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Navi Pillay réclame une coopération transfrontalière au sein de la région africaine des Grands Lacs pour que les fugitifs soient traduits en justice.
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Honoré Ngbanda présente les premiers résultats de l’enquête menée par l’APARECO SUR L’ASSASSINAT DU GENERAL MAMADOU NDALA MOUSTAPHA
WERRASON: ON A JAMAIS DONNÉ LE PROGRAMME DE ZÉNITH POUR 2014. SI LA DIASPORA DIT OUI, ON JOUERA.
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Fondation Werrason : une centaine d’« ex-Kuluna » engagés par le Groupe Congo Futur.(Vidéo)
Il a réussi à faire engager un premier groupe de cent « ex-Kuluna » dans le Groupe Congo Futur. La grandiose cérémonie est intervenue le lundi 13 janvier 2014, dans les installations de la société « ATCOM », une filiale du Groupe Congo Futur, sise sur la 12ème Rue, quartier Industriel, dans la commune de Limete. Témoins de l’événement : des honorables députés et sénateurs, tout le staff dirigeant du Groupe Congo Futur, le bourgmestre de la commune de Limete, le commandant de la police nationale du district de la Tshangu, ainsi que des opérateurs politiques, économiques et culturels.
A travers la Fondation por tant son nom, le président de l’orchestre Wenge Musica Maison Mère, Noël Ngiama Makanda alias Werrason, vient...
RD Congo : Ils ont amnistié le M23
RD Congo : Ils ont amnistié le M23
En République Démocratique du Congo, le sénat a adopté vendredi 10 janvier un projet de loi d’amnistie devant bénéficier aux combattants du M23. Le texte soulève des interrogations non seulement par rapport à son opportunité, mais surtout par rapport à la légitimité de la démarche du pouvoir de Kinshasa. En effet, le pays est toujours déchiré par la violence des groupes armés, dont certains pourraient se conforter à l’idée qu’à leur tour, ils pourront bénéficier de mesures d’amnistie. Sur le principe, rien ne justifie les privilèges accordés au M23 et qui ne bénéficieraient pas aux autres groupes armés.
Pour justifier sa démarche, le gouvernement évoque la nécessité, pour le Congo, de se conformer aux contestables[1] engagements de Nairobi du 12 décembre dernier. Ils prévoyaient l’adoption d’une loi d’amnistie. Mais l’argument est loin d’être convainquant lorsqu’on examine la question de l’opportunité de la démarche et sa légitimité.Surtout lorsqu’on réalise que l’initiative du gouvernement se traduit, de fait, par la perpétuation de la culture de l’impunité, la souffrance des victimes étant, une fois de plus, complètement passée sous silence.
Un projet de loi inopportun
Une loi d’amnistie, en principe, n’est envisageable qu’une fois la nation acquiert la certitude que « la guerre est finie ». Or, dans le cas du M23, on en est encore loin. Le dernier rapport des experts de l’ONU indique clairement que le Rwanda et l’Ouganda continuent de renforcer militairement le M23[2]. De son côté, le patron de la Monusco, Martin Kobler, a fait entendre, ce lundi 13 janvier, que le M23 mène, à nouveau, des incursions dans l’Est du Congo, notamment dans le District d’Ituri[3].
Ces incursions ont commencé bien avant, puisqu’il est maintenant établi que les combattants qui avaient investi la cité de Kamango[4], le 25 décembre dernier, étaient bel et bien une coalition ADF/Nalu-UPDF (armée ougandaise), le nouveau visage du M23, version Kampala[5].
Dès lors, le projet de loi voté par le sénat congolais, au profit d’un groupe armé toujours actif, résonne comme une promesse de Kinshasa selon laquelle l’amnistie est acquise, quoi qu’il en soit. Le message envoyé par un vote comme celui-là est un désastre complet parce qu’il consiste à conforter les combattants « rwando-ougandais » dans leur logique de « la guerre sans fin ». Certains combattants en seraient à leur cinquième agression contre le Congo après avoir servi dans les rangs de l’AFDL(Première Guerre du Congo), du RCD (Deuxième Guerre du Congo), des groupes armés comme l’UPC-Thomas Lubanga, du CNDP-Laurent Nkunda et maintenant du M23. Pire, le gouvernement congolais a reconnu que des récidivistes pourront bénéficier de la loi d’amnistie.
Le message est aussi désastreux vis-à-vis des autres groupes armés, nationaux et étrangers[6]. Ils redécouvrent le même « Congo-Etat-faible » qu’ils commençaient pourtant à craindre après la récente offensive « musclée » des FARDC appuyées par la brigade d’intervention de la Monusco.
Sur la légitimité de la démarche
Le gouvernement congolais a mis en avant l’argument des engagements, au plan international, pris à Nairobi aux termes des pourparlers de Kampala. On relève au passage qu’un gouvernement, qui est supposé tirer sa légitimité des mains de son peuple, semble privilégier les recommandations des partenaires étrangers en manquant d’invoquer une seule fois la référence au « peuple congolais ».
Au-delà de cette absence criante d’empathie entre les autorités et leurs populations, on relève que les engagements de Nairobi s’inscrivent dans un cadre qui suppose que le gouvernement congolais ne doit pas être le seul à se sentir lié. En effet, aux termes des accords d’Addis-Abeba du 24 février 2013[7], dont découlaient les pourparlers de Kampala et les engagements de Nairobi, les pays comme le Rwanda et l’Ouganda devaient s’acquitter d’un ensemble d’obligations en tant que signataires.
Ces accords engageaient leurs signataires à « ne pas tolérer, ni fournir une assistance ou un soutien quelconque à des groupes armés » et « ne pas héberger ni fournir une protection de quelque nature que ce soit aux personnes accusées de crimes de guerre, de crimes contre l'humanité, d'actes de génocide ou de crimes d'agression, ou aux personnes sous le régime de sanctions des Nations Unies » (article 5). Kampala et Kigali ont signé ces accords mais n’en respectent pas un seul. Les combattants du M23 ont bel et bien été accueillis sur le territoire des deux pays. L’Ouganda a même annoncé qu’il en avait accueilli 1.600, soit dix fois plus que les estimations des experts[8]. Le Rwanda en a également accueilli et n’envisage aucunement de les extrader.
Quel intérêt le Congo aurait-il à honorer des engagements internationaux que les autres signataires ont entrepris de bafouer allégrement ? Les engagements internationaux ont toujours reposé sur le principe de réciprocité.
En réalité, il apparait assez clairement que le sénat a voté la loi d’amnistie pour se conformer à la volonté du gouvernement, qui, lui-même, sur ce sujet, ne fait qu’appliquer les « ordres » du Président Kabila. Or, le Président Kabila, et c’est de notoriété publique, veille à ne pas mécontenter son homologue ougandais, Yoweri Museveni, à la fois médiateur international et parrain du M23. Ce qui contribue à conforter les tenants du discours selon lequel le Congo ne serait pas une nation souveraine[9].
L’abandon des victimes et la consécration de l’impunité
Le texte prévoit une étrange disposition selon laquelle « Toute personne victime de faits infractionnels commis par les bénéficiaires de la loi d’amnistie a la possibilité de saisir les juridictions étatiques territorialement et matériellement compétentes pour obtenir réparation ». Donc, des poursuites au civils à défaut de poursuites au pénal, avec à la clé la possibilité pour les victimes d’obtenir réparation.
Quelqu’un a-t-il remarqué que les victimes ne bénéficieront pas des services du ministère public, le gouvernement devant garantir l’effectivité de l’amnistie ? Elles devront ainsi, soit s’octroyer les services d’un avocat soit « laisser tomber ». En effet, les membres de M23, n’étant pas réputés pour être des nantis, on n’imagine pas qu’ils puissent s’acquitter des préjudices matériels causés à leurs victimes, contrairement à ce que tente de faire croire le texte du gouvernement. C’est pourtant à un gouvernement qu’il revient d’assumer la charge de ses citoyens, victimes des violences armés, une obligation qui découle de la mission de l’Etat consistant à la protection des personnes et de leurs biens.
Finalement, ce projet de loi, malgré les discours officiels, s’inscrit dans la vieille tradition de l’impunité qui fait le lit des guerres à répétition dont le Congolais n’ont pas fini d’être meurtris, comme en témoigne la relance en cours du M23.
Boniface MUSAVULI Radio En Direct
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RDC : Crash d'un drone de la MONUSCO à l'aéroport de Goma.

RDC : Crash d'un drone de la MONUSCO à l'aéroport de Goma
L'un des deux drones de la Mission des Nations unies pour la stabilisation du Congo (MONUSCO) , opérationnels depuis le 3 décembre 2013 dans l'est de la RDC, s' est écrasé mercredi à l'aéroport de Goma, au Nord-Kivu, sans faire des victimes, a confirmé, au cours du point de presse hebdomadaire de l'ONU, le lieutenant colonel Félix Prosper Basse, porte-parole militaire de la MONUSCO.
« Nous confirmons que nous avons eu un crash d'un des aéronefs sans pilote ce matin à l'aéroport de Goma. C'est un accident comme tous les accidents qu'on enregistre dans le secteur de l'aviation. Il n'y a pas eu des blessés, ni des morts », a indiqué le lieutenant colonel Basse.
Actuellement, a-t-il ajouté, ils sont en train de mener des enquêtes pour déterminer avec précision les causes techniques liées à cet accident.
« Il en reste un sur terrain », a-t-il affirmé, avant de rappeler qu'il y a des aéronefs additionnels qui doivent être injectés au fur et à mesure pour apporter une substance additionnelle au travail que font tous les agents de la MONUSCO sur terrain.
Ces engins de surveillance aérienne sans pilote ont pour mission de surveiller plus efficacement les groupes armés, des déplacements de civils et surtout la frontière entre la RDC et le Rwanda ainsi que de donner des informations précises et utilisées en temps réel sur le plan tactique.
Sur les cinq engins commandés auprès du gouvernement italien, deux étaient déjà opérationnels dans l'est de la RDC. F
Source: Agence de presse Xinhua
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Martin Kobler condamne avec fermeté l’attaque des Mayi Mayi Cheka contre le village de Pinga
Martin Kobler condamne avec fermeté l’attaque des Mayi Mayi Cheka contre le village de Pinga
Le Chef de la MONUSCO, Martin Kobler, a fermement condamné l’attaque menée par les Mayi Mayi Cheka contre le village de Pinga, situé à environ 80 kilomètres au Nord-est de Walikale, dans la province du Nord-Kivu, le soir du lundi 13 janvier 2014.
Les Forces armées congolaises (FARDC) ont répliqué et chassé ce groupe armé du village de Pinga, après 30 minutes d’échanges de tirs. Selon le dernier bilan établi par la MONUSCO, quatre soldats des FARDC ont été tués et trois civils blessés au cours des combats.
« Je présente mes condoléances aux familles des victimes et au peuple congolais. Ce dernier incident prouve à suffisance qu’il ne peut avoir aucune cohabitation, ni négociation avec les groupes armés. La MONUSCO fera usage de toute sa force pour consolider les récents acquis militaires », a affirmé Martin Kobler.
A peu près 1 000 civils ont trouvé refuge auprès de la base de la MONUSCO à Pinga, pendant l’attaque.
Signalons que le Conseil de sécurité a examiné hier matin à New York la situation en République démocratique du Congo (RDC). Les quinze ont d’abord entendu l’exposé de Martin Kobler, le Représentant spécial des Nations Unies et patron de l’opération de maintien de la paix onusienne, la MONUSCO.
Le Représentant spécial, après avoir insisté sur les acquis de 2013, notamment la signature de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba, la création de la Brigade d’intervention rapide et le renforcement de la cohésion internationale, a posé les jalons de l’action de la MONUSCO en 2014.
Pour Martin Kobler, il faut concrétiser les espoirs forgés par l’Accord-cadre de paix, sécurité et de coopération conclu fin janvier 2013 à Addis-Abeba. Il faut aussi rappeler que l’ONU est en RDC pour agir et non pour réagir. Aussi, seule une action concertée avec l’Armée congolaise permettra de venir à bout des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) et des Forces démocratiques armées ougandaises (ADF).
Il importe aussi de poursuivre la démobilisation, le désarmement et la réintégration (DDR) des anciens combattants, de réformer l’armée et la police nationales, et d’instaurer des îlots de stabilité pour, à terme, rétablir l’autorité de l’État. Cela passe par le développement économique et une coopération régionale intégrée le tout sur fond de reconfiguration de la MONUSCO.
Radio En Directe
Martin Kobler condamne avec fermeté l’attaque des Mayi Mayi Cheka contre le village de Pinga Le Chef de la MONUSCO, Martin Ko...
Massacres du 30/12/2013: Un survivant et adepte dévoile que Mukungubila est un faux prophète.
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Les danseuses de Werra en action - ZambaZamba du 15 jan 2014
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HERITIER WATA ASIMBI MOUVE - ZambaZamba du 15 jan 2014
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