"Même si (le Président de la République) ou son parti est dans un accord particulier, cela ne doit pas emprisonner ou pénaliser le fonctionnement du pays", déclare le député national PALU et membre du groupe de 13 (G13), Patrick Muyaya.

"Nous l'avons constaté, comme les évêques, comme tout le monde que cet accord (FCC-CACH) au bout  de 2 ans, n'a pas donné les résultats escomptés" , relève-t-il sur TOP CONGO FM.

"Il y a des calculs de camps" a l'origine  de la crise politique que traverse le pays, reconnaît-il, "mais pour le Congo, chacun peut faire des concessions",  exhorte le toujours député du Front commun pour le Congo (FCC).

Et ce, parce que "le regroupement qui unit tous, s'appelle RDC. Nos contradictions, nos combats, nos colères… tous le disons, c'est pour que le Congo aille mieux".

Pourquoi alors "ça paraît si impossible pour nous congolais de nous mettre ensemble pour faire ces réformes? Qui (d'ailleurs) s'oppose aux réformes électorales ? Personne", Répond-t-il

"60 ans d'indépendance après, les agendas personnels (source de blocage) doivent être mis de côté", tranche Patrick Muyaya qui comme membres du G13, adhère à l'union sacrée de la nation prônée par celui qu'il qualifie de "clé de voûte,  le garant de la nation", le Président de la République.

Et de faire observer : "cette union sacrée est pour nous (G13) l'autre définition du vocable consensus".

Seulement, l'élu de Kinshasa ne se veut nullement naïf sur le consensus tant espéré, il ne signifie pas "unanimité".


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