Le ministre de la Jeunesse et haut cadre de l’Union pour la nation congolaise (UNC), Billy Kambale, fait un parallélisme entre l’emprisonnement de l’ancien Premier ministre Patrice Emery Lumumba en 1956 pour avoir détourné des fonds des comptes de chèques postaux de Stanleyville et celui du président de l’UNC, Vital Kamerhe, en rapport avec sa détention suite à l’enquête sur le dossier du programme d’urgence de 100 jours du Chef de l’État, dont il est le directeur de Cabinet.
« En 1956, Lumumba est jugé pour avoir détourné des fonds des comptes de chèques postaux de Stanleyville et condamné à un emprisonnement d’un an. En décembre 1958, il est présent à la Conférence des peuples africains à Accra, qui constitue pour lui un tournant politique essentiel, » a-t-il tweeté.
« Ils ont corrompu certains de nos compatriotes, ils ont contribué à déformer la vérité et à souiller notre indépendance. Que pourrai-je dire d’autre ? Que, mort, vivant, libre ou en prison sur ordre des colonialistes, ce n’est pas ma personne qui compte, » a-t-il poursuivi.
Et de conclure: »Ni brutalités, ni sévices, ni tortures ne m’ont jamais amené à demander la grâce, car je préfère mourir la tête haute, la foi inébranlable et la confiance profonde dans la destinée de mon pays, plutôt que de vivre dans la soumission et le mépris des principes sacrés.« 
Ces tweets ont été diversement interprètés par les internautes.
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