Contrairement à l’idée que certains seraient tentés de se faire, l’éruption volcanique qui endeuille depuis le week-end passé la capitale de la province du Nord-Kivu, avec un impact très négatif sur le fonctionnement de toutes les activités, l’état de siège décrété par le Président de la République en vue de traquer les forces négatives qui sèment l’insécurité dans l’Est du pays, n’est pas à jeter aux oubliettes.






Les gouverneurs militaires nommés dans les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu, en l’occurrence les Lieutenants généraux John Luboya et Constant Ndima, ont effectivement démarré la mission leur assignée par le commandant suprême.

Contrairement à l’idée que certains seraient tentés de se faire, l’éruption volcanique qui endeuille depuis le week-end passé la capitale de la province du Nord-Kivu, avec un impact très négatif sur le fonctionnement de toutes les activités, l’état de siège décrété par le Président de la République en vue de traquer les forces négatives qui sèment l’insécurité dans l’Est du pays, n’est pas à jeter aux oubliettes.


Les gouverneurs militaires nommés dans les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu, en l’occurrence les Lieutenants généraux John Luboya et Constant Ndima, ont effectivement démarré la mission leur assignée par le commandant suprême.



 

Hormis des victoires que les vaillants soldats engrangent quotidiennement sur les différents fronts pour reconquérir des pans des territoires entiers, sous le contrôle des groupes armés, l’administration militaire a en même temps commencé la traque des complices internes qui ravitaillent les seigneurs de guerre au même titre que les multinationales.

Et le premier bilan, se veut prometteur.


Un gros poisson est déjà pris dans les filets de l’administration militaire, à savoir le président de l’assemblée provinciale du Nord-Kivu. Parmi les griefs retenus à sa charge, on note le financement des groupes armés, la transmission des informations aux chefs desdits groupes, etc.


Ce n’est que le début…


La mise aux arrêts du président de l’assemblée provinciale, poursuivi pour financement des groupes armés et transmission des informations, constitue pour les analystes, le début de la traque des complices internes.


Ces compatriotes sans cœur s’étaient investis dans le business du sang, en finançant le maintien de l’insécurité dans leurs fiefs, tout en distrayant l’opinion nationale et internationale.

La prise de celui qui était censé incarner les aspirations de la population, mais qui s’est malheureusement détourné de sa mission pour trahir, prouve que la liste des traîtres de la République risque d’être longue. Car, comment expliquer qu’un élu du peuple puisse financer les massacres du même peuple auprès de qui on recourt pour obtenir le mandat ?


Par ailleurs, ceux qui n’avaient pas compris le pourquoi de l’agitation qu’avait provoquée la petite phrase du président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso Nkodia Pwanga, ont un début de réponse à leur agitation. Il avait suffi qu’il dénonce le double jeu de certains élus du peuple en leur disant, sans citer personne, d’arrêter la complicité avec ceux qui tuent et massacrent la population civile, pour que la plénière soit interrompue à cause des protestations particulièrement dans le camp des députés originaires des zones en proie à l’insécurité. Qui vivra, verra.

LIENS COMMERCIAUX

[VIDEOS][carouselslide][animated][20]

[Musique][vertical][animated][30]

 
Top