La levée des sanctions prises sur l’ancien ministre de la communication et médias Lambert Mende Omalanga et de l’ancien responsable de la sécurité intérieure de l’agence nationale de renseignement (ANR) Roger Kibelisa a alimenté les débats dans le chef de l’opinion tant nationale qu’internationale.

Plusieurs Organisations non gouvernementales (ONG) des défenses des droits de l’homme, sont montées au créneau. Ils se sont insurgés contre la levée des dites sanctions. Ces ONG ont réitéré leur position prises depuis le mois de novembre dernier où elles se sont prononcées pour le maintien des sanctions dans la mesure où aucune procédure judiciaire n’a été engagée contre ces personnalités pour leur implications contre les violations graves des droits de l’homme qui ont été commises en RDC.

Selon Me Jean Claude Katende, Coordonnateur de l’Association africaine des défenses des droits de l’homme (ASADHO), les sanctions retenues contre Lambert devaient être maintenues. Car, dans ses différentes interventions médiatiques sur la situation politique du pays, Mende a toujours poussé les gens à agir dans le sens d’insister les gens à violer les droits de l’homme. » Lorsqu’on tuait les gens dans le pays, il soutenait en disant qu’on avait tué personne.

Quand la police se comportait mal, Mende soutenait et quand l’armée se comportait de manière en violant les droits des citoyens congolais, lui apportait son soutien. Il faut que des personnalités comme lui, restent sous les poids des sanctions de l’Union. Car, le jour où ces personnalités reviendront à de postes de responsabilités, elles apprendront à être modérées », a souligné Me Katende. Ce dernier a fait remarquer qu’on ne peut pas pousser les gens à commettre des forfaits à l’exemple des violences constatées sous le régime de l’ancien président Joseph Kabila.


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