La Dynamique pour la Sortie de Crise(Dysoc) fustige toute démarche tendant à accompagner une désignation qu’elle qualifie cavalière et partisane des animateurs de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) conformément à la récente proposition des chefs de confessions religieuses.






La Dysoc condamne la prise de position unilatérale et malencontreuse des confessions religieuses qui selon elle, n’est pas de nature à concilier les points de vue des uns et des autres en vue de garantir l’organisation des élections apaisées, transparentes et crédibles.


A cet effet, la Dysoc soutient que les confessions religieuses doivent jouer un rôle d’arbitre entre les parties prenantes aux élections et demeurer l’église au milieu du village.


Pour la plateforme de Lisanga Bonganga, au delà de la réforme de la CENI, les réformes impératives consensuelles doivent aussi viser la loi électorale et la loi portant organisation et fonctionnement de la Cour constitutionnelle.


Par conséquent, la Dysoc estime que seul le dialogue entre le Président de la République, Félix Tshisekedi, son prédécesseur Joseph Kabila et l’opposant Martin Fayulu constitue la voie idoine pour l’adoption consensuelle des réformes impératives.

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