TSHANGU LE DÉLABREMENT AVANCÉ DE LA ROUTE MOKALI PARALYSE LES ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJpYgKQhPZXOdJjKpjoMYP-Pcijf2XHFkOjVStTufERdfoSNsg-yE7qK4RU0aqkgMMlYqcC0hjlUlS0YAH13XelJqMFbg-CvCw3NufnhRWkVs0S94iEKddx-QnllaP2jfsOlvn71XpR5I/s1600/Snapshot_114.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJpYgKQhPZXOdJjKpjoMYP-Pcijf2XHFkOjVStTufERdfoSNsg-yE7qK4RU0aqkgMMlYqcC0hjlUlS0YAH13XelJqMFbg-CvCw3NufnhRWkVs0S94iEKddx-QnllaP2jfsOlvn71XpR5I/s400/Snapshot_114.jpeg" width="400" /></a></div> <br /> La route Mokali, l’une des principales artères de la commune de Kimbanseke, dans le district de la Tshangu se meurt. Elle est à moitié impraticable actuellement. Ce qui a un impact considérable sur la vie économique de plusieurs quartiers de ce coin de Kinshasa.<br /> <br /> La route Mokali est actuellement dans un état de délabrement avancé. Des crevasses béantes et plusieurs nids de poule jonchent une bonne moitié de cette artère.Ce qui accentueen même temps l’enclavement de plusieurs quartiers de la très populeuse commune de Kimbanseke.<br /> Le délabrement de la route Mokali a aussi pour conséquence la rareté des véhicules sur cette artère. Véhicules des particuliers comme des transports en communs. <br /> Des familles qui disposent des véhicules se voient du coup obligés de trouver un parking ailleurs. <br /> Les quelques conducteurs qui continuent de desservir cette route éprouvent d’énormes difficultés. Des cavités béantes qui se sont déclarées ici et là, dans le tronçon compris entre l’avenue Bandundu et l’arrêt Mabanza, empêchent les véhicules d’arriver jusqu’au terminus de cette route.<br /> <br /> UN DELABREMENT QUI FAIT LE BONHEUR DES TAXI-MOTOS<br /> « Nous rencontrons beaucoup de difficultés pour assurer le transport des passagers. La réhabilitation de cette route s’impose, d’autant plus qu’elle a vocation à désenclaver cette municipalité à forte démographie », a indiqué un conducteur abordé sur cette artère.<br /> A la moindre pluie, la route Mokali devient davantage un calvaire pour ses usagers. Les véhicules n’arrivant plus à assurer le déplacement des passagers et de leurs biens, place est désormais aux taxis-motos, avec tous les risques qu’ils impliquent.<br /> Les plus affectés par cette situation sont visiblement les opérateurs économiques qui alimentent les petits marchés de cette contrée. « Les véhicules n’arrivent plus à transporter nos marchandises jusqu’à nos destinations. Nous sommes obligés de dépenser d’importantes sommes pour les acheminer au lieu de négoce », s’est plaint un commerçant. <br /> « Nous sommes très au regret de constater que la situation sur notre route s’aggrave dans l’indifférence totale des décideurs politiques, voire nos députés nationaux et provinciaux. Aucune autorité n’a jusque-là fait une descente officielle ici pour s’enquérir de ce délabrement et de ce qu’il implique », ont rapporté les habitants de la commune de Kimbanseke.<br /> <br /> DES ACCIDENTS DE CIRCULATION<br /> La route Mokali enregistre quotidiennement un nombre impressionnant d’accidents de circulation. Des observateurs avertis attribuent cette augmentation d’accidents à l’état de délabrement avancé dans lequel se trouve cette avenue, à l’excès de vitesse des motards et au mauvais état des transports en commun.<br /> « Le trafic en taxis-motos sur cette route est en majeure partie assuré par des jeunes de moins de 25 ans. Habillés souvent en singlet et culotte, ces jeunes gens conduisent tout en étant en état d’ivresse, confie un passager. Ils roulent à très vive allure, amorçant parfois des dépassements de bande sans tenir compte d’autres engins sur la chaussée ». <br /> Tout compte fait, la situation qui prévaut actuellement sur la route Mokali mérite une attention particulière des autorités de la ville. Ces dernières sont appelées à intervenir au plus vite pour sauver cette artère qui contribue considérablement au désenclavement de la commune de Kimbanseke en particulier et du district de la Tshangu en général.<br /> La route Mokali est l’une des grandes ruelles que compte le district de la Tshangu, dans la partie Est de Kinshasa. Perpendiculaire au boulevard Lumumba, elle part de l’arrêt Pascal à l’arrêt Ngambuya Pont.

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La route Mokali, l’une des principales artères de la commune de Kimbanseke, dans le district de la Tshangu se meurt. Elle est à moitié im...

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UNE COMPAGNIE CHINOISE DÉBUTE L’AMÉLIORATION D’UNE ROUTE DANS LA CAPITALE RWANDAISE

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiv4qvTEcCw6HSQFmrV8jy_496a3LYEWLC1z1Ejmm1qK1808a6m0TFCMJ0_uRCuxiap1xbCTwSlq5bPft35xhp02DKxfGPs8hHHcC802eXcy-ko04uh6XK6NBH8s8Bn2Y3S4ErEM7zCKHM/s1600/Snapshot_115.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiv4qvTEcCw6HSQFmrV8jy_496a3LYEWLC1z1Ejmm1qK1808a6m0TFCMJ0_uRCuxiap1xbCTwSlq5bPft35xhp02DKxfGPs8hHHcC802eXcy-ko04uh6XK6NBH8s8Bn2Y3S4ErEM7zCKHM/s400/Snapshot_115.jpeg" width="400" /></a></div> <br /> <br /> <br /> <br /> La compagnie chinoise China Road and Bridge Cooperation (CRBC) a entamé un projet de mise à niveau de route urbaine à Kigali, capitale du Rwanda, qui devrait améliorer la situation générale en matière de trafic à Kigali et dans le reste de ce pays enclavé.<br /> <br /> Ce projet d’amélioration de route de 54,56 kilomètres, financé par la Banque chinoise d’import-export sous la forme d’un prêt à taux préférentiel, permettra d’augmenter efficacement la capacité du trafic routier dans les zones urbaines de Kigali, de faciliter les voyages des habitants locaux, de promouvoir le développement du tourisme, et de promouvoir le développement de l’économie locale.<br /> La ville de Kigali connaît une croissance soutenue, avec un afflux de population important, et ce projet d’amélioration routière s’inscrit dans la perspective d’élargir les routes du Rwanda pour répondre aux besoins d’une population croissante, a déclaré mardi à Xinhua le maire de Kigali, Pascal Nyamulinda, à l’issue d’une visite sur le site, ajoutant qu’il était ravi du bon travail effectué par la compagnie chinoise et de l’avancement satisfaisant du projet.<br /> L’ingénieur de la ville de Kigali, Alphonse Nkurunziza, a déclaré à Xinhua que ce projet améliorerait la circulation et d’autres conditions dans le quartier d’affaires central de la ville, pour l’emploi, les transports publics et bien d’autres aspects. Il a également estimé que les travaux avançaient très bien.<br /> MM. Nkurunziza et Nyamulinda, ainsi que le directeur général de l’Agence de développement des transports du Rwanda, Guy M. Kalisa, et d’autres responsables rwandais, ont visité ensemble ce chantier mardi, en compagnie de l’ambassadeur de Chine au Rwanda, Rao Hongwei.<br /> La CRBC livrera à la ville une route de bonne qualité et elle a pris des mesures pour veiller à ce que ce projet soit achevé dans les temps avec un bon niveau de qualité, a assuré Li Jianbo, directeur général du bureau à Kigali de la CRBC.<br /> La CRBC est implantée au Rwanda depuis 43 ans, et elle a achevé il y a 40 ans, son premier projet dans ce pays, la route de Kigali-Rusumo, longue de 160 kilomètres, qui est encore aujourd’hui en bon état et a conservé sa réputation de « route africaine modèle ».<br /> La CRBC a reçu en mars le prix de la qualité de l’ingénierie, pour un autre projet de mise à niveau de route urbaine à Kigali, qui a également valu à la compagnie une récompense pour contribution distinguée à l’embellissement de la ville de Kigali en 2010.

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La compagnie chinoise China Road and Bridge Cooperation (CRBC) a entamé un projet de mise à niveau de route urbaine à Kigali, capitale...

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Bruno Tshibala annonce l’imminence de la publication du gouvernement d’union nationale

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_PjRYJX1dDgyU3X4pMk5RD19asEhp9eopun2yzNF6gEk5j7EsjUPRboiEndMsseaPcWZiCPYWuG_TMEWZFbNQuw8-0LiurhMVgUcomZyeCfx3KBddDwr3D57xrCF3Hvl4wWGnO7IyF3A/s1600/Snapshot_669.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="305" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_PjRYJX1dDgyU3X4pMk5RD19asEhp9eopun2yzNF6gEk5j7EsjUPRboiEndMsseaPcWZiCPYWuG_TMEWZFbNQuw8-0LiurhMVgUcomZyeCfx3KBddDwr3D57xrCF3Hvl4wWGnO7IyF3A/s400/Snapshot_669.jpg" width="400" /></a></div> - Le Premier ministre Bruno Tshibala a annoncé l’imminence de la publication du gouvernement d’union nationale, après trois semaines de consultation des partis politiques signataires de l’Accord politique inclusif du 31 décembre 2016, au sortir d’un entretien mercredi, à Kinshasa, avec le Président de la République Joseph Kabila Kabange.<br /> <br /> « Dans très peu de temps, nous aurons la responsabilité d’annoncer au peuple congolais la composition du gouvernement d’union nationale », a déclaré le Premier ministre Bruno Tshibala, qui venait d’être reçu pour la deuxième fois par le Chef de l’Etat depuis sa nomination à la date du 07 avril 2017.<br /> Le chef de l’Exécutif national a par ailleurs indiqué avoir fait au Président de la République un rapport d’Etat concernant la formation du gouvernement d’union nationale.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> « J’ai remis à ce sujet un rapport écrit au Président de la République », a-t-il confirmé, ajoutant que le travail continue et d’ici quelques jours, le peuple congolais sera fixé au sujet de la formation du gouvernement d’union nationale, conformément à la constitution et à l’Accord politique du 31 décembre 2016.<br /> <br /> « Le travail est fait et il reste au Président de la République de jeter un coup d’œil sur le rapport que je viens de lui remettre », a-t-il précisé, avant de confirmer que toutes les composantes signataires de l’Accord du 31 décembre ont été reçues auxquelles se sont ajoutés d’autres acteurs politiques qui avaient estimé utile et nécessaire d’y être associés.<br /> <br /> « Je pense que tout s’est bien passé », a-t-il conclu. ACP/FNG/ZNG/Kgd/Kji

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- Le Premier ministre Bruno Tshibala a annoncé l’imminence de la publication du gouvernement d’union nationale, après trois semaines de co...

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Kin Makambo du 2 Mai 2017 : Bi bembe bi payi na bi payi na Kinshasa , Examen d ' état eza fin du monde te ! (vidéo)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhicREpzZPyr7G4kUpW16WUs_9yWssoAgKwoLbs9eRIZ_J0KVvweIVT0Oc3XVbL9Tf-ymTkr3Fd5ceU1FW4WIettxtbPELYQTu-1oTZNTKKmKgBRtM18_ANfho4eWCIndYwlyORNz-iHj0/s1600/Snapshot_668.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhicREpzZPyr7G4kUpW16WUs_9yWssoAgKwoLbs9eRIZ_J0KVvweIVT0Oc3XVbL9Tf-ymTkr3Fd5ceU1FW4WIettxtbPELYQTu-1oTZNTKKmKgBRtM18_ANfho4eWCIndYwlyORNz-iHj0/s400/Snapshot_668.jpg" width="400" /></a></div>Kin Makambo du 2 Mai 2017 : Bi bembe bi payi na bi payi na Kinshasa , Examen d ' état eza fin du monde te ! (vidéo)<br /> <iframe width="580" height="340" src="https://www.youtube.com/embed/cC5Mt_qcRqc" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>

Au tour de Kinshasa infos en vidéos Kin Makambo du 2 Mai 2017 : Bi bembe bi payi na bi payi na Kinshasa , Examen d ' état eza fin du monde te ! (vidéo)

Kin Makambo du 2 Mai 2017 : Bi bembe bi payi na bi payi na Kinshasa , Examen d ' état eza fin du monde te ! (vidéo)

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LE SALUT DE LA R.D.C. NE VIENDRA QUE DES HABITANTS DE LA R.D.C. ( par Tongele N. Tongele, Ph.D. Docteur en génie mécanique et professeur d’Université aux USA )

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> </div> <div dir="ltr" style="line-height: 1.2; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiF0G8oKih1zdMq_xij2dtjL5y4pcKS7c03T1l0XckoP6ok-SCw1vDhC6s0ll-9Q2Tiwn2uIZXbzOlLbatJgr0kxqUwcRyMb2wJ97TobMyRYdkw1ysoFsBAv20JsKM8QGabTmbMhLj5_O0/s1600/Snapshot_667.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="288" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiF0G8oKih1zdMq_xij2dtjL5y4pcKS7c03T1l0XckoP6ok-SCw1vDhC6s0ll-9Q2Tiwn2uIZXbzOlLbatJgr0kxqUwcRyMb2wJ97TobMyRYdkw1ysoFsBAv20JsKM8QGabTmbMhLj5_O0/s400/Snapshot_667.jpg" width="400" /></a><span style="background-color: transparent; color: black; font-family: 'Times New Roman'; font-size: 12pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;"><br class="kix-line-break" /></span><span style="background-color: transparent; color: black; font-family: 'Times New Roman'; font-size: 12pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;">par</span><span style="background-color: transparent; color: black; font-family: 'Times New Roman'; font-size: 12pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;"><br class="kix-line-break" /></span><span style="background-color: transparent; color: black; font-family: 'Times New Roman'; font-size: 12pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;">Tongele N. Tongele, Ph.D.</span><span style="background-color: transparent; color: black; font-family: 'Times New Roman'; font-size: 12pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;"><br class="kix-line-break" /></span><span style="background-color: transparent; color: black; font-family: 'Times New Roman'; font-size: 12pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;">Docteur en génie mécanique et professeur d’Université aux USA</span></div> <span id="docs-internal-guid-4ac548d0-d0b7-e941-182f-0db7045d34a7"><br /><span style="font-size: 12pt; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;"> </span><span style="font-size: 12pt; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;"><span class="Apple-tab-span" style="white-space: pre;"> </span></span><span style="font-size: 12pt; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;">S’adressant aux jeunes Africains, Nelson Mandela leur disait que souvent, pendant des moments difficiles de la vie, on tend à voir les difficultés comme insurmontables, on tend à voir la réalisation de certaines choses comme impossibles, on tend à désespérer et à se demander « Qui va nous sauver ?  D’où viendra notre salut ? ».   Pire, poursuit Mandela, on tend à espérer que les dirigeants politiques vont faire le miracle pour qu’il y ait changement.  Mais comme Mandela l’a dit, comment pouvait-on attendre que les dirigeants politiques de l’apartheid Sud-africain puissent céder le pouvoir aux populations qu’ils ont maintenues dans la soumission par terreur et oppression ?  Les Sud-africains avaient compris qu’ils devraient s’organiser et se mobiliser pour exiger la liberté. C’est ce qui s’est fait. C’est cela l’exemple du courage et de détermination.</span><span style="font-size: 12pt; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;"><br class="kix-line-break" /></span><span style="font-size: 12pt; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;"> </span><span style="font-size: 12pt; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;"><span class="Apple-tab-span" style="white-space: pre;"> </span></span><span style="font-size: 12pt; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;">La RDC traverse des moments très difficiles depuis des décennies maintenant. Les gens à Kinshasa souffrent de la faim, des moustiques qui communiquent la malaria, des difficultés énormes de transport et de l’embouteillage chronique. Les gens en RDC souffrent du chômage, de manque de moyen pour faire étudier les enfants ou payer les frais d’hospitalisation. Les infrastructures de base à travers le pays sont dans un état de délabrement.  L’insécurité est totale dans le pays : des milices et rebelles terrorisent les populations civiles à travers le pays ; des enlèvements, des empoisonnements et assassinats à Kinshasa font peur à tout le monde. Les soldats, policiers et agents de sécurité qui ne sont pas bien payés, ou qui ne sont pas du tout payés, pendant des mois et des mois se livrent à l’intimidation des populations civiles, ravissent les biens des gens afin de nourrir leurs familles.  La faim et le manque du minimum pour vivre plongent les habitants de la RDC dans la pauvreté et la misère terribles. Tout paraît insurmontable, tout paraît impossible.  Beaucoup des Congolais se demandent : « Qui va nous sauver ? D’où viendra notre salut ? ».  Comme Mandela a expliqué ci-dessus, comment peut-on attendre que les dirigeants politiques de la RDC qui sont là depuis des décennies puissent maintenant soudainement céder le pouvoir qu’ils utilisent pour maintenir les gens dans la misère et la soumission afin de s’enrichir par vols et corruptions ?  Les populations de la RDC doivent comprendre, comme Mandela l’a si expliqué, que ce sont eux les habitants de la RDC qui doivent s’organiser et se mobiliser pour exiger la liberté.  C’est ce qui s’est fait en Afrique du Sud, c’est ce qui doit se faire en RDC.  Et Mandela donne cela comme l’exemple du courage et de détermination.</span><span style="font-size: 12pt; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;"><br class="kix-line-break" /></span><span style="font-size: 12pt; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;"><span class="Apple-tab-span" style="white-space: pre;"> </span></span><span style="font-size: 12pt; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;">Le salut de la RDC ne viendra que des populations de la RDC. Les habitants de la RDC doivent exiger à leurs dirigeants de mettre sur pied des programmes d’actions concrètes pour bien former, bien équiper et bien payer les soldats, policiers et agents de sécurité. Les habitants de la RDC, y compris les soldats et policiers, doivent exiger aux dirigeants politiques de présenter un projet concret de société qui montre comment les ressources de la RDC doivent être utilisées pour améliorer les conditions de vie des populations : cela doit inclure, à titre d’exemple, une bonne formation des soldats et policiers comme ingénieurs, pompiers, pilotes, génies de guerre, mécaniciens, infirmiers et médecins militaires, etc., ainsi qu’une bonne rémunération. En ce sens les soldats et policiers de la RDC vont se respecter et respecter leurs concitoyens dont ils ont le devoir civique et moral de protéger au prix de leurs propres vies. En retour ils seront admirés, honorés et respectés par leurs concitoyens. Soldats, policiers et agents de sécurité de la RDC : vos ennemis sont ceux-là qui contrôlent le budget national et qui doivent débloquer l’argent nécessaire pour votre formation et rémunération.</span><span style="font-size: 12pt; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;"><br class="kix-line-break" /></span><span style="font-size: 12pt; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;">  </span><span style="font-size: 12pt; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;"><span class="Apple-tab-span" style="white-space: pre;"> </span></span><span style="font-size: 12pt; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;">Ensemble, les habitants de la RDC doivent exiger aux dirigeants politiques de présenter les programmes d’actions concrètes qui doivent inclure, encore à titre d’exemple, la formation d’électriciens et techniciens au niveau des villages, milieux ruraux et urbains pour qu’ils puissent résoudre le problème de carence chronique d’électricité.  En effet, malgré l’abondance de ressources d’énergie en RDC, il manque des compétences pour inventer et fabriquer des outils et méthodes de production et de distribution du courant électrique. Il faut exiger des programmes d’actions concrètes pour la formation d’ingénieurs techniciens au niveau des villages, milieux ruraux et urbains qui vont créer des entreprises et usines pour transformer les matières premières en produits finis sur place. Ces ingénieurs praticiens et techniciens vont fabriquer ou monter sur place des ordinateurs, des moulins de maïs et du riz, des appareils téléphoniques et photographiques, des cellules photovoltaïques et panneaux solaires, des appareils électroménagers, des bicyclettes et motocyclettes, des pièces de rechange des voitures et d’avions, etc.   Ces programmes d’actions concrètes doivent former à travers les villages, milieux ruraux et urbains des infirmiers, médecins et des pharmaciens  praticiens pour instruire les gens à l’hygiène, à la propreté, aux soins préventifs de la santé, à bien préparer et bien manger, etc. Ces personnels médicaux vont développer des techniques médicales et des médicaments à base des plantes médicinales abondantes en RDC pour guérir toutes les maladies, et on aura plus besoin de se précipiter en cascade en Inde, en Afrique du Sud, ou en Europe pour les soins médicaux. Ne voyez-vous pas que les gens qui se précipitent au dernier moment pour un miracle médical au Maroc, en Afrique du Sud, en Inde, ou en Europe souvent rentrent dans des cercueils ?  Si les infrastructures médicales étaient bonnes sur place en RDC, ces gens seraient traités rapidement sur place et continueraient  à vivre bonnement.  Ceci devrait faire penser et faire réfléchir ceux et celles qui négligent les infrastructures en RDC parce qu’ils croient qu’avec les moyens financiers qu’ils accumulés au détriment des habitants de la RDC, ils vont au dernier moment bénéficier du miracle médical à l’extérieur. Les faits montrent que c’est le contraire qui arrive. On rentre souvent dans une boite fermée.  </span><span style="font-size: 12pt; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;"><br class="kix-line-break" /></span><span style="font-size: 12pt; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;"><span class="Apple-tab-span" style="white-space: pre;"> </span></span><span style="font-size: 12pt; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;">En conclusion, les jeunes filles et jeunes garçons de la RDC sont capable de devenir inventeurs, innovateurs et entrepreneurs, car ils en ont les talents, et c’est de là que viendra le salut de la RDC.  La RDC possède toutes les matières premières utilisées pour la fabrication de tous ce que nous connaissons sous le ciel. Les habitants de la RDC doivent s’organiser et se mobiliser pour exiger aux dirigeants politiques de présenter des programmes et  projets d’actions concrètes en court, moyen et long termes pour former des jeunes compétences, des entrepreneurs et industrialistes qui vont inventer, créer, fabriquer et produire sur place tout ce dont le pays a besoin.  Le salut de la RDC ne viendra que des habitants de la RDC. Comme Mandela l’a expliqué, c’est le courage et la détermination des habitants de la RDC qui va forcer les dirigeants politiques à faire ce qui est juste et vrai, ce qui est bien pour le bien commun des populations de la RDC.</span></span><br /> <span style="font-size: 12pt; text-align: center; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;">par</span><span style="font-size: 12pt; text-align: center; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;"><br class="kix-line-break" /></span><span style="font-size: 12pt; text-align: center; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;">Tongele N. Tongele, Ph.D.</span><span style="font-size: 12pt; text-align: center; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;"><br class="kix-line-break" /></span><span style="font-size: 12pt; text-align: center; vertical-align: baseline; white-space: pre-wrap;">Docteur en génie mécanique et professeur d’Université aux USA</span>

A l'Ecoute du Professeur Dr. Tongele N. Tongele Ph.D la Nation Politique LE SALUT DE LA R.D.C. NE VIENDRA QUE DES HABITANTS DE LA R.D.C. ( par Tongele N. Tongele, Ph.D. Docteur en génie mécanique et professeur d’Université aux USA )

par Tongele N. Tongele, Ph.D. Docteur en génie mécanique et professeur d’Université aux USA S’adressant aux jeunes Africains, Nelson M...

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Le dossier de l’assassinat des deux experts de l’ONU continue à livrer ses mystères : A quel jeu joue Maman Sidikou, le chef de la MONUSCO ?

<div style="text-align: center;"> </div> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/proxy/AVvXsEjc8ONRVuA8BjDYnfkCs6rbWEheYxaLCSn7cBVT_wDNGiIDjtWjaS1SG5ZvKIkuyUGhz03qcLwHKdlkOmnDB18PZ0BBGXk465039qt36e_2O0Ci3YzOGT8ZWvz1FUeyVQm22oxKumQCZudrXbn0cM6uTaf4r9lgAO-m80RlogAILDQgxgbJ2Wr9vx-FLs6h9NobiaPqbsz8spQekcCOXuHq8qKDNz24LLcag6x_Ha2VNpKG3V0V4g=" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img alt="" border="0" class="aligncenter size-full wp-image-4638" height="279" src="http://www.info-apareco.com/wp-content/uploads/2017/05/visuel-à-quoi-joue-maman-sidikou-le-chef-de-la-la-Monusco-.jpg" width="400" /></a></div> <div style="text-align: center;"> <span style="color: red; font-family: "arial black" , sans-serif; font-size: 24pt;"><strong>Le dossier de l’assassinat des deux experts de l’ONU continue à livrer ses mystères :</strong></span></div> <div style="text-align: center;"> <span style="color: blue; font-family: "arial black" , sans-serif; font-size: 18pt;"><strong>Les faux «Kamwina Nsapu» sur la vidéo montée étaient les milices «Katakatanga» de Gédéon Kyungu venus de Lubumbashi !</strong></span></div> <img alt="" class="wp-image-4631 alignleft" height="150" src="http://www.info-apareco.com/wp-content/uploads/2017/05/image_file_2066.jpg" width="200" /><br /> <div style="text-align: justify;"> <span style="color: black; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif;">L’assassinat des deux experts de l’ONU est un arbre qui cache la forêt d’un système cynique et infernal installé en République Démocratique du Congo et qui constitue une véritable machine à tuer et à camoufler des crimes ou mieux, à les faire porter aux victimes. Grâce à nos sources au sein des institutions du régime d’occupation et de prédation en place à Kinshasa, notre enquête sur l’assassinat de la suédoise Zaida Catalan et l’américain Michael Sharp continue à livrer ses secrets et à mettre à nue les détails du grossier montage de la vidéo publiée par Mende Omalanga sur ordre de « Kabila ».</span></div> <div style="text-align: justify;"> <span style="color: black; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif;">L’un<img alt="" class=" wp-image-4607 alignleft" height="220" src="http://www.info-apareco.com/wp-content/uploads/2017/04/unnamed.jpg" width="197" /> des agents de l’ANR/Lubumbashi qui s’était occupé de l’opération a confié que sur instruction de l’Administrateur Général Kalev, il avait été sélectionné dans l’équipe très secrète qui devait accompagner le Redoc (le chef provincial de l’ANR)<br /><br /> pour organiser le voyage très secret des milices «Katakatanga» de Gédéon Kyungu basés dans la ferme de John Numbi. Ces deux personnes, Gédéon Kyungu et John Numbi se sont chargés eux-mêmes du choix de leurs hommes devant faire partie de la compagnie qui devait voyager ensuite pour le Kananga en vue de jouer le rôle des milices « Kamwina Nsapu» pour piéger les deux experts de l’ONU et les intercepter avant leur rencontre avec les vrais « Kamwina Nsapu » qui devaient les conduire vers les charniers des victimes des «hommes de Kabila». Ce sont ces éléments appartenant à Gédéon Kyungu que les officiers rwandais ont utilisés pour faire le sale boulot, tout en prenant soin de les filmer pour faire porter la responsabilité du crime aux Congolais !</span></div> <div style="text-align: justify;"> <span style="color: black; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif;">Plus grave, après l’opération de l’assassinat des deux experts filmée en direct par les officiers rwandais, tous les milices « Katakatanga » qui ont participé à l’opération de l’assassinat des experts de l’ONU sous le déguisement des «Kamwina Nsapu» ont été tous décapités pour ne pas laisser de traces de preuve de ce montage odieux ! En contrepartie, John Numbi et Gédéon Kyungu réclame beaucoup d’argent à «Joseph Kabila» comme indemnisation pour leurs hommes disparus ! L’immoralité des élites civiles et militaires congolaises a dépassé aujourd’hui le seuil de l’imaginable et du tolérable !</span></div> <div style="text-align: center;"> <img alt="" class="wp-image-4630 alignleft" height="210" src="http://www.info-apareco.com/wp-content/uploads/2017/05/alain-Atundu.jpg" width="279" /></div> <div style="text-align: justify;"> <span style="color: blue; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif; font-size: 18pt;"><strong>« Kabila » en colère contre Mende & Kassamba, charge Atundu </strong></span><span style="color: blue; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif; font-size: 18pt;"><strong>de contrer le discours de Ngbanda et de la Résistance</strong></span></div> <div style="text-align: justify;"> <span style="color: black; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif;">De son côté, le fils d’Adrien Kanambe ne décolère pas contre ses deux collabos prétendus experts en communication, Mende Omalanga et Jean-Marie Kassamba. Dès que la vidéo du montage de l’assassinat des deux experts de l’ONU est arrivée de Kigali, Kanambe l’avait immédiatement remise à ses deux «experts » pour visionner et donner leurs avis avant diffusion. Les deux collabos ont donné leur quitus au «raïs», lui garantissant que le montage était bien fait. Malheureusement pour eux, après l’analyse faite par L’œil du Patriote relevant toutes les failles qui trahissent un grossier montage, Mende fut convoqué au Palais de la Nation, sur ordre de « Kabila », par son Directeur de Cabinet qui l’a grondé comme un poisson pourri, allant jusqu’à lui demander, de la part du «raïs» s’il ne travaillait pas pour le compte de Ngbanda. Quant à Kassamba, il a été convoqué à Kingakati où il reçut, comme d’habitude, les menaces de mort de «Kabila» avant de se faire cracher sur la figure. Pitoyable !</span></div> <div style="text-align: justify;"> <span style="color: black; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif;">Dans sa colère, «Joseph Kabila» a chargé André Atundu, avec une enveloppe conséquente, de tout faire pour contrer le discours d’Honoré Ngbanda qui commence à gagner dangereusement les camps militaires et les campus universitaires. Certains pseudos patriotes de la diaspora qui s’étaient pourtant proclamé naguère des grands patriotes résistants sont recrutés pour venir semer la zizanie au sein de la résistance congolaise de la diaspora très redoutée à Kingakati. Les patriotes résistants doivent redoubler de vigilance et dénoncer toutes ces brebis égarées qui se sont transformées en loups ! </span><strong> </strong></div> <br /> <figure class="wp-caption alignleft" id="attachment_4629" style="width: 292px;"><img alt="" class=" wp-image-4629" height="219" src="http://www.info-apareco.com/wp-content/uploads/2017/05/R56A7084.jpg" width="292" /><figcaption class="wp-caption-text"><span style="color: #333399;">Le Représentant spécial du secrétaire général des Nations unies en RDC, Maman Sidikou </span></figcaption></figure><br /> <div style="text-align: center;"> <strong><span style="color: blue; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif; font-size: x-large;">A quel jeu joue Maman Sidikou,</span></strong></div> <div style="text-align: center;"> <strong><span style="color: blue; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif; font-size: x-large;">le chef de la MONUSCO ?</span></strong></div> <div style="text-align: justify;"> <span style="color: black; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif;">Mais à cet imbroglio général qui caractérise le climat politique en République Démocratique du Congo vient s’ajouter l’attitude nébuleuse et le rôle ambigu du chef de la Monusco à Kinshasa. Dans les révélations des agents de l’ANR et des services de renseignement militaire, son nom revient chaque fois au cœur des opérations. Après l’assassinat des experts de l’ONU, nos sources affirment avec certitude que l’AG Kalev avait dépêché deux de ses proches collaborateurs dont le Redoc/Lubumbashi pour l’informer et lui demander d’attendre la diffusion de la «version officielle du gouvernement» avant d’alerter les autorités de l’ONU à Washington. Mais l’organe d’information et communication de l’APARECO les avait pris de court en diffusant la nouvelle le 23 mars 2017, obligeant ainsi «Kabila» à confirmer la nouvelle 5 jours plus tard, soit le 28 mars, en annonçant la découverte des corps des victimes!</span></div> <div style="text-align: justify;"> <span style="color: black; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif;">Nous nous inquiétons de la complicité qui parait ainsi exister entre d’une part, le représentant de l’ONU qui a mission (du moins sur papier) de sécuriser les populations congolaises contre justement les violations récurrentes du droit à la vie et à la liberté par le sanguinaire « Kabila » et ses frères rwandais du Tutsi-power. </span></div> <div style="text-align: center;"> <span style="color: blue; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif; font-size: 18pt;"><strong><img alt="" class="wp-image-4632 alignleft" height="222" src="http://www.info-apareco.com/wp-content/uploads/2017/05/Joseph-Kabila-II.jpg" width="220" />120 mercenaires zimbabwéens et 80 namibiens </strong></span><span style="color: blue; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif; font-size: 18pt;"><strong>pour renforcer la ceinture de sécurité rapprochée de «Kabila» </strong></span></div> <div style="text-align: justify;"> <span style="color: black; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif;">Depuis quelques jours, « Kabila » et ses frères croient entendre des bruits de botte chaque nuit dans tous les coins de Kinshasa. Des préparatifs des coups d’état imaginaires ou vrais sont dénoncés à tout va par des griots du régime sur les antennes de la RTNC et des autres médias-boîtes de résonnance. Sentant la mort rôder autour de lui et n’ayant plus confiance aux hommes en armes autour de lui, y compris ses propres frères rwandais, « Kabila » a sollicité et obtenu du Zimbabwe 120 et de la Namibie 80 commandos aguerris pour sa protection rapprochée. Les 200 hommes sont repartis dans trois sites fréquentés par «Joseph Kabila» : Nsele, Kingakati et Palais de la Nation. Signe particulier, ce contingent de 200 mercenaires zimbabwéens et namibiens sont placés sous le commandement de …Zoé «Kabila» ! Signe de temps qui révèle que le cercle de confiance des faux Kabila se rétrécit chaque jour. Ils sont maintenant contraint à ne faire confiance qu’à leur petit cercle des enfants d’Adrien Kanambe. Mais pour combien de temps ? <em>Let’s wait and see</em> !</span></div> <div style="text-align: justify;"> <span style="color: black; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif;"> </span></div> <div style="text-align: center;"> <span style="color: black; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif;">Paris, le 03 Mai 2017</span></div> <div style="text-align: center;"> <span style="color: blue; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif;"><strong>Candide OKEKE</strong></span></div> <div style="text-align: center;"> <span style="color: black; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif;"><strong>L’ŒIL DU PATRIOTE</strong></span></div> <div style="text-align: center;"> <img alt="" class=" wp-image-4186 aligncenter" height="175" src="http://www.info-apareco.com/wp-content/uploads/2017/03/co_ldp_2.jpg" width="137" /></div> <!-- Blogger automated replacement: "https://blogger.googleusercontent.com/img/proxy/AVvXsEjc8ONRVuA8BjDYnfkCs6rbWEheYxaLCSn7cBVT_wDNGiIDjtWjaS1SG5ZvKIkuyUGhz03qcLwHKdlkOmnDB18PZ0BBGXk465039qt36e_2O0Ci3YzOGT8ZWvz1FUeyVQm22oxKumQCZudrXbn0cM6uTaf4r9lgAO-m80RlogAILDQgxgbJ2Wr9vx-FLs6h9NobiaPqbsz8spQekcCOXuHq8qKDNz24LLcag6x_Ha2VNpKG3V0V4g=" with "https://blogger.googleusercontent.com/img/proxy/AVvXsEjc8ONRVuA8BjDYnfkCs6rbWEheYxaLCSn7cBVT_wDNGiIDjtWjaS1SG5ZvKIkuyUGhz03qcLwHKdlkOmnDB18PZ0BBGXk465039qt36e_2O0Ci3YzOGT8ZWvz1FUeyVQm22oxKumQCZudrXbn0cM6uTaf4r9lgAO-m80RlogAILDQgxgbJ2Wr9vx-FLs6h9NobiaPqbsz8spQekcCOXuHq8qKDNz24LLcag6x_Ha2VNpKG3V0V4g=" --><!-- Blogger automated replacement: "https://images-blogger-opensocial.googleusercontent.com/gadgets/proxy?url=http%3A%2F%2Fwww.info-apareco.com%2Fwp-content%2Fuploads%2F2017%2F05%2Fvisuel-%C3%A0-quoi-joue-maman-sidikou-le-chef-de-la-la-Monusco-.jpg&container=blogger&gadget=a&rewriteMime=image%2F*" with "https://blogger.googleusercontent.com/img/proxy/AVvXsEjc8ONRVuA8BjDYnfkCs6rbWEheYxaLCSn7cBVT_wDNGiIDjtWjaS1SG5ZvKIkuyUGhz03qcLwHKdlkOmnDB18PZ0BBGXk465039qt36e_2O0Ci3YzOGT8ZWvz1FUeyVQm22oxKumQCZudrXbn0cM6uTaf4r9lgAO-m80RlogAILDQgxgbJ2Wr9vx-FLs6h9NobiaPqbsz8spQekcCOXuHq8qKDNz24LLcag6x_Ha2VNpKG3V0V4g=" -->

les Combattants et l'Echos de la Diaspora Politique Le dossier de l’assassinat des deux experts de l’ONU continue à livrer ses mystères : A quel jeu joue Maman Sidikou, le chef de la MONUSCO ?

Le dossier de l’assassinat des deux experts de l’ONU continue à livrer ses mystères : Les faux «Kamwina Nsapu» sur la vidéo montée ét...

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03 mai 2017 : Libérez les médias, libérez la parole, réclame Claudel Lubaya

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjByLxW2qdNDzFSVJD7-m6HyuMMoxHur3PNKoy_5IonERNOUcqdGQ6uEnTSRoI2cdzlQTItwUd064bspUCU_-EMyf86rB-XOCJqHmSUkA6kWbp1BmLpiq-DMwRKNerBPHTX7LVj2Lr1Bo8/s1600/Snapshot_681.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="267" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjByLxW2qdNDzFSVJD7-m6HyuMMoxHur3PNKoy_5IonERNOUcqdGQ6uEnTSRoI2cdzlQTItwUd064bspUCU_-EMyf86rB-XOCJqHmSUkA6kWbp1BmLpiq-DMwRKNerBPHTX7LVj2Lr1Bo8/s400/Snapshot_681.jpg" width="400" /></a></div> <span style="font-size: large;"><br /><br />Connu pour ses nombreuses prises de positions, l’ancien collaborateur de Vital Kamerhe n’a pas été aux abonnés absents ce mercredi 3 mai 2017, journée consacrée à la liberté de la presse.<br /><br />Sur sa page facebook, le président de l’UDA originelle a posté un message pour dénoncer les assassinats des journalistes et rendre hommage aux journalistes.<br /><br />« Ce mercredi 3 mai 2017, journée consacrée à la liberté de la presse qui en réalité est la liberté d’expression démocratique par excellence, je salue respectueusement la mémoire des chevaliers de la plume tombés pour avoir fait usage de l’un des droits fondamentaux garantis par la constitution. Je pense notamment à Franck Ngike et son épouse, Bapuwa Muamba, Didas Namujimbo, Serge Maheshe et tant d’autres en même temps que j’exprime ma sympathie à leurs familles respectives ».<br /><br />Lubaya estime que le combat actuel de ceux qui œuvrent pour la démocratie réside dans la réclamation des meilleures conditions pour les journalistes.<br /><br />« Notre combat, en ce moment précis, c’est de continuer à exiger des lois justes et des conditions de travail dignes pour les journalistes. L’Etat devra s’engager à garantir leur liberté après qu’ils aient fait usage de la liberté de la presse, liberté d’expression démocratique et sacrée. J’assure de mes encouragements à tous ces hommes et femmes qui, chaque jour, se privent d’instants précieux de leur vie, pour nous informer, au péril de leur vie et de leur liberté. Plus que jamais, le métier de journaliste doit être un motif de fierté et non un risque à prendre. Le Congo doit cesser d’être un enfer pour les professionnels des médias, aujourd’hui obligés, par peur de représailles, de ne se contenter que du « reportage » et s’interdire toute analyse objective et toute investigation, devenant de ce fait des prisonniers libres. »</span>

Politique 03 mai 2017 : Libérez les médias, libérez la parole, réclame Claudel Lubaya

Connu pour ses nombreuses prises de positions, l’ancien collaborateur de Vital Kamerhe n’a pas été aux abonnés absents ce mercredi 3 mai 2...

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Jean-Marc Kabund affirme que son fils a été « assassiné »

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEilSPY56ChVf37_mVGYHC0SumBbxtmROrjJvx2QfuQH285UcC0fGYReLF4fDWkDTxmHbij0HeDZGLpYWD04y3qHEIBxMZupICPlZ7GCJnGKG4cm36mIpMjoAghAc-y5EiaF3zCTgKjVOQI/s1600/Snapshot_680.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="190" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEilSPY56ChVf37_mVGYHC0SumBbxtmROrjJvx2QfuQH285UcC0fGYReLF4fDWkDTxmHbij0HeDZGLpYWD04y3qHEIBxMZupICPlZ7GCJnGKG4cm36mIpMjoAghAc-y5EiaF3zCTgKjVOQI/s400/Snapshot_680.jpg" width="400" /></a></div> <span style="font-size: large;"><br /><br />En effet, tout le monde croyait à une pendaison suicidaire, avant la matinée politique de l’UDPS de ce 2 mai, au cours de laquelle Jean-Marc Kabund a annoncé que « l’OPJ qui se charge de l’enquête de la mort de son fils, confirme un assassinat (par pendaison) et non une pendaison (suicidaire). »Le fils aîné de l’opposant congolais, âgé de 17 ans, a été retrouvé pendu dans sa chambre à Kinshasa le 22 avril dernier. Jean-Marc Kabund n’était pas à son domicile situé dans le quartier Kingabwa, au centre de la capitale congolaise, au moment de l’événement.<br /><br />C’est visiblement à la mi-journée que le Secrétaire général de l’UDPS a appris la triste nouvelle, alors qu’il tenait une conférence de presse au siège du parti. Selon les informations regroupées, rien ne laissait attendre à un tél événement. Le jeune-homme n’était aucunement souffrant. « Il n’était pas du tout malade. Nous sommes très surpris par cette tragédie« , ajoute notre source qui a requis l’anonymat.Selon Secrétaire général de l’UDPS, il faudra attendre les conclusions de l’enquête des autorités policières.<br /><br />Les affirmations de M. Kabund n’ont pas pu être confirmées du côté de la Police de Kinshasa</span>

Politique Jean-Marc Kabund affirme que son fils a été « assassiné »

En effet, tout le monde croyait à une pendaison suicidaire, avant la matinée politique de l’UDPS de ce 2 mai, au cours de laquelle Jean-Ma...

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L’UDPS « notifie » et explique à Kimbuta sa décision d’enterrer Tshisekedi à Limete

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjfoFv3A0G2LtcQ_IRQKCRWNDEcV5TGSmKufesvNqGMoetVODrLJbUibNHBaTgbROfVB62ope4dUmcc5RPpLjl9CT2j6oujr-WUs2ljGBP8XzamSA-NeeEAH9oVdbnS9ExhsJtDzVH__rI/s1600/Snapshot_679.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjfoFv3A0G2LtcQ_IRQKCRWNDEcV5TGSmKufesvNqGMoetVODrLJbUibNHBaTgbROfVB62ope4dUmcc5RPpLjl9CT2j6oujr-WUs2ljGBP8XzamSA-NeeEAH9oVdbnS9ExhsJtDzVH__rI/s400/Snapshot_679.jpg" width="400" /></a></div> <span style="font-size: large;"><br /><br />Dans une lettre adressée au gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta, l’UDPS informe l’autorité provinciale de son intention d’enterrer son chef historique décédé depuis le 1er février dernier, au siège du parti situé dans la commune de Limete, au centre de la capitale congolaise.« Tenant compte de l’envergure nationale de l’illustre disparu et nous référant à la loi et à la pratique en matière des inhumations dans la ville de Kinshasa et à travers le pays, notamment le cas du Professeur Bianganyi Tampon enterre dans l’enceinte de l’Université Chrétienne Cardinal Malula (…) nous avons choisi d’enterrer le président Étienne Tshisekedi wa Mulumba à la permanence du parti« , justifie cette lettre signée par Jean-Marc Kabund, Secrétaire général de l’UDPS.<br /><br /><br /><br /><br />Le parti de l’opposition explique en effet que cette nouvelle décision, après multiples volte-faces sur la question, résulte de la volonté de la veuve de M. Tshisekedi et « aussi de l’opinion générale. »Le gouvernement provincial n’a pas encore répondu à cette lettre de l’UDPS, mais les autorités de Kinshasa ont fait savoir la semaine dernière qu’il était interdit d’inhumer « dans les zones urbanisées et habitées« .<br /><br /><br /><br />La dépouille d’Étienne Tshisekedi est attendue à Kinshasa le 12 mai, alors que le gouvernement, qui doit organiser des funérailles officielles pour Étienne Tshisekedi, conformément à son rang d’ancien Premier ministre, dit ne « pas être au courant » de rapatriement.</span>

Politique L’UDPS « notifie » et explique à Kimbuta sa décision d’enterrer Tshisekedi à Limete

Dans une lettre adressée au gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta, l’UDPS informe l’autorité provinciale de son intention d’en...

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La Monusco « disposée » à sécuriser les obsèques de Tshisekedi « en appui » à la Police nationale

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgOmCkc5lA2KEbiH1Qp1sh5JooKn-GynkBTJNmPUxDnQ87qE8qpCLXmaZaz8lKXVPMCPuo8A4_RO-viO0jIZ9-ItXh_c92jnTHyP0KFKGEBgVyfoxkKba2-I9kn3JAdGP5ELaYUhtfbBs4/s1600/Snapshot_678.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="251" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgOmCkc5lA2KEbiH1Qp1sh5JooKn-GynkBTJNmPUxDnQ87qE8qpCLXmaZaz8lKXVPMCPuo8A4_RO-viO0jIZ9-ItXh_c92jnTHyP0KFKGEBgVyfoxkKba2-I9kn3JAdGP5ELaYUhtfbBs4/s400/Snapshot_678.jpg" width="400" /></a></div> <span style="font-size: large;"><br /><br />L‘Union pour la Démocratie et le Progrès Social a annoncé le retour de la dépouille d’Étienne Tshisekedi pour le 12 mai dans la capitale congolaise, demandant à la Monusco de sécuriser ces obsèques que lesquelles les autorités disent ne pas être « concernées ».En effet, joint au téléphone lundi, Lambert Mende, Porte-parole du gouvernement dit ne pas être « au courant » de ce rapatriement. « Nous ne sommes pas au courant de ces funérailles là. Posez la question à ceux qui l’ont annoncé. Vous ne pouvez pas me poser à moi des questions sur des propos qu’une famille ou un parti politique a tenu (…) comme si j’en étais le porte-parole« , s’offusque le ministre congolais .<br /><br />Même son de cloche du côté de la Police qui dit n’avoir reçu aucune demande de la part de l’Hôtel de ville de Kinshasa, censé s’occuper de cet événement. « Nous n’avons pas du tout été notifié d’un quelconque événement en ce sens de la part de l’Hôtel de ville« , rétorque le Colonel Mwanamputu, Porte-parole des forces de l’ordre.Au courant de sa conférence hebdomadaire ce mercredi à Kinshasa, Charles Bambara, Porte-parole de la Monusco a répondu à la demande de l’UDPS, affirmant que les forces onusiennes sont « disposées » à sécuriser ces obsèques, mais en soutien à la Police nationale congolaise (PNC). « C’est la PNC qui s’occupe de la sécurisation des individus et de leurs biens, mais comme nous sommes invités, nous allons intervenir en appui à la PNC », a déclaré M. Bambara.<br /><br /><br /><br /><br />L’UDPS a néanmoins écrit à l’Hôtel de Ville le 29 avril pour lui « notifier » de sa décision d’enterrer Tshisekedi au siège du parti à Limete.</span>

Politique sécurité La Monusco « disposée » à sécuriser les obsèques de Tshisekedi « en appui » à la Police nationale

L‘Union pour la Démocratie et le Progrès Social a annoncé le retour de la dépouille d’Étienne Tshisekedi pour le 12 mai dans la capitale c...

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Le vent de « destitution » atteint le gouverneur de la Tshopo

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizTTwdG48loKWHzmB9AmSP_7SRUnX5ZdMAF8TXuTrlmVxVztUNVX-NHOG7x9auzJHFEbcJJgE5AC3p8VyPdyQx43KB63uvmGBOlb7CfjWvZ5XplDwccO6Syb4wsakJftBsplj0oy9aOoc/s1600/Snapshot_677.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="217" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizTTwdG48loKWHzmB9AmSP_7SRUnX5ZdMAF8TXuTrlmVxVztUNVX-NHOG7x9auzJHFEbcJJgE5AC3p8VyPdyQx43KB63uvmGBOlb7CfjWvZ5XplDwccO6Syb4wsakJftBsplj0oy9aOoc/s400/Snapshot_677.jpg" width="400" /></a></div> <br /><span style="font-size: large;"><br />Dans leur mémorandum lu mardi 2 mai devant le bâtiment de l’Assemblée provinciale à Kisangani, rapporte Radio Okapi, ces jeunes se plaignent notamment des mauvaises conditions de vie dans lesquelles le gouverneur de province aurait plongé la population de sa province«Au lieu d’améliorer les conditions de vie de la population, le gouvernement de la Tshopo les a au contraire détériorées. Cela s’illustre par les 5 mois d’arriérés (salariaux) de ses propres agents, la gestion calamiteuse et opaque avec obstruction totale de système de suivi et contrôle des ressources financières, l’impunité, la dégradation des infrastructures de base, la tracasserie et pire encore l’insécurité grandissante», a dénoncé le Président de la jeunesse de la société civile de la Tshopo, Docteur Mateus Kanga.<br /><br />Selon des témoignages concordants recueillis par la radio onusienne, le mémorandum était accompagné des écriteaux portés par les manifestants, portant les mentions du genre : «société zéro », « surtaxation », « famine », « chômage », « démission », « nous voulons le changement ».Du côté des « accusés », le Porte-parole du gouverneur de la Tshopo a dénoncé une manipulation «d’une infime minorité de la jeunesse » qui ne peut pas conduire le Gouverneur Jean Ilongo Tokole à la démission.<br /><br />«Le gouverneur de la Tshopo ne peut pas démissionner par la pression de 40 personnes qui se disent jeunes de la société civile. La ville de Kisangani compte plus d’un million d’habitants. La pression qui vient de ces 40 personnes n’apporte rien. Il y a des procédures pour qu’un gouvernement parte», a rétorqué Samy Ngubu Isaula.<br /><br />Manipulation ou pas, cette exigence de la démission du gouverneur de la Tshopo intervient dans un contexte où la motion de censure venait d’emporter le Gouverneur du Haut-Katanga, Jean-Claude Kazembe et une autre qui sera examiné ce jeudi à l’Assemblée provinciale du Haut-Lomami dont l’issue déterminera la poursuite ou la fin du séjour de Célestin Mbuyu à la tête de la province.<br /><br />Sûr que son gouverneur ne court pas du tout les mêmes risques que ces 2 homologues, le porte-parole de Jean Ilongo estime que le gouvernement provincial de la Tshopo fournit des efforts pour résoudre les problèmes auxquels la province fait face notamment dans le secteur des infrastructures routières.</span>

Politique Province Le vent de « destitution » atteint le gouverneur de la Tshopo

Dans leur mémorandum lu mardi 2 mai devant le bâtiment de l’Assemblée provinciale à Kisangani, rapporte Radio Okapi, ces jeunes se plaigne...

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Fred Bauma de la Lucha : "Nous sommes 80 millions, on trouvera bien un remplaçant à Kabila"

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgu5L5bFhY3g2baMhWg0tFOxXJp_LYRw9m1X1Lkmmeb-g_u9eIJDPGG0i_riNCROLWqREnm4U_lx-6VYiomCcsAlpBk-g-aFmdy71TqyLAlryBxczLRUtxhg4Xqy7hh1sZ4ll_iOjvrfxU/s1600/Snapshot_676.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgu5L5bFhY3g2baMhWg0tFOxXJp_LYRw9m1X1Lkmmeb-g_u9eIJDPGG0i_riNCROLWqREnm4U_lx-6VYiomCcsAlpBk-g-aFmdy71TqyLAlryBxczLRUtxhg4Xqy7hh1sZ4ll_iOjvrfxU/s400/Snapshot_676.jpg" width="400" /></a></div> <div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> <span style="font-size: large;"><div> <span style="font-size: large;"><br /></span></div> Interview avec Fred Bauma, militant de la Ligue pour le changement en RDC. Il explique qu'il ne perd pas espoir de voir un jour l'alternance dans son pays.</span>

Politique Fred Bauma de la Lucha : "Nous sommes 80 millions, on trouvera bien un remplaçant à Kabila"

Interview avec Fred Bauma, militant de la Ligue pour le changement en RDC. Il explique qu'il ne perd pas espoir de voir un jour l...

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Le processus électoral en sursis en RDC

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj5ffUozqgHA_vBA56AUFOsyCgu7tmTcBLZUducs4rtjmNlhE9psRUoOnGOtqXcFEzeBNwehmJQPkjhiUTQ1IQK5RjzHJjBV2Ix32zzcG9HJDGJPXKq_kzextOPpTjy09fYSuRVJxv-4Po/s1600/Snapshot_675.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="268" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj5ffUozqgHA_vBA56AUFOsyCgu7tmTcBLZUducs4rtjmNlhE9psRUoOnGOtqXcFEzeBNwehmJQPkjhiUTQ1IQK5RjzHJjBV2Ix32zzcG9HJDGJPXKq_kzextOPpTjy09fYSuRVJxv-4Po/s400/Snapshot_675.jpg" width="400" /></a></div> <span style="font-size: large;"><br /><br />La Ceni a dû suspendre l'opération d'enrôlement des électeurs dans le Kasaï et Kasaï central à cause de l'insécurité. <br /><br /><br /><br /><br />Une insécurité marquée par l'assassinat du chef de la Ceni dans le Kasaï central. Outre le meurtre de l'agent de la Ceni le 3 avril dernier, le matériel électoral a été vandalisé par les miliciens du chef coutumier Kamwina Nsapu. <br /><br /><br /><br /><br />Au total, dix-sept agents de la Ceni ont déjà été tués depuis le début de l'enrôlement en novembre dernier. Pourquoi s'en prendre aux agents électoraux?</span>

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La Ceni a dû suspendre l'opération d'enrôlement des électeurs dans le Kasaï et Kasaï central à cause de l'insécurité. Une insé...

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Minerais du sang : la "loi d'Obama" à l'épreuve de la réalité congolaise

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiiQU6Yw8gxlqCvPMXzzaRosx7mlEHI2Uq7c6escm7iXU1ixCtAo7-mMGh1nu7ba80O9Nq2xXVa506-vI6on1G2HBIA6z-2DFaDabRHNfwrLDchOHueHIwLpx7g2gzhB7Hj9c4nZDSQUU8/s1600/Snapshot_674.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="297" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiiQU6Yw8gxlqCvPMXzzaRosx7mlEHI2Uq7c6escm7iXU1ixCtAo7-mMGh1nu7ba80O9Nq2xXVa506-vI6on1G2HBIA6z-2DFaDabRHNfwrLDchOHueHIwLpx7g2gzhB7Hj9c4nZDSQUU8/s400/Snapshot_674.jpg" width="400" /></a></div> <span style="font-size: large;"><br /><br />Les mineurs artisanaux du Sud Kivu, dans l'est troublé de la République démocratique du Congo (RDC), se plaignent des mesures internationales de régulation sur les "minerais du sang" qui rognent leurs maigres salaires.<br /><br />A l'ouest du lac Kivu, les montagnes vertes qui montent la garde autour de la ville de Numbi regorgent de mines. De véritables carrières pour certaines, pas plus grandes qu'un simple trou pour d'autres.<br /><br />Ombeni Chikala, 32 ans, est mineur dans l'une d'elles. Il cherche de la cassitérite et du coltan, deux métaux dans le viseur des lois de régulation.<br /><br />"Les choses empirent. Dans le passé vous pouviez creuser, trouver des centaines de kilos de minerais et les vendre où vous vouliez, à qui vous vouliez", explique-t-il.<br /><br />Le mineur regrette que la législation adoptée en juillet 2010 par le Congrès américain rende de plus en plus difficile la vente de minerais. "Depuis qu'ils ont adopté cette loi, plus rien de marche ici".<br /><br />Baptisée par les mineurs "loi d'Obama", le texte a été introduit sous l'impulsion de l'ancien président américain. La section 1502 de la loi Dodd-Frank oblige les entreprises minières cotées aux Etats-Unis à signaler l'extraction de tous les "minerais du sang" - coltan, cassitérite, tungstène et or - aux autorités de régulation.<br /><br />Ces lois visent à empêcher l'utilisation des revenus de leur vente pour financer les conflits entre l'armée congolaise et les groupes armés dans cette région déchirée par la guerre depuis plusieurs décennies.<br /><br />Mais sur le terrain, les mineurs se plaignent des difficultés qu'elles entrainent dans leurs vies.<br /><br />- 'Un gros problème' -<br /><br />"Nous avons un gros problème", dit Byamungu Kabyona, 42 ans et collègue d'Ombeni Chikala. "Ce système de traçabilité est en train de nous tuer !"<br /><br />La loi oblige l'industrie minière à adopter un schéma de traçabilité, créé par l'entreprise anglaise ITRI, qui requiert que les minerais soient vendus selon un système d'"étiquetage".<br /><br />"Dans le passé, nous travaillions librement, continue M. Kabyona. Vous pouviez creuser, trouver des pierres et les vendre à qui vous vouliez tant que vous aviez votre autorisation du ministère des Mines et d'autres documents légaux."<br /><br />Les nouveaux frais imposés par les autorités de régulation aux exportateurs obligent ces derniers à acheter moins cher leurs minerais aux mineurs, estime Fidel Bafilemba, fondateur et directeur du Groupe d’appui à la traçabilité et à la transparence dans la gestion des ressources naturelles (GATT-RN), un groupe d'études sur le secteur.<br /><br />"Le coût de la traçabilité se répercute directement sur le salaire des travailleurs, ce sont eux qui paient les frais de cette régulation", affirme-t-il. "Ce n'est pas juste. Ces frais devraient être à la charge des utilisateurs finaux, des grandes sociétés".<br /><br />Les conséquences de la loi ont été "complètement chaotiques pour les dizaines de milliers de mineurs, pour l'activité économique de la région", abonde John Kanyoni, directeur général de l'entreprise minière Metachem SARL et vice président de la Chambre des mines, lobby congolais.<br /><br />En 2014, M. Kanyoni a rédigé et signé, avec 70 représentants du secteur, chercheurs, journalistes et membres de la société civile, une lettre critique de la section 1502 de la loi Dodd Frank, appelant à une "approche plus nuancée et holistique" de la situation, comprenant plus de consultations locales.<br /><br />- 'Stabiliser le secteur minier' -<br /><br />Certains estiment néanmoins que cette réglementation aide à stabiliser l'industrie artisanale des mines.<br /><br />L'abrogation de la loi Dodd-Frank et de sa section 1502 serait "une tragédie pour le secteur minier artisanal de l'est de la RDC", estime M. Bafilemba, le chercheur du GATT-RN.<br /><br />Le 21 avril, le nouveau président américain, Donald Trump, a ordonné une révision de la loi Dodd-Frank.<br /><br />"Cette région est connue de longue date pour son exploitation violente des mines artisanales. Aujourd'hui, si des améliorations ont été faites, c'est seulement grâce à la pression qu'a introduite cette loi de régulation américaine", ajoute M. Bafilemba.<br /><br />Nuancé, M. Kanyoni estime que la loi a aussi été "une sorte de catalyseur" qui pousse les acteurs miniers locaux et régionaux à se calquer sur les nouvelles procédures en vigueur pour continuer de vendre sur les marchés internationaux.<br /><br />Mais si la finalité est louable, le lobbyiste estime encore que les mineurs ne voient pas encore les retombées financières du nouveau système. "A la fin, les mineurs sont ceux qui perdent de l'argent", estime-t-il.<br /><br />Ce matin froid d'avril, Salomon Kahizi, 33 ans, creuse dans une autre mine de coltan, toujours aux alentours de Numbi.<br /><br />Si les prix à la vente ont chuté, M. Kahizi estime que la sécurité autour des mines a, elle, augmenté.<br /><br />"Avant, [des voleurs] voulaient toujours prendre ce que nous trouvions. Quand vous étiez en train de creuser, ils apparaissaient et volaient tout ce que nous avions... Mais maintenant, on voit de moins en moins ce type d'agression", explique-t-il.</span>

Société Minerais du sang : la "loi d'Obama" à l'épreuve de la réalité congolaise

Les mineurs artisanaux du Sud Kivu, dans l'est troublé de la République démocratique du Congo (RDC), se plaignent des mesures internat...

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Kinshasa : des dégâts causés par la pluie du 1er mai

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEifrU1Vp0QswvwYn75rqg0bl06FCdQZ-4DldPkEEeDJdP2_JSpMoUrXkkLLsyiuhAo16ZDKqGF9Y0QqIwjyuUzWJxgWW7bcee2EoxLAY7nkB_X80xJtpizETONg-npNJ_PN2gn8KISN_BI/s1600/Snapshot_660.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="267" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEifrU1Vp0QswvwYn75rqg0bl06FCdQZ-4DldPkEEeDJdP2_JSpMoUrXkkLLsyiuhAo16ZDKqGF9Y0QqIwjyuUzWJxgWW7bcee2EoxLAY7nkB_X80xJtpizETONg-npNJ_PN2gn8KISN_BI/s400/Snapshot_660.jpg" width="400" /></a></div><div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px; text-align: justify;">La pluie qui s’est abattue le 1er mai 2017 dans la soirée jusqu’au 2 mai dans la matinée, a causé d’énormes dégâts dans la ville de Kinshasa. La journée internationale du Travail s’est transformée en un véritable cauchemar dans plusieurs quartiers de la capitale.</div><div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px; text-align: justify;">Dans la commune de Limete, quartier Mombele, un mur s’est écroulé sur une maison, tuant ainsi deux enfants. A Matonge, commune de Kalamu, le vent a déraciné un gros arbre qui est tombé sur une vieille maman, lui ôtant ainsi la vie. Sur l’avenue Victoire, la rivière Kalamu a débordé jusqu’à quitté son lit et inonder des maisons.</div><div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px; text-align: justify;">Du coup, plusieurs familles ont perdu leurs biens de valeur. Il était impossible pour les véhicules d’atteindre la place Victoire. Même le boulevard Triomphal n’a pas été épargné. Devant le Palais du Peuple, des conducteurs étaient obligés de garer pour éviter la catastrophe.</div><div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px;"><strong>Lemba-Terminus : Chaussée détruite, circulation perturbée</strong></div><div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px; text-align: justify;">Cette pluie a complètement détruit la chaussée au niveau de Lemba/Terminus. Des nids de poule ont absorbé l’eau, empêchant ainsi aux véhicules de passer. Plusieurs « Ketch » qui ont osé affronter cette situation, ont connu des pannes de moteur. Même des bus Transco étaient incapables de rouler dans ces conditions difficiles.</div><div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px; text-align: justify;">Par conséquent, il y a eu des embouteillages monstres, ce qui a davantage compliqué la mobilité. Du coup, le transport en commun s’est fait rare. Première victime de ce calvaire, la population a dû marcher à pied, sous la pluie, avec tous les risques d’être attaquée par des inciviques communément appelés « Kuluna ».</div><div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px; text-align: justify;">Selon un chauffeur de taxi rencontré sur place, « cela fait 9 mois que la chaussée au niveau de Lemba/Terminus est dans un état de délabrement criant, sans que les autorités attitrées ne s’y intéressent. La pluie dégrade davantage son état. Nous espérons que pendant la saison sèche, les responsables de la ville lanceront des travaux d’assainissement de cette voie ».</div><div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px; text-align: justify;">Ce taximan constate amèrement qu’avec la dégradation de la voirie dans la ville de Kinshasa, les voitures, taxis, taxis-bus et bus de transport font face à de nombreuses pannes mécaniques.</div><div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px;"><strong>Ngaba : le quartier Luyi dans l’eau</strong></div><div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px; text-align: justify;">Des maisons entières du quartier Luyi, commune de Ngaba, ont été victimes lors de cette catastrophe naturelle. La plupart d’entre elles ont été inondées, causant ainsi des dégâts matériels importants. Appareils électroménagers endommagés, valises perdues, documents de valeur détruits… voilà autant de préjudices causés par dame la pluie dans cette municipalité.</div><div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px; text-align: justify;">Selon les habitants de ce quartier, des inondations sont dues au manque de canalisation d’eau. Toutes les rues qui composent ce quartier n’ont aucun caniveau. « Une très mauvaise urbanisation », déplorent-ils. Curieusement, la résidence du bourgmestre de la commune de Ngaba est située dans le même quartier.</div><div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px; text-align: justify;">Ses voisins se demandent pourquoi cette autorité municipale ne prend pas des dispositions utiles pour lutter contre les inondations, surtout qu’il fait également partie des potentielles victimes. « Il devrait s’impliquer personnellement pour chercher des solutions à ce problème », tonne une maman qui regrette d’avoir construit dans ce quartier marécageux.</div><div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px; text-align: justify;">« Ce problème dépasse notre intelligence. J’espère qu’il vaut mieux vendre ces maisons et acheter ailleurs. Car, ici, lorsqu’il pleut, nous sommes exposés à toutes sortes de danger. Tout ce que nous demandons, c’est notre sécurité et la protection de nos biens », conclut un bailleur, visiblement désespéré.</div><div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px; text-align: justify;"><strong>Avenue des Huileries : vers une solution contre les inondations</strong></div><div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px; text-align: justify;"><iframe width="554" height="350" src="https://www.youtube.com/embed/FRvozS_20do" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br /> D’habitude, lorsqu’il pleut abondamment à Kinshasa, tous les conducteurs évitent d’emprunter l’avenue des Huileries qui sépare la commune de Lingwala de celle de Kinshasa. Pour cause, cette avenue accueille une importante quantité d’eau, rendant ainsi impossible la circulation routière. L’eau pénètre même jusqu’aux petites avenues perpendiculaires à cette route principale, au point de pousser de nombreuses familles à fuir momentanément leurs habitations, car l’eau atteint jusqu’à 1 mètre de hauteur, voire plus.</div><div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px; text-align: justify;">Mais les Kinois ont été surpris de constater que la pluie du 1er au 2 mai n’a pas compliqué la circulation sur cette avenue. Pour cause, depuis quelques jours, des travaux de curage de caniveaux ont été amorcés. Il fallait déboucher du Rond-point Huileries jusqu’au Camp Lufungula. Cela a permis le passage d’eau de la pluie pour se déverser sur la rivière Lingwala.</div><div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px; text-align: justify;">Ceux qui sont passés par là pendant la pluie, ont sans nul doute constaté un petit changement. Il est vrai qu’un peu d’eau était sur la chaussée, mais la quantité n’était pas la même que lors de précédentes pluies. Les autorités devront penser, pour l’instant, à évacuer la boue posée à côté des caniveaux, afin de rendre plus fluide la circulation.</div><div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px;">Par Deborah Baningela, Best Towoshi et FaloneIwondo/Stagiaires Ifasic</div>

Au tour de Kinshasa Politique Société Kinshasa : des dégâts causés par la pluie du 1er mai

La pluie qui s’est abattue le 1er mai 2017 dans la soirée jusqu’au 2 mai dans la matinée, a causé d’énormes dégâts dans la ville de Kinshasa...

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Accrochage entre ba journalistes ya Felix Tshisekedi na journaliste Andreas Muzon balingi ba buka camera na micro (vidéo)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-FepImJyuUhJG7esHz1GiXliEWdiWSySYQe4sPN0pq6HAARXJn-iqKWtwb1K4pz08pW27I7sFZLawd6A902Kl5HyF4yIKGP40uGtwCIZzOsYuitQMIkwCnwXiwDEbCANsCyqSl-C6J6U/s1600/Snapshot_659.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="228" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-FepImJyuUhJG7esHz1GiXliEWdiWSySYQe4sPN0pq6HAARXJn-iqKWtwb1K4pz08pW27I7sFZLawd6A902Kl5HyF4yIKGP40uGtwCIZzOsYuitQMIkwCnwXiwDEbCANsCyqSl-C6J6U/s400/Snapshot_659.jpg" width="400" /></a></div>Accrochage entre ba journalistes ya Felix Tshisekedi na journaliste Andreas Muzon balingi ba buka camera na micro (vidéo)<br /> <iframe width="554" height="350" src="https://www.youtube.com/embed/572HVdBL--s" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>

infos en vidéos Politique Accrochage entre ba journalistes ya Felix Tshisekedi na journaliste Andreas Muzon balingi ba buka camera na micro (vidéo)

Accrochage entre ba journalistes ya Felix Tshisekedi na journaliste Andreas Muzon balingi ba buka camera na micro (vidéo)

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Infos en Lingala CNL : Botala moyen de transport na Commune ya Ndjili , Ba kinois ba leli ! (vidéo)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgnVX2N0zxrJeAtM_6hX6v2CDEtjSgwlwkH8ShPFp_xlUl_CF1N0T2alssvdJOpUXUbs3qwX55CokBjFowHTCUuCm9uhXLGno4TE7dUAxaSjqVuldJcP1y5gRQQ6r3zCohlQRh21DadEKs/s1600/Snapshot_650.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="297" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgnVX2N0zxrJeAtM_6hX6v2CDEtjSgwlwkH8ShPFp_xlUl_CF1N0T2alssvdJOpUXUbs3qwX55CokBjFowHTCUuCm9uhXLGno4TE7dUAxaSjqVuldJcP1y5gRQQ6r3zCohlQRh21DadEKs/s400/Snapshot_650.jpg" width="400" /></a></div>Infos en Lingala CNL : Botala moyen de transport na Commune ya Ndjili , Ba kinois ba leli ! (vidéo)<br /> <iframe width="580" height="370" src="https://www.youtube.com/embed/FRvozS_20do" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>

Au tour de Kinshasa infos en vidéos Politique Infos en Lingala CNL : Botala moyen de transport na Commune ya Ndjili , Ba kinois ba leli ! (vidéo)

Infos en Lingala CNL : Botala moyen de transport na Commune ya Ndjili , Ba kinois ba leli ! (vidéo)

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JT CONGO WEB : André Kimbuta ayeli ba Kinois ba Bus ya sika ya Transkin et Aboyi soulèvement populaire ebebisa yango (vidéo)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjaOX3som8edvLXusJ6c71rioTXIyyGfVEfmBbi9gJYPHHWFR0h2Ybk2Q5D0JUBk6mD1d0IXVBrnJXHGnMw8ssq1VkeOZpCFoNhmNsB3VGKRcq7PpxzSk27N__xHfEUb9F5gYqkYbVxkM8/s1600/Snapshot_648.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="297" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjaOX3som8edvLXusJ6c71rioTXIyyGfVEfmBbi9gJYPHHWFR0h2Ybk2Q5D0JUBk6mD1d0IXVBrnJXHGnMw8ssq1VkeOZpCFoNhmNsB3VGKRcq7PpxzSk27N__xHfEUb9F5gYqkYbVxkM8/s400/Snapshot_648.jpg" width="400" /></a></div>JT CONGO WEB : André Kimbuta ayeli ba Kinois ba Bus ya sika ya Transkin et Aboyi soulèvement populaire ebebisa yango (vidéo)<br /> <iframe width="580" height="370" src="https://www.youtube.com/embed/5mAI7yR61wY" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>

Au tour de Kinshasa Economie infos en vidéos le journal Politique JT CONGO WEB : André Kimbuta ayeli ba Kinois ba Bus ya sika ya Transkin et Aboyi soulèvement populaire ebebisa yango (vidéo)

JT CONGO WEB : André Kimbuta ayeli ba Kinois ba Bus ya sika ya Transkin et Aboyi soulèvement populaire ebebisa yango (vidéo)

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Débat Républicain sur l ' arrangement particulier et l ' affaire Kamwina Nsapu . Qui veut liquider le Congo ? (vidéo)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgT2UHjgZad_s2ZOV0yrstgghF05_3gq2kPaUo3C6t1cVcb7j0h-iIWdVmj4YRcARr6jsFDKLyFGhiqDeevyoBQwiCkaQV5_zq7cWfRJCCvFrjT9G1voBeAmyqyhyphenhyphen-SsZbms9Usl7ObqI0/s1600/Snapshot_646.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="246" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgT2UHjgZad_s2ZOV0yrstgghF05_3gq2kPaUo3C6t1cVcb7j0h-iIWdVmj4YRcARr6jsFDKLyFGhiqDeevyoBQwiCkaQV5_zq7cWfRJCCvFrjT9G1voBeAmyqyhyphenhyphen-SsZbms9Usl7ObqI0/s400/Snapshot_646.jpg" width="400" /></a></div>Débat Républicain sur l ' arrangement particulier et l ' affaire Kamwina Nsapu . Qui veut liquider le Congo ? (vidéo)<br /> <iframe width="580" height="370" src="https://www.youtube.com/embed/DFIVAvJS6ac" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>

infos en vidéos Politique Débat Républicain sur l ' arrangement particulier et l ' affaire Kamwina Nsapu . Qui veut liquider le Congo ? (vidéo)

Débat Républicain sur l ' arrangement particulier et l ' affaire Kamwina Nsapu . Qui veut liquider le Congo ? (vidéo)

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03 mai : Amnesty internationale appelle les autorités de la RDC à arrêter d’«asphyxier» la presse

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgzNVzU6oq5cJ5e7tvNDlR3yj68NNPAuiVyzuqJh_-Ky2mmuF-CcshcDiok6cwAUaaeervEm0mXohDwnIwCPv0kYgdD1dpCioQeatz8cHKMtJvQNuaXIAW_eCBLPydvvVU2wKgV1xVuxzQ/s1600/Snapshot_673.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="282" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgzNVzU6oq5cJ5e7tvNDlR3yj68NNPAuiVyzuqJh_-Ky2mmuF-CcshcDiok6cwAUaaeervEm0mXohDwnIwCPv0kYgdD1dpCioQeatz8cHKMtJvQNuaXIAW_eCBLPydvvVU2wKgV1xVuxzQ/s400/Snapshot_673.jpg" width="400" /></a></div> <span style="font-size: large;"><br /><br />L’Ong anglaise de défense des droits de l’homme, Amnesty International invite les autorités congolaises à ne pas étouffer la liberté d’information pendant la période de transition politique.<br /><br /><br /><br /><br />Dans un communiqué de presse publié le 02 mai 2017 à l’occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse ce 03 mai, Amnesty international a dénoncé les abus portés contre les journalistes congolais.<br /><br /><br /><br /><br />« Les professionnels des médias sont les yeux et les oreilles de la société. En RDC, ils sont régulièrement arrêtés arbitrairement, tabassés, humiliés, leur matériel saisi. Entre 2015 et 2017, l’internet a été coupé et filtré dans le pays à au moins deux reprises, et le signal de deux des radios les plus écoutées brouillé ou interrompu. Nous dénonçons ce musèlement de la presse et la tendance à garder la population dans l’ignorance, en particulier dans le contexte de la crise politique et sécuritaire qui sévit actuellement en RDC » a déclaré Evie Francq, chercheur sur la RDC à Amnesty International.<br /><br /><br /><br /><br />Amnesty international a également interpellé le gouvernement congolais sur le rôle de la presse dans l’instauration d’une démocratie.<br /><br /><br /><br /><br />«Les médias jouent un rôle primordial pour informer la population et permettre un débat démocratique, les attaques contre eux et les journalistes doivent cesser. Les autorités devraient comprendre qu’il est dans leur intérêt d’encourager et protéger une presse libre et indépendante qui rapporte les faits, les analyser, et créer des plateformes pour que les citoyens et d’autres acteurs puissent en débattre», a ajouté Evie Francq.<br /><br /><br /><br /><br />L’Ong plaide également pour l’ouverture de tous les médias fermés et le retablissement du signal de la RFI.<br /><br /><br /><br /><br />Selon le classement mondial de la liberté de la presse 2017 établi par Reporters Sans Frontières, la RDC occupe la 154ème place sur 180 pays observés.</span>

Société 03 mai : Amnesty internationale appelle les autorités de la RDC à arrêter d’«asphyxier» la presse

L’Ong anglaise de défense des droits de l’homme, Amnesty International invite les autorités congolaises à ne pas étouffer la liberté d’inf...

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03 mai : La RDC classée « zone rouge » pour la liberté de la presse dans le contexte de tensions politiques (JED)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgyuqLEnPfJkFkBOIuBtMkysCgPivtuQERlsKmZuKnxhDCCdSJLdfydIBTwMZzPiSXN6MIfWgSAFo7OlXCunYfgmIEkKPZZYmwi03iGa7pAOITvwCq4d5KpnsyVnRzcKwEn_h98kUKv658/s1600/Snapshot_672.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="235" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgyuqLEnPfJkFkBOIuBtMkysCgPivtuQERlsKmZuKnxhDCCdSJLdfydIBTwMZzPiSXN6MIfWgSAFo7OlXCunYfgmIEkKPZZYmwi03iGa7pAOITvwCq4d5KpnsyVnRzcKwEn_h98kUKv658/s400/Snapshot_672.jpg" width="400" /></a></div> <span style="font-size: large;"><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br />En ce jour où l’humanité toute entière célèbre la journée dédiée à la liberté de la presse, l’Ong de défense des droits et libertés des journalistes ‘’Journaliste En Danger’’ (JED) considère que le régime du président Kabila n’a pas fourni d’efforts pour protéger les journalistes en RDC.<br /><br /><br /><br /><br />Communiqué<br /><br /><br /><br /><br />La célébration en République Démocratique du Congo, mercredi 03 mai 2017, de la Journée mondiale de la liberté de la presse, pourrait être la dernière du règne de Joseph Kabila, au pouvoir depuis 17 ans.<br /><br /><br /><br /><br />Alors que l’actuel Président de la République doit quitter le pouvoir à la fin de cette année, au terme de son deuxième et dernier mandat expiré en décembre 2016, mais prolongé par un Accord politique signé le 31 décembre 2016, dit « Accords de la Saint Sylvestre », il laisse derrière lui une presse exsangue, des médias sinistrés et des journalistes livrés à eux-mêmes et à la violence d’Etat.<br /><br /><br /><br /><br />Année après année, la situation générale de la liberté de la presse au Congo-Kinshasa accuse un inquiétant recul aussi bien concernant le nombre toujours élevé des différentes atteintes au droit d’informer et d’être informé, que de l’environnement général de l’exercice de cette liberté.<br /><br /><br /><br /><br />Depuis son accession au pouvoir en janvier 2001, après l’assassinat de son père Laurent Désiré Kabila qui avait prétendu mettre fin au régime dictatorial du Maréchal Mobutu, et en dépit des appels répétés des Organisations de défense de la liberté de la presse pour l’amélioration du climat de travail des journalistes, Joseph Kabila, à travers ses gouvernements successifs, n’a jamais posé aucun geste, ni politique, ni législatif, ni juridique en faveur des journalistes et de la liberté de la presse.<br /><br /><br /><br /><br />Bien au contraire : le long règne de Kabila à la tête de la RDC a été marqué par des brimades, des attaques et des fermetures des médias, des arrestations et des violences allant parfois jusqu’aux assassinats des journalistes.<br /><br /><br /><br /><br />Conséquences : dans le dernier classement mondial de la liberté de la presse publié par Reporters sans frontières pour 2016, la RDC occupe la 154è place sur 180 pays du monde considérés comme les plus grands prédateurs de la liberté de la presse.<br /><br /><br /><br /><br />Pour Journaliste en danger (JED) qui publie chaque année des rapports de monitoring sur les atteintes et autres violations au droit à l’information, la situation générale de la liberté de la presse en RD Congo va de mal en pis.<br /><br /><br /><br /><br />A titre illustratif, alors que JED avait répertorié, fin 2016, 87 cas d’attaques directes et diverses contre la presse, au moins 69 autres cas d’atteintes à la liberté de la presse ont été enregistrés depuis le début de l’année 2017, contre 41 cas enregistrés à la même période, le 03 mai 2016. Soit une augmentation de 28 cas, et qui représente une dégradation de près de 60 % de la situation de la liberté de la presse, dans un contexte général marqué par une profonde crise politique et sécuritaire.<br /><br /><br /><br /><br />Depuis le début de cette année, les différentes atteintes à la liberté de la presse se repartissent de la manière suivante :<br /><br /><br /><br /><br />– 21 journalistes interpellés ou arrêtés<br /><br /><br /><br /><br />– 20 cas de journalistes menacés ou agressés<br /><br /><br /><br /><br />– Au moins 26 cas de censure ou de fermeture des médias ;<br /><br /><br /><br /><br />– 1 journaliste tué à Mbuji-Mayi dans des circonstances qui n’ont pas encore été élucidées<br /><br /><br /><br /><br />– Dans le Kasaï central, où un média a été incendié par des miliciens, au moins trois autres journalistes ont été contraints d’abandonner leurs domiciles, pour fuir les violences et les menaces qu’ils ont reçues aussi bien de la part des miliciens que des forces sécurité qui s’affrontent.<br /><br /><br /><br /><br />Ici à Kinshasa, au moment où nous célébrons cette journée dédiée à la liberté de la presse, 1 journaliste croupit à la prison centrale de Makala depuis 4 mois sans aucun jugement le condamnant. Sans parler du signal de RFI qui reste brouillé à Kinshasa, et de ces médias appartenant aux leaders de l’opposition fermés depuis plusieurs mois, sinon quelques années à Lubumbashi.<br /><br /><br /><br /><br />Alors que cette Journée mondiale de la liberté de la presse est placée sous le thème du « Rôle des médias dans la promotion des sociétés justes, pacifiques et inclusives », Journaliste en danger (JED) lance un Appel urgent à la décrispation du climat politique tendu dans lequel travaille les médias depuis que le pays s’est installé dans une crise politique profonde.<br /><br /><br /><br /><br />Cette décrispation passe, notamment par la mise en œuvre des recommandations de l’Accords politique du 31 décembre appelant le Ministre en charge des médias de rétablir, dans les 15 jours, le signal des Entreprises audiovisuelles fermées ou interdites…<br /><br /><br /><br /><br />JED demande instamment aux Institutions actuelles de la transition vers les élections, de prendre des mesures urgentes que requièrent le renforcement de la liberté de l’information, et la sécurisation des journalistes face à la montée de l’intolérance politique et aux interférences fréquentes des services de sécurité dans le travail de la presse, pour leur permettre de jouer en toute liberté et indépendance, le rôle qu’on attend d’eux pour promouvoir la paix, la justice et la cohésion nationale dans un pays confronté à une grave crise politique et sécuritaire.</span>

Société 03 mai : La RDC classée « zone rouge » pour la liberté de la presse dans le contexte de tensions politiques (JED)

En ce jour où l’humanité toute entière célèbre la journée dédiée à la liberté de la presse, l’Ong de défense des droits et libertés des j...

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Épreuves de dissertation : Des dépenses supplémentaires pour les ménages à Kinshasa

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgvHwVXn_31YmuWOiBFatCdfu0u8e3lo7TYPSLvZnPVRiLniX0H3LQlgAe3KhdvaImihRsWYUxxp5DlniF0rl440rRAaKlApV_aZe9u4q41KS8HmsQ5IkiONC_V0XAyrtpQt5RFgbppx2U/s1600/Snapshot_671.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="298" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgvHwVXn_31YmuWOiBFatCdfu0u8e3lo7TYPSLvZnPVRiLniX0H3LQlgAe3KhdvaImihRsWYUxxp5DlniF0rl440rRAaKlApV_aZe9u4q41KS8HmsQ5IkiONC_V0XAyrtpQt5RFgbppx2U/s400/Snapshot_671.jpg" width="400" /></a></div> <br /><span style="font-size: large;"><br />Les épreuves de dissertation, étape préliminaire aux examens d’Etat, constituent une cause de dépenses supplémentaires pour les ménages au vu de la situation socio-économique actuelle. Les familles des élèves finalistes qui participent à ces épreuves se sont vues dans l’obligation de débourser entre 100 et 150 USD.<br /><br />Le droit de participation officiel fixé par le gouvernement de la ville-province de Kinshasa pour ces épreuves s’élève à 54.500 FC, soit 32.000 FC pour les hors-sessions et 22.500 FC pour la session ordinaire.<br /><br />Selon les témoignages recueillis par ACTUALITE.CD, certains élèves ont dû payer des frais connexes au-delà du montant officiel, comme en témoigne Mariam Ngoy, élève finaliste du Collège John Mabuidi, dans la commune de la Gombe<br /><br />« On nous a demandé de payer 60 USD pour le cours d’encadrement, sans compter les 490 USD du minerval. Vous savez aussi qu’actuellement les filles passent ces examens avec des nouveaux uniformes. Et pour ça, j’ai encore dépensé 16.000 FC, 15.500 FC pour les chaussures et 3.500 FC pour arranger mes cheveux. Ce qui fait au total 35.000 FC »<br /><br />De son côté, Junior Kasandji du complexe scolaire Masenga, une école de la capitale, estime que certains élèves demandent aux parents plus d’argent que ce qui est demandé officiellement par les écoles.<br /><br />« Moi, je n’ai demandé que 15.000 FC pour l’achat des nouveaux baskets et pour me coiffer. Mais certains d’entre nous demandent beaucoup trop aux parents et ça, ce n’est pas normal »<br /><br />Pour certains parents, le gouvernement devrait prendre en charge la totalité des frais afin d’épargner certains tuteurs des dépenses supplémentaires.<br /><br />Il est à noter que 149. 923 élèves participent aux épreuves préliminaires de dissertation à Kinshasa. Avec une moyenne de 54.500 FC comme frais de participation, la ville de Kinshasa empoche au moins 8,708 milliards FC, soit plus de 5,836 millions USD.</span>

Politique Épreuves de dissertation : Des dépenses supplémentaires pour les ménages à Kinshasa

Les épreuves de dissertation, étape préliminaire aux examens d’Etat, constituent une cause de dépenses supplémentaires pour les ménages au...

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Signature de l’arrangement particulier : La MONUSCO exige plus d’inclusivité

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5nLXSDKMRp0uSe-cUbngwbwqhjaQOawxyIJlwPNiV5OSduxN0q3gDAu-i9s74CaxX2hwKEcvPCVZxnXmyxcWsrGvovSxpU70WE4Gg6wQ2ZSmmKocxaKBWbBWXBDz-esxvL9EDq2UFAE0/s1600/Snapshot_643.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="268" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5nLXSDKMRp0uSe-cUbngwbwqhjaQOawxyIJlwPNiV5OSduxN0q3gDAu-i9s74CaxX2hwKEcvPCVZxnXmyxcWsrGvovSxpU70WE4Gg6wQ2ZSmmKocxaKBWbBWXBDz-esxvL9EDq2UFAE0/s400/Snapshot_643.jpg" width="400" /></a></div> La signature de l’arrangement particulier qui eu lieu le jeudi 27 avril dernier, sous l’égide du Parlement congolais, et présentée comme la mise en œuvre de l’Accord politique global et inclusif du 31 décembre 2016 a fait réagir la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la Stabilisation en République Démocratique du Congo (MONUSCO) qui, à travers un communiqué de presse, a donné sa position.<br /><br /><br /><br /><br />Dans ce communiqué publié le 29 avril 2017, le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies en République démocratique du Congo (RDC) et Chef de la MONUSCO, Maman Sidikou, dit avoir pris acte des derniers développements politiques en RDC. Aussi exhorte-t-il les différentes parties prenantes à œuvrer pour la mise en œuvre rapide de l’Accord politique global et inclusif du 31 décembre 2016. Le patron de la MONUSCO constate malheureusement que la totalité des parties concernées par l’Accord de la Saint Sylvestre n’a pas signé ces arrangements particuliers.<div> <br /></div> <div> <br /><div> Selon Maman Sidikou, toutes les parties prenantes doivent redoubler d’efforts dans l’objectif de parvenir à une plus grande inclusivité en conformité avec la lettre et l’esprit de l’Accord du 31 décembre 2016. Il n’a pas manqué de réaffirmer les dispositions de la Résolution 2348 du Conseil de sécurité des Nations Unies.<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px; text-align: justify;"> <br /></div> En outre, la MONUSCO réitère sa disponibilité à faciliter ce processus en offrant ses bons offices, en étroite concertation avec les dirigeants de la sous-région et de l’Union africaine, conformément à la Résolution 2348. Question de permettre à ce que les parties prenantes congolaises puissent, sans autre délai, s’atteler à la tenue des élections d’ici fin 2017, selon les engagements pris au terme de l’Accord politique global et inclusif.<div style="background-color: white; color: #666666; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 10px;"> Par TSM</div> </div> </div>

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La signature de l’arrangement particulier qui eu lieu le jeudi 27 avril dernier, sous l’égide du Parlement congolais, et présentée comme l...

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Le gouverneur déchu du Haut-Katanga saisit la justice contre la nomination d’un gouverneur intérimaire

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiMdR4nCJ17P_TCAZOgnkTrASSS5PYphAshzrpN5ysxTp4ykPaKiELhPldmhwP8drp0KmI_iwxpc0efczhBjc6T4u-LgInNy1Y3zmPLuGG7Z-KT9Eo9lug65gWKf0C_kNaX4bwCqslt76I/s1600/Snapshot_670.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiMdR4nCJ17P_TCAZOgnkTrASSS5PYphAshzrpN5ysxTp4ykPaKiELhPldmhwP8drp0KmI_iwxpc0efczhBjc6T4u-LgInNy1Y3zmPLuGG7Z-KT9Eo9lug65gWKf0C_kNaX4bwCqslt76I/s400/Snapshot_670.jpg" width="400" /></a></div> <span style="font-size: large;"><br /><br />Jean Claude Kazembe, gouverneur déchu de la province du Haut-Katanga, a saisi la Cour suprême de justice contre la désignation d’un gouverneur intérimaire à la tête de la province par le vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur et de la Sécurité. Dans une interview accordée à ACTUALITE.CD ce 2 mai 2017, Thierry Mukelekele, collaborateur de Kazembe, dénonce ce qu’il considère comme le dédoublement de l’institution “gouverneur” par le ministère de l’Intérieur pour vice de procédure.<br /><br />Que savons-nous de la démarche de Kazembe après sa démission ?<br /><br />Sur le plan du droit, le gouverneur Kazembe n’est pas encore destitué parce que dans la démarche de l’Assemblée provinciale, il était en route vers la démission. Mais quand nous voyons la procédure, après le vote de la motion de censure, il faut une notification de l’Assemblée provinciale. Après cette notification, la constitution demande au gouverneur de déposer sa démission. Cette démission doit être entérinée par le président de la République. Ainsi, le processus de convocation du corps électoral au sein de l’Assemblée provinciale peut être déclenché par la CENI, suivi par les institutions. Et il faut à la CENI soixante jours pour organiser les élections ou encore 120 jours avec l’autorisation de la Cour constitutionnelle. Mais avant que le gouverneur Kazembe ne puisse déposer sa démission, il avait contesté la motion de censure et s’est adressé à la Cour constitutionnelle selon les articles 161 et 162 de la constitution. Maintenant, le gouverneur saisit la Cour suprême sur les défauts commis par le ministère de l’Intérieur en ce qui concerne l’usurpation du pouvoir du chef de l’Etat en désignant un gouverneur intérimaire. Il n’y a que la Cour suprême de justice qui devrait produire un jugement pour casser ce que le ministère de l’Intérieur a commis comme dédoublement de l’institution gouverneur.<br /><br />Jean-Claude Kazembe a-t-il autorisé son cabinet à saisir la Cour suprême contre Shadary ?<br /><br />Non, nous n’attaquons pas le vice-Premier ministre Shadary. Nous attaquons plutôt la lettre du vice-Premier ministre qui désigne un gouverneur intérimaire. Finalement, Kazembe a-t-il été destitué ou a-t-il démissionné ? Le gouverneur est démissionnaire par rapport à la motion de censure. Mais il a refusé de démissionner. Parce qu’il fallait qu’il dépose sa démission auprès du chef de l’Etat, et que ce dernier puisse voir si sa démission est conforme. Or, le président n’a pas reçu la démission du gouverneur. Et le Conseil juridique du gouverneur a saisi les instances judiciaires.<br /><br />Que cherche Mr. Kazembe actuellement avec toutes ces procédures ?<br /><br />Le gouverneur cherche le respect de droit. On a attaqué une institution en fonction : « le gouverneur de province ». Donc, l’institution de Kazembe est attaquée sur un problème qu’il estime être dans la compétence de l’exécutif et non du législatif. C’est à la Cour constitutionnelle d’interpréter qui est compétent dans telle matière. Nous sommes au sixième jour ouvrable, le parlement provincial doit montrer ses moyens de défense à la Cour constitutionnelle pour que cette dernière se déclare. Donc jusqu’au moment où nous parlons, Kazembe est gouverneur en fonction.</span>

Politique Province Le gouverneur déchu du Haut-Katanga saisit la justice contre la nomination d’un gouverneur intérimaire

Jean Claude Kazembe, gouverneur déchu de la province du Haut-Katanga, a saisi la Cour suprême de justice contre la désignation d’un gouver...

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Nord-Kivu : Deux militaires et leur conducteur tués dans une embuscade à Rutshuru

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiOUUdqM-nvpD_bckbqtaaKM9zVmFg17t8iQSwEIyuArNU1rBUnJJwhE2FNBSx779R3chzFhpedgpfVOSxTfClWEFEh79g9_6-5EVi3Z2OUsN2Cosgb1HoYeWCZQ0Og-2Nbj-Xnv6SsT10/s1600/Snapshot_669.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="236" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiOUUdqM-nvpD_bckbqtaaKM9zVmFg17t8iQSwEIyuArNU1rBUnJJwhE2FNBSx779R3chzFhpedgpfVOSxTfClWEFEh79g9_6-5EVi3Z2OUsN2Cosgb1HoYeWCZQ0Og-2Nbj-Xnv6SsT10/s400/Snapshot_669.jpg" width="400" /></a></div> <span style="font-size: large;"><br /><br />Deux militaires et un taxi-moto ont trouvé la mort l’après-midi de ce mardi 2 mai 2017 dans une embuscade tendue par des hommes armés à la hauteur de Kabuendo, sur l’axe routier Kibirizi-Rwindi, en chefferie de Bwito, dans le Rutshuru (Nord-Kivu).<br /><br /><br /><br /><br />Selon le délégué adjoint du gouverneur Julien Paluku dans la région, les victimes étaient en route pour rejoindre leur position militaire près de la rivière Rwindi.<br /><br /><br /><br /><br />« Deux militaires et un conducteur de taxi-moto sont tombés dans une embuscade d’hommes armés non identifiés à Kabuendo. C’est à 3 kilomètres de Kibirizi. Ils se rendaient près de la rivière Rwindi où ils ont une position militaire. Cette zone est souvent contrôlée par les FDLR/RUDI« , a dit le délégué du gouverneur Sabini Hope.<br /><br /><br /><br /><br />Mr Sabini a précisé qu’après leur forfait, les assaillants se sont volatilisés dans la nature. Un renfort de l’armée est arrivé sur le lieu pour rétablir la quiétude après des crépitements des balles.<br /><br /><br /><br /><br />« La sécurité demeure volatile dans la chefferie de Bwito. Plusieurs groupes armés encerclent la localité de Kibirizi. Il y a, en plus, une faible présence militaire dans la région« , a conclu le délégué du gouverneur du Nord-Kivu.</span>

Insécurité Province Nord-Kivu : Deux militaires et leur conducteur tués dans une embuscade à Rutshuru

Deux militaires et un taxi-moto ont trouvé la mort l’après-midi de ce mardi 2 mai 2017 dans une embuscade tendue par des hommes armés à la...

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