La plateforme le Changement en marche, en partenariat privilégié avec l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDSP), a déposé une plainte à la Cour de cassation contre Alexis Thambwe Mwamba, président du Sénat, pour outrage au chef de l'Etat Félix Tshisekedi.

La procédure a pris une vitesse de croisière. A en croire Crispin Kabasele Tshimanga, porte-parole de cette plateforme proche du pouvoir, le magistrat instructeur est très actif et poursuit ses investigations dans le cadre de cette plainte de la plateforme contre le président du Sénat.


Pour lui, la plainte contre le président du Sénat a été bel et bien enrôlée par me parquet près la Cour de cassation. Un magistrat instructeur a été désigné à cet effet. C'est pour ainsi dire que personne n'est au-dessus de la loi. "On ne peut pas insulter le président de la République, on ne peut pas l'offenser. C'est interdit par la loi, la Constitution. Il faudrait qu'on commence par de grosses pointures de la politique congolaise pour que le petit peuple croit en l'instauration de l'Etat de droit".
Sûr de gagner cette bataille judiciaire, Crispin Kabasele affirme que le droit est du côté de sa plateforme.













On rappelle la plateforme le Changement en marche est en partenariat privilégié avec l'UDPS pour soutenir le président de la République. Cette plainte est sa façon de dire que la plateforme est derrière le chef de l'Etat.
Décidément, Alexis Thambwe Mwamba, président du Sénat, sera dans les prochains jours la cible de plusieurs affaires judiciaires. On se souvient que la sénatrice Bijou Goya a déposé il y a quelques jours une plainte contre le même Alexis Thambwe Mwamba pour diffamation et propos injurieux. Bien que le président du Sénat, à l'instigation des hauts cadres du FCC, ait présenté ses excuses à la sénatrice, celle-ci a confirmé sa plainte.
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