La ville de Goma, symbole de résistance et de souffrance, sombre chaque jour un peu plus dans le chaos. Sous les bombardements du M23, ses rues se vident, ses habitants fuient, et son avenir s’assombrit. Pourtant, malgré l’urgence, la communauté internationale reste paralysée, se contentant de condamnations verbales tandis que la tragédie se déroule en direct sous nos yeux.
Une ville en agonie
Bombardements incessants, déplacements massifs, pillages organisés.
Des milliers de familles dormant à la belle étoile, sans eau ni nourriture.
Un État congolais dépassé, abandonné par ses prétendus "alliés".
"Goma n’est plus une ville, c’est un champ de bataille. Et le monde regarde ailleurs." — Témoignage d’un humanitaire sur place.
Le M23, bras armé d’une prédation organisée
Cette offensive n’est pas une simple rébellion : c’est une stratégie d’occupation économique et militaire, orchestrée par des puissances régionales et des intérêts miniers transnationaux.
✔ Soutien rwandais avéré (rapports de l’ONU, témoignages des fuyards).
✔ Financement par le trafic de minerais (or, coltan, cobalt).
✔ Complicité silencieuse des grandes puissances, qui préfèrent fermer les yeux.
"Le M23 ne se relève pas par magie. Il est réarmé, réentraîné, et ses victoires sont planifiées." — Analyste militaire.
La communauté internationale, complice par inaction ?
L’ONU multiplie les résolutions… sans effet.
Les États-Unis, l’Europe condamnent… mais ne sanctionnent pas.
Les multinationales continuent d’acheter des minerais tachés de sang.
Pendant ce temps, Goma brûle.
Que faire ? Des solutions concrètes pour briser l’engrenage
Sanctions ciblées contre les dirigeants rwandais et leurs soutiens financiers.
Embargo sur les minerais en provenance des zones contrôlées par le M23.
Protection internationale pour Goma : un statut spécial sous mandat de l’ONU ?
Soutien réel aux FARDC (armement, renseignement, pression diplomatique).
"Assez de déclarations ! Nous avons besoin d’actes." — Cri de colère d’un déplacé de Goma.
Goma résiste… mais pour combien de temps ?
Malgré la terreur, ses habitants refusent de capituler. Mais sans intervention forte, la ville risque de devenir un nouveau Sarajevo africain : symbole d’une guerre oubliée, où la souffrance est invisibilisée par les calculs géopolitiques.
Le monde doit choisir :
✔ Continuer à détourner le regard et laisser Goma mourir.
✔ Ou agir enfin, avant qu’il ne soit trop tard.
L’histoire jugera. En attendant, Goma saigne.