Le 8 août 2018 a apporté, une fois de plus, la preuve que le Président KABILA est un homme de parole et un démocrate affirmé. Elle représente, désormais, un repère historique important. En effet, voilà plus de deux ans qu’une certaine Communauté Internationale relayée par quelques opposants congolais radicaux soumis aux puissances extérieures, répète à tue-tête, à qui veut l’entendre, que le Président KABILA ne respectera pas la Constitution. On nous a chanté sur tous les tons que l’Accord de la Saint Sylvestre ne sera pas respecté. Certains n’ont pas hésité à parier que Joseph KABILA briguerait un troisième mandat, alors que la Constitution ne le lui permet pas. Abusant de cet argumentaire, d’aucuns ont prêché depuis plus d’une année une «Transition sans KABILA ». Face à ce déni insensé, le Président KABILA n’a eu depuis qu’une seule réponse : « La Constitution de la République sera respectée ». Et, elle l’a été. Tel est le constat d’un analyste pro-Majorité qui, dans une tribune, considère que Joseph Kabila est, sans plus ni moins, le véritable père de la démocratie congolaise. Dans cette édition, il y a lieu trouver l’essentiel de son argumentaire. Car, pour lui, en désignant Emmanuel Ramazani Shadary, Joseph KABILA a effectivement gagné sur toute la ligne et restera à jamais gravé dans la mémoire des Congolais.

Joseph Kabila, le véritable père de la démocratie congolaise

Le 8 août 2018 restera gravé dans les annales de la démocratie congolaise comme une date historique.

Il est vrai que le combat pour la démocratisation de la RDC date de bien longtemps. Le prophète Simon KIMBANGU, le Président Joseph KASAVUBU et spécialement, le héros national Patrice EMERY LUMUMBA figurent sur l’honorable liste de précurseurs et pionniers que l’histoire reconnaît.

Mzee Laurent-DESIRE KABILA a consacré sa jeunesse à ce combat jusqu’à y sacrifier sa vie. Personne ne saurait, non plus, nier la lutte pour la démocratie menée par Etienne TSHISEKEDI et ses compagnons sous la dictature de MOBUTU.

Cependant, force est de constater que c’est seulement depuis la promulgation de la Constitution du 18 février 2006 que la démocratie considérée, selon le mot de Winston Churchill comme «un mauvais système, mais le moins mauvais de tous les systèmes », est en pratique sous nos cieux.

C’est, en effet, depuis l’entrée en vigueur de cette Constitution que la vie politique de notre pays, malgré moult heurts, s’efforce, jour après jour, de s’approcher de l’idéal inatteignable d’une démocratie parfaite. Le Congo vit dans une démocratie parlementaire respectueuse de la séparation des pouvoirs, avec une opposition reconnue, exerçant ses activités sans obstacle tant que les lois de la République sont respectées. En République Démocratique du Congo, la presse s’exprime sans entrave. La société civile s’organise comme bon lui semble.

Cela étant, la date du 8 août 2018 représente désormais un repère historique important. En effet, voilà plus de deux ans qu’une certaine Communauté Internationale relayée par quelques opposants congolais radicaux soumis aux puissances extérieures, répète à tue-tête, à qui veut l’entendre, que le Président KABILA ne respectera pas la Constitution. On nous a chanté sur tous les tons que l’Accord de la Saint Sylvestre ne sera pas respecté. Certains n’ont pas hésité à parier que Joseph KABILA briguerait un troisième mandat, alors que la Constitution ne le lui permet pas. Abusant de cet argumentaire, d’aucuns ont prêché depuis plus d’une année une « Transition sans KABILA ».

Face à ce déni insensé, le Président KABILA n’a eu depuis qu’une seule réponse : « La Constitution de la République sera respectée ». Et, elle l’a été.

Le 8 août 2018 a apporté, une fois de plus, la preuve que le Président KABILA est un homme de parole et un démocrate affirmé.

En réaction à la décision du Front Commun pour le Congo (FCC), de présenter son candidat, le bloc national et international constitué contre le Président KABILA se fissure. Ces réactionnaires ont reçu une claque en entendant l’ONU, l’Union Africaine, l’Union Européenne, la France et bien d’autres encore au travers des canaux très officiels encourager le Chef de l’Etat. Sur le plan africain, les Chefs de l’Etat réunis à Luanda le 14 août 2018, félicitent le Président de la République d’avoir tenu parole.

Depuis, l’opposition radicale se montre désemparée. Subitement, elle donne les signes indiquant qu’elle n’est pas prête à affronter le Front Commun pour le Congo (FCC) à la fin de cette année. Et, du coup, les opposants ne s’agitent plus pour exiger la tenue des élections le 23 décembre 2018. Le Président ayant confirmé sa volonté de respecter la Constitution, les radicaux dévoilent leur jeu en entrant visiblement dans un processus de complication par la multiplication de conditionnalités. La manœuvre a pour but manifeste de conduire au report, une fois de plus, de la joute électorale tant attendue. Désormais, l’opposition ne dissimule plus son plan visant à annihiler les efforts que la Majorité ne cesse de déployer.

Quoiqu’on dise, la démonstration est maintenant faite : l’opposition radicale ne souhaite pas aller aux élections et s’est déjà engagée à les boycotter, tout en faignant d’y aller.

Qui peut encore douter que Joseph KABILA est un homme de parole et s’avère effectivement être le Père de la Démocratie congolaise.

Joseph KABILA KABANGE est un homme de parole, parce que prenant le pouvoir en 2001, il promettait aussitôt d’aller partout où cela serait nécessaire pour que le Congo retrouve la paix. Il l’a fait.

Joseph KABILA est un homme de parole, parce qu’il avait promis de reconstituer l’unité du Congo. Il l’a fait en acceptant de renoncer à une partie de son pouvoir, alors qu’il n’avait pas perdu la guerre.

Joseph KABILA est un homme de parole et un démocrate, parce qu’il a travaillé à l’élaboration d’une Constitution démocratique approuvée par Referendum et par lui promulguée alors même qu’elle contient des dispositions qu’il n’apprécie guère.

Joseph KABILA est un homme de parole et de principe, parce que, depuis douze (12) ans, nous vivons sous l’égide d’une Constitution démocratique qu’il respecte sans sortir des limites érigées par celle-ci.

Joseph KABILA est un homme de parole et de principe, parce que dans une conjoncture économique internationale doublée de l’hostilité de partenaires traditionnels du pays, il a pu mettre en œuvre le programme de reconstruction du pays, appelé « Cinq chantiers ».

Joseph KABILA est un homme de parole et de principe, parce qu’il a su résister à la forte pression de certaines puissances qui voulaient le contraindre à soumettre le pays aux évolutions souhaitées par elles.

Joseph KABILA est un homme de parole et de dignité parce qu’il quitte le pouvoir d’État en ayant fait la démonstration que la RDC peut se conduire comme un pays réellement souverain.

Joseph KABILA est un homme de parole, parce que voici plus de trois (3) ans qu’il répète qu’il respectera la Constitution et voilà que, le moment venu, il tient cette promesse essentielle à l’enracinement de la démocratie en RDC.

Joseph KABILA est un homme de parole, d’avenir et un visionnaire, parce qu’il partira en nous laissant un idéal fort, celui de la « Révolution de la modernité ».

Quoi qu’en dise une certaine presse étrangère, cet homme est rentré dans l’histoire par la grande porte.
Joseph KABILA a effectivement gagné sur toute la ligne et restera à jamais gravé dans la mémoire des Congolais.
KM/CP
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