
Le président de l’UDPS informe que Diomi Ndongala, président de la Démocratie chrétienne (DC), arrêté et emprisonné depuis le 8 avril 2013, figure d’ailleurs en bonne place sur la liste des 6 personnalités que l’Udps compte emmener au Comité préparatoire du Dialogue si les conditions posées par elle sont remplies, notamment la conformité du Dialogue avec la Résolution 2277, l’implication des USA, de l’UE, de l’OIF en appui à l’UA et son caractère inclusif.
Pour Étienne Tshisekedi, toujours selon 7/7.cd qui titre « Crise politique :Tshisekedi tacle J.Kabila, cajole M. Katumbi et exige la libération de Diomi », le président congolais est responsable de la situation politique délétère en RDC. Lui et sa famille politique se livrent à des actes de provocation, d’intimidation et de terrorisme d’État, écrit le patron de l’Udps qui explique que c’est ce que la Communauté internationale appelle «restriction de l’espace politique» et qui justifie la menace de sanctions brandies contre les responsables politiques congolais.
Par ailleurs, l’opposant historique apporte son soutien appuyé à Moïse Katumbi dans son bras de fer avec le régime, condamnant le «traitement ignoble» qui a été réservé à l’ex gouverneur du Katanga.
Avec ces énièmes exigences, où le sphinx de Limete exige de Joseph Kabila des signaux forts pour décrisper le climat tendu, la tenue du Dialogue politique convoqué depuis des lustres n’est pas pour demain.
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