
Pour l’évêque de Mbandaka-Bikoro, il faut tout simplement qu’il y ait une ferme volonté des acteurs politiques à aller de l’avant et non à tourner a rond. « Nous ne sommes pas disposés à accompagner des gens qui ne sont pas de bonne volonté« , a-t-il indiqué.
En ce qui concerne, les conditions à poser avant cette reprise de main, Mgr Ambongo refuse de faire de commentaires avant qu’une demande formelle ne soit faite à la CENCO. « Aucune condition n’est, pour le moment, posée à une reprise de bons offices, vu qu’aucune demande n’a été faite. Ce qui est certain est que s’il y a une demande pour aller de l’avant, l’église ne refusera pas« , a-t-il rassuré.
Fridolin Ambongo est formel: » Sous cette forme là, la mission nous confiée par le chef de l’état ne peut pas reprendre. Nous l’avons déjà clôturée« .
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