
Selon la présidence, qui livre cette information, ces investisseurs ont, au cours des échanges, fait part à Félix Tshisekedi de leurs principales difficultés notamment l'insécurité, le déficit d'infrastructures routières et énergétiques ainsi que la fuite des capitaux due à l'imperméabilité des frontières.
La difficulté d'accès aux capitaux d'investissements et la fiscalité ont aussi été évoquées.
En réponse à ces préoccupations, le président de la République "a dit tout mettre en œuvre pour traquer les forces négatives".
"Je ferai tout pour empêcher l'expansion de la violence", a-t-il indiqué dans des propos relayés par la presse présidentielle.
S'agissant de la question des infrastructures routières, "le chef de l'État s'est félicité de l'option levée à Kampala en Ouganda pour la modernisation des routes congolaises". Il a fait savoir aux opérateurs économiques que plusieurs axes, notamment Komanda-Mahagi et Komanda-Kisangani rentrent dans ses prévisions, rapporte la même source.
Quant au commerce transfrontalier illicite, "le président de la République pense que l'intégration de la RDC au sein de la East African Community participerait à résoudre ce problème".
Prince Mayiro