C’est une histoire qui date d’ il y a presque 20 ans qui lui remonte plein le visage. Fort probable, ses subsides qui lui viennent de SOCODA pourraient être saisis si jamais… Koffi Olomide engage en 1996, Dread Ngapenia Indongia comme directeur administratif et de production. L’homme accumule 11 mois sans salaire et est même démis de ses fonctions. Il est à nouveau embauché en octobre 1997 avec une promessed’un traitement de 100 dollars. Les relations se détériorent de nouveau, pourqui connaît Koffi, ça ne peut guère étonner. Cette fois Dread Ngapenia décide de saisir la justice pour licenciement abusif. Koffi Olomide est condamné ,par le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa Kalamu, à lui verser USD 1.500 à titre de dommage- intérêts (DI) assortis des intérêts judiciaires de 6% l’an à compter de l’assignation.

Le patron de Quartier Latin va en appel. Curieusement, Koffi Olomide n’a point daigné comparaître ni se faire représenter par un conseil, à l’audience du mardi 27 janvier 2015 à la Cour d’appel de Kinshasa Gombe. La partie défenderesse comparaissant seule, sans conseil, a souhaité que le défaut soit retenu à charge de l’appelant. Selon un praticien de droit, le défaut congé entraîne le rejet de l’appel, a-t-on appris. Le ministère public a estimé dans son avis qu’ayant été saisi régulièrement par un exploit de notification de date d’audience, sollicité un défaut congé à charge de l’artiste musicien. La Cour, siégeant en cette matière de Travail a pris l’affaire en délibéré.

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