Dans une déclaration rendue publique le mardi 05 janvier 2021, le coordonnateur de la Dynamique pour une Sortie de Crise (DYSOC) fustige la marche actuelle caractérisée par le blocage du bon fonctionnement des institutions du pays qui selon, cette structure, est orchestrée par l'actuel chef de l'État.

"Pour la DYSOC, il est aujourd'hui établi, que le président Félix Tshisekedi Tshilombo constitue l'élément de déstabilisation, de paralysie et de blocage du fonctionnement régulier des institutions", affirme Lisanga Bonganga.

Si hier, ce dernier a prétendu être bloqué par le FCC, il appert maintenant que c'est toujours lui l'élément de blocage des institutions et du peuple congolais, a-t-il renchéri.

S'agissant de l'Union sacrée, Lisanga Bonganga et sa structure estiment qu'elle constitue les bases de l'instauration d'une pensée unique et la destruction de la constitution de la République.

Selon l'ancien ministre d'État en charge des relations avec le parlement, ceux des députés LAMUKA qui y ont adhéré, ont  juste "trahi le peuple" et "ont donné leur caution malheureuse à la fraude et à l'illégitimité des institutions issues du chaos électoral de décembre 2018".

Sur la controverse autour de l'ordre du jour de la session extraordinaire à la chambre basse de parlement, la DYSOC reste persuadée que l'ajout du contrôle parlementaire parmi les matières à traiter pendant ladite session est une tentative de destitution du premier ministre en fonction aux fins, dit-elle, de normaliser la nomination irrégulière d'un informateur.

Au regard du blocage qui, selon elle, tente d'imposer l'actuel pouvoir de Kinshasa, la DYSOC réitère sa demande d'organisation d'un dialogue entre différente partie prenante à la crise, et soutient pour ce faire la proposition de sortie de crise portée par Martin Fayulu.

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