
« Nous demandons à toutes les femmes et à tous les hommes épris de bonne volonté, épris de paix, de pouvoir plaider notre cas pour que nous ne puissions pas à un moment donné perdre patience. Nous voulons être rétablis dans nos droits. La MONUSCO a une mission de stabilité. On ne peut pas parler de la stabilité là où il y a l’injustice », a estimé Modeste Bahati.
Pour sa part, Mme Leïla Zerrougui dit avoir pris connaissance de ce qui se passe dans ce dossier.
« Je les ai écoutés sur leur préoccupation, sur ce qui est en train de se passer. J’ai appris des choses et j’ai essayé de comprendre ce qui se passe. Bien évidemment c’est un sujet qui est très important pour eux », a indiqué Mme Leila Zerrougui.
Modeste Bahati Lukwebo avait déposé, au mois de juillet 2019, une plainte auprès du procureur général près la Cour de cassation contre certains membres de son regroupement qui ont fait allégeance au Front commun pour le Congo (FCC).
Radio Okapi