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Historique des dialogues en RDC : Ntantu Mey lance les entretiens hebdomadaires au Centre Kiese-Mey

July 06, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhT4S0cBQbSt0zfE_p7niTtlHcH730W9_ElOjI3EE3qmFMWAN8qBANn7Vj154ULrCgBb0vW84HtkANuUsd65kDWptrfwpziZrkqN-7QTCdRNOMV1kvNLSdhnEVtRfsS7aqEXxRCWy4Zfs/s1600/Snapshot_123.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhT4S0cBQbSt0zfE_p7niTtlHcH730W9_ElOjI3EE3qmFMWAN8qBANn7Vj154ULrCgBb0vW84HtkANuUsd65kDWptrfwpziZrkqN-7QTCdRNOMV1kvNLSdhnEVtRfsS7aqEXxRCWy4Zfs/s400/Snapshot_123.jpeg" width="400" /></a><br />
Sur demande de plusieurs associations de la société civile, en perspective du dialogue politique et inclusif qui se profile à l’horizon, le Bureau d‘Action et d’éveil Culturel (BAC) et le Conseil National de la Culture (CNC), ont lancé une série d’entretiens hebdomadaires  sur les questions d’actualité et d’histoire sociopolitique de la RDC. C’est un instant historique, à en croire son initiateur, Jean-Marie Ntantu Meyi, qui estime que ces rencontres apporteront un plus, en abordant les différents sujets liés aux dialogues antérieurs de la RDC.<br />
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Ces entretiens vont se tenir dans le but de mieux arranger l’actuel dialogue qui est en préparation, en vue d’une meilleure organisation du pays.<br />
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Ayant compris que le peuple congolais, en général, et plus particulièrement la jeunesse, avait besoin d’une aide allant dans le sens de lui faire comprendre l’histoire réelle du pays, les acteurs socioculturels du Centre Kiese Mey se sont décidés de mettre leur expertise au service du pays. Voilà ce qui justifie la présence des invités spéciaux à cette cérémonie inaugurale. C’est notamment, le Professeur Isidore Ndaywell, Historien et l’Abbé Oswald Bagaza œuvrant dans le secteur du développement social.<br />
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Ntantu Mey a profité de  l’occasion pour inviter l’élite congolaise à participer objectivement à ces rencontres d’intellectuels et à mettre de côté les opinions, ainsi que les appartenances politiques. Tel est le bienfondé de ces entretiens hebdomadaires, qui auront lieu tous les lundis  au Centre culturel Kiese Meyi, situé à Kinshasa/Lemba Foire, sur l’avenue Lwange n°2. Il est à noter qu’exceptionnellement pour cette semaine, la prochaine séance aura lieu le jeudi 7 juillet 2016, de 10heures à 17heures.<br />
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Participant  à ces rencontres, l’Alliance des Leaders de la société civile pour des Actions Concertées, ainsi que les acteurs de la culture et du développement social de la RDC veulent proposer leurs idées, qui feront partie de leur contribution pour débloquer ce dialogue.<br />
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« L’exclusivité du dialogue ne tient pas compte de la présence, mais plutôt de la prise en compte des points de vus des intérêts des uns et des autres », a déclaré l’Abbé Oswald Bagaza.<br />
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En effet, pour l’Abbé Oswald Bagaza, il n’y a pas un sujet plus actuel que le dialogue en RDC pour le moment. Invité pour participer à la cérémonie d’ouverture de séance des réflexions sur le dialogue, il a estimé que le dialogue est une des voies royales pouvant aider le pays à résoudre pas mal de problèmes qui bloquent l’avancement du pays.<br />
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L’Abbé Bagaza, pour sa part, pense que le dialogue est un impératif social, un structurant, un existential, donc constituant même du vécu quotidien.<br />
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Pour ce faire, il propose aux parties prenantes d’aller au-delà de son caractère purement séquentiel, ponctuel qu’elles lui accordent, parce que, poursuit-il, l’exclusivité du dialogue ne tient pas compte de la présence, mais plutôt de la prise en compte des points de vus des intérêts des uns et des autres.<br />
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En ce qui concerne le déblocage du dialogue en RDC, il a proposé aux acteurs sociopolitiques, de trouver un terrain d’entente pour relever le point de convergence. « Le dialogue ne doit pas tenir compte de la présence des uns et des autres. Il faut juste trouver un terrain d’entente et tenir compte des intérêts des uns et des autres », a-t-il dit.<br />
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Aussi, a-t-il souhaité qu’un effort soit fourni pour que le dialogue soit permanant. «Je pense qu’un effort devra être fourni pour qu’on voie dans quelles mesures entretenir un dialogue permanant. En principe, le dialogue est permanant. Sur ce, que les uns et les autres se ressaisissent », a-t-il insisté.<br />
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Remerciant les organisateurs de l’avoir associé dans ces assises, le Professeur Isidore Ndaywell a promis de mettre à la disposition de tous ceux qui y prendront part, les connaissances qu’il a de la RDC, étant historien. Rien ne lui a empêché d’exprimer ses sentiments les plus distingués, qu’il a exprimés en ces termes : « Voyant comment la salle est remplie, je ne peux que mesurer l’importance de ce sujet en rapport avec le dialogue et j’ai bien noté que derrière chaque visage, il y a tout un réseau », s’est-il exprimé en saluant l’initiative.  <br />
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Il faut donc noter que ces séances de réflexions sur les différents dialogues organisés en RDC est une contribution d’un groupe d’intellectuels, qui estiment aider au déblocage du dialogue.

Politique Historique des dialogues en RDC : Ntantu Mey lance les entretiens hebdomadaires au Centre Kiese-Mey

Sur demande de plusieurs associations de la société civile, en perspective du dialogue politique et inclusif qui se profile à l’horizon, l...

Réunion du groupe de soutien à Addis-Abeba : la CASE demande à Edem Kodjo de dévoiler les conclusions !

July 06, 2016

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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjqSVu7Lh-O8jKJOcuzjdlECBnmy5YRFiPuNHCFY2DfCiUOlGTv9hYvbOF-Vmr06V9WnSPLRY6vALLw5or1Im9ejdiHQmNOoFRlykN7oTdi_Zep_lAyyvJgjSWvB9n1M6xB3aHQuv_ENWw/s1600/Snapshot_29.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjqSVu7Lh-O8jKJOcuzjdlECBnmy5YRFiPuNHCFY2DfCiUOlGTv9hYvbOF-Vmr06V9WnSPLRY6vALLw5or1Im9ejdiHQmNOoFRlykN7oTdi_Zep_lAyyvJgjSWvB9n1M6xB3aHQuv_ENWw/s400/Snapshot_29.jpeg" width="400" /></a>Cette structure demande à l’ex-premier ministre togolais de rendre public les conclusions de la première réunion tenue avec le groupe de soutien. C’est le lundi 4 juillet dernier que ces assises ont eu lieu à Addis-Abeba, Capitale de l’Ethiopie, qui abrite le  siège de l’Union Africaine. La Commission Africaine pour la Supervision des Elections –CASE- fait chapeau bas aux organisations qui ont accepté de prendre part à ce groupe pour aider à ce que le dialogue ait lieu en RDC dans les plus brefs délais. Par ailleurs, cette association que dirige Simaro Ngongo interpelle aussi les politiques qui n’ont de cesse de compliquer la venue effective de ce forum impérieux. Dans les lignes qui suivent, l’intégralité de la déclaration de la Commission Africaine pour la Supervision des Elections.   <br />
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COMMISSION AFRICAINE POUR LA SUPERVISION DES ELECTIONS<br />
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CASE<br />
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DECLARATION D’OBSERVATION N° 2715<br />
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La Commission Africaine pour la Supervision des Elections (CASE) attire l’attention  des acteurs politiques nationaux et internationaux sur la nécessité d’entrer immédiatement en dialogue pour baliser la voie des élections démocratiques, libres et apaisés en République Démocratique du Congo.<br />
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La CASE se félicite de la mise en route des travaux du Groupe de soutien à la facilitation du dialogue national en RDC dont la toute première réunion s’est tenu à Addis-Abeba, le lundi juillet 2016.<br />
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La CASE encourage l’Union Africaine à venir tenir les mêmes assises du groupe de soutien au dialogue national  dans la capitale Kinshasa afin de rassurer davantage le peuple congolais.<br />
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La CASE attribue donc une mention spéciale aux organisations membres du groupe  de soutien au Dialogue à savoir l’Union africaine, l’Union Européenne, les Nations-Unies, l’Organisation internationale de la Francophonie, la SADC, la CIRGL et la MONUSCO pour leur courage et leur fidélité aux engagements annoncés dans le cadre du soutient au processus électoral en général et au Dialogue politique National Inclusif en particulier.<br />
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La CASE s’insurge par ailleurs, contre toutes les organisations politiques qui tiennent à garder le peuple dans le flou en gesticulant sans aucune position claire  autour de leur participation ou non aux travaux du Dialogue.<br />
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Tout en saluant et félicitant l’idée cheminant d’un grand Rassemblement des forces politiques et conciliateur afin que seules les idées triomphent en lieu place de force  des muscles.  <br />
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D’autre part, la CASE invite la Majorité Présidentielle à examiner les revendications profondes de l’Opposition et à travailler pour des concessions notables.<br />
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La CASE invite le Facilitateur du Dialogue Politique National Inclusif, à saisir les chances offertes par les travaux du Groupe de Soutien au Dialogue afin de décider finalement de la mise en œuvre des assises dudit dialogue. Monsieur Edem Kodjo est également prié de restituer à la nation les véritables issues des travaux d’Addis-Abeba et de communiquer aux acteurs en présence l’agenda des travaux du Dialogue.<br />
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Fait à Kinshasa, le 06 juillet 2016<br />
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Pour la commission africaine pour la supervision des Elections (CASE)<br />
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Simaro NGONGO MBAYO<br />
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PRESIDENT

Politique Réunion du groupe de soutien à Addis-Abeba : la CASE demande à Edem Kodjo de dévoiler les conclusions !

Cette structure demande à l’ex-premier ministre togolais de rendre public les conclusions de la première réunion tenue avec le groupe de s...

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