Dans son point de presse tenu lundi à Kinshasa, le ministre des médias et porte parole du gouvernement Lambert Mende Omalanga a affirmé que la libération de Moïse Katumbi et Jean Claude Muyambo concernait la partie civile, ce que dément un activiste des droits de l'homme.
Maître Jean-Claude Katende, président de l’association congolaise pour la défense et la promotion des droits de l’homme, ASADHO fustige les déclarations du ministre Lambert Mende sur les cas des opposants Moïse Katumbi et Jean-Claude Muyambo.

« Le fait que l’Etat congolais comme ministère public était d’office impliqué dans les affaires de ces personnalités politiques de l’opposition et a un mot à dire par rapport aux infractions commises qui touchent à l’ordre public », explique-t-il.

« Au contraire, même si les particuliers ont retiré leur plainte en bonne et due forme, le ministère peut d’une manière ou d’une autre les poursuivre. Jean Claude Katende encourage l’État congolais à commencer par se dessaisir de l’affaire Katumbi et Muyambo pour enlever tout équivoque des aspects pénaux en vue de laisser le tribunal civil à trancher sur les matières civiles. Voici le bon droit« , a-t-il conclu
POLITICO.CD
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