Lors d'une réunion d'urgence, le ministre a déclaré que ces groupes criminels, responsables de "la mort et la désolation", continueront d’être une priorité dans les actions du gouvernement. Pour lutter contre ce phénomène, une commission a été mise en place pour organiser des procès en flagrance, visant à juger les membres des Kulunas pour des charges de terrorisme.

Le gouvernement a pris la décision de mettre en œuvre la peine de mort pour les condamnés, avec une exécution immédiate prévue pour les coupables. Les prisons de haute sécurité, telles qu'Angenga, seront utilisées pour transférer les condamnés, marquant une volonté de durcir les mesures de sécurité et de répression.

En outre, des bouclages seront mis en place dans les quartiers et rues afin de renforcer le contrôle de la situation et faciliter l’arrestation des membres des Kulunas. Ce durcissement de la politique contre le banditisme vise à répondre aux violences croissantes qui perturbent la vie des Congolais.

Cette décision soulève des questions sur les droits humains et la justice dans un contexte où les violences urbaines sont devenues un défi majeur pour les autorités congolaises.

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