Les deux leaders membre du Présidium de Lamuka, Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi, n’ont pas tardé à réagir à la communication du duo Fayulu-Muzito, qui disait avoir pris acte de leur retrait volontaire de la coalition de Genève. Pour les présidents du Mouvement de Libération du Congo (MLC) et d’Ensemble pour la République, cette décision est nulle et de nul effet.
Réagissant à la communication du duo Martin Fayulu- Adolphe Muzito, Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi, se reconnaissent encore de Lamuka et se disent n’être jamais partis de la coalition. Ils appellent le coordonnateur en exercice de leur plateforme à brandir des documents légaux prévoyant la disposition à laquelle il s’est référé pour déclarer effectif leur départ de LAMUKA. Pour Bemba et Katumbi, Martin Fayulu n’a aucune compétence pour décider de leur exclusion ; car, argumentent-ils, la charte de Lamuka qu’ils ont tous rédigée n’aborde dans aucune de ses dispositions le cas d’un retrait volontaire ou d’une auto exclusion.
Face à cette intervention de Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi, le secrétaire général de l’ECIDé de Martin Fayulu, Devos Kitoko, n’est pas resté bouche bée. Il est monté au créneau pour remettre en cause tous les propos de deux leaders de Lamuka et membres de l’Union Sacrée de la Nation (USN).
Pour lui, l’auto-exclusion de Bemba et Katumbi est à constater de part leur prise de position. Le théoricien de la vérité des urnes évoque la loi sur les partis politiques et met en exergue la définition de l’opposition politique en RDC. Selon les commentaires de Devos Kitoko sur l’entendement de cette disposition, les membres de l’opposition sont opposés au pouvoir d’Etat, c’est-à-dire, au gouvernement. Et par contre, ne peuvent pas être dans les organes de gestions de la Res publica.
Pour poser les bases de sa réflexion, Devos Kitoko pose une question oratoire à Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi, celle de savoir si l’Union Sacrée de la Nation de Félix Tshisekedi dont ils sont membres est au pouvoir ou dans l’opposition. Pour lui, il trouve que c’est inconcevable pour les deux leaders d’adhérer à l’USN et se réclamer encore comme membres de LAMUKA. Il estime que Bemba et Katumbi devront assumer leur choix d’adhésion à l’Union Sacrée de la Nation qui met une très grande barrière entre eux et la vision de Lamuka.
Devos Kitoko a, par la même occasion, lancé un appel alarmant à Félix Tshisekedi de réunir tous les moyens nécessaires pour organiser les élections en 2023 et ne pas aller au-delà du délai constitutionnel. Pour lui, Félix Tshisekedi est indûment président et le peuple ne lui laissera pas une minute de plus après le 30 décembre 2023. Entretemps, alors que Fayulu et Muzito jugent de dissidente la position du duo Bemba et Katumbi, la présence de l’ancien gouverneur de ce qui fut le grand Katanga autrefois est signalée à Kinshasa.
Les deux leaders membre du Présidium de Lamuka, Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi, n’ont pas tardé à réagir à la communication du duo Fayulu-Muzito, qui disait avoir pris acte de leur retrait volontaire de la coalition de Genève. Pour les présidents du Mouvement de Libération du Congo (MLC) et d’Ensemble pour la République, cette décision est nulle et de nul effet.
Réagissant à la communication du duo Martin Fayulu- Adolphe Muzito, Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi, se reconnaissent encore de Lamuka et se disent n’être jamais partis de la coalition. Ils appellent le coordonnateur en exercice de leur plateforme à brandir des documents légaux prévoyant la disposition à laquelle il s’est référé pour déclarer effectif leur départ de LAMUKA. Pour Bemba et Katumbi, Martin Fayulu n’a aucune compétence pour décider de leur exclusion ; car, argumentent-ils, la charte de Lamuka qu’ils ont tous rédigée n’aborde dans aucune de ses dispositions le cas d’un retrait volontaire ou d’une auto exclusion.
Face à cette intervention de Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi, le secrétaire général de l’ECIDé de Martin Fayulu, Devos Kitoko, n’est pas resté bouche bée. Il est monté au créneau pour remettre en cause tous les propos de deux leaders de Lamuka et membres de l’Union Sacrée de la Nation (USN).
Pour lui, l’auto-exclusion de Bemba et Katumbi est à constater de part leur prise de position. Le théoricien de la vérité des urnes évoque la loi sur les partis politiques et met en exergue la définition de l’opposition politique en RDC. Selon les commentaires de Devos Kitoko sur l’entendement de cette disposition, les membres de l’opposition sont opposés au pouvoir d’Etat, c’est-à-dire, au gouvernement. Et par contre, ne peuvent pas être dans les organes de gestions de la Res publica.
Pour poser les bases de sa réflexion, Devos Kitoko pose une question oratoire à Jean-Pierre Bemba et Moïse Katumbi, celle de savoir si l’Union Sacrée de la Nation de Félix Tshisekedi dont ils sont membres est au pouvoir ou dans l’opposition. Pour lui, il trouve que c’est inconcevable pour les deux leaders d’adhérer à l’USN et se réclamer encore comme membres de LAMUKA. Il estime que Bemba et Katumbi devront assumer leur choix d’adhésion à l’Union Sacrée de la Nation qui met une très grande barrière entre eux et la vision de Lamuka.
Devos Kitoko a, par la même occasion, lancé un appel alarmant à Félix Tshisekedi de réunir tous les moyens nécessaires pour organiser les élections en 2023 et ne pas aller au-delà du délai constitutionnel. Pour lui, Félix Tshisekedi est indûment président et le peuple ne lui laissera pas une minute de plus après le 30 décembre 2023. Entretemps, alors que Fayulu et Muzito jugent de dissidente la position du duo Bemba et Katumbi, la présence de l’ancien gouverneur de ce qui fut le grand Katanga autrefois est signalée à Kinshasa.
Que pourrait signifier la présence de Moïse Katumbi à Kinshasa ?
Selon des sources concordantes, le chairman du TP Mazembe serait à Kinshasa pour calmer les esprits, manifestement surchauffés de certains membres de l’Ensemble pour la République au sein de l’Union Sacrée de la Nation. Un des ses proches qui a requis l’anonymat renseigne que la présence de l’ex gouverneur de l’ex Katanga, c’est pour essayer de calmer les esprits mécontents après le vote du bureau définitif de la Chambre Haute du Parlement.