Félix Tshisekedi a imposé depuis son arrivée à la magistrature suprême une justice tendancieuse et directionnelle.

Nous sommes dans le carré de la loi du plus fort est toujours la meilleure. Un des faits illustratifs est la déclaration du secrétaire général de l’UDPS , Augustin Kabuya qui défend la thèse selon laquelle l’arrestation et la condamnation de Vital Kamehe est l’œuvre du FCC. À l’opposé , le camp Kabila rejette cette responsabilité sur l’UDPS qui a même gratifié les témoins ou intervenants à charge , les juges et les avocats, voire certains conseillers UNC chassés de la présidence.

Alors que Barnabé Milinganyo Wimana, président national du Rassemblement des leaders congolais, est condamné à 3 ans de servitude pénale, 2 millions des Francs Congolais et 10.000 dollars de dommages-intérêts.

Les extrémistes et impétueux de l’UDPS qui auraient dû subir la même sentence sont en libre circulation sans être inquiétés.

C’est le cas du pyromane , Augustin Kabuya pour ses propos contre Joseph Sele Yalaghuli et un militant qui avait insulté Mabunda en public.

Rien n’a jamais été fait , la justice ne les a jamais interpellés en dépit du tollé de désapprobations que cela a suscité.

En rappel, lors d’une matinée politique, Augustin Kabuya avait annoncé l’opération «Toyebi ndako », pour dire au Front commun pour le Congo, FCC, que l’UDPS répondra coup sur coup sur toutes les actions qu’il aura à entreprendre.

L’ACAJ condamne

L’association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ), condamnait avec énergie les propos de M. Kabuya, qui a promis l’exil aux caciques du Front commun pour le Congo (FCC) qui tenteraient d’entraver les actions du président Félix Tshisekedi. ” Ils ne sont pas différents des mobutistes, et que son parti politique était prêt à faire revenir à ces derniers les évènements de 1997 “.

Ce faisant l’ACAJ attire l’attention de partis politiques et ligues des jeunes y affiliées, sur le fait que l’incitation à la violence et la haine tribale est une infraction punissable par la loi pénale.

Propos « incendiaires »

Le Bureau conjoint des Nations Unies pour les Droits de l’Homme (BCNUDH) en République démocratique du Congo s’était aussi élevé contre les propos incendiaires attribués à un responsable de l’UDPS, qui sont de nature à inciter à la violence.

Plus multirécidiviste comme Augustin Kabuya , tu meurs mais curieux que cela puisse être n’a jamais jour été inquiété comme le fameux État de droit version Fatshi est bel et bien en marche.


Par ATIBU Gédéon

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