
Lui qui estime que la loi en vigueur dans le pays sur le parti politique et les statuts de cettz formation politique ne permettent pas à l’actuel intérimaire d’engager le parti. « Plusieurs décisions de justice attestent mes dires. Mon seul crime a été de sonner l’alerte à ce sujet », dit-il.
De poursuivre, « ayant survécu à ses pères fondateurs, l’UDPS, notre héritage commun, n’a pas besoin d’hommes forts à sa tête, elle a plutôt besoin d’un leadership visionnaire et organisationnel fort capable de la guider vers sa destinée. »
Et de conclure, « loin d’être révélateurs des confidences entre frères, comme ils ont voulu le faire croire, les propos de médisance et les attaques qui ont été lancées contre moi récemment par ceux-là qui se servent abusivement des moyens de notre parti pour vilipender constamment d’autres cadres en contradiction avec leurs idées, sont la preuve d’un complot murement ourdi contre ma modeste personne. »
Tony-Antoine Dibendila