
« Au niveau de l’UNC et de la coalition CACH, nous espérons que des solutions seront trouvés avec l’implication de la MONUSCO pour que finalement la paix revienne dans la partie orientale de notre pays », a affirmé Me Gabin Lulendu.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a prorogé jeudi 19 décembre à travers la résolution 2502, le mandat de la MONUSCO et, à titre exceptionnel celui de sa brigade d’intervention, jusqu’au 20 décembre 2020. La MONUSCO « maintiendra un effectif maximum autorisé de 14 000 militaires, 660 observateurs militaires et officiers d’état-major, 591 policiers et 1050 membres d’unités de police constituées. »
Pour Me Lulendu, la diminution du nombre de militaires ou l’augmentation de celui de policiers importe peu.
« Tant qu’on peut résoudre le problème des Congolais en ce qui concerne la sécurité, ce que nous attendons de la MONUSCO ce sont des résultats. Nous lui demandons de renforcer l’appui technique et logistique à accorder aux Forces armés de la RDC, renforcer les renseignements au niveau civil et militaire (…) ; bref, apporter un appui nécessaire aux FARDC », a suggéré le porte-parole intérimaire de l’UNC.
Radio Okapi