
Selon des sources anonymes, des miliciens de ce groupe d’autodéfense aurait soupçonné cette propriété du président Joseph Kabila d’être un sanctuaire des rebelles qui sèment la terreur en perpétrant des massacres contre les habitants de la région de Beni.
Des témoins joints par POLITICO ont affirmé que les détonations à l’arme lourde et légère étaient entendues les après-midi dans cette zone et ont occasionné l’arrêt du trafic sur la route Beni-Butembo.
Joint au téléphone, le capitaine Mak Hazukay Mongba, porte-parole de l’armée Congolaise dans la région a promis d’exprimer sur ces affrontements demain et qu’un communiqué officiel sera publié à l’occasion.