L’avertissement précède le blâme, dit-on.

Le haut représentant du Chef de l’État a des mots très sévères à l’égard des princes de l’église catholique qui les avertit formellement à ne plus retomber dans le même comportement qu’il considère de non respect à la personne du Président de la République.

» Il y a un Président de la République. Le respect à sa personne n’est pas négociable », a-t-il dit aux Évêques de l’église catholique.

Kitenge Yesu qui s’en prend à la CENCO et aux évêques estime que » lorsqu’on veut passer du devoir à la passion, on défroque ».

Il fait ensuite savoir ce qu’il appelle lui-même avertissement que lorsqu’il ouvre la bouche c’est l’ouragan qui souffle car il y a des mots qui tuent plus que la mort.

Des mots assez forts qui vont au-delà d’un simple avertissements s’il faut en scruter le contenu à fond.

Par ailleurs, Kitenge Yesu a qualifié le comportement des évêques d’un « petit arbre qui veut devenir un nuage oubliant que le venin du serpent n’atteint jamais les ailes d’un oiseau volant », a-t-il répondu sans la moindre exonération.

Ces mots et expressions pourraient faire la résonance le plus longtemps possible et voire embraser la case d’un camp.

Le Vatican ne restera de loin insensible face à ces avertissements qui dépassent les menaces.

La guerre serait ouverte entre Félix Tshisekedi et l’église catholique romaine.

Le rappel citoyen de la CENCO au pouvoir actuel semble faire très mal et susciter beaucoup d’agitations dans le camp de Félix Tshisekedi dont ses partisans s’attaquent avec véhémence et à cœur joie aux princes de l’église catholique qui pourtant n’ont fait que rappeler un principe que nous connaissons tous. La préparation des élections qui conduisent indubitablement à des bonnes élections. Par Gédéon ATIBU
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