titre illustratif, l’idée de la révision constitutionnelle fait son chemin et celle du changement de la constitution par référendum est sérieusement envisagée.<br />
<br />
Les modifications convoitées touchent d’une part au mode de scrutin dans l’élection des députés provinciaux et du président de la République et d’autre part au nombre, à la durée et au caractère limité des mandats du président de la République.<br />
<br />
De la sorte, par la révision constitutionnelle, le mode de scrutin des députés provinciaux passerait du scrutin direct au scrutin indirect (art 197), par le changement de la constitution via le référendum populaire, l’objectif étant d’élire le président de la République au scrutin indirect, d’instaurer un septennat et d’établir un système des mandants illimités (art 220).<br />
<br />
Au regard de la gravité de toutes ces hypothèses et des menaces qu’elles font peser sur la paix, la démocratie et la stabilité tant au pays que dans la sous région, un rappel historique s’impose !<br />
<br />
En effet, le cycle électoral 2013-2016 procède de diverses évaluations du processus électoral de Novembre 2011 et des recommandations y afférentes formulées dans le but d’améliorer la suite du processus au travers notamment de la mise en place d’un nouveau cadre institutionnel d’organisation des élections.<br />
<br />
Pour sceller cet effort de requalification du processus, le Parlement de la République a voté la loi organique n°13/012 du 19 Avril 2013 modifiant et complétant la  loi organique n°10/013 du 28 juillet 2010 portant organisation et fonctionnement de la commission électorale nationale indépendante.<br />
<br />
Dans sa formule rénovée, la CENI n’est pas le fruit d’une génération spontanée, elle découle d’un exercice d’évaluation assorti d’une feuille de route dont l’action est circonscrite au parachèvement du processus électoral enclenché en 2011.<br />
<br />
Sa mission n’est pas exhaustive, elle est limitative ; elle consiste à organiser les élections dans les limites constitutionnelles et dans le respect des échéances.<br />
<br />
En tout état des causes et comme nous avions eu à le souligner précédemment, il appartient à la CENI d’adapter son travail à la constitution et non l’inverse. C’est l’épreuve de compétence que doit relever son équipe dirigeante.<br />
<br />
Par ailleurs, il n’est donc pas question pour le Bureau de cette institution d’appui à la démocratie d’inverser l’ordre organisationnel des élections, de suggérer le changement du mode de scrutin, de tenter d’éponger les arriérés législatifs de 2006, encore moins d’ériger la finalisation du chantier législatif lié au processus de décentralisation en préalable à la poursuite du processus électoral.<br />
<br />
S’adonner à de telles exigences reviendrait à dérouler des mécanismes qui risquent de faire sauter le verrou constitutionnel de 2016 et pérenniser le règne d’institutions illégitimes.<br />
<br />
Cela est d’autant plus vrai que le cout inhérent à l’aboutissement d’une entreprise de cette nature serait lourd à tout point de vue.<br />
<br />
En outre, la CENI doit démontrer son indépendance car son fonctionnement actuel laisse sous entendre qu’elle s’attèle à formaliser techniquement les orientations politiques dégagées aux concertations.<br />
<br />
Parlant de ces concertations, nous soulignons d’abord que ces assises ne sont pas source de droit. Aussi,  faisons-nous remarquer que notre demande formulée en son temps consistant à conférer aux résolutions de ces travaux un caractère impératif et opposable à tous n’avait pas été retenue, pas plus que ne l’avait été celle relative à la représentativité des participants.<br />
<br />
Qui plus est, ces derrières sont appliquées de manière sélective. A titre illustratif, la résolution consistant à ne pas modifier la Constitution sous quelque raison que ce soit,  n’est pas respectée.  Pour preuve, la CENI préconise dans la première hypothèse de sa feuille de route, l’élection des Députés provinciaux au suffrage universel indirect.  Ce qui implique,  ipso facto,  la révision de l’article 197 de la Constitution.<br />
<br />
De ce qui précède résulte une déclinaison logique : « les résolutions des concertations nationales n’engagent que ceux qui y adhèrent ».<br />
<br />
Quant au débat sur l’éventualité de la révision constitutionnelle ou de l’opportunité du changement de la Constitution par voie référendaire, il est à ce jour sans objet parce qu’à l’heure actuelle,  la Constitution dans ses dispositions présentes ne pose aucun problème d’application.<br />
<br />
C’est le refus d’une frange de politiques au pouvoir de tirer les conséquences de l’article 220 qui érige en dispositions intangibles les questions relatives au nombre et à la durée des mandats du Président de la République qui justifie le convulsions politiques actuelles donnant ainsi en spectacle notre pays aux yeux de l’opinion tant nationale qu’internationale.<br />
<br />
A y regarder de près, au lieu de préparer l’alternance démocratique dans le respect des règles de l’art et de s’assurer une sotie honorable, le pouvoir en place fait de la résistance et voudrait expérimenter des formules périlleuses qui ont valeur d’usine à gaz.<br />
<br />
En dernière analyse, il appartient aux forces vives de la nation de rester vigilantes et à la communauté internationale qui joue sa crédibilisé de prendre la mesure de la gravité de la menace afin de ne laisser place à aucune velléité de violation du droit ou de fait de la constitution de 2006, socle du consensus national chèrement acquis.<br />
<br />
En conclusion, le groupe UDPS ET ALLIES et les partis politiques de l’opposition représentés à l’Assemblée nationale, s’insurgent contre toute initiative tendant à maintenir Monsieur Kabila,  au-delà de 2016.<br />
<br />
Ils rejettent toute idée d’organiser les élections provinciales au scrutin indirect en violation de l’article 197 de la Constitution.<br />
<br />
En plus le Groupe UDPS ET ALLIES et les partis politiques de l’opposition représentés à l’Assemblée nationale exigent le respect des échéances, de la durée et du nombre des mandats dans l’organisation des élections et ce conformément aux dispositions pertinentes reprises à l’article 220 de la constitution.<br />
<br />
Enfin, le Groupe UDPS ET ALLIES et les partis politiques de l’opposition exigent à nouveau que l’élection présidentielle soit  organisée,  au plus tard,  en 2016.<br />
<br />
Ainsi fait à Kinshasa, le 27 Mars 2014<br />
<br />
Les signataires<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjoGj2LsYksi7KMLQbc1l_AjAGBCRv2wBaMQnTkfc9hjGM_LdEcE2fwT9ybRlsdOk5kHigKLWA2tlup8SOr4wFgmffEuIL1ei6dwtobZE39qFSQVgny9gVCU-RbtgtRrCrzJRQtCx5Gu1NO/s1600/Snapshot_58~1.jpg" rel="image_src" width="400"></link>

Politique Ni révision, ni changement de la Constitution: Udps et Alliés, Samy Badibanga appelle à la vigilance !

*Au nom de ses pairs de l’Udps & Alliés ainsi que des partis politiques de l’opposition représentés à la Chambre Basse du Parlement, l’...

Jour pour jour,Le 28 mars 2013, le 28 mars 2014, une année déjà que la grande famille du Dcmp/K a perdu ses 3 joueurs .

March 28, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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<br />
<div class="clearfix _5x46" style="background-color: white; color: #141823; font-family: Helvetica, Arial, 'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif; font-size: 11.818181991577148px; line-height: 13.963635444641113px; margin-bottom: 11px; zoom: 1;">
<div class="_3dp _29k" style="display: table-cell; vertical-align: top; width: 10000px;">
<div class="_6a" style="display: inline-block;">
<div class="_6a _6b" style="display: inline-block; vertical-align: middle;">
<h6 class="_5pbw" data-ft="{"tn":"C"}" style="color: #333333; font-size: 14px; font-weight: normal; line-height: 1.38; margin: 0px 0px 2px; padding: 0px 22px 0px 0px;">
<div class="fwn fcg" style="color: #898f9c;">
<span class="fwb fcg" data-ft="{"tn":";"}" style="font-weight: bold;"><a aria-haspopup="true" aria-owns="js_379" data-hovercard="/ajax/hovercard/user.php?id=100002509505782" href="https://www.facebook.com/beaubo.ungenda.3" id="js_380" style="color: #3b5998; cursor: pointer; text-decoration: none;">Beaubo Ungenda</a></span></div>
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<div class="_5pcp" style="color: #898f9c;">
<span class="fsm fwn fcg" style="color: grey;"><a ajaxify="https://www.facebook.com/photo.php?fbid=614718961955082&set=a.332671880159793.76383.100002509505782&type=1&src=https%3A%2F%2Fscontent-b-cdg.xx.fbcdn.net%2Fhphotos-frc3%2Ft1.0-9%2F10153898_614718961955082_2043809516_n.jpg&size=720%2C540&source=12" class="_5pcq" href="https://www.facebook.com/photo.php?fbid=614718961955082&set=a.332671880159793.76383.100002509505782&type=1" rel="theater" style="color: #898f9c; cursor: pointer; text-decoration: none;">12 h</a></span> · <a aria-label="Ouvert à : Public" class="uiStreamPrivacy inlineBlock fbStreamPrivacy fbPrivacyAudienceIndicator _5pcq" data-hover="tooltip" href="https://www.facebook.com/#" id="u_l9_h" role="button" style="color: #898f9c; cursor: pointer; display: inline-block; text-decoration: none; zoom: 1;"><i class="lock img sp_3p2u1o sx_ccea95" style="background-image: url(https://fbstatic-a.akamaihd.net/rsrc.php/v2/y7/r/y6L82CqWy8N.png); background-position: -168px -392px; background-repeat: no-repeat no-repeat; background-size: 314px 908px; bottom: -1px; display: inline-block; height: 12px; margin-bottom: -5px; position: relative; vertical-align: top; width: 12px;"></i></a></div>
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<div class="mbs _5pbx userContent" data-ft="{"tn":"K"}" style="background-color: white; color: #141823; font-family: Helvetica, Arial, 'lucida grande', tahoma, verdana, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 1.38; margin-bottom: 5px;">
<div style="display: inline;">
Jour pour jour,Le 28 mars 2013, le 28 mars 2014, une année déjà que la grande famille du Dcmp/K a perdu ses 3 joueurs dont un gardien de but Guelord Dibulana et Deux joueurs de champs au nom de Moyenge dit Bousquet et le buteur maison Mozart Muanza, des morts subites qui choquent jusqu'au d'aujourd'hui la nation congolaise en general et la grande famille sportive en particulier.<br />
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 Nous ne vous oublierons jamais et que vos âmes reposent toujours en paix.</div>
</div>
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Au tour de Kinshasa Sport Jour pour jour,Le 28 mars 2013, le 28 mars 2014, une année déjà que la grande famille du Dcmp/K a perdu ses 3 joueurs .

Beaubo Ungenda 12 h · Jour pour jour,Le 28 mars 2013, le 28 mars 2014, une année déjà que la grande famille du Dcmp/K ...

Marthe Tshisekedi contourne son mari pour négocier avec le régime via Mugalu

March 28, 2014

<h3>
<span style="font-size: large;">L’épouse d’Etienne Tshisekedi, Marthe Kasalu Jibikila, a rencontré Théodore Mugalu dans le plus secret, et à l’insu de son son mari, selon des sources recoupées dans la cour tshisekediste à la 10ème rue Pétunias, à Limete.</span></h3>
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<span style="font-size: large;"><br /></span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjdpb2mxrezowBv_Ud6yIaFMTObReJPLZvMhBrefdWBV_I1cRJeuvdxeyxDdKDYx45oRtyBnLsS6jn5ccTsfsyTMPbriWPK-H59ABbBZaencEQASwn7l8GnEfiLV_xYXiOF9z78HirKpWna/s1600/Snapshot_45~1.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="283" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjdpb2mxrezowBv_Ud6yIaFMTObReJPLZvMhBrefdWBV_I1cRJeuvdxeyxDdKDYx45oRtyBnLsS6jn5ccTsfsyTMPbriWPK-H59ABbBZaencEQASwn7l8GnEfiLV_xYXiOF9z78HirKpWna/s1600/Snapshot_45~1.jpg" width="400" /></a></div>
La rencontre s’est déroulée, sitôt Maman Marthe revenue le 4 mars, d’un séjour à Bruxelles. Pour en assurer une confidentialité totale, c’est la propre soeur de Tshisekedi, Eugénie Tshika, qui a parrainné la rencontre chez elle, à Mont-Ngafula, non du centre hospitalier de renom Monkole, arrêt Fulu. Tshika est en contradiction quasi ouverte avec son frère. Elue de Kabeya- Kamwanga, elle continue à toucher discrètement ses émoluments à l’Assemblée nationale comme Alexis Mutanda alors que Tshisekedi a appelé tous les siens au boycott des institutions issues des élections du 28 novembre 2011. Elle compte avec sa belle soeur Marthe parmi ceux à l’UDPS qui pensent que l’instransigeance de Tshisekedi les empêchent de jouir, à leur tour, des privilèges du pouvoir. D’où la tentation de contourner Tshisekedi. Celle-ci s’est renforcée dans ce courant lorsque l’historique opposant s’est rétracté après avoir reçu le chef de la maison civile du Chef de l’Etat, en octobre dernier, chez lui à Limete.<br />
<br />
Tout se passe comme si la conjointe a décidé de reprendre le flambeau elle- même. En tout cas, à son retour de la capitale belge, elle a débarqué avec un schéma tout tracé. Elle a commencé par prendre vertement son conjoint convalescent à partie. Et devant des témoins interloqués par la dureté de ses propos.<br />
<div>
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Acte II: elle a viré tout le monde. Albert Moleka et le secrétaire de cabinet de Tshisekedi, Honoré Dienu, en ont eu pour leurs comptes. </div>
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<br /></div>
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Non seulement chassés comme des malpropres, ils ont été interdits de mettre le pied à jamais à la résidence Tshisekedi. Le patron a donné un contre-ordre mais rien n’y a été fait. Quel comble pour un homme de cette envergure d’avoir laissé si longtemps se mêler les affaires de famille et les activités du parti pour qu’un jour il se retrouve impuissant face à la volonté de sa femme. “Nous avons longtemps conseillé à Etienne Tshisekedi de déplacer son cabinet privé de sa résidence.<br />
<br />
Aujourd’hui, l’emprise de sa famille pèse sur lui”, regrette un cadre de l’UDPS parmi les compagnons de première heure sous la dictature mobutienne. Entre Kasalu et l’entourage de Tshisekedi, deux approches f o n d a m e n t a l e m e n t divergentes depuis que le maître des céans connaît des ennuis de santé. </div>
<div>
<br /></div>
<div>
Le pouvoir y a joué avec un article commandité dans un quotidien kinois pour faire état de sa disponibilité à assister Tshisekedi à condition que sa famille biologique en fasse la demande par écrit à qui de droit. Albert Moleka, l’ultra-radical Valentin Mubake et les autres s’y sont opposés, prenant la voie d’éxiger les indemnités de sortie de Tshisekedi comme Premier ministre, indemnités estimées à 1.050.000 dollars dont 100.000 dollars seulement ont été payés en mai 2011. Pour Maman Marthe, qu’importe la forme. Comme qui dirait l’argent n’a pas d’odeur. Kasalu avait déjà un oeuf à peler avec son mari à partir de décembre 2013.<br />
<br />
Une incompréhension était née à la suite du refus de Tshisekedi de recevoir à nouveau Mugalu qui en avait formulé la requête par les canaux officiels. Dans sa demande d’audience, ce dernier sollicitait “l’heure, le lieu et la date” pour un rendez- vous Kabila-Tshisekedi. </div>
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<br /></div>
<div>
Cette fois-ci, Eugénie Tshika qui avait joué à l’entremetteuse entre son frère et Mugalu pour la première fois avait été isolée à partir de Limete pour n’interférer en rien. Mugalu a appris à ses dépens qu’il n’y a que Tshisekedi pour compter sur Tshisekedi. </div>
<div>
<br /></div>
<div>
Les mêmes sources tshisekedistes rapportent que l’épouse Tshisekedi négocierait pour le positionnement de l’un ou l’autre de ses fils, Félix et Christian Tshisekedi. Elle est même prête à les envoyer dans le gouvernement de cohésion nationale attendu, pourvu que Joseph Kabila daigne leur réserver un gros maroquin, un poste de vice-Premier ministre par exemple. paul mulang</div>
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Politique Marthe Tshisekedi contourne son mari pour négocier avec le régime via Mugalu

L’épouse d’Etienne Tshisekedi, Marthe Kasalu Jibikila, a rencontré Théodore Mugalu dans le plus secret, et à l’insu de son son mari, selon ...

Journal télévisé et revue de presse très intenses de la CHAINE télé 50 du 28/03/2014 "suivez suivez"

March 28, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhCXHNEGScl160MMkW4WeARxPQL2o_lMMYJqgDuagnd2O6tnvO2YVyjbJlZ-7RDH0IPG31_3dHwlRLb2999AraW7u_08oIi4WQ28eCkcv8kV91QyhDnP9VPsjAJot5mUyA1QKO9P1JhSBQS/s1600/J15.jpg" rel="image_src" width="400"></link>
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Journal télévisé et revue de presse très intenses de la CHAINE télé 50 du 28/03/2014 "suivez suivez"<script async="" src="//pagead2.googlesyndication.com/pagead/js/adsbygoogle.js"></script>

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le journal Journal télévisé et revue de presse très intenses de la CHAINE télé 50 du 28/03/2014 "suivez suivez"

Journal télévisé et revue de presse très intenses de la CHAINE télé 50 du 28/03/2014 "suivez suivez"

Vidéo: Des policiers sud-africains dénudent et passent un homme à tabac. Regardez

March 28, 2014

<h3>
<span style="font-size: large;">Une vidéo montrant des policiers du Cap en train de dénuder et de passer à tabac un homme faisait scandale vendredi en Afrique du Sud, où la violence des forces de l’ordre est un sujet récurrent d’inquiétude et de polémique.

Divers Vidéo: Des policiers sud-africains dénudent et passent un homme à tabac. Regardez

Une vidéo montrant des policiers du Cap en train de dénuder et de passer à tabac un homme faisait scandale vendredi en Afrique du Sud, où l...

Katanga: 11 chefs coutumiers s’échappent de leurs ravisseurs Maï-Maï

March 28, 2014

<h3>
<span style="font-size: large;">Kidnappés depuis 15 mois par les miliciens Maï-Maï Bakata Katanga, onze chefs coutumiers du territoire de Mitwaba se sont échappés, il y a quelques jours, des mains de leurs ravisseurs pour se cacher dans la localité de Nsela, à plus de 30 km de Lubumbashi (Katanga). Arrivées jeudi dans la soirée à Lubumbashi, ces autorités traditionnelles ont été présentées ce vendredi 28 mars au gouverneur du Katanga et au commandant de la 6è région militaire.</span></h3>
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<div style="border: 0px; color: #222222; font-family: georgia, 'palatino linotype', palatino, 'times new roman', times, serif; font-size: 14px; line-height: 20.15999984741211px; outline: 0px; padding: 0px 0px 10px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhJuFESdXoQ_ciXRk-bjafApTuG9vMgJu9eWulIf5b5B-T_le8EHrMNkuzsc2-KRulh3xKm76AwtSdoskaFCmxCxxt1Xe5RbV__sZ2xB8oysUHRAPaZAbLQSxXvxqywwjIzwS07mGKv9qcv/s1600/pooooooooooooooooooooo.JPG" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhJuFESdXoQ_ciXRk-bjafApTuG9vMgJu9eWulIf5b5B-T_le8EHrMNkuzsc2-KRulh3xKm76AwtSdoskaFCmxCxxt1Xe5RbV__sZ2xB8oysUHRAPaZAbLQSxXvxqywwjIzwS07mGKv9qcv/s1600/pooooooooooooooooooooo.JPG" width="400" /></a></div>
Ces chefs coutumiers avaient été enlevés alors qu’ils étaient partis au village Mupanga, à 45 km de Mitwaba-centre, pour négocier avec les miliciens le retour de la paix dans le territoire de Mitwaba.<br />
<br />
Ces Maï-Maï reprocheraient notamment à ces chefs coutumiers partis négociés avec eux de travailler pour le gouvernement. Onze chefs coutumiers ont été enlevés et gardés au secret. Deux autres avaient réussi à s’échapper et à alerter les autorités du gouvernement provincial du Katanga.<br />
<br />
L’un de deux chefs coutumiers évadés, Kalenga Tamba, de la chefferie de Kyona Ngoy, est arrivé à Lubumbashi en janvier 2013 tandis que l’autre était retourné directement à Mitwaba.<br />
<br />
Les Maï-Maï Bakata Katanga sèment, depuis plusieurs mois, l’insécurité dans le territoire de Mitwaba, obligeant plusieurs notables de ce territoire à le fuir.<br />
<br />
Les axes Mitwaba-Lubumbashi et Mitwaba-Likasi ne sont plus fréquentés. La plupart des paysans se sont déplacés vers les sites de cantonnement à Mitwaba centre, à Mufunga Sampwe ou ailleurs. Conséquence : les prix de certaines denrées alimentaires ont sensiblement augmenté à cause de l’insécurité dans cette zone.<br />
<br />
Les miliciens Bakata Katanga avaient incendié, entre août 2013 et janvier 2014, 66 villages dans le « triangle de la mort », formé par les territoires de Mitwaba, Manono et Pweto, ainsi que dans le territoire de Malemba Nkulu (Katanga). Ces attaques avaient causé le déplacement de plus de 500 000 personnes dans cette region, selon les humanitaires.<br />
<br />
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la Nation Katanga: 11 chefs coutumiers s’échappent de leurs ravisseurs Maï-Maï

Kidnappés depuis 15 mois par les miliciens Maï-Maï Bakata Katanga, onze chefs coutumiers du territoire de Mitwaba se sont échappés, il y a ...

RDC : Kabila accusé de préparer un “coup d’État constitutionnel”

March 28, 2014

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<h3>
<span style="font-size: large;">L’opposition congolaise dénonce une réforme de la Constitution proposée par la majorité présidentielle. Selon elle, cette modification, incluant un changement de mode de scrutin, permettrait à Joseph Kabila de briguer un troisième mandat.</span><span style="font-size: large;"><br /></span></h3>
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjkvrazPbBiTFaN-4zgbrgIvYnLEk7M76XEh88kie87lIctBoXXvOiprFwkv2OXIKKc4ebyblq7xKNvG4Eq3cldpIcr0PbGid5I6Qreri8mzy7f2sLog8PoYYQivnfjqlC7Y2KPMBbXGole/s1600/Joseph-Kabila+(1).jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjkvrazPbBiTFaN-4zgbrgIvYnLEk7M76XEh88kie87lIctBoXXvOiprFwkv2OXIKKc4ebyblq7xKNvG4Eq3cldpIcr0PbGid5I6Qreri8mzy7f2sLog8PoYYQivnfjqlC7Y2KPMBbXGole/s1600/Joseph-Kabila+(1).jpg" width="400" /></a></div>
Le président congolais Joseph Kabila planifierait-il “un coup d’Etat constitutionnel” ? Pour les opposants, il ne fait aucun doute. Opposition et acteurs de la société civile se mobilisent, vendredi 28 mars, contre une réforme de la Constitution, qui selon eux viserait à permettre à l’actuel président de rester aux rênes du pays au-delà de 2016, date du prochain scrutin présidentiel. À ce jour, le chef de l’État n’est pas autorisé à briguer un troisième mandat.<br />
<br />
La Majorité présidentielle (MP) a indiqué la semaine dernière qu’elle envisageait “sérieusement” un référendum pour modifier l’article 197 de la Constitution congolaise. Si cette modification est acceptée, les élections des députés provinciaux de 2015 pourraient se tenir au suffrage indirect plutôt que direct. Un cas de figure dénoncé par Vital Kamerhe, président du parti d’opposition, l’Union pour la nation congolaise (UNC). “Tout le monde rejette le suffrage indirect, on va confisquer la souveraineté du peuple”, a réagi cet ancien allié de Kabila à l’AFP. “Nous allons dénoncer ce coup d’État constitutionnel.”<br />
<br />
Une première révision de la Constitution en 2010<br />
<br />
Vital Kamerhe craint notamment que la réforme ne se limite pas au scrutin local comme indiqué et que, à terme, le président soit élu au scrutin indirect par le Parlement. Ainsi, “nous aurons pratiquement [...] une nouvelle République” et l’on pourra dire que “les compteurs sont remis à zéro” en ce qui concerne les mandats présidentiels, aujourd’hui limités à deux, a-t-il redouté.<br />
<br />
La majorité présidentielle a pour sa part tenu à rassurer la population, via un discours télévisé du président du Parlement, en niant toute volonté de “comploter [...] contre la Constitution”.<br />
<br />
Mais pas de quoi apaiser l’opposition qui voit, dans cette annonce, une deuxième faute majeure du gouvernement. Les Congolais “ont déjà connu une première faute lorsque la majorité a révisé de façon cavalière la Constitution en 2010″, a déclaré Vital Kamerhe. Cette manœuvre a facilité la réélection de M. Kabila quelques mois plus tard en ramenant la présidentielle de deux tours à un.<br />
<br />
Autre sujet d’inquiétude : la majorité a affirmé sa volonté d’entreprendre un recensement administratif de la population en vue de l’échéance électorale de 2016. Une perspective dénoncée par plusieurs dirigeants de l’opposition qui y voient une manœuvre pour reculer la date du scrutin présidentiel, vu l’ampleur de la tâche dans un pays aux infrastructures sommaires et au territoire grand comme cinq fois la France.<br />
<br />
Avec AFP<br />
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Politique RDC : Kabila accusé de préparer un “coup d’État constitutionnel”

L’opposition congolaise dénonce une réforme de la Constitution proposée par la majorité présidentielle. Selon elle, cette modification, ...

HORREUR À LODJA !

March 27, 2014

<h3>
<span style="font-size: large;">* Un criminel tué et 48 maisons incendiées.</span><span style="font-size: large;">* Halte à toute instrumentalisation politicienne de la mort d’un brigand notoire.</span><span style="font-size: large;">La ville de Lodja, capitale économique du district du Sankuru au Kasai Oriental, a vécu un lundi chaud, le 25 mars 2014. </span></h3>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVNtNzAMGbyQiz1ksxLn47EyEnCEgutG96WcNUrT66LFT4t4zYcG9HEsSPNgPhG2v2Dq1zc7xbqVHdM1UaJj-IPsYhhlvUrhLy-DTTYLwcSeJbaf8TiXXSsdeIUM883Mv4oB1968zjLXxa/s1600/Snapshot_13~4.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="306" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVNtNzAMGbyQiz1ksxLn47EyEnCEgutG96WcNUrT66LFT4t4zYcG9HEsSPNgPhG2v2Dq1zc7xbqVHdM1UaJj-IPsYhhlvUrhLy-DTTYLwcSeJbaf8TiXXSsdeIUM883Mv4oB1968zjLXxa/s1600/Snapshot_13~4.jpg" width="400" /></a></div>
<div>
Un certain Oyombo w’Oyombo alias " Eketo " (Gorille), repris de justice et brigand notoire connu pour ses exploits criminels à travers les territoires du Sankuru (Katako, Lodja, Lomela, Kole, Lubefu), a trouvé la mort au cours d’une bagarre avec les éléments de la Police Nationale. Les agents de l’ordre tentaient de l’interpeller après qu’il eût extorqué des biens de valeur à de paisibles citoyens, dont 3 motos, des engins roulants qui servent de taxi-motos à travers ces territoires ruraux. Les propriétaires des unités de production s’étaient plaint à la police du forfait, un de plus, du Sieur Oyombo alias " Eketo ".</div>
<br />
L’homme, un habitué des cachots, " amigos " de la PNC et parquet du Sankuru, n’en menait pas moins allègrement sa vie active, protégé qu’il était par des personnalités politiques originaires du district, selon une rumeur que nul n’a vraiment jamais songé à vérifier.<br />
<div>
<br /></div>
<div>
Jusqu’au jour où, excédé par les excentricités rebelles de " Eketo ", les autorités politico-administratives de Lodja ont décidé de mettre le grappin dessus. Non sans peine. Avant que des renforts de la police n’investissent le quartier du Sieur " Eketo ", lundi dernier, au moins une dizaine d’agents de l’ordre avait été proprement passé à tabac par le brigand à la force herculéenne légendaire. </div>
<div>
<br /></div>
<div>
C’est un élément de la PNC, l’Agent de Police Shembo Okende qui, blessé par le brigand en présence des badauds qui avaient accouru là, lui a logé une balle dans la tête.</div>
<div>
La bavure policière, pourtant prise en charge par l’auditorat près la garnison militaire et le Parquet de Lodja, n’en a pas moins donné lieu à la résurgence des querelles ataviques entre ressortissants de la forêt (Ekonda), autochtone de la ville de Lodja, et ressortissants de la savane (Eswe), les deux communautés qui cohabitent dans la capitale économique du Sankuru.</div>
<div>
<br /></div>
<div>
 Ulcérés par le décès du Sieur Oyombo alias " Eketo ", ressortissant Eswe résident à Lodja, ses équipiers se sont lancés dans une vendetta dirigée contre leurs frères de Lodja, dont au moins une quarantaine de maisons a été incendiée. </div>
<div>
<br /></div>
<div>
Parmi les pertes enregistrées, on fait état d’une des meilleures institutions d’enseignement secondaire du Sankuru, propriété d’un prêtre catholique originaire de Lodja, l’Abbé Véron-Blaise Okavu On’Okundji. Des rumeurs avaient indiqué aux incendiaires que c’est un acteur politique " Ekonda " qui aurait commandité l’assassinat du brigand. </div>
<div>
<br /></div>
<div>
Quand bien même, c’est connu de tous à Lodja, l’homme a succombé au tir de l’Agent de Police Shembo Okende, un ressortissant de Lubefu, qu’il avait ridiculisé " devant femmes et enfants " en le projetant au sol d’un revers de la main.</div>
<div>
<br /></div>
<div>
A la cité Okitandeke à Lodja, où le défunt brigand tenait ses quartiers, les originaires de Lodja étaient proscrits jusqu’au moment où nous mettions sous presse. </div>
<div>
<br /></div>
<div>
Le chef du quartier, lui aussi originaire des lieux, avait vu sa résidence proprement incendiée. Les incidents du lundi dernier à Lodja se sont déroulés sous l’œil apathique et pour ainsi dire complice du colonel de la police locale, qui n’a rien fait pour maîtriser la foule en furie. </div>
<div>
<br /></div>
<div>
Il a fallu l’intervention des éléments Fardc diligentés par l’autorité provinciale pour qu’une accalmie, précaire, s’installe dans la ville. <br />
<br />
<br />
<br />
<br />
Wetsi ESAMBO Correspondance particulière<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjVNtNzAMGbyQiz1ksxLn47EyEnCEgutG96WcNUrT66LFT4t4zYcG9HEsSPNgPhG2v2Dq1zc7xbqVHdM1UaJj-IPsYhhlvUrhLy-DTTYLwcSeJbaf8TiXXSsdeIUM883Mv4oB1968zjLXxa/s1600/Snapshot_13~4.jpg" rel="image_src" width="400"></link></div>
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la Nation HORREUR À LODJA !

* Un criminel tué et 48 maisons incendiées. * Halte à toute instrumentalisation politicienne de la mort d’un brigand notoire. La ville de L...

Après M23 et ADF : les FDLR dans la ligne de mire des FARDC et Casques bleus

March 27, 2014

<h3>
<span style="font-size: large;">Depuis la ville de Goma où il se trouve, le commandant de la Force de la Mission des Nations-Unies pour la stabilisation de la RDC (Monusco), Dos Santos Cruz, a renseigné que les opérations contre les rebelles rwandais des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda(FDLR), seront menées dans les prochains jours sous le leadership des Forces armées de la RD Congo( FARDC).</span></h3>
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Hier, mercredi 26 mars 2014, ce général brésilien a confirmé que les casques bleus seront en appui aux forces de l’armée loyale dans cette entreprise dans la province du Nord-Kivu.</div>
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D’ores et déjà, son collègue onusien, le porte-parole militaire Félix Prosper Basse a confirmé que la situation sécuritaire demeure tendue au Nord-Kivu, à cause des activités négatives de différents groupes armés actifs dans certains territoires de la province.<br />
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Dans le territoire de Masisi par exemple, les FARDC soutenues par la Force de la MONUSCO, ont depuis le 15 mars 2014 repris le contrôle de la localité de Lukweti, ancien bastion de l’Alliance des Patriotes pour un Congo Libre et Souverain (APCLS), mettant ainsi un terme à 6 années de contrôle de la région par le chef rebelle Janvier et ses éléments. « L’offensive de l’armée congolaise soutenue par la MONUSCO, a également permis la conquête des localités de Lwibo, Mont Sinai, Kilambo, jadis occupées par les rebelles de l’APCLS et provoqué la débandade de ces insurgés principalement en direction du Nord et du Sud, respectivement dans les régions situées autour de Mutongo et de Nyabiondo», a précisé le lieutenant-colonel Félix Prosper Basse.<br />
Cependant, poursuit-il, entre les 20 et 21 mars 2014, au moins 12 rebelles de ce groupe armé se sont rendus aux postes opérationnels de la Force de la MONUSCO, et d’autres redditions sont attendues suite aux opérations de bouclage et de ratissage menées par les FARDC dans le secteur, soutenues en cela par la MONUSCO.<br />
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Dans le territoire de Beni, les troupes des FARDC engagées dans l’opération « Sokola » avec le soutien de la Force de la MONUSCO, consolident leurs positions à Saha Sitasa, au camp Canada, et poursuivent leurs opérations de bouclage et de ratissage dans la localité de Makoyoba III, qui furent les bastions majeurs de rebelles ougandais de l’Alliance des Forces Démocratiques (ADF).<br />
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La Force de la MONUSCO a à cet effet déployé sept 7 postes opérationnels dans le territoire de Rutshuru, dans le but de bloquer les activités des rebelles des FDLR et d’assurer la protection des populations civiles.<br />
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Le 20 mars 2014, 7 militaires congolais et 33 rebelles de l’ADF ont été tués au cours d’une embuscade tendue contre les FARDC à Abia, sur l’axe Kamango-Mbao.<br />
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Par ailleurs, la Brigade du Nord-Kivu de la Force de la MONUSCO poursuit avec détermination la conduite de ses différentes opérations unilatérales, notamment « Goma Usalama » (La paix à Goma), « Seema Suraksha » (Surveillance des régions frontalières), « Amani Kisiwa », « Rutshuru Amani » (La paix à Rutshuru), « Lushali », « Blue gaze » (Regard bleu), « Amani Mbau » (La paix à Mbau), « Usalama Pinga » (La paix à Pinga), « Chaukas », « Wide awake » (Réveil total), « Iron wall » (Mur de fer), « Silver bullet » (Balle d’argent), « Silent gun » (Arme silencieuse), « Blue shield » (Bouclier bleu), « Blue helmet » (Casque bleu), « Velvet fist » (Poing en velours) et « Vigil » (Surveillance). A en croire le porte-parole militaire, ces opérations se caractérisent par la conduite de patrouilles aériennes, motorisées et à pied, de jour comme de nuit, dans les différents quartiers de la ville de Goma, les territoires de Nyiragongo, Rutshuru, Masisi et Walikale. «Ces opérations sont menées dans le but de dominer le terrain, consolider les acquis de la débâcle du M23, interdire les activités des groupes armés, surveiller les frontières congolaises, soutenir les ‘’ilots de stabilité’’, collecter des informations sur les FDLR et les différents groupes Mayi-Mayi, mais aussi rassurer et protéger les populations civiles», a déclaré Félix Prosper Basse.<br />
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Tshieke Bukasa<link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjRslUpZRV11NTNUGqWWYqTe8R2vXX_MdEXTZKDQbNDU62UrzWLMfi95eyzc8WAA4baclRAHNzE2B23pnpYYtWqWp3hmCmRobJ1L7bcRD8baFSkA_WdeF4ec-1ndr0YBP8_69LXCJzziX9t/s1600/Snapshot_9~4.jpg" rel="image_src" width="400"></link>

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