* Des individus, sous des motifs fallacieux, tentent d’instrumentaliser l’entreprise à des fins partisanes au mépris de toute rationalité.
Gécamines SA fait une nouvelle fois l’objet d’une attaque malveillante concernant un paiement reçu par GECAMINES à l’occasion de la cession de TFM par Freeport Mc Moran à CMOC.
Le détracteur en question, fait référence à une somme de : «133 millions de dollars de droit de préemption (qui) ne figureraient pas dans les livres » ce qui selon lui « constituerait un nouveau scandale » à la Gécamines.
Serein, le staff dirigeant de la Gécamines répond la main sur le cœur : «ces affirmations sont fausses». Et ils le démontrent. «La somme de 100 millions de dollars américains payée pour mettre fin au différend entre Gécamines et ses partenaires- et pas 133 comme faussement rapporté - apparait bien dans les comptes 2017 de GECAMINES comme cela a déjà été publiquement rappelé lors d’une conférence publique diffusée en direct sur la RTNC le 28 novembre 2018», indique-t-on.
Pour la société minière publique, des individus, sous des motifs fallacieux, tentent d’instrumentaliser l’entreprise GECAMINES à des fins partisanes au mépris de toute rationalité et de toute logique.
Point par point, la Gécamines démonte ces attaques malveillantes.
« Personne n’aurait eu vent de l’existence de deux paiements qui ont eu lieu en janvier 2017»
Faux, rétorque un cadre de l’entreprise minière. Car, soutient-il, «toutes les autorités concernées étaient informées de l’action engagée par GECAMINES pour faire prévaloir ses droits, bafoués par des partenaires indélicats qui s’étaient crus permis de céder un des plus beaux actifs de la RDC sans même en référer à leur co-actionnaire ni à l’Etat congolais.
Ceci est encore plus faux, indique-t-on. L’Agence Reuters, qui est citée par l’auteur lui-même dans son interpellation, indiquait le 22 février 2017 que « GECAMINES aurait reçu un paiement de 100 millions dollars pour abandonner ses objections à la vente », soit à peine un mois après le paiement.
«Continuer à prétendre aujourd’hui que cette opération aurait été faite dans l’opacité alors même que la terre entière avait été mise au courant par cette agence de presse internationale ne manque pas d’interroger sur les motivations de l’auteur ».
Selon toute vraisemblance, « l’auteur, peu avare de raccourci, additionne la partie supposée payée par Freeport Mc Moran dans cette opération (33 millions) à la part totale qui a été payée à Gécamines qui est de 100 millions, pour aboutir au chiffre erroné de 133 millions ».
Mais peut-être a-t-il fait un tout de cette somme et d’un prêt de 30 M USD consenti par TFM, et non pas par FREEPORT MAC MORAN, à GECAMINES le 30/07/2017 soit 7 mois après les faits relatés, et inscrit dans ses comptes 2018.
« Une source bien informée a confié à notre correspondant que cette somme n’apparaitrait pas dans les livres comptables de Gécamines en 2016 ou 2017. »
Une autre fausseté. Car la Gécamines, dans son rapport « La Vérité sur les mensonges des ONG en République Démocratique du Congo » a déjà écrit en novembre 2018 page 21 « Le montant de 100 millions de TFM a été enregistré au compte de résultat 2017 dans la rubrique «Hors Activité Ordinaire ». « Produits hors activités ordinaires, note 29, Etats financiers 2017».
Pour la Gécamines, continuer à prétendre, sous couvert d’une source bien informée, que cette somme ne serait pas inscrite dans les Etats financiers de la société constitue donc une pure calomnie de la part de son auteur.
« Le rapport ITIE 2016 que nous avons consulté ne fait aucune mention de ce flux »
Nouvelle aberration selon la Gécamines qui regrette que l’auteur tente d’induire en erreur ses lecteurs en laissant croire que l’entreprise n’aurait pas déclaré cette somme à l’ITIE.
Comme il l’indique lui-même, il a consulté le rapport 2016 de l’ITIE et voici la mention in extenso faite par l’ITIE à ce sujet p. 46 du rapport contextuel 2016.
Aussi, à titre d’information, il convient de signaler que,, après la date de clôture des comptes, la GECAMINES a obtenu gain de cause dans l’affaire qui l’opposait à TFM au sujet de la cession des parts de FREEPORT (56%) à China Molybdem Ltd (CMOC).
NOTE DU SECRETARIAT TECHNIQUE, BASEE SUR LES AMELIORATIONS REÇUES DE LA GECAMINES :
LE DENOUEMENT ET LA COMPTABILISATION ONT EU LIEU EN 2017
Si le dénouement et la comptabilisation ont eu lieu en 2017, note un expert de la Gécamines, il est normal que ces chiffres n’apparaissent pas dans le rapport ITIE 2016 qui ne traite que des flux de 2016.
Ainsi le chiffre de la transaction apparaitra bien dans le rapport ITIE 2017 qui est en cours d’élaboration comme renseigne la page web de l’ITIE RDC. A la Gécamines, on estime que « l’auteur témoigne par ses omissions d’une intention calomnieuse. »
Les Etats financiers de GECAMINES n’auraient pas été certifiés par un expert-comptable attitré
Ici la Gécamines est formelle. « L’auteur tente une nouvelle fois d’induire le lecteur en erreur quant à la fiabilité des comptes de l’entreprise en suggérant que ses comptes ne seraient pas certifiés par un commissaire aux comptes habilité.
A ce sujet, le rapport final de l’ITIE 2016 auquel la Gécamines recommande de se référer où il est clairement indiqué que la Gécamines « dispose d’Etats financiers certifiés par un Commissaire aux Comptes, dont le nom est mentionné dans le tableau, André Foko Tomena, connu de tous. L’entreprise a souhaité disposer d’un auditeur extérieur, Price Waterhouse Coopers membre des Big Four et dont la réputation internationale n’est plus à faire. Les déclarations faites par Gécamines sont considérées comme fiables par l’ITIE RDC».
Une nouvelle fois la Gécamines s’interroge sur les intentions de l’auteur dont toutes les interpellations sont démenties par les faits. FDA
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