Une volonté d’unité nationale face à l’agression. L’invitation à soutenir les FARDC et les Wazalendo, non seulement par la prière mais aussi par des actes concrets (dons, mobilisation), montre que la religion est perçue comme un pilier de résistance et d’espoir pour le peuple congolais.

Cependant, la prière seule peut-elle suffire face à une guerre aussi complexe, où les enjeux géopolitiques et économiques sont majeurs ? Quelle pourrait être l’étape suivante pour renforcer l’impact de cet appel spirituel sur le terrain ?

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