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Elu meilleur DJ SWAG de Kinshasa : Dollar Ndibu remporte un package de 20.000$US et un contrat avec Primus !

December 21, 2014

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Les lampions se sont éteints à la 1ère édition du Concours DJ SWAG avec Primus, le vendredi 19 décembre à Kinshasa. En effet, le jeune Dollar NDIBU a été sacré Meilleur DJ de la Capitale, au terme d’une grande finale, effervescente, en la salle Algarve dans la commune de Lingwala. Agé de 24 ans, il a remporté une cagnotte de 20.000$US que M. BEN AFRIFA, Directeur Marketing à la Bralima, s’est chargé de les lui remettre.<br />
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Une ambiance euphorique a caractérisé la cérémonie solennelle marquant la finale de la saison Une du grand challenge musical destiné aux jeunes talents de la Capitale.<br />
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Il était 19h30 lorsque les jeunes challengeurs ont débarqué à bord d’une grande Limousine, sur le champ de bataille. Ils étaient huit, au total. A savoir : <br />
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1. DJ Monde (Limete/Kingabwa)<br />
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DJ Mujinga Serge (Lemba)<br />
DJ Edmond  (Lemba)<br />
 DJ KG-BOR (Kintambo)<br />
DJ Dollar Ndibu (Kinshasa)<br />
DJ Pat Love (Kasa-Vubu)<br />
DJ Akon (Barumbu)<br />
DJ Jonathan Tomatala (Bandalungwa)<br />
Ils sont venus de sept communes différentes de Kinshasa. La commune de Lemba, elle, a eu la chance de se retrouver en finale avec deux candidats potentiels. Une seule motivation les animait : celle de gagner la prodigieuse cagnotte de 20.000$ mise à leur  disposition par la BRALIMA. D’où, il fallait avoir des astuces pour produire un spectacle de qualité afin de séduire le public et surtout convaincre les membres du jury. Or, la bataille était serrée entre les jeunes DJ sur  scène. En tout cas, personne n’avait de tâche facile  devant un jury assez solide, composé de professionnels de l’art d’Orphée dont le chanteur Hervé Ferré Gola, Président du jury et parrain du concours.<br />
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Pour la finale, le règlement a imposé à chaque candidat de présenter en live enchainé d’une musique en style world music, local (congolais) et un morceau original (création ou spectacle DJ).  Il était donc question de faire un condensé musical pendant 10 minutes dont 7 de show et 3 d’improvisation d’un son dédié à la marque Primus.<br />
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Récompense d’un travail bien accompli<br />
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Un exercice difficile avec les conditions exigeant, parfois, les principes d’arrangement, animation, originalité, thème et mélodie, sur une scène de spectacle.<br />
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Les 8 finalistes ont réussi à faire de leur mieux pour faire bouger et convaincre le public. Chacun a prouvé de quoi il était capable. Mais, le dieu de l’art d’Orphée était du côté de DJ Dollar NDIBU. Ce natif de la commune de Kinshasa a épaté tout le monde. Il a été nettement supérieur en termes de spectacle et d’enchainement sonores, avec des variations de musiques fortes et énergétiques. Son point fort, estime le Président du jury, DJ Dollar sait bien communiquer  et partager l’ambiance  avec le public. ‘‘Nous avons constaté en lui une force dans la communion. Il a une touche un peu particulière dans la programmation de sons. Dollar a une belle voix au micro. Il fait des très belles interventions, tout en respectant certaines modulations dans le mixage. Donc, il a un meilleur avenir devant lui’’, a déclaré Ferré Gola, parrain du concours DJ Swag 2014.<br />
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En effet, le meilleur DJ de Kinshasa a été encouragé  par l’assistance et ses fanatiques. Il a été honoré à sa juste valeur par la Bralima qui ne ménage aucun effort pour hisser la musique congolaise à des dimensions transcendantes. <br />
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En terme de prix,  DJ Dollar a remporté un package de 20.000 $ (dont 5.000$ en cash, 5.000 $ frais de studio et duplication cd, 5.000 $ pour réalisation clip et 5.000 $ pour la promotion de l’artiste) + 50 casiers Primus.  Il a signé également un contrat de partenariat d’un an avec le brasseur. Ce contrat lui donne le droit de bénéficier d’un bon gratuit de 10 casiers de bière par mois.<br />
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Tandis que la deuxième place est revenue à DJ Pat Love de Kasa-Vubu.  Laurent BUKASA (Directeur Corporate & Relation) l’a récompensé avec 62 casiers de bières équivalents à 1000$ américains. La troisième position revient à DJ Jonathan Tomatala de Bandalungwa. Il a été encouragé par Gislain LUZOLO (Responsable marketing) avec une prime de 62 casiers de bières.<br />
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La présence de cadres et agents de la Bralima prouve combien la géante des brasseries en RDC, contribue à l’encadrement et l’épanouissement de jeunes talents. <br />
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Familles, amis, connaissances et fanatiques n’ont juré que par cette soirée éblouissante organisée par la BRALIMA et sa bière leader du pays, Primus, ‘‘Petite ya Quartier’’.  Une présence fracassante a fait vibrer le lieu de l’événement.<br />
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Une salle archicomble a refoulé du monde qui s’est déplacé pour soutenir les 8 finalistes  de la 1ère édition du concours DJ Swag.  Ceux qui n’ont pas trouvé de place dans la salle  «Algarve» étaient vite déversés au terrain Kabinda où la  Bralima avait érigé un écran géant pour diffuser simultanément  et en direct les images de la salle.<br />
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Primus, Catalyseur d’ambiance<br />
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Une atmosphère festive a été, également, régnée sur place où le brasseur a mis un point de ventes pour les consommateurs et fanatiques.<br />
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Situé en face de la RTNC, cette agglomération de la Capitale  a été mise en ébullition par l’organisation de la Bralima et Primus, Petite ya Quartier.<br />
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Cette finale a été très mouvementée  vu l’organisation et la disponibilité de gammes des produits BRALIMA pour les consommateurs. Surtout que l’organisateur a facilité l’accès à l’évènement moyennant l’achat de deux bouteilles de Primus, « Petite ya Quartier ». Cette condition donnait directement l’occasion au consommateur de participer au concours sur place, pour gagner des nombreux articles publicitaires de la marque : Lunettes,  écharpes et casques à sons (gros écouteur).<br />
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La soirée a été agrémentée par Ferré Gola qui a procuré encore satisfaction aux mélomanes et consommateurs de la bière du pays.<br />
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Ce qui fait montre que l’événement a été très bien accueilli dans un environnement où les jeunes talents   cherchent à s’imposer dans un créneau artistique en vogue à Kinshasa.<br />
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Discothèque Joker (balanceur de sons), un style de musique de programmation de manière abracadabra mais audible, pour créer l’ambiance dans un cadre précis. Parfois aux allures d’un animateur « atalaku », le DJ fait de mixages sonores sur base d’un ordinateur  avec lequel on a une sensation musicale très énergique.<br />
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Il faut signaler que Primus a fait vibrer pendant trois mois non stop toute la ville de Kinshasa avec la tenue de ce concours. Commune par commune, DJ Swag a connu de moments forts. Partout où l’événement s’est produit, on a constaté une ambiance  joviale. Les jeunes ont laissé une belle impression.  La BRALIMA, à travers sa marque « Primus », organise cette compétition  à Kinshasa  dans l’objectif de promouvoir les adeptes de ce style de musique d’animation un peu atypique.  Notons que la prochaine édition s’annonce pour le mois de septembre 2015 à Kinshasa.<br />
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 Qui vivra verra !<br />
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Jordache Diala<br />
Le direct<br />
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Affaire Jean Claude Muyambo et discours de Kabila : Réaction de Jacko Sayala de Peuple Mokonzi (vidéo)

December 21, 2014

Affaire Jean Claude Muyambo : Réaction de Jacko Sayala de Peuple Mokonzi (vidéo)<br />
<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="390" src="//www.youtube.com/embed/3YW38Hqvc7E" width="640"></iframe><br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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Affaire Jean Claude Muyambo et discours de Kabila : Réaction de Jacko Sayala de Peuple Mokonzi (vidéo)

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Affaire Jean Claude Muyambo : Réaction de Jacko Sayala de Peuple Mokonzi (vidéo)

Polémique autour du discours de Kabila : Mende reste formel, "Burkina-Faso n’est pas transposable au Congo" ( article + vidéo)

December 21, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg7ClM8E1SGkZgkH0z0QVhc2NL6hcN_UzeqikOzVNiLzyRPo8_0A5GuHX0BUVElH6b7yD7x5TqnYO9dBEy-SMF7Gd5eBJQ9PPsjJq1YPK4LW5XbfYQmF2EIoXNT4PeNFH3Pmx96nt6Enf4/s1600/MENDEE.jpg" rel="image_src" width="400"></link><br />
</div><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg7ClM8E1SGkZgkH0z0QVhc2NL6hcN_UzeqikOzVNiLzyRPo8_0A5GuHX0BUVElH6b7yD7x5TqnYO9dBEy-SMF7Gd5eBJQ9PPsjJq1YPK4LW5XbfYQmF2EIoXNT4PeNFH3Pmx96nt6Enf4/s1600/MENDEE.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg7ClM8E1SGkZgkH0z0QVhc2NL6hcN_UzeqikOzVNiLzyRPo8_0A5GuHX0BUVElH6b7yD7x5TqnYO9dBEy-SMF7Gd5eBJQ9PPsjJq1YPK4LW5XbfYQmF2EIoXNT4PeNFH3Pmx96nt6Enf4/s1600/MENDEE.jpg" width="400" /></a><br />
<div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;"><strong style="line-height: 1.6em;"><em>Mende Omalanga, Porte-parole du Gouvernement, a scruté dans les moindres détails, les questions brûlantes d’actualités qui défrayent la chronique en République Démocratique du Congo. Il s’agit des points concernant le Gouvernement de cohésion nationale, le discours du Chef de l’Etat sur l’état de la Nation et la situation sécuritaire dans le Grand Nord, précisément à Beni. C’était au cours de son tout  premier point de presse du Gouvernement de Cohésion nationale, qu’il a animé devant les journalistes de la presse tant locale qu’étrangère, réunis au grand studio central de la RTNC2, le vendredi 19 décembre 2014.</em></strong></div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">Dans son franc parlé, le ministre de la Communication et Médias n’a pas occulté son dégout total à la suite du procès d’intentions ayant entrainé de polémiques dans l’arène politique congolaise, surtout celle de l’opposition, au lendemain du discours prononcé par le président de la République le 15 décembre dernier.</div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">A tout prendre, pour Mende Omalanga le discours du Président de la République a suscité maints commentaires. D’aucuns ont salué les lignes forces du message, d’autres, par contre, en ont fait un sujet à polémiquer.</div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">Dans l’un ou l’autre cas,  Mende a tout relativisé car, il en va du témoignage de la vivacité du processus démocratique.</div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">Qu’à cela ne tienne, là où le bat blesse, c’est lorsque les médias étrangers s’en mêlent aux avis et considérations de politiciens malintentionnés, considérant certains passages du discours trop irrévérencieux par le fait que le président ait rappelé un des fondamentaux de la souveraineté d’un peuple qu’est l’autodétermination.</div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">En un mot comme en mille, le crime qu’aurait commis le Président, rapporte le Porte-parole du gouvernement, c’est le fait de n’avoir pas voulu leur donner des informations sur ses projets d’avenir personnel. Mais surtout, le fait de ne pas exprimer sa volonté de réviser l’article verrouillé de la Constitution de 2006, pour se représenter à l’élection de 2016 pour une troisième fois consécutive.</div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">C’est malvenu de penser de la sorte, martèle Mende qui, selon lui, les vraies priorités pour lesquelles le gouvernement est interpellé au quotidien par la population se rapportent essentiellement sur:</div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">-L’éradication de l’insécurité à l’Est et dans certains sites du Nord Katanga; la reconstruction nationale; les grands chantiers de modernisation des infrastructures; l’accès à une éducation de qualité pour tous les enfants congolais; la disponibilité des soins de santé de qualité; la lutte contre la pauvreté et, enfin, l’amélioration de la qualité de vie des populations.</div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">A quel moment le peuple congolais qui avait accordé ses suffrages à Joseph Kabila pour un mandat de 5 ans, sur un programme axé sur ces grandes priorités y a renoncé pour ne se préoccuper que de savoir si l’élu de 2011 serait oui ou non candidat en 2016?, se demande-t-il.  </div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">Ce qui serait encore plus attristé, dévoile Mende Lambert, c’est le fait qu’un officiel ou un journaliste étranger ait exprimé un point de vue concernant la RDC, pour que celui-ci s’impose au peuple. C’est parole d’évangile.</div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">La réponse est non, rétorque Mende car, argue-t-il, quel que soit le niveau de relations de coopération que la RDC peut entretenir avec différents partenaires, la gestion de celles-ci ne relève pas des affaires intérieures de ces nations partenaires.  </div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;"><strong>Burkina-Faso n’est pas transposable à la RDC</strong></div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">Evoquant la révolution populaire qui a eu lieu récemment dans la République sœur du Burkina-Faso, autour  de laquelle, les septiques hostiles au pouvoir  voudront faire une analogie à la situation du pays d’Emery Patrice Lumumba et de Mzee L. Désiré Kabila, Mende dit que des mouvements révolutionnaires de loin plus intenses que celui de Ouagadougou en 2014, ont secoué le pays dont l’histoire est jalonnée d’une multitude des plaies.</div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">Autrement dit, malgré la chute de Blaise Campaoré, c’est l’armée qui prend le pouvoir et qui le cédera par la suite à un civil, membre de la société civile et le Lieutenant Colonel Zida, Garde du Corps de Blaise Campaoré, Premier ministre. Ce n’est nullement l’opposition qui est aux commandes du pouvoir burkinabé, précise Mende. Cet exemple doit servir de leçons, prévient-il.</div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">Plus loin, l’élu de Lodja déclare que s’il faut suivre l’exemple burkinabé, le pouvoir congolais pourrait frapper d’interdiction des partis politiques jugés extrémistes ou qui auraient posé des actes ou tenu des propos attentatoires à la Constitution ou aux lois ainsi que des associations de la société civile qui participent ouvertement aux activités des partis politiques incompatibles avec la loi.</div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">D’exemple en exemples, les Congolais ne doivent pas oublier de sitôt, l’histoire du Mali avec le capitaine Amadou Sanogo, un pseudo révolutionnaire qui a offert aux djihadistes, le Nord Mali. Que dire des torts graves causés aux Guinéens par un pseudo révolutionnaire exalté, le capitaine Moussa Dadis Camara ? S’est interrogé Mende.</div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;"><strong>Gouvernement de cohésion nationale</strong></div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">La question a été abordée en toute clarté et ne peut amener à un débat. Exprimant la pensée politique du Chef de l’Etat, Mende a rappelé à l’opinion nationale et internationale la mission assignée au Gouvernement de cohésion nationale, à savoir : consolider la paix, appliquer les recommandations des concertations nationales; mettre en œuvre le processus de la décentralisation; appuyer l’organisation des élections; améliorer les conditions sociales des populations et, enfin, poursuivre la reconstruction du pays.  </div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">Comme d’aucuns le savent, il est constitué de 47 membres dont les Vice-Premiers ministres, ministres d’Etat, ministres et Vice-ministres issus respectivement de la Majorité, de l’Opposition et de la Société civile.</div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;"><strong>Situation sécuritaire dans le Grand Nord</strong></div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">Le gouvernement passe à la vitesse supérieure afin de mettre fin aux tueries dans le Grand Nord, plus précisément à Beni<strong>.</strong></div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">A cet effet, les offensives foudroyantes des FARDC avec l’appui de la Brigade Internationale de la Monusco, démarrées le 13 décembre 2014, ont fait plusieurs dizaines d’arrestations de terroristes présumés qui se recrutent dans les rangs des ADF-NALU, avec la complicité des Kenyans, Tanzaniens, Rwandais et des Congolais appartenant aux formations politiques actives ou en voie d’extinction (Mai-Mai, M23, RCD-K-ML) etc.</div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;">Le gouvernement s’y attèle avec la dernière énergie pour endiguer définitivement ce fléau meurtrier.</div><div style="background-color: white; color: #333333; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; text-align: justify;"><strong>Eugène Khonde</strong></div><br />
<iframe width="640" height="360" src="//www.youtube.com/embed/m4w0yBMl8-o?feature=player_detailpage" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>

Polémique autour du discours de Kabila : Mende reste formel, "Burkina-Faso n’est pas transposable au Congo" ( article + vidéo)

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Mende Omalanga, Porte-parole du Gouvernement, a scruté dans les moindres détails, les questions brûlantes d’actualités qui défrayent la ch...

Session de tous les enjeux : Majorité –Opposition, ultime confrontation !

December 21, 2014

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
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La Majorité tient à faire passer la réforme des lois électorales pendant la Session extraparlementaire qui commence cette semaine des fêtes. L’Opposition, dans la voie du boycott, promet de recourir à la rue,  le moment opportun. Jusqu’où les acteurs politiques sont-ils prêts à amener le pays ? La menace de recourir  à la rue fait, pourtant,  rire du côté de la Majorité. Alors que l’on  redoute, en même temps,  des éventuels écueils sur le chemin de la paix, si jamais  l’Opposition, voulant se défendre à sa manière jusqu’au bout, réussissait  à  jeter des millions de gens dans la rue.<br />
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Le 27 décembre prochain, les Députés et Sénateurs sont convoqués en session extraordinaire dont les grandes orientations des points à inscrire à l’ordre du jour ont, d’une certaine manière, été annoncées par le Président de la République,  lors de son discours annuel sur l’état de la Nation. Joseph Kabila  demandait, le 15 décembre dernier,  aux parlementaires de doter la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) de  lois électorales essentielles en d’accélérer avec  la programmation du processus électoral. Dans l’entre-temps, les opposants ont prévenu qu’ils boycotteraient toutes les plénières de l’organe délibératif relatives à l’examen des lois électorales. Voici qui promet de l’électricité en l’air. Pour qui suit régulièrement les travaux de l’Assemblée nationale ou du Sénat, ce n’est qu’un secret de polichinelle. Les projets de lois seront examinés et adoptés dans le sens voulu par la Majorité. Très dernièrement, en effet,  la loi sur la reddition des comptes 2012 est passée en l’absence de l’Opposition parlementaire. Certains analystes tablent sur un énième revers de l’Opposition. C’est prévisible. La majorité s’étant renforcée numériquement avec la venue des cadres du Mouvement de Libération du Congo (MLC) au Gouvernement dit de cohésion nationale, de l’Opposition Républicaine etc.<br />
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Mais, d’autres observateurs voient, cependant,  venir une crise institutionnelle. Une crise, dit-on, qui s’installerait,  si les deux Chambres du Parlement, vidées des opposants, imposaient au pays le seul point de vue de la Majorité. Il se posera  encore une fois de plus, la question de la légitimité. Le Sénat, par exemple, évolue sans mandat  depuis plusieurs années, souligne un analyste politique.  Acculée, l’Opposition n’aura d’autre issue que de recourir à la rue. Les Forces politiques et Sociales ont publié  une déclaration pleine de mises en garde. Le jeudi 18 décembre, l’UNC de Vital Kamerhe et le RCD/KML accusaient le Président Kabila de vouloir glisser le calendrier électoral en conditionnant l’organisation de toutes les élections par de nouvelles lois électorales. Ces opposants rejetaient, par la même occasion, le recensement administratif de la population comme préalable aux élections de 2016. En temps opportun, promettaient-ils, le peuple qui, jusqu’ici, regarde  patiemment,  prendra ses responsabilités. Kamerhe et les siens envisagent   sérieusement de mobiliser la population  dans la perspective  de  la résistance, évoquant ainsi  les dispositions de l’article 64 de la Constitution.  Au passage, l’Opposition parlementaire renouvelle son exigence sur  la publication,  par la CENI,  d’un calendrier électoral global. La menace de recourir  à la rue fait, pourtant,  rire du côté de la Majorité. Mais, dans l’entre-temps, l’on redoute toute éventuelle surprise, si jamais   l’Opposition réussissait à  jeter des millions de gens dans la rue. En réponse, l’Opposition dénonce l’absence totale d’un cadre démocratique. Comme pour l’attester, les opposants, dans leur déclaration, rappellent que le débat démocratique ne peut s’exercer dans un pays où les marches pacifiques, les sit-in sont aspergés des bombes lacrymogènes ; les médias privés sont fermés et les opérateurs politiques jetés en prison.<br />
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Rapport des forces<br />
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La confrontation annoncée entre la Majorité et l’Opposition, en marge de la session extraordinaire du 27 décembre, risque de faire  des victimes. L’une des Institutions qui pourrait en payer le prix serait, dans une certaine mesure, la CENI. Tout est fonction du rapport des forces. Les opposants espèrent qu’en restant en dehors de l’hémicycle, avec le soutien de la population dans la rue, ils pourraient au minimum obtenir la convocation d’un dialogue. Alors sera posé le problème de la reconfiguration de la CENI. D’ailleurs, c’est l’une des recommandations des Concertations nationales.  Les opposants misent également sur un appui de la communauté internationale. C’est comme si l’appel  à la maturité lancé par  Joseph Kabila  aux  acteurs politiques congolais était encore loin d’être entendu. Décidément, l’histoire d’un dialogue des sourds est et reste d’actualité.

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