Fixée ce vendredi 21 août 2020, l’audience du procès en appel de Vital Kamerhe et consorts est renvoyée à un mois, soit au 18 septembre par la cour d’appel de Kinshasa/Gombe.

Selon les juges, la cause est renvoyée pour irrégularité persistante de la saisine constatée par toutes les parties au procès.

Ce jeudi à Kinshasa, une journée de prière avait été organisée par les militants de l’UNC en faveur de leur leader en détention.

Comme à la précédente marche, les membres du bureau de l’UNC et de la famille biologique de Vital Kamerhe ont assisté à cette activité de prière.

« Notre président national est innocent et nous croyons fermement qu’il sera libéré. La prière est une étape importante », a martelé le secrétaire général a.i de l’UNC, Aimé Boji lors de ce culte d’action de grâce.

Vital Kamerhe a fait appel de sa condamnation au Tribunal de Grande instance de Kinshasa/Gombe. Le procès en appel a débuté le 24 juillet dernier. Les trois premières audiences ont été renvoyées pour irrégularité de la saisine par le ministère public.

Le leader de l’UNC avait été condamné  à 20 ans de travaux forcés pour le détournement de plusieurs dizaines de millions de dollars dans le cadre du « programme des 100 jours » initié par le chef de l’État congolais. Le tribunal avait ordonné également la confiscation des fonds contenus dans les comptes des proches de M. Kamerhe (Soraya Mpiana, Daniel Nshangalume et Amida Chatur) ainsi que les « biens immobiliers acquis grâce aux fonds détournés »


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