
Les utilisateurs de huit pays africains dont la République démocratique du Congo, la Côte d’Ivoire, le Cameroun, la Centrafrique, Madagascar et d’autres pays africains en seraient de principales victimes.
Cette année, le département de la cybersécurité du géant de la Silicone valley, ensemble avec les chercheurs de l’Université de Stanford, ont mis la main sur trois vastes réseaux, qui organiseraient de groupes d’utilisateurs de Facebook et d’Instagram, aux mois de mars, septembre et octobre.
Des campagnes d’influence pilotées depuis de comptes localisés en Russie, qui auraient pour objectif « manipuler l’opinion publique en faveur du gouvernement russe, entre autres lors de plusieurs échéances électorales ». De campagnes que les réseaux sociaux ont désactivées.
Tony-Antoine Dibendila