Urgent : Crime tribal à KAMAKO, une région située à la frontière de l'Angola et Tshikapa. Certaines personnes dangereuses appartenant visiblement aux communautés Pende, Tshokwe et Tetela se sont ligués en bande criminelle pour pourchasser et ôter la vie aux lubas ainsi qu'aux casques bleus de la Monusco, révèle une source surplace.

L'armée Congolaise, les FARDC, serait en train de se préparer pour lancer des opérations militaires dans cette partie du pays pour traquer cette bande criminelle, d'après une source des familles ayant perdu les leurs dans cette aventure criminelle et satanique téléguidée par des appétits sanguinaires et une haine tribale exacerbée.







Franchement, l'État congolais doit absolument prendre des mesures draconiennes pour stopper les conflits communautaires en RDC. Car, le drame de Yumbi dans la province de Maïndombe entre les Banunu et les Batende, ayant fait plus de 1.000 morts, ont mis à nu la méfiance qui oppose même les fils et filles d'une même province. Car, il arrive, dès fois, qu'on se rende compte qu'un luba rejette un luba parce que ce dernier est tout simplement luba, un muyaka s'oppose à un muyaka, un mukongo à un mukongo dans un sens tribal. '' Bakongo bazalaka batu mabe'', peut-on écouter ici et là de la bouche de certaines personnes appartenant pourtant à la tribu Kongo dans lequel on trouve les Besingombe, banianga, bayombe, batandu...

Cependant, une maman répondant au nom d'Elysée, habitant Kinshasa, a confié à LIBERTÉ PLUS qu'elle est sans nouvelle de son mari, un luba, qui est parti dans la région de KAMAKO faire des activités évangéliques à l'une des extensions de l'église branham.

Il revient vraiment au gouvernement de ne pas réprimer le tribalisme, car, ce mot est générique, mais il faut réprimer la haine tribale caractérisée par les paroles et les actes qui consistent à stigmatiser quelqu'un ou à le nuire et l'anéantir parce que seulement celui-ci appartient à telle ou telle autre tribu.

Les acteurs politiques devront aussi, de manière très formelle, demander à leurs partisans de rejeter la haine tribale. Car, les crimes de KAMAKO et dans d'autres parties du pays semblent tirer leurs origines des orientations édictées par des opérateurs politiques en mal de repositionnement à partir de Kinshasa.

Dossier à suivre...

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