La dépouille de Rossy Mukendi Tshimanga, militant assassiné lors de la marche des catholiques du 25 février devant la paroisse St Benoît de Kinshasa, s’est retrouvée au centre de vives tensions, mercredi, entre la famille et les autorités.


Ces dernières, qui affirment toujours que le militant kinois a été tué par une balle en caoutchouc, voulaient pouvoir autopsier rapidement le corps de Rossy. La famille a refusé. Elle a demandé a ce que l’autopsie soit faite dans les règles, « histoire que personne ne puisse escamoter les pièces à conviction », explique un ami de la famille.

Face à la détermination des proches de Rossy, les autorités ont enclenché une marche arrière… mais les autorités médicales ont exigé une somme conséquente pour effectuer l’autoposie.

Une somme que la famille, les amis de Rossy, les mouvements de jeunes et les mouvements citoyens tentent de rassembler.

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