
« M. Philippe » (son nom d’emprunt, destiné à protéger son identité) travaillait pour la société canadienne Banro dans une mine d’or du Sud-Kivu. Il avait été enlevé le 1er mars, en compagnie de quatre autres employés – un Tanzanien et trois Congolais. Selon un proche de l’Élysée, le coup de fil du 28 mai – le premier entre les deux chefs d’État – a été « chaleureux ».
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