
Confortablement assis sur son chaise, Fatshi, tiré à quatre pingle, a rappelé aux journalistes le risque était bien énormes au cas ce compromis n’était pas trouvé. « Il ne faut pas oublier qu’il y a encore quelques mois on se regardait en chien de faïence. Nous nous sommes combattus de manière rude pendant les années ».
« Je craignais peut être pas la violence, mais la crise politique. Le Congo ne peut se permettre de payer ca bloquerait la marche des institutions », a-t-il poursuivi.
Grevisse Tekilazaya