Allocution du Président à l’occasion de l’ouverture de la session ordinaire de mars 2016

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7vwTZ5dj-Cd_wg1v7diKel2v66D49gkTVzCJkDJUMJh042OakaOCKGJzV3mQRkqbUXArwfoPvJ9rUi_YmiQX4OuzUooq9fyfFwcg_hKqtyZ1qoAUx6d9J7Y2cBKeaMdTZuPce_ovi6g4/s1600/Snapshot_1299.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7vwTZ5dj-Cd_wg1v7diKel2v66D49gkTVzCJkDJUMJh042OakaOCKGJzV3mQRkqbUXArwfoPvJ9rUi_YmiQX4OuzUooq9fyfFwcg_hKqtyZ1qoAUx6d9J7Y2cBKeaMdTZuPce_ovi6g4/s400/Snapshot_1299.jpeg" width="400" /></a></div>Honorable Président de l’Assemblée Nationale et Estimé collègue,<br /> Monsieur le Premier Ministre,<br /> Monsieur le Président de la Cour constitutionnelle,<br /> Monsieur le Procureur général près la Cour constitutionnelle,<br /> Monsieur le Premier Président de la Cour Suprême de Justice,<br /> Monsieur le Procureur Général de la République,<br /> Honorables Membres du Bureau de l’Assemblée nationale et du Sénat,<br /> Honorables Députés et Sénateurs,<br /> Mesdames et Messieurs les Membres du Gouvernement,<br /> Mesdames et Messieurs les Membres des Institutions d’appui à la démocratie,<br /> Monsieur le Président de l’Assemblée provinciale de Kinshasa,<br /> Monsieur le Gouverneur de la Ville-province de Kinshasa,<br /> Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs et Chefs des Missions Diplomatiques,<br /> Monsieur le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en République<br /> Démocratique du Congo,<br /> Mesdames et Messieurs les Représentants des Organisations Internationales du Système<br /> des Nations Unies,<br /> Mesdames et Messieurs les Officiers Généraux et Supérieurs des Forces Armées et de la<br /> Police Nationale,<br /> Messieurs les Représentants des Confessions religieuses,<br /> Madame la Bourgmestre de la Commune de Lingwala,<br /> Distingué(e)s invité(e)s,<br /> Mesdames et Messieurs,<br /> Comme à l’accoutumée, la Session ordinaire de mars s’ouvre conformément aux articles 115 de la Constitution et 74 du Règlement Intérieur du Sénat.<br /> A son ordre du jour, elle comporte plusieurs matières, dont 13 nouveaux projets de loi déposés par le Gouvernement, la veille de la clôture de la session de septembre ou en intersession.<br /> Il s’agit notamment des projets de loi sur l’assistance judiciaire, l’ordre des infirmiers, celui des chirurgiens-dentistes, la publicité, l’autorisation de ratification de certains accords entre le Gouvernement de la République et ceux de certains Etats, pour la promotion et la protection réciproques des investissements.<br /> Ces matières seront soumises à la Conférence des Présidents, qui en proposera l’adoption à l’Assemblée plénière.<br /> Le projet du calendrier prévoit également des arriérés des sessions passées, au sujet desquels les Commissions sont appelées à la célérité.<br /> Quant aux matières liées au processus électoral, telles que souhaitées par la CENI, elles seront inscrites aussitôt qu’elles seront déposées par le Bureau.<br /> Honorables Sénateurs et chers collègues,<br /> La présente Session intervient à un moment unique de l’histoire récente de notre pays, marquée par la commémoration, cette année, des dix ans de la Constitution du 18 février 2006.<br /> Cette Constitution ayant été à l’origine l’œuvre du Sénat de la transition, et compte tenu de l’importance de cet événement, permettez-moi d’y consacrer l’essentiel de mon propos.<br /> La Constitution actuelle est le fruit d’un consensus politique obtenu à Sun City, grâce à la médiation des amis du Congo.<br /> L’Accord global et inclusif a été le couronnement historique des efforts, en vue de mettre fin à quatre ans de guerres fratricides.<br /> Elaborée par le Sénat de la transition, puis adoptée par l’Assemblée nationale, cette<br /> Constitution a été approuvée par près de 85% de la population congolaise.<br /> Par la vertu du référendum, elle est devenue la volonté politique du peuple congolais .<br /> Cristallisée dans un document solennel et public, cette volonté s’impose aussi bien aux<br /> Institutions qu’au Peuple lui-même, désormais devenu acteur du jeu constitutionnel.<br /> C’est en tant qu’acteur de ce jeu constitutionnel que le peuple se déclare souverain. Il<br /> indique, dès lors, les moyens d’exercice de son pouvoir souverain :<br /> – soit indirectement par ses représentants,<br /> – soit directement par voie d’élection ou de référendum.<br /> C’est ce que dit l’article 5 de la Constitution.<br /> Pour exprimer son pouvoir d’autolimitation, le peuple a circonscrit le cadre d’exercice de<br /> ce pouvoir direct :<br /> – d’une part, l’élection qui relève de lui ne porte que sur certains animateurs<br /> des institutions de la République (Président de la République, Députés<br /> nationaux et provinciaux, élus locaux) ;<br /> – d’autre part, le référendum populaire n’a été expressément prévu que pour<br /> trois matières : le transfert de la capitale (art. 2 al. 3) ; l’éventualité de<br /> cession, d’échange ou d’adjonction du territoire (art. 214 al 2) ainsi que la<br /> révision constitutionnelle (art. 218).<br /> La Constitution a donc sa logique et sa cohérence interne.<br /> Comme nous le rappelle son Exposé des motifs, cette Constitution a été adoptée « en vue<br /> de mettre fin à la crise chronique de légitimité des institutions et de leurs animateurs<br /> depuis 1960 et de donner au pays toutes les chances de se reconstruire ».<br /> Elle est assise sur les sept « préoccupations majeures » suivantes :<br /> 1. assurer le fonctionnement harmonieux des Institutions de l’Etat ;<br /> 2. éviter les conflits, non seulement au sein de ces Institutions, mais plus<br /> globalement, au sein de l’ensemble du corps social ;<br /> 3. instaurer un Etat de droit, ce qui implique la soumission de tous à la loi, en<br /> commençant par la loi suprême ;<br /> 4. contrer toute tentative de dérive dictatoriale, ce qui signifie le rejet de toutes<br /> les antivaleurs de la IIème République ;<br /> 5. garantir la bonne gouvernance ;<br /> 6. lutter contre l’impunité ;<br /> 7. assurer l’alternance démocratique.<br /> Tous les articles de la Constitution s’interprètent à l’aune de ces sept préoccupations<br /> majeures, qui en constituent la ratio legis.<br /> Honorables Sénateurs et chers collègues,<br /> Dix ans de vie d’une Constitution est à la fois peu et beaucoup.<br /> Peu, si l’on pense à la longue histoire constitutionnelle de certains Etats, comme par<br /> exemple les Etats-Unis d’Amérique, dont la Loi fondamentale est déjà bicentenaire.<br /> Beaucoup, si l’on songe à l’histoire particulière de notre pays, marquée par l’instabilité<br /> chronique de ses institutions, et par le faible enracinement de la Constitution dans les<br /> mœurs.<br /> C’est la raison pour laquelle, même si elle n’a que dix ans d’existence, la Constitution<br /> mérite d’être célébrée.<br /> C’est un moment important, qui permet de dresser un premier bilan de son application et,<br /> partant, de son intériorisation par le peuple et par les acteurs politiques.<br /> Comme vous le savez, la Constitution actuelle est un pacte historique, politique et social<br /> qui scelle l’union du peuple congolais.<br /> Au plan social, elle contient des dispositions importantes relatives notamment aux droits<br /> et libertés fondamentaux des personnes.<br /> Au plan politique, elle réalise un dosage subtil des principaux équilibres, qui permettent à<br /> notre Etat d’exister et de fonctionner.<br /> Sur le premier volet, tous les spécialistes de la question s’accordent à souligner la<br /> richesse des droits fondamentaux contenus dans cette Constitution. Pas moins de 50<br /> articles leur sont consacrés !<br /> Ils sont catégorisés en « droits civils et politiques », « droits économiques, sociaux et<br /> culturels » et « droits collectifs ».<br /> Dans la pure tradition africaine, la Constitution institue même des « devoirs du citoyen»,<br /> dont le tout premier est le respect de la Constitution et des lois de la République (art. 62,<br /> alinéa 2).<br /> En matière de droits civils et politiques, tous les droits classiques sont consacrés. A titre<br /> d’exemples, on peut citer :<br /> – le droit à la vie, considéré comme « sacré » ;<br /> – le droit à l’égalité et à la non-discrimination, qui touche à plusieurs<br /> matières de la vie sociale;<br /> – la liberté individuelle dans toutes ses facettes : sûreté, libertés de pensée,<br /> de conscience, de religion, de réunion, de circulation, d’expression, de<br /> manifestation, etc.<br /> Ces droits sont essentiels à notre société démocratique. Ce sont eux qui justifient<br /> l’épithète « démocratique » accolée au nom de notre pays.<br /> Afin de garantir l’égalité politique des sexes, la Constitution est allée jusqu’à proclamer la<br /> parité homme-femme au sein des institutions nationales, provinciales et locales.<br /> En cette matière, elle apparaît comme l’une des pionnières dans notre continent.<br /> En matière des droits économiques, sociaux et culturels et en matière des droits<br /> collectifs, l’innovation majeure aura consisté principalement dans la consécration de<br /> certains droits de type révolutionnaire comme :<br /> – le droit à la culture ;<br /> – le droit à un logement décent ; voire<br /> – le droit d’accès d’eau potable et à l’énergie électrique.<br /> Dans ce monde où les droits économiques et sociaux bénéficient plutôt d’une faible<br /> protection, il faut se réjouir du statut que la Constitution leur a conféré chez nous.<br /> Placés sous la protection des cours et tribunaux, complétés dans cette tâche par la<br /> Commission nationale des droits de l’homme, tous ces droits fondamentaux bénéficient de<br /> la même protection.<br /> Ils constituent le premier pacte qui unit la République.<br /> D’où la nécessité de protéger ce pacte.<br /> Au plan politique, la Constitution de 2006 se distingue notamment par son ingénierie<br /> institutionnelle.<br /> Tout en étant lisible, cette ingénierie paraît cependant parfois déroutante pour les noninitiés.<br /> J’en veux pour exemple la question de la forme d’Etat. Cette question semble avoir été<br /> abordée avec la plus extrême vigilance.<br /> A la vielle querelle entre unitaristes et fédéralistes, le Constituant a eu la sagesse de<br /> substituer le régionalisme constitutionnel, une forme d’Etat qui, comme vous le savez, est<br /> l’antichambre du fédéralisme.<br /> La répartition constitutionnelle des compétences entre le Pouvoir central et les Provinces<br /> (avec des zones de compétence concurrente et exclusive), l’instauration d’une caisse<br /> nationale de péréquation pour corriger les déséquilibres de développement entre<br /> Provinces ainsi que l’existence d’une Cour constitutionnelle chargée notamment du<br /> règlement des conflits de compétences constituent des indices majeurs de cette tendance<br /> fédéraliste.<br /> Il n’en reste pas moins vrai qu’il ne s’agit pas d’une Constitution fédéraliste, l’absence de<br /> « constitutions » autonomes pour les Provinces confortant ce point de vue.<br /> Aussi est-il admis que la forme de notre Etat reste un régionalisme constitutionnel, couplé<br /> à la décentralisation administrative au niveau des entités de base.<br /> A l’analyse, ce régionalisme éprouve cependant quelques difficultés à s’appliquer, ainsi<br /> que l’a montré la pratique de ces dix dernières années.<br /> Après deux ans d’attente, le processus de décentralisation politique et administrative du<br /> pays a été amorcé en 2008 avec l’adoption des trois lois sur la « territoriale » :<br /> – la loi portant principes fondamentaux relatifs à la libre administration des<br /> provinces ;<br /> – la loi organique portant composition, organisation et fonctionnement des<br /> ETD et leurs rapports avec l’Etat ;<br /> – la loi organique portant modalités d’organisation et de fonctionnement de la<br /> Conférence des Gouverneurs de province.<br /> Ce processus s’est poursuivi par l’adoption d’autres lois, dont la plus récente – fruit de la<br /> révision constitutionnelle du 20 janvier 2011 – est celle de programmation sur l’installation<br /> de nouvelles provinces.<br /> En y jetant un regard rétrospectif, il apparaît que ce processus n’est pas encore très<br /> avancé. Au vu des résultats, rien ne permet, à ce stade, de conclure qu’en dix ans de<br /> promulgation de la Constitution, « l’administration de notre pays est déjà devenue plus<br /> proche de l’administré ».<br /> En réalité, c’est à cause de certaines pesanteurs d’ordre politique et psychologique que<br /> ce processus lambine.<br /> Et, face à la tentation d’un retour en arrière, prenons garde de confondre la pauvreté de<br /> nos pratiques politiques avec la richesse des principes affirmés dans la Constitution.<br /> Une chose est de vouloir le régionalisme constitutionnel ; une autre est de l’appliquer<br /> dans toutes ses exigences.<br /> En somme, sur l’avenir de ce régionalisme, il faut s’en tenir à l’arrêt de la Cour<br /> constitutionnelle du 8 septembre 2015, qui a eu la sagesse d’affirmer, si heureusement,<br /> que ce processus est devenu, au stade actuel, irréversible.<br /> En ce qui concerne le régime politique institué, la grande majorité des spécialistes<br /> s’accordent à reconnaître qu’il est de tendance parlementaire :<br /> – la responsabilité politique du Gouvernement devant l’Assemblée nationale<br /> est organisée ;<br /> – la possibilité de dissolution de cette Assemblée par le Président de la<br /> République est également prévue.<br /> Toutefois, l’emprunt fait à certains mécanismes du présidentialisme – qui est un legs de<br /> notre tradition – pousse parfois à s’interroger sur la cohérence du régime.<br /> A titre d’exemple, si l’on convient que le Premier ministre est le Chef du Gouvernement,<br /> qu’il est issu d’une majorité parlementaire, qu’il conduit la politique nationale et qu’il<br /> répond de sa gestion devant l’Assemblée nationale, comment peut-on expliquer que le<br /> Président de la République – qui n’engage pas cette responsabilité – puisse participer à la<br /> définition de la politique nationale ?<br /> Mieux, comment admet-on que, dans une république parlementaire, le Chef de l’Etat soit<br /> élu au suffrage universel direct ; ce qui, par voie de conséquence, le pousse à se faire<br /> élire sur base d’un programme gouvernemental propre !<br /> Là se trouve l’une des ambiguïtés majeures de notre système institutionnel.<br /> Sur le plan de l’organisation institutionnelle globale, notre Constitution a eu le génie de<br /> prévoir, à côté des institutions politiques traditionnelles de l’Etat, ce que l’on appelle les<br /> « institutions d’appui à la démocratie ».<br /> Ceci est une innovation dans le constitutionnalisme moderne. C’est même une avancée<br /> sur le terrain de la participation citoyenne à la gestion de la chose publique.<br /> Mais, la pratique institutionnelle des dix dernières années a-t-elle réservé la place qui leur<br /> revient à ces institutions citoyennes ?<br /> Je ne vise pas ici que de simples questions protocolaires ; il s’agit de la perception que<br /> nous nous faisons du véritable rôle de ces institutions dans la consolidation du processus<br /> démocratique.<br /> Je pense qu’après dix ans d’application de la Constitution, le moment est venu de<br /> réhabiliter ces institutions citoyennes !<br /> En ce qui les concerne, les Institutions traditionnelles ont fonctionné conformément aux<br /> prévisions, après la désignation de leurs animateurs en deux cycles électoraux<br /> consécutifs. C’est là l’un des acquis de la Constitution actuelle.<br /> S’il faut s’en réjouir, il faut cependant se garder d’occulter la question du bilan du<br /> fonctionnement desdites Institutions, en dix ans de vie de la Constitution.<br /> En ce qui concerne le Parlement, je crois pouvoir affirmer que celui-ci s’est relativement<br /> bien acquitté de sa double mission de législation et de contrôle.<br /> A titre d’exemple, jusqu’à la dernière session ordinaire de septembre, le Sénat a adopté<br /> 210 lois en 9 ans d’existence ; soit une moyenne de 22 lois par an, pour un système qui<br /> n’organise, en principe, que six mois de sessions parlementaires par an.<br /> Sur le registre du contrôle parlementaire, ce Sénat a posé 32 questions orales avec débat,<br /> 24 questions d’actualité et 12 questions écrites ; il a constitué 11 Commissions d’enquête<br /> et procédé à une interpellation d’un membre du Gouvernement, dans le même intervalle<br /> de temps de travail.<br /> C’est dire qu’en dix ans d’existence, la Constitution n’a souffert au Sénat ni d’un déficit de<br /> production législative, ni d’une carence de contrôle parlementaire.<br /> Concernant le retard enregistré dans l’installation d’autres institutions, j’ose espérer que<br /> les prochains mois seront mis à profit pour compléter tout l’édifice.<br /> Je pense ici spécialement à certaines institutions du Pouvoir judiciaire, tels le Conseil<br /> d’Etat et les autres juridictions administratives ainsi que les Tribunaux de paix.<br /> Avec l’adoption de la loi organique sur les juridictions administratives, nul doute que le<br /> processus va s’accélérer, après les travaux de la Commission mixte paritaire.<br /> Honorables Sénateurs et chers collègues ;<br /> Au total, c’est une Constitution complète, une Constitution démocratique et une<br /> Constitution stable.<br /> Le caractère complet de la Constitution résulte de l’abondance et de la diversité de ces<br /> matières.<br /> Son caractère démocratique découle des valeurs qu’elle renferme :<br /> – le principe de la souveraineté du peuple,<br /> – l’obligation de conquête du pouvoir par des voies démocratiques,<br /> – le principe du respect des droits fondamentaux,<br /> – la forme républicaine de l’Etat, etc.<br /> Sa stabilité découle autant des mécanismes rigides de sa révision que de l’intangibilité<br /> proclamée de certains de ses articles.<br /> C’est grâce à cette stabilité que nous célébrons, cette année, le dixième anniversaire de<br /> cette Constitution.<br /> Pour ma part, cette brève réflexion n’étant ni exhaustive ni exclusive d’autres types<br /> d’analyses, je vous invite à la poursuivre.<br /> Elle n’est pas davantage une incitation à remettre les choses au goût du jour. Ce n’est pas<br /> mon propos !<br /> Aussi était-ce un devoir pour moi de rappeler ce sujet, à l’occasion de cet événement<br /> important qu’est la célébration des dix ans de la Constitution.<br /> Faisons de cet anniversaire l’occasion de poursuivre le débat dans tous les cercles, en<br /> commençant par les milieux universitaires de notre pays.<br /> Sur ce, je déclare ouverte la Session ordinaire de septembre et je vous remercie<br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7vwTZ5dj-Cd_wg1v7diKel2v66D49gkTVzCJkDJUMJh042OakaOCKGJzV3mQRkqbUXArwfoPvJ9rUi_YmiQX4OuzUooq9fyfFwcg_hKqtyZ1qoAUx6d9J7Y2cBKeaMdTZuPce_ovi6g4/s400/Snapshot_1299.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Politique Allocution du Président à l’occasion de l’ouverture de la session ordinaire de mars 2016

Honorable Président de l’Assemblée Nationale et Estimé collègue, Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Président de la Cour constituti...

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Culte œcuménique du stade des martyrs, les vérités d’Albert Kankienza.

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Nous ne sommes pas allés prier pour le dialogue convoqué par le président Kabila mais pour la paix».<br /> <br /> Dans une interview qu’il a accordée à 7sur7.cd, Albert Kankienza, président de l’Eglise du Réveil du Congo (ERC), donne les vraies raisons de l’organisation du culte œcuménique organisé au stade des Martyrs le samedi 5 mars 2016 en faveur de la RDC.<br /> <br /> 7sur7.cd/Les confessions religieuses ont organisé un culte œcuménique en faveur de la RDC. Quelles sont les raisons de cette manifestation ?<br /> <br /> R/la prière est une arme efficace contre l’ennemi, une arme avec laquelle on renverse les forteresses et on déjoue les plans du diable. Et pour tout chrétien, de façon unanime, la prière est une arme. Et nous sommes allés au stade des Martyrs le samedi 5 mars pour utiliser cette arme, sachant que 2016 est une année des grands enjeux, des grands défis. Il faut être aveugle pour ne pas voir que les choses peuvent basculer à tout moment. Il faut être aveugle pour ne pas voir que là où nous allons, le pays risque de sombrer dans le chaos si rien n’est fait. Nous en tant que chrétiens, face à cette lecture prophétique, que devons-nous faire ? Aller dans la rue protester ?Nous n’avons qu’une arme : la prière !Voilà pourquoi les confessions religieuses, à l’exception des catholiques, se sont mises d’accord d’aller prier pour la paix, en vue de déjouer les plans de l’ennemi contre notre pays. Et je me félicite d’avoir été au stade pour cela parce que j’aime mon pays, j’aime ma nation et jeneveux pas la voir vivre leschosessemblables à celles qu’elle a vécues il y a quelques années. Rappelez-vous l’entrée de l’AFDL, c’est la peur, la ville de Kinshasa livrée à elle-même, les exactions, le sauve qui peut, etc. L’entrée des rwandais en 1998 à Kinshasa. Le mois de janvier de l’année dernière, nous avons vécu des jours cauchemardesques. Je pense que pour toutes ces raisons, il faut prier pour que le pays ne revive ce genre des cas. La seule raison pour moi et pour mes collègues chefs des confessions religieuses était d’aller utiliser cette arme qu’est la prière pour renverser les forteresses qui se dressent contre notre pays, qui se dressent pourempêcher le développement de ce pays, son épanouissement.<br /> <br /> 7sur7.cd/Que répondez-vous à ceux qui disent que ce rassemblement visait à soutenir le dialogue politique inclusif convoqué par le président Kabila et son éventuel 3eme mandat ?<br /> <br /> R/ je me demande par quelle magie, par quel mécanisme notre prière au stade des Martyrs va donner un troisième mandat à Joseph Kabila etréviser la constitution ? Moi-même qui vous parle, en âme et conscience, je peux aller au stade pour ce motif-là alors que je sais que les règles du jeu sont déjà définis ? Et Dieu serait-il aussi naïfpour me glisser ce genre de prière ? Je pense que c’est mal connaitre Dieu et les hommes de Dieu que nous sommes. Nous ne sommes pas allé au stade prier pour que Dieu donne un troisième mandat ni pour aider à réviser la constitution. Nous ne sommes pas allés prier pour le dialogue convoqué par le président Kabila mais pour la paix. Le dialogue est notre souhait depuis plus de deux ans comme vous le savez. Voilà la vérité ! Nous avons prié pour que le pays retrouve son équilibre, sa stabilité et que nous ayons des élections apaisées. Quant à l’absence de l’Eglise Catholique, je ne m’explique pas son absence à cette manifestation. Je sais que ses responsables ont été contactés et il y a eu même un espace prévu dans le programmepour l’Eglise catholique. D’après ceux qui ont contacté ses responsables, Monseigneur Djomo avait donné son accord de principe mais on n’a pas compris pourquoi ils ont changé d’avis à la dernière minute.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> 7sur7.cd/ Une certaine opinion pense que malgré une forte mobilisation et le soutien du pouvoir public, cette manifestation s’est soldée par un échec…<br /> <br /> R/Un échec comment ? J’ai vu plus de la moitié du stade occupée. Plus de 45000 personnes ont réponduprésent à notre appel. Si vous prenez cette foule et l’amener au stade Tata Raphael, il sera plein. Quand nous sommes entrés au stade vers 12 heures 15, il y avait encore des gens qui venaient. Et la pluie a commencé à 12h30. Je pense que sans la pluie et si on était allé jusque 14 heures 30 comme prévu, peut-être qu’il y aurait eu plus de 60000 personnes. Donc, c’est un succès à mon avis. De toute façon, la Bible dit que là où deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis au milieu d’eux. Si on était à deux ou trois ou à 2000, même à 10000 à prier, Dieu était parmi nous. Je reste dans le contexte de la pensée de Dieu, pour vous dire que le problème de nombre ne peut pas être utilisé pour affirmer que cette manifestation était un échec.<br /> <br /> 7sur7.cd/ Et la pluie comme preuve que Dieu ne voulait pas de votre rassemblement…<br /> <br /> R/ J’ai plus de 32 ans de vie pastorale et prêche toujours que la pluie est une bénédiction. Plusieurs fois en plein culte, la pluie nous a surpris. Nous avons juste caché nos Bibles et avons continué à prier parce que nous croyons que la pluie est une bénédiction. Au mois de décembre de l’année dernière, il y a eu la pluie 3 dimanches de suite et de 3 heures du matin jusqu’à midi ou 13 heures. Il y a eu des cultesde 10 à 20 personnes dans plusieurs églises. Devait-on dire que Dieu avait sanctionné l’Eglise alors que nous savons tous que dimanche est le jour par excellence pour la glorification du Seigneur ? Je ne vois pas la pluie du samedi 5 comme une sanction mais plutôt une bénédiction de Dieu. Cela m’a rappelé l’époque des groupes de prière où nous n’avions pas tout ce qu’il y a aujourd’hui et que nous priions avec ferveur sous la pluie.Et c’était chaque fois une victoire contre le diable qui pensait que la pluie pouvait nous empêcher de glorifier notre Dieu. Et je pense que c’est ce qui s’est passé le samedi. Nous avons fait la dédicace de notre nation à Dieu sous la pluie. L’objectif a été atteint.<br /> <br /> 7sur7.cd/ En ce moment précis de notre histoire, un message à la classe politique congolaise.<br /> <br /> J’appelle toute la classe politique à l’amour, à la retenue, en cet instant précis de la vie de la nation. Qu’elle évite l’injure facile, la calomnie, la haine, la méchanceté. L’adversaire politique n’est pas un ennemi. Il faut que les uns et les autres sachent que le Congo est notre patrimoine, notre bien commun, notre héritage à nous tous. Il n y a personne qui est plus congolais que l’autre. A tous nos frères de la diaspora qui nous traitent de vendus, de collabos, nous leur disons que par amour, nous sommes revenus au pays nonobstant les conditions parfois infra humaines que nous avons rencontré à notre arrivée. S’ils aiment ce pays, nous aimerions les voir venir s’installer ici et que nous luttions ensemble pour le développement de notre nation.<br /> <br /> Propos recueillis par José BOOTO.<br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZtURFcEoScIRYASCRgxGCbFIB_WNvO5BmaBkuDxLMXypC2K4Y27_03fv_hbjLS6wG-_zDjQ7vLyO7Y_F3WVvc00ZDKfbHw3FZdtbCi3QhIKfNVDb6pLuZrRvD4bqmnW1kRNi-ti6GKhk/s400/Snapshot_1297.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

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«Nous ne sommes pas allé au stade prier pour que Dieu donne un troisième mandat ni pour aider à réviser la constitution. Nous ne sommes pas ...

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DIALOGUE : A. MINAKU ANNONCE LES COULEURS

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGwoFxTyN8-ug-Ed4t-Gm-fFe_42m03oVrV9cV92RJJRzq5RucKIwYi0UDEyoGkIxLWmnwr1E8fKT8KuuIPvRdrHjRlj5jFjDuIETgcg4HMuIahNgQwD60fguGFIppikhq5TNQ5f911hk/s1600/Snapshot_1182.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGwoFxTyN8-ug-Ed4t-Gm-fFe_42m03oVrV9cV92RJJRzq5RucKIwYi0UDEyoGkIxLWmnwr1E8fKT8KuuIPvRdrHjRlj5jFjDuIETgcg4HMuIahNgQwD60fguGFIppikhq5TNQ5f911hk/s400/Snapshot_1182.jpeg" width="400" /></a></div> Durant ce forum national et encore plus après, « nous sommes appelés à nous assumer avec plus d’attention, à régler des situations d’incompréhensions d’où qu’elles viennent<br /> et à prendre des décisions », prévient le speaker de la Chambre.<br /> « La session de mars, qui s’est ouverte hier mardi 15 mars, sera essentiellement politique », a fait savoir le président de l’Assemblée nationale. Au cours de cette session, Aubin Minaku a annoncé la tenue imminente du dialogue national inclusif. Pour ce faire, il a mentionné l’organisation de quelques débats républicains entre les élus sur les questions les plus vitales de la nation. D’après le Speaker de la chambre basse du Parlement, la session de mars est dédiée à l’adoption des lois essentielles. Elle devra gérer le contexte et le fruit du dialogue national inclusif, quelle qu’en soit la forme. <br /> » Pendant le dialogue national inclusif qui va se tenir, et encore plus après, nous, les élus directs du peuple, sommes appelés à nous assumer avec plus d’attention, à régler des situations d’incompréhensions d’où qu’elles viennent, à prendre des décisions là où l’immobilisme pourrait s’installer et à nous impliquer suffisamment dans tout processus ou action allant dans le sens du salut de la République « , a martelé le président Minaku.<br /> Le Président de la Chambre a interpellé ses collègues en ces termes : » Quels que soient les termes de référence du dialogue, l’agenda et les conclusions de ce forum ; quelles que soient les interprétations des uns et des autres concernant ce haut lieu d’échanges, ses recommandations et résolutions finales, c’est nous les élus du peuple qui allons finalement trancher. Cela revient à dire que nous allons, au cours de cette session, nous organiser de façon plus méthodique afin d’accorder un peu plus de temps aux questions politiques majeures « . <br /> » Il nous faut davantage protéger la démocratie, sauvegarder l’unité de la République et l’intégrité nationale par plus de civisme et de patriotisme « , a-t-il fait remarquer. <br /> En outre, Minaku estime qu’au regard des enjeux politiques de l’heure, la violence ne peut en aucune manière supplanter en mérite l’imagination et l’action. Et d’ajouter : « Le discours altier et les escalades verbales ne sauront jamais remplacer le fruit de la lucidité et du réalisme ». <br /> Il sera question au cours de cette session, de l’adoption des lois essentielles pour une mise en œuvre efficiente du processus électoral, a noté Aubin Minaku. Il s’agit notamment du projet de loi modifiant et complétant la loi du 24 décembre 2004, portant identification et enrôlement des électeurs et le projet de loi sur la répartition des sièges pour les élections provinciales et urbaines. <br /> La situation sécuritaire en Ituri et au Nord-Kivu sera aussi débattue au cours de cette session, a-t-il évoqué. « Les congolais, par le biais des populations des régions sinistrées, n’ont plus de larmes pour pleurer d’autres morts », a conclu Aubin Minaku. <br /> Ci-dessous l’intégralité du discours du Président de l’Assemblée nationale.Mathy MUSAU<br /> <br /> DISCOURS D’OUVERTURE DE LA SESSION ORDINAIRE<br /> Encore une fois, la tradition républicaine a été respectée. Conformément aux dispositions des articles 115 de la Constitution et 55 de notre Règlement intérieur, nous voici à nouveau réunis, à la date prévue, au siège du Parlement, pour l’ouverture solennelle de la première Session ordinaire de l’année 2016.<br /> Il me plaît de saisir cette occasion pour rendre à chacun de vous un hommage mérité pour l’œuvre immense que nous accomplissons ensemble depuis le début de la 2eme Législature de la 3eme République et davantage pour l’implication de tous dans le maintien du climat apaisé et de l’ambiance de convivialité ayant de tous temps prévalu au sein de l’Assemblée nationale.<br /> J’adresse, au nom des Membres du Bureau et au mien propre, une cordiale bienvenue à toutes les éminentes personnalités du Gouvernement, dont le 1er Ministre, Chef du Gouvernement, des autres institutions étatiques ainsi que du monde diplomatique qui ont accepté d’honorer notre Chambre en rehaussant de leur présence la cérémonie de ce jour.<br /> Avant de développer mon propos de ce jour, je voudrais demander à l’Auguste Assemblée ainsi qu’à nos Distingués Invités de bien vouloir observer quelques instants de silence en mémoire de nos Collègues, les Honorables Députés AYOBANGIRA SAMVURA et Christian BADIBANGI, respectivement élus des Circonscriptions de MASISI et de DIMBELENGE, qui nous ont quittés récemment.<br /> Une fois de plus, nous nous retrouvons dans cet hémicycle pour inaugurer une Session ordinaire parlementaire, une Session de plus depuis 2012, une Session de plus inscrite dans la tradition parlementaire remise en scelles depuis bientôt quelques décennies, vécue sans interruption jusqu’à ce jour, sans discontinuer ; c’est un plus pour la démocratie, un plus pour l’enracinement de l’Etat, de l’Etat de droit, une » voie royale » à laquelle nous avons tous souscrit sous le leadership du Président de la République, Son Excellence Joseph KABILA.<br /> Une » voie royale » comprise comme traduction d’une vision de société conçue, formulée, repensée depuis 2001 et vécue comme expérience concrète avec les élections de 2006, renouvelée en 2011.<br /> La Session qui s’ouvre ce jour sera nécessairement et indubitablement politique et se mouvra dans une ambiance préélectorale puisque dans un premier temps, cette Session ordinaire, dédiée en principe à l’adoption des lois les plus essentielles, devra gérer le contexte et le fruit du Dialogue national inclusif quelle qu’en soit la forme.<br /> Oui, pendant le Dialogue national inclusif qui devra bientôt se tenir, et encore plus après, nous, les élus directs du peuple, sommes appelés à nous assumer avec plus d’attention, à régler des situations d’incompréhensions d’où qu’elles viennent, à prendre des décisions là où l’immobilisme pourrait s’installer et à nous impliquer suffisamment dans tout processus ou action allant dans le sens du salut de la République !<br /> Il nous faut davantage protéger la démocratie, sauvegarder l’unité de la République et l’intégrité nationale par plus de civisme et de patriotisme et enfin nous battre inlassablement pour le mieux-être de toutes nos populations.<br /> Oui, Chers Collègues, quels que soient les termes de référence du Dialogue, l’agenda et les conclusions de ce forum ; quelles que soient les interprétations des uns et des autres concernant ce haut lieu d’échanges, ses recommandations et résolutions finales, c’est nous les élus du peuple qui allons finalement trancher. Cela revient à dire que nous allons, au cours de cette Session, nous organiser de façon plus méthodique afin d’accorder un peu plus de temps aux questions politiques majeures.<br /> C’est pourquoi, Chers Collègues, avant de brosser le tableau des lois essentielles que nous devrions adopter au courant de la Session, j’aimerais noter qu’il nous faudra organiser quelques débats républicains entre nous, sur les questions les plus vitales de la Nation :<br /> Je note premièrement les conclusions du Dialogue. Il faudrait en débattre au niveau des élus pour définir leur mise en œuvre.<br /> Deuxièmement, les questions les plus récurrentes actuelles : il s’agit, sur le plan sécuritaire, de la poursuite des tueries, particulièrement en Ituri et au Nord-Kivu de la part des rebelles, des insurgés étrangers bénéficiant malheureusement de temps en temps de la complicité de quelques compatriotes.<br /> Il faut en débattre, puisque le peuple congolais, par le biais des populations desdites régions sinistrées, n’a plus de larmes pour pleurer d’autres morts ; brisées et meurtries, elles ont perdu toutes forces pour souffrir davantage les affres des enlèvements, des cas de viols et de violations massives du droit international humanitaire.<br /> Troisièmement, la problématique des 28 mesures du Gouvernement destinés à juguler la baisse des recettes et à booster la croissance face à l’impérieuse nécessité d’appuyer conséquemment les nouvelles provinces et de prendre en charge plus efficacement les attentes sociales pressantes telles que l’accès à l’eau potable et à l’électricité, la réhabilitation des routes, notamment de desserte agricole, le renforcement du pouvoir d’achat, etc.<br /> Honorables Députés et Chers Collègues,<br /> Je ne reviendrai pas sur les événements et autres incidents enregistrés au cours de nos sessions passées, surtout que j’ai eu cette faiblesse légitime de penser que nos divergences, nos différences, nos âpres discussions, je dirais même nos affrontements font partie de la vivacité de notre jeune démocratie.<br /> Quelles que soient nos divergences de vues ou nos différences de vision, quelles que soient nos appartenances politiques, nous sommes tous ici liés par le fait que nous sommes Députés nationaux actifs, représentants du peuple. Nous sommes le pouvoir législatif et défenseurs des intérêts de celles et de ceux qui nous ont mandatés. Et nous travaillons pour le triomphe de l’intérêt général.<br /> Eu égard à ces évidences, nous devrions sans cesse, à mon avis, faire montre, Chers Collègues, d’une certaine hauteur et grandeur d’esprit dans l’accomplissement de notre mission. Car en définitive, en plus de représenter nos électeurs, nous devons incarner la haute idée de ce qu’est l’Etat.<br /> L’Etat, c’est avant tout des institutions qui durent dans le temps et qui demeurent dans l’espace, à l’opposé des hommes qui eux passent.<br /> L’Etat c’est plus encore la mise en forme d’un projet collectif au-dessus des intérêts des uns et des autres dans ce village planétaire où la compétition entre les nations est la règle.<br /> L’Etat, Chers Collègues, c’est le support d’une foi collective agissante qui imprime le tempo de tout homme d’Etat. La qualité d’homme d’Etat suppose une manière d’être qui met l’acteur politique à même de rendre sensible ce que nous avons en commun.<br /> L’Etat enfin, ainsi que j’ai déjà eu à l’affirmer un jour ici même, c’est davantage encore la continuité de l’histoire dont nous sommes héritiers avec ses hauts et ses bas et en tout temps auréolée des attributs de sa grandeur et de ses faiblesses, sans omettre ses contraintes et pesanteurs intrinsèques.<br /> Honorables Députés et Chers Collègues,<br /> C’est à nous qu’il revient, bien plus qu’à d’autres, de prendre toute la mesure de nos responsabilités pour aider la République Démocratique du Congo à aller de l’avant.<br /> En d’autres mots, si notre projet est de faire perdre à la République Démocratique du Congo sa bataille pour le progrès et le mieux-être de son peuple, acceptons aussi d’êtres divisés et de diviser notre peuple. En revanche, si nous voulons qu’elle en sorte victorieuse, il n’y a pas d’alternative à l’unité et au rassemblement autour de l’essentiel et des fondamentaux ce, en dépit et au-delà de nos divergences politiques qui, du reste, sont légitimes.<br /> J’estime par ailleurs qu’au regard des enjeux politiques de l’heure, la violence ne peut en aucune manière supplanter en mérites l’imagination et l’action ; le discours altier et les escalades verbales ne sauront jamais et alors jamais remplacer le fruit de la lucidité et du réalisme.<br /> Et aussi, la rage d’écraser à tout prix ses adversaires ne saura-t-elle l’emporter sur l’impératif du vouloir-vivre collectif ajouté au souci de procurer tranquillité et la paix durable à la République ; paix dont la soif dicte à chacune et à chacun l’obligation d’être pragmatique et conciliant face aux idées et propositions des ennemis de la non-violence. -6-<br /> S’agissant des réformes législatives visant la sécurisation de la carrière du fonctionnaire et exigées pour parachever le processus de la décentralisation, le temps fort sera l’examen et le vote du projet de loi portant statut du personnel de carrière des services publics de l’Etat prévu dans l’agenda de la présente Session.<br /> Dans le cadre des réformes judiciaires, la même Session a inscrit parmi ses priorités l’examen et le vote du projet de loi organique portant organisation et fonctionnement des juridictions de l’ordre administratif déjà adopté au Sénat. Il en est de même du projet de loi organique modifiant et complétant la loi organique portant organisation, fonctionnement et compétences des juridictions de l’ordre judiciaire.<br /> Ces deux instruments juridiques permettront à la République de boucler enfin le processus de l’éclatement de la Cour Suprême de Justice, option constitutionnellement levée par le souverain primaire depuis 2006.<br /> Honorables Députés et Chers Collègues,<br /> La question des adoptions internationales des enfants congolais a fait l’objet d’un intense agenda diplomatique. Compte tenu de nombreux abus qui ont été constatés dans ce secteur, le Gouvernement a déposé au Bureau de notre Chambre le projet de loi modifiant et complétant la Loi n°09/001 du 10 janvier 2009 portant protection des droits de l’enfant.<br /> Je veillerai personnellement et avec diligence pour que cette réforme permette d’assurer la cohérence entre la législation nationale et les instruments internationaux relatifs à la protection de l’enfant dûment ratifiés par notre pays.<br /> Honorables Députés et Chers Collègues,<br /> Comme vous le savez, la République Démocratique du Congo fait du secteur privé le moteur de la croissance. S’inscrivent dans cet objectif, la réforme du Portefeuille de l’Etat amorcée en 2008 et consacrant l’option de la libéralisation des secteurs productifs et des services ainsi que l’adhésion, en 2010, de la République Démocratique du Congo au Traité de l’OHADA.<br /> Ainsi, la présente session devra examiner certains textes de lois jugés prioritaires pour mettre en œuvre le Traité de l’OHADA et ses Actes uniformes. Il s’agit notamment du projet de loi modifiant et complétant la Loi du 5 juillet 2001 portant organisation et fonctionnement des tribunaux de commerce.<br /> C’est dans le même esprit que seront examinés les projets de loi autorisant la ratification par la République Démocratique du Congo des accords pour la promotion et la protection réciproque des investissements conclus respectivement avec l’Union belgo-luxembourgeoise, la République populaire de Chine, la République d’Afrique du Sud, la République d’Italie.<br /> Pour encourager la promotion et l’émergence d’une classe moyenne congolaise, la présente session devra accorder une attention particulière à l’examen et au vote de la proposition de loi relative à la sous-traitance.<br /> Les institutions de la République accordent une attention particulière à l’amélioration de la gestion des finances publiques.<br /> C’est pourquoi et aussi pour répondre aux exigences constitutionnelles et de la Loi du 13 juillet 2011 relative aux finances publiques, la présente Session accordera une attention particulière à l’examen et au vote de la proposition de loi organique portant organisation et fonctionnement de la Cour des Comptes qui est, aux termes de l’article 180 de la Constitution, chargée de contrôler, dans les conditions définies par la loi, la gestion des finances de l’Etat, des biens publics, des comptes des provinces, des entités territoriales décentralisées ainsi que des organismes publics.<br /> Enfin, l’Assemblée nationale devra remplir sa part de responsabilité au courant de cette Session en adoptant les lois essentielles pour une mise en œuvre efficiente du processus électoral. Il s’agit notamment :<br /> - du projet de loi modifiant et complétant la Loi n°04/028 du 24 décembre 2004 portant identification et enrôlement des électeurs ;<br /> - du projet de loi sur la répartition des sièges pour les élections provinciales et urbaines.<br /> J’invite le Gouvernement à faire diligence dans le dépôt de ces projets de lois, de préférence endéans 15 jours au plus, aux fins de permettre aux 2 Chambres d’en débattre en toute sérénité en respectant les prescrits de la navette.<br /> Je saisis cette opportunité pour saluer l’entame du processus électoral visualisé par l’organisation, ce 26 mars 2016, de l’élection des Gouverneurs et Vice-gouverneurs des provinces, qui interviendra après celle des bureaux définitifs des Assemblées provinciales tenue il y a de cela 3 jours.<br /> Je salue aussi le lancement, par la CENI, de l’appel d’offres pour les kits électoraux qui s’est réalisé dans le respect des normes nationales en matière de passation des marchés publics.<br /> Honorables Députés et Chers Collègues,<br /> Dans le cadre du contrôle parlementaire, je réaffirme notre détermination à poursuivre sans désemparer la mission constitutionnelle de contrôler le Gouvernement, les entreprises, les établissements et les services publics.<br /> Outre les moyens d’information et de contrôle parlementaire classique et l’examen du rapport annuel de gestion de la Commission Electorale Nationale Indépendante, la présente session va consacrer une bonne partie de ses séances plénières à l’évaluation du niveau d’exécution des recommandations formulées par notre Chambre législative au Gouvernement, aux entreprises, établissements et services publics.<br /> A cet effet, j’invite les membres du Gouvernement et responsables concernés à mieux s’organiser pour s’acquitter de cette obligation républicaine sans contrainte ni atermoiement.<br /> Toujours dans la perspective de cette évaluation, il sied de souligner que depuis le début de cette Législature jusqu’à ce jour, l’Assemblée nationale a adopté 124 textes de lois qui participent toutes à l’amélioration de la gouvernance politique, économique et sociale.<br /> Ces textes de lois exigent du Gouvernement notamment d’affiner les politiques et stratégies nationales sectorielles ainsi que des mesures d’exécution pour assurer leur mise en œuvre effective. Au cours de cette Session, notre Chambre législative va procéder, en plénière ou en Commissions permanentes, à l’évaluation sectorielle du niveau d’exécution de ces textes de lois et leur impact sur la gouvernance de notre pays.<br /> Par ailleurs, en ce qui concerne singulièrement le contrôle budgétaire, je voudrais attirer l’attention de la Commission Economique, Financière et Contrôle Budgétaire sur la nécessité de s’atteler dès maintenant à l’exercice du contrôle trimestriel de l’exécution du budget de l’exercice en cours ce, conformément à la loi sur les finances publiques et au Règlement intérieur de l’Assemblée nationale afin de permettre à notre Chambre d’exercer pleinement sa faculté d’autorité budgétaire en amont comme en aval et formuler le moment venu des recommandations idoines.<br /> Aussi, voudrais-je vous réitérer dans le même chapitre du contrôle parlementaire, Chers Collègues, mon souhait, de voir les Honorables Députés multiplier les initiatives des auditions en commissions des membres du Gouvernement et des mandataires des entreprises, établissements et services publics en lieu et place de l’usage des seules questions orales avec débat, plus sensationnelles peut-être – contraintes de gestion efficiente de temps oblige – Puis-je, à ce propos, rappeler à celles ou ceux des précités qui seront visés par ces initiatives la nécessité de respecter strictement les invitations y relatives.<br /> Honorables Députés et Chers Collègues<br /> Sur le plan économique et financier, je reviens une fois de plus sur l’approbation que j’ai toujours marquées quant aux bienfaits mesurés de la stabilisation du cadre macroéconomique et sur la volonté du Gouvernement à poursuivre la consolidation de la croissance économique sous l’impulsion de Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat.<br /> Force est cependant de souligner que l’économie congolaise a subi une certaine décélération du rythme de sa croissance du fait notamment d’un choc extérieur liée à la baisse des cours des matières premières.<br /> Cette conjoncture défavorable est difficile à surmonter à court terme, d’autant plus que son incidence a des inconvénients multiples et se manifeste simultanément sur la baisse de la production qui amène certaines unités de production à fermer, conduit à une baisse sensible des recettes au niveau des finances publiques, phénomène qui contraint le Gouvernement à une gestion sur base caisse, provoque, en terme des jours d’importations, la réduction progressive de la couverture des réserves internationales et impacte négativement sur la balance commerciale.<br /> Malgré cette situation dont les effets ont conduit à la réduction du train de vie de l’Etat, il y a lieu de rappeler certaines causes déjà stigmatisées à l’occasion d’allocutions précédentes. Il s’agit notamment :<br /> – De l’identification des responsables du coulage des recettes publiques qui se poursuit aisément au détriment du trésor public ;<br /> – Il s’agit aussi de la révisitation de la réforme de la Taxe sur la Valeur Ajoutée et des remarques formulées pour l’amélioration de son rendement lesquelles n’ont jamais été prises en compte malgré les limites de la TVA sur la mobilisation des recettes et la production nationale du fait de certaines incohérences constatées ;<br /> – Il s’agit enfin de la révisitation des taux débiteurs des banques qui sont restés élevés entre 14 et 25 % excluant ainsi plusieurs PME/PMI des crédits à court terme à des taux préférentiels, bien que le taux directeur de la Banque Centrale du Congo soit resté maintenu à 2% et le taux d’inflation autour de 1 %,…<br /> Aussi, le Gouvernement devra-t-il compter sur le concours de l’Assemblée nationale afin de lui permettre de poursuivre la stabilisation du cadre macroéconomique et la consolidation de la croissance.<br /> Enfin, pour clôturer ce chapitre économique, je voudrais rendre un vibrant hommage à Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, pour son initiative de doter notre pays d’un » Plan national stratégique de développement » à même de faire de la République Démocratique du Congo un pays émergent à l’horizon 2035.<br /> Honorables Députés et Chers Collègues,<br /> Trêve de discours finalement, je conclus en vous invitant, comme à chaque reprise, à l’aiguisement du sens de la responsabilité, à l’assiduité et au zèle pour mieux assumer votre mandat, notre mandat.<br /> En tant qu’élus du peuple, je vous exhorte, face aux questions majeures de l’heure qui nous attendent, à privilégier la République, d’abord la République. Nous devons prôner le rassemblement, la responsabilisation citoyenne, le sens de l’intérêt général, le patriotisme et l’implication de la jeunesse, de la femme aussi.<br /> Cette République, c’est bien celle qui est portée par près de 75 millions d’habitants répartis sur 2.345.000 km2 et qui forment un grand peuple plein de courage et de lucidité, qui a su surmonter bien d’événements malheureux au cours de son histoire. Il relèvera sans doute le défi politique qui se dresse devant lui avec sagesse et pragmatisme.<br /> Je vous exhorte, Chers Collègues, à la tolérance et à la juste mesure à chaque instant ; c’est uniquement par une mise en œuvre de ces valeurs cardinales que nous aiderons effectivement la Nation et la République.<br /> Que vive la République Démocratique du Congo. J’ai dit.<br /> Sur ce, je déclare ouverte la Session ordinaire de mars 2016. La séance est levée.<br /> <br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgGwoFxTyN8-ug-Ed4t-Gm-fFe_42m03oVrV9cV92RJJRzq5RucKIwYi0UDEyoGkIxLWmnwr1E8fKT8KuuIPvRdrHjRlj5jFjDuIETgcg4HMuIahNgQwD60fguGFIppikhq5TNQ5f911hk/s400/Snapshot_1182.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

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La police interpelle une dizaine d’activistes de la Lucha à Goma

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Pakadjuma: un quartier pas comme les autres à Kinshasa

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhepWZspUp6t96CigNzeWKm8znNBjw2gxzwhzQIXaiNJkTfxt9Ul8sA9WSaRr2rr-j02HyYjZN6j7lgtQWYPxyZmq_gmSM0mzdRl9bpW4NIX5gUW3qz5AkKNT6Ww3qnFocwQer1JWBgSUA/s1600/Snapshot_1177.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhepWZspUp6t96CigNzeWKm8znNBjw2gxzwhzQIXaiNJkTfxt9Ul8sA9WSaRr2rr-j02HyYjZN6j7lgtQWYPxyZmq_gmSM0mzdRl9bpW4NIX5gUW3qz5AkKNT6Ww3qnFocwQer1JWBgSUA/s400/Snapshot_1177.jpeg" width="400" /></a></div><br /> Situé aux environs de Kingabwa, dans la commune de Limete, Pakadjuma est un recoin de Kinshasa qui sort de l’ordinaire. Plusieurs faits et situations hors du commun y sont observables. L’insalubrité bat son plein.<br /> <br /> Poubelles de fortunes, boue et eau dans les avenues, déchets plastiques et autres posés çà et là, préservatifs utilisés jetés dans les rues etc. Voilà, la triste et déplorable réalité de cette contrée. Cela rend de plus difficile la vie de la population qui, confrontée au problème d’électricité, souffre des actions inciviques des bandits tapis dans le noir. Les fameux Kuluna. Par ailleurs, outre la donne de l’insalubrité et de l’insécurité, il sied d’épingler la grandiose décadence morale qui y sévit. En effet, Pakadjuma est célèbre notamment pour la prostitution. Des femmes de tous âges y exercent le plus vieux métier du monde pour un public qui, souvent, aux indiscrétions faites, proviendrait surtout des quartiers si pas des communes périphériques. Quelques aventureux patentés, clients avérés ont même affirmé pouvoir se payer un moment de détente en pleine journée dans des lieux dont ils détiennent les secrets. En savoir de ce tableau plus que singulier, les habitants de Pakadjuma vivent, du moins pour la plus grande majorité, dans des situations très pénibles. Ils habitent, en plein cœur de Kinshasa, à l’ère de la révolution de la modernité dans des bicoques fabriquées avec un peu de tout.<br /> <br /> Enock MBITA<br /> <br /> <br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhepWZspUp6t96CigNzeWKm8znNBjw2gxzwhzQIXaiNJkTfxt9Ul8sA9WSaRr2rr-j02HyYjZN6j7lgtQWYPxyZmq_gmSM0mzdRl9bpW4NIX5gUW3qz5AkKNT6Ww3qnFocwQer1JWBgSUA/s400/Snapshot_1177.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Au tour de Kinshasa Société Pakadjuma: un quartier pas comme les autres à Kinshasa

Situé aux environs de Kingabwa, dans la commune de Limete, Pakadjuma est un recoin de Kinshasa qui sort de l’ordinaire. Plusieurs faits et...

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Dialogue selon l’accord-cadre d’Addis-Abeba . Front du Peuple : les femmes de l’opposition réaffirment leur soutien à Tshisekedi !

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2_ISMTbS61C9AE3tnvBvt2iWTV9WNh-auxdiQ_nJyW7kV3cluNkQcB21Lv_8MqcsXtY7bXfMqkP9sKa7TPu2NO2NVbfKgnryM-4gGVvGJl0sHWCTG_6A4Amw-8LTeJ99T477lOpmS34c/s1600/Snapshot_1176.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2_ISMTbS61C9AE3tnvBvt2iWTV9WNh-auxdiQ_nJyW7kV3cluNkQcB21Lv_8MqcsXtY7bXfMqkP9sKa7TPu2NO2NVbfKgnryM-4gGVvGJl0sHWCTG_6A4Amw-8LTeJ99T477lOpmS34c/s400/Snapshot_1176.jpeg" width="400" /></a>*En marge de la célébration de la journée internationale de la femme, les femmes du Front du Peuple, ensemble avec d’autres délégations des femmes de l’opposition ont, au cours d’un grand rassemblement, réaffirmé leur soutien à Etienne et Marthe Tshisekedi. Elles ont exprimé leur volonté de voir le dialogue politique se tenir effectivement sous la médiation internationale. Ce, dans le strict respect de l’accord-cadre d’Addis-Abeba et de la constitution de la République Démocratique du Congo. C’était hier, mardi, 15 mars 2016, à l’Hôtel Africana Palace, situé dans la commune de Lingwala, à Kinshasa. Le Coordonnateur et Porte-parole du Front du Peuple, Jean-Pierre Lisanga Bonganga ainsi que d’autres coordonnateurs adjoints ont rehaussé de leur présence cette grande manifestation des femmes de l’opposition politique congolaise. <br /> <br /> Dans son mot d’ouverture, Jean-Pierre Lisanga Bonganga a commencé par louer les mérites de la femme qui, selon lui, est comme la source de toute vie. «Elle est la pièce maîtresse de toute famille. Non violente, la femme est une mère», a-t-il dit. Il a, par la même occasion, salué la détermination des femmes de l’opposition qui ont milité et se sont battues pour l’organisation de cette grande manifestation. Présidée par Madame Pascaline Kudura, Présidente des femmes du Front du Peuple, cette activité a connu plusieurs interventions des femmes leaders en politique. Notamment, celles des femmes de la Dynamique de l’opposition, de l’UDPS, de la DYFAC, etc. Dans son discours, la Présidente des femmes du Front du peuple a souligné que le mois de mars rêvait deux significations magistrales pour sa famille politique. Premièrement, c’est le mois de la femme. Ensuite, c’est le mois du dialogue pour le Front du Peuple. Abordant la problématique du dialogue, Pascaline Kudura a commencé par rappeler les faits, avant d’aborder le contexte selon lequel l’accord-cadre d’Addis-Abeba a été mis sur pied. « Aujourd’hui, force est de constater que le régime en place n’a pas manifesté la bonne foi pour appliquer ledit accord, pourtant signé par le Chef de l’Etat lui-même et qui, par ailleurs, décide tardivement de convoquer le dialogue à quelques mois du terme de son mandat. Face à cette nouvelle donne, l’opposition, qui voulait presque dans sa grande majorité l’organisation du Dialogue immédiatement après les résultats controversées des scrutins de novembre 2011, est tiraillée entre deux courants d’opinions, toutes opposées les unes aux autres. D’un côté, se présentent ce qu’on appelle les pro-dialogues «Wumela» favorables au dialogue convoqué par Joseph Kabila. De l’autre, se dressent en face, les pro-dialogues «Yebela» favorables au dialogue global et inclusif sous la facilitation ou médiation internationale, mais surtout attachés à l’organisation des élections présidentielle et législatives dans les délais constitutionnels», a-t-elle dit. Avant d’insister sur le fait que c’est dans le deuxième groupe qu’évolue le Front du Peuple, tel que le veut son autorité morale, Etienne Tshisekedi. Interprétant les différentes positions de la classe politique, Pascaline Kudura reconnaît qu’il y a un blocage sans précédent du processus de démocratisation. «Voilà pourquoi, les congolais restent attachés à la médiation de la communauté internationale et espèrent obtenir d’elle un appui politique et diplomatique important pour matérialiser la volonté des congolais, mais également la sienne propre, telle qu’exprimée dans les Résolutions des Nations Unies 2098 et 2211 », a-t-elle fait savoir. <br /> <br /> Pour sa part, Mme Annie Kanku a développé le thème « sensibilisation de la jeunesse féminine pour l’adhésion massive en politique ». A ce sujet, elle a révélé qu’actuellement, en RDC, la jeune fille ne s’occupe pas de la politique qui, selon elle, n’est qu’une manière de gérer la société. « Et nous les mamans qui sommes appelées à gérer cette société d’hommes, avons l’obligation d’informer et de former cette jeunesse qui est l’avenir de demain. Cette jeunesse doit prendre la relève après notre existence, a-t-elle ajouté. C’est pourquoi, nous lançons un appel à la jeunesse féminine de nous rejoindre massivement en politique, pour qu’en fin, d’ici 2030, qu’il y ait développement durable», a déclaré Mme Annie Kanku. Mme Marie Florence Bolenga Gama, conseillère à la Ligue Nationale des femmes du MSC en charge des questions Estudiantines, a axé son exposé sur «la femme politique actrice du développement dans la perspective d’un dialogue de paix en République Démocratique du Congo ».<br /> <br /> Il convient de signaler que les travaux vont se poursuivre en atelier. Les femmes vont réfléchir sur toutes les questions de l’heure, dont celles contenues dans la feuille de route de l’UDPS.<br /> <br /> Kevin Inana <br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2_ISMTbS61C9AE3tnvBvt2iWTV9WNh-auxdiQ_nJyW7kV3cluNkQcB21Lv_8MqcsXtY7bXfMqkP9sKa7TPu2NO2NVbfKgnryM-4gGVvGJl0sHWCTG_6A4Amw-8LTeJ99T477lOpmS34c/s400/Snapshot_1176.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Politique Dialogue selon l’accord-cadre d’Addis-Abeba . Front du Peuple : les femmes de l’opposition réaffirment leur soutien à Tshisekedi !

*En marge de la célébration de la journée internationale de la femme, les femmes du Front du Peuple, ensemble avec d’autres délégations des ...

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Angola : José Eduardo Dos Santos annonce sa retraite !

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La délivrance sur le mauvais rêves avec le pasteur Valère musatu Docteur ya ba ndoto (VIDÉO)

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgtUBrd8LiOLbwmjNsSjXNGXSA2NWSqc8_qz3idHN5Cf_jaa0MiXQ9Pp4ck0457mq0ML6dOYIZmxTGuCfbAfEpNxr790FmXUyMa6_Eg990x7ZEpKeKmd279GCh3mwka7CX4Y1TsWiARluE/s1600/Snapshot_1174.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgtUBrd8LiOLbwmjNsSjXNGXSA2NWSqc8_qz3idHN5Cf_jaa0MiXQ9Pp4ck0457mq0ML6dOYIZmxTGuCfbAfEpNxr790FmXUyMa6_Eg990x7ZEpKeKmd279GCh3mwka7CX4Y1TsWiARluE/s400/Snapshot_1174.jpeg" width="400" /></a><br /> <h3> La délivrance sur le mauvais rêves avec le pasteur Valère musatu Docteur ya ba ndoto (VIDÉO)</h3> <br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="303" src="https://www.youtube.com/embed/qF63rPIbsk4" width="603"></iframe><br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgtUBrd8LiOLbwmjNsSjXNGXSA2NWSqc8_qz3idHN5Cf_jaa0MiXQ9Pp4ck0457mq0ML6dOYIZmxTGuCfbAfEpNxr790FmXUyMa6_Eg990x7ZEpKeKmd279GCh3mwka7CX4Y1TsWiARluE/s400/Snapshot_1174.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

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Alors que Minaku prône le dialogue : Kengo exige le respect de la Constitution !

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgS93VkVBmkwJnZ0ARg8loZSnk2di5YRnO1W9M__Kndnk_cJJ6TEgyLL-E0kAmlJdI-m-fTEjmXv2bsXrMbR-sFWjgWle4TlbAXVWu-HTB-kw9DhEoEouzWKRhQr7PJQdXGkiT7GtQhzDI/s1600/Snapshot_1173.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgS93VkVBmkwJnZ0ARg8loZSnk2di5YRnO1W9M__Kndnk_cJJ6TEgyLL-E0kAmlJdI-m-fTEjmXv2bsXrMbR-sFWjgWle4TlbAXVWu-HTB-kw9DhEoEouzWKRhQr7PJQdXGkiT7GtQhzDI/s400/Snapshot_1173.jpeg" width="400" /></a></div><br /> <br /> *Les Sénateurs et Députés ont repris du service. En plus de lois essentielles qui doivent permettre à la CENI d’enrôler les nouveaux majeurs et les Congolais de la diaspora, de répartir les sièges aux législatives nationales, les deux Chambres du Parlement ont aussi la charge d’adopter certaines lois importantes comme le nouveau Statut des agents et fonctionnaires de l’Etat ou encore les 28 mesures anti-crise économique de Matata. Mais, les défis politiques du moment ont obligé les Présidents du Sénat et de l’Assemblée nationale à se montrer très politiques. Léon Kengo célèbre les 10 ans de la Constitution dont il a vanté les mérites. A l’Assemblée nationale, Aubin Minaku attend tout du dialogue politique convoqué par le Président Kabila. Il se dit prêt à endosser les résolutions qui en résulteront, quels qu’en soient les termes de référence. <br /> <br /> Tel que prévu, les Députés et Sénateurs de la RDC ont démarré la session parlementaire du 15 mars 2016. A l’Assemblée nationale, le Président du Bureau a prononcé un important discours-programme qui soulève déjà des passions. Aubin Minaku insiste particulièrement sur la nécessité du dialogue qui, à son avis, est la seule voie susceptible d’aider la RDC à organiser des élections apaisées. A la Chambre haute, le Président Léon Kengo a vanté les mérites de la Constitution du 18 février 2006, laquelle, à ses yeux, a résolu d’importants problèmes à l’origine de la grande crise multisectorielle qu’a connue le pays. Kengo fait savoir ou rappelle que c’est l’actuelle Constitution qui a mis fin à l’endémique crise de légitimité qui a longtemps caractérisé les animateurs des Institutions du pays. A cette crise de légitimité, était venue s’ajouter la crise de légalité. L’autre mérite de la Constitution, c’est d’avoir réunifié la RDC qui, en son temps, fut morcelée et occupée par des chefs de guerre. Là où Minaku, dans une attitude souverainiste, propose que la tenue effective des élections soit le résultat d’un consensus né du dialogue politique et inclusif ; Léon Kengo penche sérieusement en faveur du respect de la Constitution. A l’Assemblée nationale, la session de mars est essentiellement politique, officiellement, pour consolider la démocratie, la paix, la stabilité et l’unité du pays. C’est dire que, même si la session de mars est dédiée en principe à l’adoption des lois les plus essentielles, l’Assemblée nationale ‘‘devra gérer le contexte et le fruit du dialogue national inclusif, quelle qu’en soit la forme’’. Minaku a demandé aux Députés de se tenir prêts à endosser les recommandations du dialogue, quels qu’en soient les termes de référence. <br /> <br /> Au Sénat, la grande partie du discours d’ouverture a consisté à faire valoir les sept préoccupations majeures sur lesquelles la Constitution est assise. C’est, entre autres, pour assurer le fonctionnement harmonieux des Institutions de l’Etat ; éviter les conflits, non seulement au sein de ces Institutions, mais plus globalement, au sein de l’ensemble du corps social ; instaurer un Etat de droit, ce qui implique la soumission de tous à la loi, en commençant par la loi suprême ; contrer toute tentative de dérive dictatoriale, ce qui signifie le rejet de toutes les antivaleurs de la IIème République ; garantir la bonne gouvernance ; lutter contre l’impunité ; assurer l’alternance démocratique.<br /> <br /> La Pros. <br /> <br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgS93VkVBmkwJnZ0ARg8loZSnk2di5YRnO1W9M__Kndnk_cJJ6TEgyLL-E0kAmlJdI-m-fTEjmXv2bsXrMbR-sFWjgWle4TlbAXVWu-HTB-kw9DhEoEouzWKRhQr7PJQdXGkiT7GtQhzDI/s400/Snapshot_1173.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

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*Les Sénateurs et Députés ont repris du service. En plus de lois essentielles qui doivent permettre à la CENI d’enrôler les nouveaux maje...

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Les danseuses de Werrason très fâchées ,journeé de la femme ba Tshieli Danseuse Ya Fabrègas Merveille (VIDÉO)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjvkymDJkRTIRD22F-D2qhmwrEuuoRx_hdeNdXlNL7cr-l7AeziB24a2cYYwzlu4ypmLJjIpCei9KAwGN6QekR8CXH1kIqDmIKAwLfAyOG9xf9kf2m0WgslinOpTlqgjQ30ZNn2BwLL2kw/s1600/Snapshot_1171.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjvkymDJkRTIRD22F-D2qhmwrEuuoRx_hdeNdXlNL7cr-l7AeziB24a2cYYwzlu4ypmLJjIpCei9KAwGN6QekR8CXH1kIqDmIKAwLfAyOG9xf9kf2m0WgslinOpTlqgjQ30ZNn2BwLL2kw/s400/Snapshot_1171.jpeg" width="400" /></a></div> <br /> <br /> <h3> Les danseuses de Werrason très fâchées ,journeé de la femme ba Tshieli Danseuse Ya  Fabrègas Merveille (VIDÉO)</h3> <br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="303" src="https://www.youtube.com/embed/7H73d8Ci46Q" width="603"></iframe><br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjvkymDJkRTIRD22F-D2qhmwrEuuoRx_hdeNdXlNL7cr-l7AeziB24a2cYYwzlu4ypmLJjIpCei9KAwGN6QekR8CXH1kIqDmIKAwLfAyOG9xf9kf2m0WgslinOpTlqgjQ30ZNn2BwLL2kw/s400/Snapshot_1171.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

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Les danseuses de Werrason très fâchées ,journeé de la femme ba Tshieli Danseuse Ya  Fabrègas Merveille (VIDÉO)

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Minaku-Kengo : Dialogue contre constitution

<br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMe7rx726GdbnNjdlIKcZBY-m5YrYubqxNFPVrkm7YGyTrXWaZ6yulScP7wPs6NJzcFEWnjhHcHGpHjnHX_bEsO5SnAbhLqABJpUQBPZeo_7-1bEpUWRNZWjLyamlzRMOjsMqUjDPfJRI/s1600/Snapshot_1169.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMe7rx726GdbnNjdlIKcZBY-m5YrYubqxNFPVrkm7YGyTrXWaZ6yulScP7wPs6NJzcFEWnjhHcHGpHjnHX_bEsO5SnAbhLqABJpUQBPZeo_7-1bEpUWRNZWjLyamlzRMOjsMqUjDPfJRI/s400/Snapshot_1169.jpeg" width="400" /></a></div><br /> A l’ouverture de la session politique de mars, deux discours presque diamétralement opposés, ont été entendus dans les deux chambres du parlement. L’un au sénat insistant totalement sur le respect de la constitution. L’autre à l’assemblée nationale mettant en avant le dialogue qui doit impérativement se tenir quelque soit la forme. Dialogue contre Constitution, le nerf de la guerre. Le ton de Kengo a tout dit. Donneur de leçon et sauveur du régime lors des événements de janvier 2015, le président du sénat a rappelé que la constitution est intangible. Donc, on n’y touche pas. Pour lui, il est la base d’un consensus politique qui permet d’assurer la stabilité des institutions. Curieux en cette période de forcing qu’un tel discours vienne d’un allié. Seulement, le vieux routier veut se donner bonne conscience et rester surtout dans les règles de l’art. Il ajoute que la constitution s’impose au peuple et aux institutions. Une manière de prévenir que les premières personnes à respecter la constitution, ce sont les animateurs des institutions. Le message est clair et touche la vraie cible. Sans ouvertement s’opposer à la thèse de Kengo, Aubin Minaku, s’est époumoné à expliquer la meilleure formule pour décrisper la crise actuelle. Il s’agit du dialogue inclusif. Dans le contexte actuel où le pays risque de foncer vers le mur, il faut l’apaisement, insiste-t-il. La session de mars doit gérer le contexte et le fruit du dialogue inclusif quelque soit sa forme. Pendant le dialogue politique inclusif qui devra bientôt se tenir, rappelle Minaku, les élus directs du peuple- à l’opposé de sénateurs- sont appelés à s’assumer avec plus d’attention à régler des situations d’incompréhension d’où qu’elles viennent et à prendre des décisions là où l’immobilisme pourrait s’installer. Le speaker de la chambre basse du parlement a appelé les députés aussi à l’implication dans tout processus ou action allant dans le sens du salut de l’unité de la république. Pour lui, il faut davantage protéger la démocratie, sauvegarder l’unité de la république et l’intégrité nationale par plus de civisme et de patriotisme. Et Aubin Minaku de lâcher : ‘‘Quelque soient les termes de référence du dialogue, l’agenda et les conclusions de ce forum, quelques soient les interprétations des uns et des autres concernant ce haut lieu d’échanges, ces recommandations et résolutions finales, c’est nous les élus du peuple, qui allons finalement trancher’’. Mais pour arriver à ça, le président de l’assemblée nationale pense qu’il faut accorder plus de temps aux questions politiques majeures. Des débats républicains seront organisés sur des sujets majeurs de la nation. Quels sont sujets majeurs ?, s’est interrogé un opposant. En dehors de la révision constitutionnelle et la présidence à vie du président Kabila, il n’y aura pas autre chose. A l’opposition radicale, on a déjà prévenu que le dialogue format Kabila est inopportun comme aussi toute tentative de faire passer une loi liberticide au parlement. Or, Minaku a aussi averti que le dialogue aura lieu quelque soit sa forme. Le risque d’une implosion à cette session de mars devient ainsi inévitable. La majorité pourra être tentée de faire passer la loi sur le référendum mais l’opposition attend agiter la rue pour contrer et stopper définitivement le pouvoir dans sa quête du glissement.<br /> <br /> 7sur7.Cd<br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMe7rx726GdbnNjdlIKcZBY-m5YrYubqxNFPVrkm7YGyTrXWaZ6yulScP7wPs6NJzcFEWnjhHcHGpHjnHX_bEsO5SnAbhLqABJpUQBPZeo_7-1bEpUWRNZWjLyamlzRMOjsMqUjDPfJRI/s400/Snapshot_1169.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

Politique Minaku-Kengo : Dialogue contre constitution

A l’ouverture de la session politique de mars, deux discours presque diamétralement opposés, ont été entendus dans les deux chambres du pa...

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Ex. Musicien de Kester EMENAYA: Sweet Elesse, après un long silence ba vérité ya Jolly Mubiala ebimi danseuse atielaki ye zakalaha na KINSHASA... Eyindi lisusus.(VIDÉO)

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgp36UBh2eKD_7Fn-2nrJnC19L0mGVdNq6e_imI4RF9z_2DYPckjCQ20hiHVpn0bj91bYaqZYhV71m_uU9y0ES5QpI4ieiwkWghk-jtrFqPFYpJ3YlfPhAaWje9AHS8gHsWkKUir3f4OcA/s1600/Snapshot_1167.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgp36UBh2eKD_7Fn-2nrJnC19L0mGVdNq6e_imI4RF9z_2DYPckjCQ20hiHVpn0bj91bYaqZYhV71m_uU9y0ES5QpI4ieiwkWghk-jtrFqPFYpJ3YlfPhAaWje9AHS8gHsWkKUir3f4OcA/s400/Snapshot_1167.jpeg" width="400" /></a><br /> <h3> Ex. Musicien de Kester EMENAYA: Sweet Elesse, après un long silence ba vérité ya Jolly Mubiala ebimi danseuse atielaki ye zakalaha na KINSHASA... Eyindi lisusus.(VIDÉO)</h3> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="303" src="https://www.youtube.com/embed/AegXoSFQG_w?list=PL5gKoIllhEn-57s1HHToLOT7zONeA2V6u" width="603"></iframe><br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgp36UBh2eKD_7Fn-2nrJnC19L0mGVdNq6e_imI4RF9z_2DYPckjCQ20hiHVpn0bj91bYaqZYhV71m_uU9y0ES5QpI4ieiwkWghk-jtrFqPFYpJ3YlfPhAaWje9AHS8gHsWkKUir3f4OcA/s400/Snapshot_1167.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

infos en vidéos Musique Ex. Musicien de Kester EMENAYA: Sweet Elesse, après un long silence ba vérité ya Jolly Mubiala ebimi danseuse atielaki ye zakalaha na KINSHASA... Eyindi lisusus.(VIDÉO)

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WERRASON : R. Kelly lance message fort à Ferre Gola , Est ce qu'alingi azonga chez Ferre Gola?(VIDÉO)

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHSxedySRBuEHcOwKWLAVTvMQULW2fmiu_lZjWIvP0atKSMr-wBEkuaqPZu4bnSt0k3o6BLP35EEcZv04aNO42vsH5qUNlVcRK6nyw-Hsny0fuL3cdxVHOjvTvH6XySQU_-hp8KmrNtxM/s1600/Snapshot_1161.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHSxedySRBuEHcOwKWLAVTvMQULW2fmiu_lZjWIvP0atKSMr-wBEkuaqPZu4bnSt0k3o6BLP35EEcZv04aNO42vsH5qUNlVcRK6nyw-Hsny0fuL3cdxVHOjvTvH6XySQU_-hp8KmrNtxM/s400/Snapshot_1161.jpeg" width="400" /></a><br /> <h3> WERRASON : R. Kelly lance message fort à Ferre Gola , Est ce qu'alingi azonga chez Ferre Gola?(VIDÉO)</h3> <br /> <br /> <br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="303" src="https://www.youtube.com/embed/zBxPAd9mHfo" width="603"></iframe><br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHSxedySRBuEHcOwKWLAVTvMQULW2fmiu_lZjWIvP0atKSMr-wBEkuaqPZu4bnSt0k3o6BLP35EEcZv04aNO42vsH5qUNlVcRK6nyw-Hsny0fuL3cdxVHOjvTvH6XySQU_-hp8KmrNtxM/s400/Snapshot_1161.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

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Kinshasa: sit-in des demandeurs de visa devant l’Ambassade de Chine

<br /> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgL-7h4Ipajt-AFplrk0a1VgT5rZO_TVJIYREdJx893pWw3oiIJ_rYx-R8wNUD7xwxryktkUM2aXraCQ1T57bUKPg_QChMM0oVb2kYPZm631Ju3MvbLQjAvJB_gyiV_Pq43bBLhkjtVv9s/s1600/Snapshot_1165.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgL-7h4Ipajt-AFplrk0a1VgT5rZO_TVJIYREdJx893pWw3oiIJ_rYx-R8wNUD7xwxryktkUM2aXraCQ1T57bUKPg_QChMM0oVb2kYPZm631Ju3MvbLQjAvJB_gyiV_Pq43bBLhkjtVv9s/s400/Snapshot_1165.jpeg" width="400" /></a><br /> Une cinquantaine demandeurs de visa a protesté mardi 15 mars avant-midi devant l’Ambassade de Chine à Kinshasa, contre la création par le consulat d’une agence à partir de laquelle seront désormais orientées toutes les demandes de visa pour aller en Chine. Le dépôt des dossiers à cette agence occasionne, selon les manifestants, des frais supplémentaires allant de 100 à 200 dollars américains.<br /> <br /> La plupart de ces demandeurs du visa chinois sont des commerçants. Ils estiment que ce changement causera préjudice à leur commerce.<br /> <br /> «Tout dossier on devait le déposer ici à l’Ambassade […], maintenant il faut aller dans une agence des Indiens. D’habitude quand on déposait le dossier, on ne payait rien. Là, quand vous déposez le dossier, vous payez 100 à 150 USD. Et cet argent est non remboursable», témoigne un des manifestants.<br /> <br /> Dans les frais consulaires exigés habituellement par l’Ambassade de Chine, les demandeurs de visa payaient 100 USD pour la première entrée, 275 USD pour l’invitation et 100 ou 150 USD pour la réservation d’hôtel.<br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgL-7h4Ipajt-AFplrk0a1VgT5rZO_TVJIYREdJx893pWw3oiIJ_rYx-R8wNUD7xwxryktkUM2aXraCQ1T57bUKPg_QChMM0oVb2kYPZm631Ju3MvbLQjAvJB_gyiV_Pq43bBLhkjtVv9s/s400/Snapshot_1165.jpeg" rel="image_src" width="400"></link><br /> Lire La suite :<a href="http://www.radiookapi.net/2016/03/15/actualite/societe/kinshasa-sit-des-demandeurs-de-visa-devant-lambassade-de-chine" target="_blank">http://www.radiookapi.net/2016/03/15/actualite/societe/kinshasa-sit-des-demandeurs-de-visa-devant-lambassade-de-chine</a>

Au tour de Kinshasa Société Kinshasa: sit-in des demandeurs de visa devant l’Ambassade de Chine

Une cinquantaine demandeurs de visa a protesté mardi 15 mars avant-midi devant l’Ambassade de Chine à Kinshasa, contre la création par le ...

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Alors que Minaku prône le dialogue : Kengo exige le respect de la Constitution ! ( Article + vidéo)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiujUuZMBAh3evRBneCTGlrkhKRjJkLKsCo1h-sQUQWRz_dOHsZZXDrwxzgCvcHcvWUtshuQZPIjZKR-eSmreckfdtXRtOUvanhKlwzLlmE_b-2d315n8Q7EXgDQCamsqK9jb9uedqwG7Y/s1600/%2529%25C3%25A0%25C3%25A7yt+jh.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiujUuZMBAh3evRBneCTGlrkhKRjJkLKsCo1h-sQUQWRz_dOHsZZXDrwxzgCvcHcvWUtshuQZPIjZKR-eSmreckfdtXRtOUvanhKlwzLlmE_b-2d315n8Q7EXgDQCamsqK9jb9uedqwG7Y/s400/%2529%25C3%25A0%25C3%25A7yt+jh.jpg" width="400" /></a></div><div>Les Sénateurs et Députés ont repris du service. En plus de  lois essentielles qui doivent permettre à la CENI d’enrôler les nouveaux majeurs et les Congolais de la diaspora, de répartir les sièges aux législatives nationales, les deux Chambres du Parlement ont aussi la charge d’adopter certaines lois importantes comme le nouveau Statut des agents et fonctionnaires de l’Etat ou encore les 28 mesures anti-crise économique de Matata. Mais, les défis politiques du moment ont obligé les Présidents du Sénat et de l’Assemblée nationale à se montrer très politiques. Léon Kengo célèbre les 10 ans de la Constitution dont il a vanté les mérites. A l’Assemblée nationale, Aubin Minaku attend tout du dialogue politique convoqué par le Président Kabila. Il se dit prêt à endosser les résolutions qui en résulteront,  quels qu’en soient les termes de référence.       </div><div><iframe width="640" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/WXvWfh-MJtk" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br /> </div><div>Tel que prévu, les Députés et Sénateurs de la RDC ont démarré la session parlementaire du 15 mars 2016. A l’Assemblée nationale, le Président du Bureau a prononcé un important discours-programme qui soulève déjà des passions. Aubin Minaku  insiste particulièrement  sur la nécessité du dialogue qui, à son avis, est la  seule voie susceptible  d’aider   la RDC à organiser des élections apaisées. A la Chambre haute, le Président Léon Kengo a vanté les mérites de la Constitution du 18 février 2006, laquelle, à ses yeux, a résolu d’importants problèmes à l’origine de la grande crise multisectorielle qu’a connue le pays.  Kengo fait savoir ou rappelle que c’est l’actuelle Constitution qui a mis fin à l’endémique crise de légitimité qui a longtemps caractérisé les animateurs des Institutions du pays. A cette crise de légitimité, était venue s’ajouter la crise de légalité. L’autre mérite de la Constitution, c’est d’avoir réunifié la RDC qui, en son temps, fut  morcelée et occupée par des chefs de guerre.  Là où Minaku, dans une attitude souverainiste, propose que la tenue effective des élections soit le résultat d’un consensus né du dialogue politique et inclusif ; Léon Kengo penche sérieusement en faveur du respect de la Constitution. A l’Assemblée nationale, la session de mars est essentiellement politique, officiellement, pour consolider la démocratie, la paix, la stabilité et l’unité du pays. C’est dire que, même si la session de mars est dédiée en principe à l’adoption des lois les plus essentielles, l’Assemblée nationale ‘‘devra gérer le contexte et le fruit du dialogue national inclusif,  quelle qu’en soit la forme’’. Minaku a demandé aux Députés de se tenir prêts à endosser les recommandations du dialogue, quels qu’en soient les termes de référence. </div><div><iframe width="640" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/lxCZHrJTS4g" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br /> </div><div>Au Sénat, la grande partie du discours d’ouverture a consisté à faire valoir les sept préoccupations majeures sur lesquelles la Constitution est assise. C’est, entre autres, pour assurer le fonctionnement harmonieux des Institutions de l’Etat ; éviter les conflits, non seulement au sein de ces Institutions, mais plus globalement, au sein de l’ensemble du corps social ; instaurer un Etat de droit, ce qui implique la soumission de tous à la loi, en commençant par la loi suprême ; contrer toute tentative de dérive dictatoriale, ce qui signifie le rejet de toutes les antivaleurs de la IIème République ; garantir la bonne gouvernance ; lutter contre l’impunité ; assurer l’alternance démocratique.</div><div><br /> </div><div>La Pros.   </div>

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Les Sénateurs et Députés ont repris du service. En plus de  lois essentielles qui doivent permettre à la CENI d’enrôler les nouveaux majeurs...

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JUSTICE : 769 Lettres écrites par les Congolais destinées au chef de l ' Etat Joseph Kabila déposées au Palais de la Nation (vidéo)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh7p2EgzHvX3D_gLLRxeD18-CW7gXtyRJVkNpXYz7SuIgLMvTIIcoRk0h8KMrrHWrw1NrCgN8RINs4OwhUQuzN-WHsysl5YbqJ73OVfx7CXNmYmRTs7Ad-b9dwKD27sgAOofDmdojymqow/s1600/cndg+kjhg.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh7p2EgzHvX3D_gLLRxeD18-CW7gXtyRJVkNpXYz7SuIgLMvTIIcoRk0h8KMrrHWrw1NrCgN8RINs4OwhUQuzN-WHsysl5YbqJ73OVfx7CXNmYmRTs7Ad-b9dwKD27sgAOofDmdojymqow/s400/cndg+kjhg.jpg" width="400" /></a></div> 769 Lettres écrites par les Congolais destinées au chef de l ' Etat Joseph Kabila déposées au Palais de la Nation (vidéo)<br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="300" src="https://www.youtube.com/embed/FXCZ04PHDPM" width="600"></iframe><br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh7p2EgzHvX3D_gLLRxeD18-CW7gXtyRJVkNpXYz7SuIgLMvTIIcoRk0h8KMrrHWrw1NrCgN8RINs4OwhUQuzN-WHsysl5YbqJ73OVfx7CXNmYmRTs7Ad-b9dwKD27sgAOofDmdojymqow/s400/cndg+kjhg.jpg" rel="image_src" width="400"></link>

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769 Lettres écrites par les Congolais destinées au chef de l ' Etat Joseph Kabila déposées au Palais de la Nation (vidéo)

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Après Congo Boloko de Léopold 2, Abbé na Beto, Pini Pini dévoile: Les Noirs sont les Premiers Habitants de l'Europe...Congo Lifelo (vidéo)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9zURMEx8HiLfoEh4j0GzpmZV7wJw7yWMt0lSraEXws2VYwHQiegOlIPBNEZx5t8wSS23DEjWy6kq13Qrjx30IIKUp8pTnVImigC4tLOQBGp7F6opaNnO7IIsVHszPSneX8G90Wfblbrw/s1600/Snapshot_590.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9zURMEx8HiLfoEh4j0GzpmZV7wJw7yWMt0lSraEXws2VYwHQiegOlIPBNEZx5t8wSS23DEjWy6kq13Qrjx30IIKUp8pTnVImigC4tLOQBGp7F6opaNnO7IIsVHszPSneX8G90Wfblbrw/s400/Snapshot_590.jpeg" width="400" /></a></div>Après Congo Boloko de Léopold 2, Abbé na Beto, Pini Pini dévoile: Les Noirs sont les Premiers Habitants de l'Europe...Congo Lifelo (vidéo)<br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="310" src="https://www.youtube.com/embed/usO7KQiS9FU" width="600"></iframe><br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9zURMEx8HiLfoEh4j0GzpmZV7wJw7yWMt0lSraEXws2VYwHQiegOlIPBNEZx5t8wSS23DEjWy6kq13Qrjx30IIKUp8pTnVImigC4tLOQBGp7F6opaNnO7IIsVHszPSneX8G90Wfblbrw/s400/Snapshot_590.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

la Nation les Combattants et l'Echos de la Diaspora Politique Religion Après Congo Boloko de Léopold 2, Abbé na Beto, Pini Pini dévoile: Les Noirs sont les Premiers Habitants de l'Europe...Congo Lifelo (vidéo)

Après Congo Boloko de Léopold 2, Abbé na Beto, Pini Pini dévoile: Les Noirs sont les Premiers Habitants de l'Europe...Congo Lifelo (vidé...

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Les mamans du Front Populaire AMIES DE MAMAN MARTHE TSHISEKEDI appellent toutes les femmes au dialogue version Tshisekedi ( Article+vidéo)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHd46wlinMNvKplncxHlIxejuV03FdG4Xay4hUDoxY8p4u9MnvOoByv8N7oZpT4CektRmqotuqhlJwshIOzS34KbPIBvSd9uOf0DL4B0g8klffBShkAVrZ5qQRwoja_y_n1i1qrKZTMPo/s1600/femme+front+pupl.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="150" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHd46wlinMNvKplncxHlIxejuV03FdG4Xay4hUDoxY8p4u9MnvOoByv8N7oZpT4CektRmqotuqhlJwshIOzS34KbPIBvSd9uOf0DL4B0g8klffBShkAVrZ5qQRwoja_y_n1i1qrKZTMPo/s200/femme+front+pupl.jpg" width="200" /></a></div> <strong style="line-height: 1.6em;"><em>En marge de la célébration de la journée internationale de la femme, les femmes du Front du Peuple, ensemble avec d’autres délégations des femmes de l’opposition ont, au cours d’un grand rassemblement, réaffirmé leur soutien à Etienne et Marthe Tshisekedi. Elles ont exprimé leur volonté de voir le dialogue politique se tenir effectivement sous la médiation internationale. Ce, dans le strict respect de l’accord-cadre d’Addis-Abeba et de la constitution de la République Démocratique du Congo. C’était hier, mardi, 15 mars 2016, à l’Hôtel Africana Palace, situé dans la commune de Lingwala, à Kinshasa. Le Coordonnateur et Porte-parole du Front du Peuple, Jean-Pierre Lisanga Bonganga ainsi que d’autres coordonnateurs adjoints ont rehaussé de leur présence cette grande manifestation des femmes de l’opposition politique congolaise.     </em></strong><br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="300" src="https://www.youtube.com/embed/iV47IoN31Ac?feature=player_embedded" width="600"></iframe><br /> Dans son mot d’ouverture, Jean-Pierre Lisanga Bonganga a commencé par louer les mérites de la femme qui, selon lui, est comme la source de toute vie. «Elle est la pièce maîtresse de toute famille. Non violente, la femme est une mère», a-t-il dit. Il a, par la même occasion, salué la détermination des femmes de l’opposition qui ont milité et se sont battues pour l’organisation de cette grande manifestation. Présidée par Madame Pascaline Kudura, Présidente des femmes du Front du Peuple, cette activité a connu plusieurs interventions des femmes leaders en politique. Notamment, celles des femmes de la Dynamique de l’opposition, de l’UDPS, de la DYFAC, etc. Dans son discours, la Présidente des femmes du Front du peuple a souligné que le mois de mars rêvait deux significations magistrales pour sa famille politique. Premièrement, c’est le mois de la femme. Ensuite, c’est le mois du dialogue pour le Front du Peuple. Abordant la problématique du dialogue, Pascaline Kudura a commencé par rappeler les faits, avant d’aborder le contexte selon lequel l’accord-cadre d’Addis-Abeba a été mis sur pied. « Aujourd’hui, force est de constater que le régime en place n’a pas manifesté la bonne foi pour appliquer ledit accord, pourtant signé par le Chef de l’Etat lui-même et qui, par ailleurs, décide tardivement de convoquer le dialogue à quelques mois du terme de son mandat.  Face à cette nouvelle donne, l’opposition, qui voulait presque dans sa grande majorité l’organisation du Dialogue immédiatement après les résultats controversées des scrutins de novembre 2011, est tiraillée entre deux courants d’opinions, toutes opposées les unes aux autres. D’un côté, se présentent ce qu’on appelle les pro-dialogues «Wumela» favorables au dialogue convoqué par Joseph Kabila. De l’autre, se dressent en face, les pro-dialogues «Yebela» favorables au dialogue global et inclusif sous la facilitation ou médiation internationale, mais surtout attachés à l’organisation des élections présidentielle et législatives dans les délais constitutionnels», a-t-elle dit. Avant d’insister sur le fait que c’est dans le deuxième groupe qu’évolue le Front du Peuple, tel que le veut son autorité morale, Etienne Tshisekedi. Interprétant les différentes positions de la classe politique, Pascaline Kudura reconnaît qu’il y a un blocage sans précédent du processus de démocratisation.  «Voilà pourquoi, les congolais restent attachés à la médiation de la communauté internationale et espèrent obtenir d’elle un appui politique et diplomatique important pour matérialiser la volonté des congolais, mais également la sienne propre, telle qu’exprimée dans les Résolutions des Nations Unies 2098 et 2211 », a-t-elle fait savoir.          <br /> Pour sa part, Mme Annie Kanku a développé le thème « sensibilisation de la jeunesse féminine pour l’adhésion massive en politique ». A ce sujet, elle a révélé qu’actuellement, en RDC, la jeune fille ne s’occupe pas de la politique qui, selon elle, n’est qu’une manière de gérer la société. « Et nous les mamans qui sommes appelées à gérer cette société d’hommes, avons l’obligation d’informer et de former cette jeunesse qui est l’avenir de demain. Cette jeunesse doit prendre la relève après notre existence, a-t-elle ajouté. C’est pourquoi, nous lançons un appel à la jeunesse féminine de nous rejoindre massivement en politique, pour qu’en fin, d’ici 2030, qu’il y ait développement durable», a déclaré Mme Annie Kanku. Mme Marie Florence Bolenga Gama, conseillère à la Ligue Nationale des femmes du MSC en charge des questions Estudiantines, a axé son exposé sur «la femme politique actrice du développement dans la perspective d’un dialogue de paix en République Démocratique du Congo ».<br /> Il convient de signaler que les travaux vont se poursuivre en atelier. Les femmes vont réfléchir sur toutes les questions de l’heure, dont celles contenues dans la feuille de route de l’UDPS.<br /> <strong><em>Kevin Inana    </em></strong><br /> <span class="texte" style="color: #333333; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif; font-size: 13px; line-height: 22px; margin-left: 10px; margin-right: 15px; position: relative; text-align: justify;"></span><span style="background-color: white;"></span><br /> <br /> <form action="http://www.laprosperiteonline.net/wp-desktop/req-insert/insert_post.php" method="post"> </form> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHd46wlinMNvKplncxHlIxejuV03FdG4Xay4hUDoxY8p4u9MnvOoByv8N7oZpT4CektRmqotuqhlJwshIOzS34KbPIBvSd9uOf0DL4B0g8klffBShkAVrZ5qQRwoja_y_n1i1qrKZTMPo/s400/femme+front+pupl.jpg" rel="image_src" width="400"></link>

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En marge de la célébration de la journée internationale de la femme, les femmes du Front du Peuple, ensemble avec d’autres délégations des...

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CHOMI ancien musicien de Manda chante , ALOBI VERITE , Manda chante aza mutu ya Canaille, Aboyi Kabuya et Alobeli Robinho Mundibu (vidéo)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj3Ucu7LljSPKwBkr8b6W93ZZVh9X180RUMUMW6jyz4V5ixDChjiCtKuhDZjEk0cZlL-cQHAJVNjTQCb6-aHtgQNNGVp_ggG2k5HK89dEzjbtE6jkpTjP6Tr9ysmcpK8qq1Dscf8-iA95I/s1600/Snapshot_78.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="150" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj3Ucu7LljSPKwBkr8b6W93ZZVh9X180RUMUMW6jyz4V5ixDChjiCtKuhDZjEk0cZlL-cQHAJVNjTQCb6-aHtgQNNGVp_ggG2k5HK89dEzjbtE6jkpTjP6Tr9ysmcpK8qq1Dscf8-iA95I/s200/Snapshot_78.jpeg" width="200" /></a></div> CHOMI ancien musicien de Manda chante , ALOBI VERITE , Manda chante aza mutu ya Canaille, Aboyi Kabuya et Alobeli Robinho Mundibu (vidéo)<br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="320" src="https://www.youtube.com/embed/GBajZ85ykwA" width="600"></iframe><br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj3Ucu7LljSPKwBkr8b6W93ZZVh9X180RUMUMW6jyz4V5ixDChjiCtKuhDZjEk0cZlL-cQHAJVNjTQCb6-aHtgQNNGVp_ggG2k5HK89dEzjbtE6jkpTjP6Tr9ysmcpK8qq1Dscf8-iA95I/s400/Snapshot_78.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

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CHOMI ancien musicien de Manda chante , ALOBI VERITE , Manda chante aza mutu ya Canaille, Aboyi Kabuya et Alobeli Robinho Mundibu (vidéo...

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Le Docteur Dénis Mukwege plaide pour le respect de la constitution et insiste sur l ' alternance 2016 par le respect du délai constitutionnel . " PAS DES DISCUSSIONS INUTILES "( vidéo)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZGjOu8m8MtsaeP3ynZZolamJxCXp7_rJq2TQoXABcJkWPV3aURmyuOgy5U5AlydyS8EoBNPYMWW34VK03XEPvyJOPH8v5UXzq1lRMSAgdlmyVSUmITCBd3FwzQzEFUWq4JBZ5ISmeC_g/s1600/debuytr+g.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="150" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZGjOu8m8MtsaeP3ynZZolamJxCXp7_rJq2TQoXABcJkWPV3aURmyuOgy5U5AlydyS8EoBNPYMWW34VK03XEPvyJOPH8v5UXzq1lRMSAgdlmyVSUmITCBd3FwzQzEFUWq4JBZ5ISmeC_g/s200/debuytr+g.jpg" width="200" /></a></div> Le Docteur Dénis Mukwege plaide pour le respect de la constitution et insiste sur l ' alternance 2016 avec le respect du délai constitutionnel . " PAS DES DISCUSSIONS INUTILES "( vidéo)<br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="300" src="https://www.youtube.com/embed/S6tjdB5Egy4" width="600"></iframe><br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZGjOu8m8MtsaeP3ynZZolamJxCXp7_rJq2TQoXABcJkWPV3aURmyuOgy5U5AlydyS8EoBNPYMWW34VK03XEPvyJOPH8v5UXzq1lRMSAgdlmyVSUmITCBd3FwzQzEFUWq4JBZ5ISmeC_g/s400/debuytr+g.jpg" rel="image_src" width="400"></link>

infos en vidéos le journal le JT de la RTVS1 Politique Santé Le Docteur Dénis Mukwege plaide pour le respect de la constitution et insiste sur l ' alternance 2016 par le respect du délai constitutionnel . " PAS DES DISCUSSIONS INUTILES "( vidéo)

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Une délégation des mamans de la société civile conduite par Cathy Kalanga demande à Eve Bazaiba d' aller au dialogue convoqué par Kabila (vidéo)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiz4QlDRfbARgG0X0chot-911GPGI12IfMapGc_0kI66szg5VuIgEPcAjAI0t-od6YGcwm576P8iw_1iVfpqF-MKPtw8WzVGqxeekKoJtF9ZS4Om6b3mNkPIgSGfFAeeVZTYLCWdk33k8M/s1600/hgfghj+jy.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="150" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiz4QlDRfbARgG0X0chot-911GPGI12IfMapGc_0kI66szg5VuIgEPcAjAI0t-od6YGcwm576P8iw_1iVfpqF-MKPtw8WzVGqxeekKoJtF9ZS4Om6b3mNkPIgSGfFAeeVZTYLCWdk33k8M/s200/hgfghj+jy.jpg" width="200" /></a></div> Une délégation des mamans de la société civile conduite par Cathy Kalanga demande à Eve Bazaiba de rejoindre le dialogue convoqué par Kabila (vidéo)<br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="300" src="https://www.youtube.com/embed/6cyKAgjmYgw" width="600"></iframe><br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiz4QlDRfbARgG0X0chot-911GPGI12IfMapGc_0kI66szg5VuIgEPcAjAI0t-od6YGcwm576P8iw_1iVfpqF-MKPtw8WzVGqxeekKoJtF9ZS4Om6b3mNkPIgSGfFAeeVZTYLCWdk33k8M/s400/hgfghj+jy.jpg" rel="image_src" width="400"></link>

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Françis Kalombo Asengi na Kabila atikela Etienne Tshisekedi poste lokola aboyi ko tia kengo après délai constitutionnel (vidéo)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0Fx97ZtfmuMMZAwxpGx01hmTg1WPpLal1M6TvZGESCeLV92L70lGmSEg8osp1f2Le4V2a6WHkZUddfTA6BCmxMDnNrYTJbCEMOydcVITsxJxwCqgDFKMwpc5TfOiE2SW6sSO3vN8oSyE/s1600/Snapshot_589.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="150" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0Fx97ZtfmuMMZAwxpGx01hmTg1WPpLal1M6TvZGESCeLV92L70lGmSEg8osp1f2Le4V2a6WHkZUddfTA6BCmxMDnNrYTJbCEMOydcVITsxJxwCqgDFKMwpc5TfOiE2SW6sSO3vN8oSyE/s200/Snapshot_589.jpeg" width="200" /></a></div>Françis Kalombo Asengi na Kabila atikela Etienne Tshisekedi poste  lokola aboyi ko tia kengo après délai constitutionnel (vidéo)<br /> <article id="default-usage"><br /> <div class="to-lock" style="display: none;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="300" src="https://www.youtube.com/embed/OqzX3Af9l1E" width="600"></iframe><br /> </div></article><br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0Fx97ZtfmuMMZAwxpGx01hmTg1WPpLal1M6TvZGESCeLV92L70lGmSEg8osp1f2Le4V2a6WHkZUddfTA6BCmxMDnNrYTJbCEMOydcVITsxJxwCqgDFKMwpc5TfOiE2SW6sSO3vN8oSyE/s400/Snapshot_589.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

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Werrason : Nous travaillons Gratuitement Chez Le Rois de La Foret déclare L’Animateur Déodorant (VIDÉO)

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiMofO2d_isIdXOdQmhzpcO4bhvKJgTQweknZIumPlLWUKpC-KBsRB8Fk6CrkB9axgniDXXZqV81MUdr8jSs1uk93jQFzUOuaDlVJK49zlGTSbdlY_HU-TYDVsaQ4p6dtcnTJnTMqtyfh4/s1600/Snapshot_1160.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="150" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiMofO2d_isIdXOdQmhzpcO4bhvKJgTQweknZIumPlLWUKpC-KBsRB8Fk6CrkB9axgniDXXZqV81MUdr8jSs1uk93jQFzUOuaDlVJK49zlGTSbdlY_HU-TYDVsaQ4p6dtcnTJnTMqtyfh4/s200/Snapshot_1160.jpeg" width="200" /></a><br /> Werrason : Nous travaillons Gratuitement Chez Le Rois de La Foret déclare L’Animateur Déodorant  (VIDÉO)<br /> <br /> <article id="default-usage"><br /> <div class="to-lock" style="display: none;"> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="303" src="https://www.youtube.com/embed/X2BuUZ9lJ18" width="603"></iframe><br /></div> </article><br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiMofO2d_isIdXOdQmhzpcO4bhvKJgTQweknZIumPlLWUKpC-KBsRB8Fk6CrkB9axgniDXXZqV81MUdr8jSs1uk93jQFzUOuaDlVJK49zlGTSbdlY_HU-TYDVsaQ4p6dtcnTJnTMqtyfh4/s400/Snapshot_1160.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

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Werrason : Nous travaillons Gratuitement Chez Le Rois de La Foret déclare L’Animateur Déodorant  (VIDÉO)

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Kissindjora Éventre Le Boa sur L'Ex Femme de Babia shokoro Ma Nickey La Mère de Prince Eyindii (VIDÉO)

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjad-CpJ65Xs3NPk-tWQLTXHMRBinGeZ4GJ_EZsYwpgrfZLQMBlQJT3xShKBApf_46buiEms8q2c1PEHM80fbluIRDshwzCM-UkOffk-p-_zmOjKpYqq2B91myUPGqkFiMm7auTEBZwiy4/s1600/Snapshot_1158.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="150" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjad-CpJ65Xs3NPk-tWQLTXHMRBinGeZ4GJ_EZsYwpgrfZLQMBlQJT3xShKBApf_46buiEms8q2c1PEHM80fbluIRDshwzCM-UkOffk-p-_zmOjKpYqq2B91myUPGqkFiMm7auTEBZwiy4/s200/Snapshot_1158.jpeg" width="200" /></a>Kissindjora Éventre Le Boa sur L'Ex Femme de Babia shokoro Ma Nickey Eyindii (VIDÉO)<br /> <br /> <article id="default-usage"><br /> <div class="to-lock" style="display: none;"> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="303" src="https://www.youtube.com/embed/IjpAvWtvs80" width="603"></iframe><br /></div> </article><br /> <br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjad-CpJ65Xs3NPk-tWQLTXHMRBinGeZ4GJ_EZsYwpgrfZLQMBlQJT3xShKBApf_46buiEms8q2c1PEHM80fbluIRDshwzCM-UkOffk-p-_zmOjKpYqq2B91myUPGqkFiMm7auTEBZwiy4/s400/Snapshot_1158.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

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Guerre entre Papa Griffe et Annya star , Papa Griffe Alobi na Annya que Son Âme repose en Paix (VIDÉO)

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLBPBYnQUkwmTifWbqTliS_PSCR0ODLBhWo7GeVmepgy6JQedbZJ9h4RWXSLfCo4NE605SLuRiKN1XzEKPPTdP4cnCbKJq0ZOhcaxwxPHCZmehVG_Hswee0yO0SXZnjXmJbh1LQpCWCW8/s1600/Snapshot_1157.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="150" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLBPBYnQUkwmTifWbqTliS_PSCR0ODLBhWo7GeVmepgy6JQedbZJ9h4RWXSLfCo4NE605SLuRiKN1XzEKPPTdP4cnCbKJq0ZOhcaxwxPHCZmehVG_Hswee0yO0SXZnjXmJbh1LQpCWCW8/s200/Snapshot_1157.jpeg" width="200" /></a>Guerre entre Papa Griffe et Annya star , Papa Griffe Alobi na Annya La star que Son Âme repose en Paix (VIDÉO)<br /> <article id="default-usage"><br /> <div class="to-lock" style="display: none;"><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="303" src="https://www.youtube.com/embed/ki4OYshsA1Y" width="603"></iframe><br /> </div></article><br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLBPBYnQUkwmTifWbqTliS_PSCR0ODLBhWo7GeVmepgy6JQedbZJ9h4RWXSLfCo4NE605SLuRiKN1XzEKPPTdP4cnCbKJq0ZOhcaxwxPHCZmehVG_Hswee0yO0SXZnjXmJbh1LQpCWCW8/s400/Snapshot_1157.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

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Ouverture de la session parlementaire de Mars :Les propos d ' Aubin Minaku appelant les députés au dialogue , L 'opposition réagit (vidéo)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg16QuGTG0dRQbknPsVQL8-k69WZWuhq1FIufpJ-V8GJ1tChWMDCS51GUVjYnyFKcllZmMOFSkCaYp1255C9df9uHkRGoXO9azyCIQ1JUAB-5pZO8BuH8_2gLb8n9wIUvZx4nkxaXq8jn0/s1600/poiu+hjhg.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg16QuGTG0dRQbknPsVQL8-k69WZWuhq1FIufpJ-V8GJ1tChWMDCS51GUVjYnyFKcllZmMOFSkCaYp1255C9df9uHkRGoXO9azyCIQ1JUAB-5pZO8BuH8_2gLb8n9wIUvZx4nkxaXq8jn0/s400/poiu+hjhg.jpg" width="400" /></a></div> Ouverture de la session parlementaire de Mars :Les propos d ' Aubin Minaku appelant les députés au dialogue , L 'opposition réagit (vidéo)<br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="300" src="https://www.youtube.com/embed/lxCZHrJTS4g" width="600"></iframe><br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg16QuGTG0dRQbknPsVQL8-k69WZWuhq1FIufpJ-V8GJ1tChWMDCS51GUVjYnyFKcllZmMOFSkCaYp1255C9df9uHkRGoXO9azyCIQ1JUAB-5pZO8BuH8_2gLb8n9wIUvZx4nkxaXq8jn0/s400/poiu+hjhg.jpg" rel="image_src" width="400"></link>

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Ambassy de FALLY Ipupa attaque Marc House de Ferre Gola Alobi aza na oeuvre moko te eyebana na CONGO (VIDÉO)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhLXc4gWJqGno61-Dqv5EDIh8eHitazCnyLKp-6tlxxPVJ679cOaychwhrhMfhQZWm99jnmnniI4wdCKpTt4G45YkIOE5CCi2iEqxBdeSsHyzsTAKNaRKhtnDGfVkWXzHVxiWtvo7WQId8/s1600/Snapshot_1155.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhLXc4gWJqGno61-Dqv5EDIh8eHitazCnyLKp-6tlxxPVJ679cOaychwhrhMfhQZWm99jnmnniI4wdCKpTt4G45YkIOE5CCi2iEqxBdeSsHyzsTAKNaRKhtnDGfVkWXzHVxiWtvo7WQId8/s400/Snapshot_1155.jpeg" width="400" /></a></div><br /> <h3>Ambassy de FALLY Ipupa attaque Marc House de Ferre Gola Alobi aza na oeuvre moko te eyebana na CONGO (VIDÉO)</h3><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="303" src="https://www.youtube.com/embed/-OGBcJ5D0uc" width="603"></iframe><br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhLXc4gWJqGno61-Dqv5EDIh8eHitazCnyLKp-6tlxxPVJ679cOaychwhrhMfhQZWm99jnmnniI4wdCKpTt4G45YkIOE5CCi2iEqxBdeSsHyzsTAKNaRKhtnDGfVkWXzHVxiWtvo7WQId8/s400/Snapshot_1155.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

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Marie PAUL sort de son Silence ,Affaire Médailles ,alobi kaka FABRIGAS nde ndule ezo simba + asengi ba droits pona " YEBELA" (VIDÉO)

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1kCrz1EUr7E-4Jt4BYNNiihxAcq9UqMTA0MBmEjlWRuK2OdiQZal8kYK21iBRFKRo_WDcK03OMVfTIVcz_Zrbww52IYEEwndAkGlGvctOUTvOPFfU_CWkpD9sjSEVzELUmypOwtQH1gg/s1600/Snapshot_1153.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1kCrz1EUr7E-4Jt4BYNNiihxAcq9UqMTA0MBmEjlWRuK2OdiQZal8kYK21iBRFKRo_WDcK03OMVfTIVcz_Zrbww52IYEEwndAkGlGvctOUTvOPFfU_CWkpD9sjSEVzELUmypOwtQH1gg/s400/Snapshot_1153.jpeg" width="400" /></a><br /> Marie PAUL  srot de son Silence  ,Affaire Médailles ,alobi kaka FABRIGAS nde ndule ezo simba + asengi ba droits pona " YEBELA" (VIDÉO)<br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="303" src="https://www.youtube.com/embed/8dsnUHnLhh4" width="603"></iframe><br /> <link height="400" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1kCrz1EUr7E-4Jt4BYNNiihxAcq9UqMTA0MBmEjlWRuK2OdiQZal8kYK21iBRFKRo_WDcK03OMVfTIVcz_Zrbww52IYEEwndAkGlGvctOUTvOPFfU_CWkpD9sjSEVzELUmypOwtQH1gg/s400/Snapshot_1153.jpeg" rel="image_src" width="400"></link>

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Sénat : Le Président du Sénat Léon Kengo Wa Dondo plaide pour le respect de la constitution : Evariste Boshab réagit...( vidéo)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1RLA-SvDnr3cFLZnxMH3GV8SW-BylCW-X67c656w57Bl-iE1wJPKhr4lz3uDNncl_Jbxzg9vKxOoUe9vJ6k-zUYZCzZ_GAjwG_gbwoxZmREGhbyHmTxIvGC9K6HHV1Q7c3i9KjTcZKq4/s1600/oiuy+hgfji.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="150" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1RLA-SvDnr3cFLZnxMH3GV8SW-BylCW-X67c656w57Bl-iE1wJPKhr4lz3uDNncl_Jbxzg9vKxOoUe9vJ6k-zUYZCzZ_GAjwG_gbwoxZmREGhbyHmTxIvGC9K6HHV1Q7c3i9KjTcZKq4/s200/oiuy+hgfji.jpg" width="200" /></a></div> Le président du Sénat, Léon Kengo wa Dondo, a présidé mardi au Palais du Peuple à Kinshasa, l’ouverture de la session ordinaire de mars 2016 de la Chambre haute du Parlement.<br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="300" src="https://www.youtube.com/embed/WXvWfh-MJtk" width="600"></iframe><br /> Léon Kengo wa Dondo a axé son intervention sur la Constitution de la RDC qui a accompli 10 ans d’existence, soulignant que celle-ci est le fruit d’un consensus politique issu de l’Accord global et inclusif de Sun City. Cette Constitution, soumise au référendum a été approuvée par 85% de la population congolaise exprimant ainsi son applicabilité aussi bien pour les individus que les institutions.<br /> <br /> S’agissant de la présente session, il a fait savoir qu’elle porte sur plusieurs matières dont 13 nouvelles ainsi que des arriérés législatifs.<br /> <br /> Cette session de mars s’est ouverte en présence de 62 sénateurs sur les 108 qui composent cette Chambre, du président de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku, du Premier ministre, Augustin Matata Ponyo, du président de la Cour constitutionnelle, des ambassadeurs et chefs de mission diplomatique ainsi que des présidents de différentes commissions nationales citoyennes.<br /> <div> <br /></div>

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Le président du Sénat, Léon Kengo wa Dondo, a présidé mardi au Palais du Peuple à Kinshasa, l’ouverture de la session ordinaire de mars 20...

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