Dans son article du 11 janvier 2020, BLO avait alerté Mr Félix Tshisekedi et son entourage d’un plan macabre de l’élimination physique de plusieurs membres de ses proches. 




C’était à l’occasion de la disparition surprenante de Mr Gilbert Mundela Tshimango, un des conseillers les plus importants de Mr Félix Tshisekedi et martyr du patriotisme congolais. Cet homme d’Etat assez consciencieux établi depuis des années aux USA avait, en plus des bonnes connexions à l’international, un grand souci pour la RD Congo. 































Son souci pour le redressement de son pays d’origine et sa relation avec le président lui ont valu le sacrifice suprême.
Aujourd’hui, à l’allure où vont les événements autour de Mr Félix Tshisekedi, on peut se rendre compte que non seulement le président n’a pas eu le temps de prendre au sérieux l’alerte, pourtant très fondée, de BLO, mais qu’en plus ses amis-ennemis sont passés à la grande vitesse. Et les conséquences sont néfastes d’abord pour ses familiers biologiques et politiques, ensuite pour les Kasaïens qui, en considérant la présidence de Fatshi comme une opportunité historique à ne pas rater, se sont « embourbés » précipitamment dans une mangeoire empoisonnée, mais également pour toute la nation congolaise caractérisée politiquement, en ce dernier quart de siècle, par une léthargie. Il est donc très urgent d’en prendre conscience et de se mobiliser pour découdre ce complot.
De la duperie du pouvoir de Félix Tshisekedi
Aujourd’hui plus que jamais, il faut que les congolais comprennent la duperie du pouvoir de Felix, basé sur une alliance contre-naturelle. Et en voici les caractéristiques :
1º. Il y a, d’une part, ceux-là qui ont le pouvoir, c’est-à-dire les vrais dirigeants du pays, et, d’autre part, ceux qui ont publiquement le gouvernement.
2º. Ces dirigeants, qui gèrent le pays dans l’ombre et contre les vrais intérêts de la nation, non seulement soumettent les gouvernants, sinon qu’en plus ils décident sur qui, quand et comment appliquer ce qu’ils veulent, sans compter sur la position de qui que ce soit.
3º. Entre les deux camps s’est constitué un grand groupe des congolais volontaristes, qui sont allées avec engouement autour de ceux qui sont supposés avoir le pouvoir, alors qu’en réalité pas. Ceux-là finissent par devenir des victimes. Nous les voyons alors mourir comme des mouches, l’un après l’autre, autour de deux éléphants rassasiés des butins de leurs combats, au même moment que le mal s’accroit à travers le pays : massacres, pillages des ressources naturelles, etc.
Un plan macabre à protéger à tout prix
Comme nous l’avions signalé, ces « dirigeants », eux, ont un plan bien élaboré et ne sont pas prêts à laisser tomber aucun élément de leurs considérations. Ils sont disposés à tout sacrifier, pourvu que leur plan ne subisse aucune faille. Voilà pourquoi tous les intellectuels et hommes et femmes de confiances, consciencieux et susceptibles de provoquer une certaine positivité autour de Fatshi sont systématiquement éliminés. Ces victimes, initialement bien ou mal intentionnées par rapport à leur positionnement politico-professionnel, sont sacrifiées sur un champ de bataille qui risque d’embraser toute la république. Car tout le réseau de Mr Félix Tshisekedi est totalement infiltré et fragilisé.
Objectifs de l’élimination physique des hommes et femmes de Fasthi :
1º. Fragiliser Félix Tshisekedi, en le laissant sans tête pensante. Ce qui l’obligera à se soumettre inconditionnellement, vu qu’il est fruit d’une grande corruption électorale et qu’il n’a pas assez d’idées sur ce qu’il devrait faire à la tête de l’Etat.
2º. L’intimider en lui démontrant que lui-même peut tomber n’importe quand et n’importe comment.
3º. Continuer à contrôler le pays à travers la terreur.
Pascal MASUMBUKO
©Beni-Lubero Online.
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