RDC absente à la Réunion de Washington : « Cela ne nous offusque vraiment pas », déclare la Présidence

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGGmk7fO2HfSI1-tMxJlWPSb8G3qlBXuYVMXPfnoUqP3na4T-NdHgF6pLrqI9r5lYeMzs3_nqOA5KiEYjefihr6GVek6sm24kXh8kG78hZeo5cURQF89p6zt2PybiKSJe3gezUe9B9pss/s1600/Snapshot_1536.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="386" data-original-width="669" height="115" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGGmk7fO2HfSI1-tMxJlWPSb8G3qlBXuYVMXPfnoUqP3na4T-NdHgF6pLrqI9r5lYeMzs3_nqOA5KiEYjefihr6GVek6sm24kXh8kG78hZeo5cURQF89p6zt2PybiKSJe3gezUe9B9pss/s200/Snapshot_1536.jpg" width="200" /></a>Pourtant concernée par la réunion convoquée à Washington vendredi 17 novembre, la RDC n’a pas été invitée. Initiées par l’administration Trump, les discussions ont porté sur la sécurité, les échanges économiques et la bonne gouvernance en Afrique. Seuls 37 états représentés par leurs ministres des affaires étrangères ont pris part à cet échange sur les 54 que comprend le continent. La rencontre était présidée par le Secrétaire américain.<br /> <br /> Le conseiller principal au Collège diplomatique du président de la République estime que « les États-Unis peuvent demander l’avis d’autres pays pour savoir ce qu’ils pensent de la situation en RDC. C’est une pratique diplomatique connue. Ils n’ont plus rien à entendre de nous parce qu’ils nous avaient déjà consultés ».<br /> <br /> D’ailleurs, poursuit Kikaya Bin Karubi, cette absence « ne nous offusque vraiment pas, d’autant plus que nous avons des contacts fournis et sérieux avec les États-Unis d’Amérique ».<br /> <br /> « L’ambassadrice des États-Unis à l’ONU est venue dans notre pays comme envoyée personnelle du Président Donald Trump. Elle s’est entretenue avec le président de la République et d’autres personnalités politiques du pays », rassure le conseiller principal du chef de l’état, pour qui, « cette non-invitation ne m’inquiète pas outre mesure. Nos relations diplomatiques avec les États-Unis d’Amérique sont au beau fixe », explique t-il.<br /> <br /> C’est en rapport avec le cinquième dialogue stratégique annuel entre les USA et l’UA que cette réunion a eu lieu.<br /> <br /> Par KKM

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Pourtant concernée par la réunion convoquée à Washington vendredi 17 novembre, la RDC n’a pas été invitée. Initiées par l’administration Tr...

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Manifestations publiques: 56 personnes tuées à l’espace de six mois, révèle la CENCO

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgu1RW3QZWYnqHa4nNyzNiF5v9wu5EHcyhctemAsbZKuaidSQVZmQZgxRK-9A4QpwYN3bN00oH25Uu8Beyub9nLahIXEkIn9r5ueYDWRT6Cyp5seDjgLJ1RW4ImjBBycL0tT59WWnRHSQA/s1600/Snapshot_1535.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="464" data-original-width="619" height="149" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgu1RW3QZWYnqHa4nNyzNiF5v9wu5EHcyhctemAsbZKuaidSQVZmQZgxRK-9A4QpwYN3bN00oH25Uu8Beyub9nLahIXEkIn9r5ueYDWRT6Cyp5seDjgLJ1RW4ImjBBycL0tT59WWnRHSQA/s200/Snapshot_1535.jpg" width="200" /></a>Les manifestations publiques en République Démocratique du Congo ne sont plus autorisées suite aux abus enregistrés depuis un certain temps. La levée de cette mesure n’est pas encore fixée. Pourtant, à travers l’étendue du pays, les manifestations continuent à se faire. Les « dégâts » matériels et les pertes en vie humaines sont à signaler.<br /> <br /> Les évêques de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo ont, à l’occasion de la publication du rapport d’observation des élections par Justice et Paix – une ONG belge de droits de l’homme-, dressé un bilan très sombre à ce sujet.<br /> <br /> La CENCO fait un bilan d’au moins 56 personnes tuées dont 52 par balle lors des manifestations en RDC entre avril et octobre de l’année en cours. Ce dernier est le fruit d’un monitoring sur les manifestations en RDC conduit par 200 observateurs déployés sur le terrain par la Cenco.<br /> <br /> Par KKM

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Les manifestations publiques en République Démocratique du Congo ne sont plus autorisées suite aux abus enregistrés depuis un certain temps....

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Transition sans Kabila : le Rassemblement en séminaire depuis ce lundi

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjeM_RDQzU1PX3w4fPNprbB_KOGfEKym3GuDQfwIMJiTn1iGDL1UDATuc2GorT24cLaosFV7WcS-3P9zXwZks_zGHSUEF8YY8GUfPuU6es-HSS7PTEsTAbrDYj3vIdwD-k4u_iNXJmmIGE/s1600/Snapshot_1531.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="254" data-original-width="474" height="106" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjeM_RDQzU1PX3w4fPNprbB_KOGfEKym3GuDQfwIMJiTn1iGDL1UDATuc2GorT24cLaosFV7WcS-3P9zXwZks_zGHSUEF8YY8GUfPuU6es-HSS7PTEsTAbrDYj3vIdwD-k4u_iNXJmmIGE/s200/Snapshot_1531.jpg" width="200" /></a>Des membres du Rassemblement politique de l'Opposition<br /> Le séminaire du Rassemblement vient de s'ouvrir ce lundi 20 novembre 2017 au centre Caritas.<br /> Ces assises se déroulent à huis clos, hors micros et caméras, et sont présidées par le président du Rassemblement Félix Tshisekedi.<br /> Tous les ténors du Rassemblement sont présents au centre Caritas pour participer à ce séminaire.<br /> D'après le chef de file du Rassemblement, l'objectif principal de ce séminaire est de peaufiner des stratégies pour obtenir une transition sans Kabila après le 31decembre en cas de la non tenue des élections dans le délai fixé par l'accord de la Saint Sylvestre.<br /> Ce séminaire qui durera deux jours se penchera également sur la marche du Rassemblement annoncée le 28 novembre, surtout que la Majorité a également programmé la sienne le même jour.<br /> <br /> mediacongo.net

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Tokomi Wapi du 20 11 2017 : Ndeko Eliezer abimisi ba secrets ya Gouvernement ndenge bazo linga ba teka Rdcongo (VIDÉO)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJc2oR7RZ8fHEcI3gU7eR6xFlXstEz4UUC9BlaKtjPm5CaXDMQHYv8y8iYnVTOZbEf95-5GGVwqnBLs2TZZkyOrwWzi7ow0pL39COqGBzKwLOUTm658Zdh0x69DY7kLWevqKyL7OeXtGk/s1600/Snapshot_1519.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="472" data-original-width="718" height="131" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJc2oR7RZ8fHEcI3gU7eR6xFlXstEz4UUC9BlaKtjPm5CaXDMQHYv8y8iYnVTOZbEf95-5GGVwqnBLs2TZZkyOrwWzi7ow0pL39COqGBzKwLOUTm658Zdh0x69DY7kLWevqKyL7OeXtGk/s200/Snapshot_1519.jpg" width="200" /></a></div> <h3> <br />Tokomi Wapi du 20 11 2017 : Ndeko Eliezer abimisi ba secrets ya Gouvernement ndenge bazo linga ba teka Rdcongo (VIDÉO)</h3> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" gesture="media" height="300" src="https://www.youtube.com/embed/AhYL3rUfH90?autoplay=1" width="604"></iframe>

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Tokomi Wapi du 20 11 2017 : Ndeko Eliezer abimisi ba secrets ya Gouvernement ndenge bazo linga ba teka Rdcongo (VIDÉO)

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Eyindi affaire parcelle Famille Moleka ekabela Koffi Olomide , Boyoka ba vérités nanu boyoka te (VIDÉO)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhDb6KWCiF9noMTToxK7FW1ZHD73aCBlCgxeu7uiUqO3S1Ufblcx3Kbk1MBsFpcaNlcfD4w8RTpcxFAhIypEhViu4OVSSiNDZReIzN0weyw4wJTFdiPO0FV8q1qcBXetf9rNzl56mkYYyY/s1600/Snapshot_1517.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="294" data-original-width="679" height="86" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhDb6KWCiF9noMTToxK7FW1ZHD73aCBlCgxeu7uiUqO3S1Ufblcx3Kbk1MBsFpcaNlcfD4w8RTpcxFAhIypEhViu4OVSSiNDZReIzN0weyw4wJTFdiPO0FV8q1qcBXetf9rNzl56mkYYyY/s200/Snapshot_1517.jpg" width="200" /></a></div> <h3> Eyindi affaire parcelle Famille Moleka ekabela Koffi Olomide , Boyoka ba vérités nanu boyoka te (VIDÉO)</h3> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" gesture="media" height="300" src="https://www.youtube.com/embed/kEhfMbsebsc?autoplay=1" width="604"></iframe>

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Eyindi affaire parcelle Famille Moleka ekabela Koffi Olomide , Boyoka ba vérités nanu boyoka te (VIDÉO)

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Koffi Olomide revient en Guinée Conakry après 24 d'absence (VIDÉO)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirpUQawGFHEt7iD7ugkkISItVLMPu2wpJOlxBdbcRlB1DUqs_Pnl8JhYcMuRjcrukrJxER13C3Iqg4DSR0nvZaCUUijjMEjTfwFXzHeJHJbKV1G2D4kiDgG6ZhrcLRt21qk_LSLePfSDE/s1600/Snapshot_1515.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="469" data-original-width="851" height="220" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEirpUQawGFHEt7iD7ugkkISItVLMPu2wpJOlxBdbcRlB1DUqs_Pnl8JhYcMuRjcrukrJxER13C3Iqg4DSR0nvZaCUUijjMEjTfwFXzHeJHJbKV1G2D4kiDgG6ZhrcLRt21qk_LSLePfSDE/s400/Snapshot_1515.jpg" width="400" /></a></div> <h3> <br /></h3> <h3> Koffi Olomide revient en Guinée Conakry après 24 d'absence (VIDÉO)</h3> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" gesture="media" height="300" src="https://www.youtube.com/embed/3Haj88WIzRo" width="600"></iframe>

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Koffi Olomide revient en Guinée Conakry après 24 d'absence (VIDÉO)

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Le probable futur président du Zimbabwe a fait fortune "grâces aux diamants du Kasaï"

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhRcnarSMpeRtrVWnzybFdwokw7tacaIM2JVLetUKvdfBgN3Fs9KZJ1bbMg5WK2rtnXiVxLn9zvgRViK0UV572L8gRR_-h65RiYI1sN0FQjQNOtFQXAejC8MZ_8ako0uOf7QJVG8WAti4M/s1600/Snapshot_1511.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="447" data-original-width="675" height="131" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhRcnarSMpeRtrVWnzybFdwokw7tacaIM2JVLetUKvdfBgN3Fs9KZJ1bbMg5WK2rtnXiVxLn9zvgRViK0UV572L8gRR_-h65RiYI1sN0FQjQNOtFQXAejC8MZ_8ako0uOf7QJVG8WAti4M/s200/Snapshot_1511.jpg" width="200" /></a>Le média belge qui revient sur le parcours de cet homme qui était jusqu’il y a une semaine un bras droit du président Robert Mugabe, affirme qu’il a profité des relations entre Harare et Kinshasa pour exploiter les mines de diamants dans la riche région du Kasaï, durant la présidence de Laurent-Désiré Kabila.<br /> “Surnommé ‘le Crocodile” en raison de son attitude impitoyable envers ses adversaires, il était cité dans le rapport des experts de l’Onu pour le Congo, daté du 15 octobre 2002, comme un des principaux responsables du pillage des ressources naturelles en RDC”, explique La Libre, dans son article publié ce mecredi soir.<br /> <br /> <br /> “<em>Emmerson Mnangagwa faisait partie de la direction de l’entreprise Cosleg. Créée en 1999, sous Kabila père, cette société résultait de l’union des entreprises Osleg (Operation Sovereign Legitimacy), propriété des forces armées du Zimbabwe, Comiex (propriété de l’armée congolaise et liée au président Laurent Kabila) et Oryx Zimcon, enregistrée à une adresse au ministère zimbabwéen de la Défense à Harare et succursale de Oryx Natural Resources, appartenant à l’homme d’affaires omani Thamer al-Shanfari</em>“, révèle-t-on.<br /> <br /> “<em>Cosleg avait reçu du ministre congolais des Mines de l’époque, Kibassa Maliba, un permis d’exploiter les mines de diamants de Tshibwa et Senga Senga, au Kasai, déjà attribuées à la société semi-publique congolaise Miba – aujourd’hui pratiquement ruinée</em>“, ajoute La Libre.<br /> Le Zimbabwe est un allié traditionnel du président Joseph Kabila. Robert Mugabe fut le seul président à avoir pris part à la prestation de serment du président congolais après les élections contestées de 2011. Par ailleurs, les troupes de Harare ont combattu les rebellions rwando-ougandaises, permettant, avec l’Angola, de sauver la capitale Kinshasa contre une prise certaine durant la Présidence de Laurent-Désiré Kabila.<br /> <br /> <br /> L’armée zimbabwéenne retenait mercredi le président Robert Mugabe dans sa résidence et a déployé ses troupes dans la capitale Harare, après plusieurs jours d’un bras de fer provoqué par le limogeage du vice-président Emmerson Mnangagwa.<br /> Mercredi matin, des blindés de l’armée contrôlaient les accès au Parlement, au siège du parti au pouvoir la Zanu-PF et aux bureaux dans lesquels le chef de l’État réunit généralement ses ministres. En pleine nuit, un haut responsable militaire a expliqué lors d’une allocution diffusée par la télévision nationale que l’armée était intervenue pour éliminer les «criminels» de l’entourage du président, mais qu’elle ne voulait pas «renverser le gouvernement».<br /> <br /> Politico.cd

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Le média belge qui revient sur le parcours de cet homme qui était jusqu’il y a une semaine un bras droit du président Robert Mugabe, affirme...

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Des "victimes" de Jean-Pierre Bemba demandent réparations à la CPI

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhlidOk1fbVPO5nQ91Ktcwq_UOBva3paQkEUOe31IAFQOmx8FwyudI9oAD048bE07Nf1ElUBfRii69o0M11A8nKH5nmZv59BryJ_ibOullDipE3Kc46MX4uAItumKmLn4l_iMV0uEeBHSw/s1600/Snapshot_1507.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="383" data-original-width="679" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhlidOk1fbVPO5nQ91Ktcwq_UOBva3paQkEUOe31IAFQOmx8FwyudI9oAD048bE07Nf1ElUBfRii69o0M11A8nKH5nmZv59BryJ_ibOullDipE3Kc46MX4uAItumKmLn4l_iMV0uEeBHSw/s400/Snapshot_1507.jpg" width="400" /></a></div> <br /> Plus de 5.000 victimes de crimes de guerre commis en Centrafrique pour lesquels a été condamné l’ancien vice-président congolais Jean-Pierre Bemba demandent des réparations individualisées devant la Cour pénale internationale (CPI).<br /> « La plupart des victimes rencontrées ont tout perdu et insistent pour que des compensations individuelles soient attribuées » par la CPI, a fait savoir la Fédération internationale des ligues des Droits de l’homme (FIDH) dans un communiqué lundi.<br /> L’ancien riche homme d’affaires de 55 ans avait été condamné à une peine de 18 ans de prison par la CPI en juin 2016 pour la vague de meurtres et de viols commis par sa milice, le Mouvement de libération du Congo (MLC) entre octobre 2002 et mars 2003, en Centrafrique.<br /> <br /> <br /> Alors que la CPI a commencé à se pencher sur les demandes en réparation, la FIDH a publié un rapport présentant les résultats d’une enquête menée en juin auprès de douze victimes de violences sexuelles et exactions commises par les troupes de M. Bemba.<br /> « Elles continuent à vivre dans leur chair et leur mémoire les conséquences des crimes et des traumatismes subis », a rapporté la FIDH. « Si les réparations sont tardives, elles sont néanmoins une exception dans un pays ravagé par l’impunité et les exactions violentes des groupes armés », ajoute-t-elle.<br /> <br /> Jean-Pierre Bemba a interjeté appel de sa condamnation, dénonçant des « vices de forme » et évoquant notamment l’arrestation de son avocat durant le procès.<br /> Il s’agira de la troisième ordonnance de réparations dans l’histoire de la CPI, quinze ans après sa fondation.<br /> En août, la Cour a déclaré qu’un jihadiste malien avait provoqué pour 2,7 millions d’euros de dégâts en faisant détruire en 2012 des mausolées de la cité historique malienne de Tombouctou.<br /> Et en mars, la CPI avait attribué 250 dollars « symboliques » à chacune des 297 victimes d’un ancien chef de milice congolais, Germain Katanga, condamné en 2014 à douze années de détention. Le total des préjudices physiques, matériels et psychologiques s’élevait à 3,75 millions d’euros, selon la Cour.<br /> <br /> Avec AFP.

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Plus de 5.000 victimes de crimes de guerre commis en Centrafrique pour lesquels a été condamné l’ancien vice-président congolais Jean-Pie...

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“La vente des migrants en Libye est une bestialité” (Félix Tshisekedi)

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj0MISlH63j-W3o15IpugQ5KoNPmemhDpsxJpMuhKwMCJ02fTU8_Mg4IMi3Wx9JvbDTxt-zIalyyhnHB7nKf8SEnsh70u2BriFERyAPBUIhaB0VoheXmjNWywAdAOUGb6sFiOetD8KxI14/s1600/Snapshot_1403.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="465" data-original-width="613" height="151" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj0MISlH63j-W3o15IpugQ5KoNPmemhDpsxJpMuhKwMCJ02fTU8_Mg4IMi3Wx9JvbDTxt-zIalyyhnHB7nKf8SEnsh70u2BriFERyAPBUIhaB0VoheXmjNWywAdAOUGb6sFiOetD8KxI14/s200/Snapshot_1403.jpg" width="200" /></a>Le Président du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement, Félix Tshisekedi qualifie de « bestialité », la vente des migrants comme esclaves en Libye.<br /> <br /> Pour lutter contre contre cette pratique, Félix Tshisekedi affirme qu’il faut éradiquer les régimes “totalitaires” pour instaurer l’État de droit en Afrique.<br /> <br /> « Les pleurs et les lamentations n’empêcheront pas la bestialité des Libyens envers les migrants. La solution est dans l’éradication de la dictature et l’instauration d’États de droit en Afrique, pour endiguer l’exode vers l’enfer. Le Zimbabwe a fait un premier pas », a-t-il dit sur son compte Twitter.<br /> <br /> Plusieurs personnalités africaines dont Moussa Faki Mahamat, président de la Commission de l’Union africaine (UA), ont fait des déclarations pour dénoncer la vente des personnes en Libye.<br /> <br /> Faki a même promis de dépêcher un émissaire pour rencontrer les autorités libyennes aux fins de s’accorder sur des mesures visant à améliorer le sort des migrants africains en Libye. <br /> <br /> Djodjo Vondi<br /> <br />

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Le Président du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement, Félix Tshisekedi qualifie de « bestialité », la ven...

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Nord-Kivu: Six morts dans les combats entre l’armée et les miliciens à Beni

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-amUPKVQpT2cJOI58NdVfnFrcMHeqS4QI9vgmUGUGASRQ1Z9JgJ0Xiyi0dNRgEIc6hFAa7_PZAgARXVF_Gd50hj2tdaqjVaXTQJEGaloYhC4pRubhXcy3fZ8y2qM8eoXKA1Y1bPikprE/s1600/Snapshot_1506.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="372" data-original-width="676" height="220" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-amUPKVQpT2cJOI58NdVfnFrcMHeqS4QI9vgmUGUGASRQ1Z9JgJ0Xiyi0dNRgEIc6hFAa7_PZAgARXVF_Gd50hj2tdaqjVaXTQJEGaloYhC4pRubhXcy3fZ8y2qM8eoXKA1Y1bPikprE/s400/Snapshot_1506.jpg" width="400" /></a>Deux soldats congolais et quatre miliciens sont morts dimanche 19 novembre 2017 dans des affrontements dans la localité d’Isale-Bulambo, en territoire de Beni (Nord – Kivu).<br /> <br /> Selon le Lieutenant Jules Ngongo, porte-parole de l’Opération Sokola 1 Sud, il s’agit des miliciens Maï-Maï Mazembe qui ont mené l’attaque dans le but de se ravitailler en armes et munitions.<br /> <br /> « L’armée a repoussé une attaque des miliciens Maï-Maï Mazembe contre la localité de Isale-Bulambo, faisant deux morts dans le rang des forces régulières et quatre du côté ennemi », a dit le Lieutenant Jules Ngongo.<br /> <br /> La région d’Isale-Bulambo est infestée par des groupes armés qui procèdent aux attaques à répétition contre l’armée et les civils.<br /> <br /> En juillet dernier, deux prêtres catholiques ont été enlevés par des inconnus armés dans cette zone et n’ont jamais été retrouvés.<br /> <br /> Djodjo Vondi

Insécurité Province Nord-Kivu: Six morts dans les combats entre l’armée et les miliciens à Beni

Deux soldats congolais et quatre miliciens sont morts dimanche 19 novembre 2017 dans des affrontements dans la localité d’Isale-Bulambo, en ...

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Droit de réponse de Faly Ipupa Ferre Gola, Bolanda suka na traitement (VIDÉO)

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgrbIaaCPQ4i7k2O6nJxlEweBduO-ggkwmYymAlmMTTsRKCerd7uHmMaVeDQDksCkO6PQtdH1f_n-JBael5j_9hn8MZ21Q17MIRNsHvSDnxkNwvvNwGfH4JcgZo7NMYLnuW3HFIeB42RBs/s1600/Snapshot_1505.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="280" data-original-width="626" height="89" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgrbIaaCPQ4i7k2O6nJxlEweBduO-ggkwmYymAlmMTTsRKCerd7uHmMaVeDQDksCkO6PQtdH1f_n-JBael5j_9hn8MZ21Q17MIRNsHvSDnxkNwvvNwGfH4JcgZo7NMYLnuW3HFIeB42RBs/s200/Snapshot_1505.jpg" width="200" /></a><br /> <h3> </h3> <h3> Droit de réponse de Faly Ipupa Ferre Gola, Bolanda suka na traitement (VIDÉO)</h3> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" gesture="media" height="300" src="https://www.youtube.com/embed/EVgEkxPhb48?autoplay=1" width="600"></iframe>

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Droit de réponse de Faly Ipupa Ferre Gola, Bolanda suka na traitement (VIDÉO)

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Patsho RFI asengi na Koffi Olomide na Ferre Gola ba tika kofinga ba parents (VIDÉO)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4YcjRZY26FPqXR3cr2MN0wqriL7sh-7TzVLZR4olqyVPptD4OOZ6B9LP2TxG4IAbvSvRGMfS8LWJ9fZNzNlDdTsAOMUEh0SBT89UIayNW8F5EYY7FZPlVfPvuQSThNvuLxvGPsDZxmwU/s1600/Snapshot_1504.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="304" data-original-width="635" height="95" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg4YcjRZY26FPqXR3cr2MN0wqriL7sh-7TzVLZR4olqyVPptD4OOZ6B9LP2TxG4IAbvSvRGMfS8LWJ9fZNzNlDdTsAOMUEh0SBT89UIayNW8F5EYY7FZPlVfPvuQSThNvuLxvGPsDZxmwU/s200/Snapshot_1504.jpg" width="200" /></a></div> <h3> Patsho RFI asengi na Koffi Olomide na Ferre Gola ba tika kofinga ba parents (VIDÉO)</h3> <br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" gesture="media" height="300" src="https://www.youtube.com/embed/5PBym4zucK8?autoplay=1" width="600"></iframe>

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Kasaï Central: Quatre candidats pour succéder à Alex Kande au gouvernorat

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEijP07xTOn4BRL80DZ7LfK-bdRUYoGM35HtqQkLNzoMZxjDI5sEKJHE3rR0wCBgDA_p5Hjt9o9tC7NcTmUSKCExVql8xvUpA_ZP5h0OwOzx9oT-_olFeIG2YepzXDgU28KKzY0j9zjMkQc/s1600/Snapshot_1502.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="372" data-original-width="673" height="110" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEijP07xTOn4BRL80DZ7LfK-bdRUYoGM35HtqQkLNzoMZxjDI5sEKJHE3rR0wCBgDA_p5Hjt9o9tC7NcTmUSKCExVql8xvUpA_ZP5h0OwOzx9oT-_olFeIG2YepzXDgU28KKzY0j9zjMkQc/s200/Snapshot_1502.jpg" width="200" /></a>Le bureau de réception et de traitement des candidatures à la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), antenne de Kananga a rendu public ce dimanche 19 novembre 2017, les noms des candidats en lice pour l’élection du gouverneur du Kasaï Central prévue le 21 décembre prochain.<br /> <br /> Il s’agit de Mathias Bwabwa wa Kayembe qui a pour colistier le député provincial Manix Kabuanga ; du député national Martin Kabuya Mulamba Kabitanga et son colistier Jérôme Muntu woma, député provincial. Le député provincial Valéry Ntolo Kalonga qui a choisi Emery Tshibangu Konyi comme candidat vice-gouverneur concourt au poste du chef de l’exécutif provincial. Enfin, Rémy Musungayi Bampale, ministre honoraire de l’industrie, petites et moyennes entreprises qui fait de Cyrille Mbwebwe Kasewu son colistier.<br /> <br /> Les candidats à l’élection du gouverneur sont originaires des territoires de Dibaya et de Luiza.<br /> <br /> Certains observateurs voient le ticket Mathias Bwabwa wa Kayembe-Manix Kabuanga favori car soutenu par la Majorité présidentielle.<br /> <br /> Pour le contexte, l’élection des gouverneurs récemment organisée dans certaines provinces n’a pas eu lieu au Kasaï Central. Pour cause, Alex Kande avait refusé de démissionner de ses fonctions.<br /> <br /> Le mois dernier, l’assemblée provinciale a voté une motion de censure contre le gouvernement d’Alex Kande. Ce qui a ouvert la voie à l’organisation du scrutin au Kasaï Central.<br /> <br /> Sosthène Kambidi (actualite.cd )<br /> <br />

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Rando ya Ferre Gola , Fally Ipupa et Koffi Olomide eye mabe batu bakomi Kozoka bolanda (VIDÉO)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7o3muQg43iOmn1HUVQWi1bwsQg40_mksEGp0hwbFrjq39xCIg4OaGdILpaUw9JmTYN2zJ1eUexDN9sV1B_0gslzkcREyVLoe_vNsL6Rrr3_qSyQF5lmD-R81Bis6QS75JhWO7wP0XnZ8/s1600/Snapshot_1500.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="381" data-original-width="676" height="112" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi7o3muQg43iOmn1HUVQWi1bwsQg40_mksEGp0hwbFrjq39xCIg4OaGdILpaUw9JmTYN2zJ1eUexDN9sV1B_0gslzkcREyVLoe_vNsL6Rrr3_qSyQF5lmD-R81Bis6QS75JhWO7wP0XnZ8/s200/Snapshot_1500.jpg" width="200" /></a></div> <h3> <br /> Rando ya Ferre Gola , Fally Ipupa et Koffi Olomide eye mabe batu bakomi Kozoka bolanda (VIDÉO)</h3> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" gesture="media" height="300" src="https://www.youtube.com/embed/TLqt6ePAQts?autoplay=1" width="604"></iframe>

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HERITIER WATA alelisi batu tangu bazo kunda Charly Mobutu +Cynthia Kapashi feat Josepha Chako (VIDÉO)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMy3kIzoXni8eAaft4jM1sLUlxh5JV9SJIsA-FsgpqTXBcTivrl9D21dwhR1rWqsPsNiT2cqF5qP_h-tuerypSf4SMLxdYC8n_28yYjakk0xxFd8w43Mkm13yxhhxMVhOx6_3GzXdU1Vo/s1600/Snapshot_1497.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="336" data-original-width="630" height="106" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMy3kIzoXni8eAaft4jM1sLUlxh5JV9SJIsA-FsgpqTXBcTivrl9D21dwhR1rWqsPsNiT2cqF5qP_h-tuerypSf4SMLxdYC8n_28yYjakk0xxFd8w43Mkm13yxhhxMVhOx6_3GzXdU1Vo/s200/Snapshot_1497.jpg" width="200" /></a></div> <br /> <h3> HERITIER WATA alelisi batu tangu bazo kunda Charly Mobutu +Cynthia Kapashi feat Josepha Chako (VIDÉO)</h3> <br /> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" gesture="media" height="300" src="https://www.youtube.com/embed/3OiIr9F9AB4" width="600"></iframe><br /> <br />

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Incroyable: Félix Wazekwa a recadré Koffi Olomide na ndenge ya mukie te pe akumisi Ferre Gola, asali ye bien vraiment (VIDÉO)

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5VYTrvsRMt01gmvMHovPyPrasCe9tixDFZgf0riFKC9JekUWdhlb4EX8jIMrs-z1ff9sjxU_EPzJ3S3u6M8yZyk_h7QrzBhWDBU7MYleoFob1NUm36cm5xqJFJT2w5xXHweX-VbHVwBg/s1600/Snapshot_1481.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="390" data-original-width="844" height="91" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh5VYTrvsRMt01gmvMHovPyPrasCe9tixDFZgf0riFKC9JekUWdhlb4EX8jIMrs-z1ff9sjxU_EPzJ3S3u6M8yZyk_h7QrzBhWDBU7MYleoFob1NUm36cm5xqJFJT2w5xXHweX-VbHVwBg/s200/Snapshot_1481.jpg" width="200" /></a></div> <h3> </h3> <h3> Incroyable: Félix Wazekwa a recadré Koffi Olomide  pe akumisi Ferre Gola, asali ye bien (VIDÉO)</h3> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" gesture="media?autoplay=1" height="300" src="https://www.youtube.com/embed/hCo8tl-anV4" width="600"></iframe>

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RDC: Tshibala a déposé à l’Assemblée nationale le projet de modification de la loi électorale

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhmRQbMG9M5qazbCMw3FMMBU3oTVO3rJqzHHqKzN-LgimVYAIq2fgq5dEo_kFn9G7ySQq4C30px3NdjFPmQVQ8uwtG9ePjbIZvcvsR-AMrVGE04gDzUEePdhDrXwlW6KPdWIQ5ZQPT6jhg/s1600/Snapshot_1491.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="466" data-original-width="620" height="150" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhmRQbMG9M5qazbCMw3FMMBU3oTVO3rJqzHHqKzN-LgimVYAIq2fgq5dEo_kFn9G7ySQq4C30px3NdjFPmQVQ8uwtG9ePjbIZvcvsR-AMrVGE04gDzUEePdhDrXwlW6KPdWIQ5ZQPT6jhg/s200/Snapshot_1491.jpg" width="200" /></a>Le Premier ministre Bruno Tshibala a déposé ce lundi 20 novembre 2017 le projet de révision de la loi électorale au bureau de l’Assemblée nationale.<br /> <br /> Ce projet va modifier et compléter la loi no 6/006 du 09 mars 2006 organisant les élections présidentielles, législatives, provinciales urbaines municipales et locales.<br /> <br /> « Avec l’adoption de ce projet, nous aurons élagué une contrainte importante. Un pas important vient d’être franchi dans la mise en oeuvre de l’Accord et le cap qui est mis sur les élections comme terminal du processus que nous avons engagé pour régler la crise politique « , a dit Bruno Tshibala.<br /> <br /> Le premier ministre affirme que le projet de loi déposé va “rationaliser” le processus électoral à venir.<br /> <br /> « Les innovations sont nombreuses, il serait fastidieux de les énumérer. Mais ce qu’on doit retenir c’est que nous avons avec ce projet de loi essayé de rationaliser notre système électoral, de sorte qu’avec les élections du 23 décembre 2018 que les choses se passent avec la transparence la plus plausible”, a-t-il ajouté.<br /> <br /> Le président de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku, a quant à lui rassuré que l’adoption dudit projet de loi interviendra dans “le plus bref délai”.<br /> <br /> C’est au plus tard le 30 Novembre que le parlement doit adopter ce projet de loi conformément aux contraintes en annexe du Calendrier électoral publié par la Ceni le 05 Novembre 2017.<br /> <br /> Rachel kitsita

Politique RDC: Tshibala a déposé à l’Assemblée nationale le projet de modification de la loi électorale

Le Premier ministre Bruno Tshibala a déposé ce lundi 20 novembre 2017 le projet de révision de la loi électorale au bureau de l’Assemblée na...

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A l’Assemblée nationale, seules les motions incidentielles ont voix au chapitre

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimUQO-1ge0oOIA0kr9EgulT5fM6CGWQvYl_nJg4QqDjI7c4994SamDtjXxHdVD_dhdCnYVFiVmoEhmrt5nfaZY25YajNP5Hw_HaOJJKXP54uhSMuN0nCBw0xKrXT0u-FHP5TcO6n-oSG8/s1600/Snapshot_1475.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="491" data-original-width="693" height="141" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimUQO-1ge0oOIA0kr9EgulT5fM6CGWQvYl_nJg4QqDjI7c4994SamDtjXxHdVD_dhdCnYVFiVmoEhmrt5nfaZY25YajNP5Hw_HaOJJKXP54uhSMuN0nCBw0xKrXT0u-FHP5TcO6n-oSG8/s200/Snapshot_1475.jpg" width="200" /></a>Le miracle n’a pas eu lieu, le vendredi 17 novembre 2017, à l’Assemblée nationale où les députés devraient débattre de la motion de défiance dirigée contre le vice-premier ministre chargé des Affaires étrangères et Coopération régionale She Okitundu, par leur collègue Juvénal Munobo Mubi avec le concours ses amis membres de l’Opposition. Les mêmes causes continuent à produire les mêmes effets, dixit un vieil adage.<br /> <br /> On rappelle que n’ayant pas trouvé satisfaction aux réponses fournies par le chef de la diplomatie congolaise dans le cadre de la question orale avec débat qu’il lui avait adressée, en rapport avec la décision du gouvernement d’invalider les passeports semi-biométriques, l’élu de l’UNC s’était résolu de transformer sa question en motion de défiance contre le vice-premier ministre Léonard She Okitundu à qui il reprochait un bon nombre de griefs en rapport avec ledit dossier. Chose promise, chose faite.<br /> <br /> Ayant recueilli les signatures exigées, cette motion de défiance était programmée à la séance plénière de vendredi 17 novembre dernier. Malheureusement, le débat n’a pas pu avoir lieu. Raison : l’examen de la motion de défiance dirigée contre le vice-premier ministre en charge des Affaires étrangères a été cassé par une motion incidentielle faite par le député PPRD Fidèle Likinda.<br /> <br /> Pour lui, la motion de défiance contre She Okitundu n’a plus sa raison d’être aussi longtemps le reproche fait autrefois au gouvernement d’agir par voie des communiqués a été corrigé par un arrêté interministériel. D’où l’inopportunité de traiter d’une motion de défiance en manque de griefs. Pour cela, Fidèle Likinda a exigé de la plénière de ne pas ouvrir le débat sur ladite motion.<br /> <br /> <br /> <br /> Toussaint Ekombe pas d’accord avec F. Likinda<br /> <br /> Prenant la parole dans le quota de l’Opposition Toussaint Ekombe a balayé du revers de la main les arguments développés par son collègue de la Majorité Fidèle Likinda.<br /> <br /> D’abord, il fait remarquer que dès que le président de séance a déjà programmé une matière, particulièrement une motion de défiance, aucun député n’a le droit de juger ou remettre en cause sa recevabilité. Parce que, a-t-il soutenu, cette motion a répondu aux critères définis et par la Constitution et le Règlement intérieur de l’Assemblée nationale. C’est le cas de la motion de défiance contre le vice premier ministre She Okitundu.<br /> <br /> Concernant la jurisprudence à laquelle l’auteur de la motion incidentielle a fait allusion parlant du cas du député Toussaint Alonga, il a démontré que la question n’est pas la même. Pour Alonga, ’il s’agissait d’une matière transversale et qui relevait de la compétence du Premier ministre. Parce que la décision d’interdire l’importation des véhicules vieux de plus de dix ans, a été prise par le Premier ministre par un décret. Et c’est un autre Premier ministre qui l’a cassée. Donc, un ministre en l’occurrence celui des Transports et Voies de communications est mal placé pour fournir des explications aux préoccupations soulevées dans la question.<br /> <br /> Ce qui n’est pas le cas avec le dossier des passeports semi-biométriques où la responsabilité politique du ministre des Affaires étrangères est totalement engagée.<br /> <br /> Enfin, Toussaint Ekombe a clos son intervention par l’interpellation de ses collègues de la Majorité qui semblent, selon lui, afficher un refus catégorique à toute initiative du contrôle parlementaire, en réduisant ainsi l’Assemblée nationale à la seule production législative. Alors que le contrôle de l’action de l’Exécutif fait également partie des prérogatives dévolues aux élus.<br /> <br /> En dépit des explications fournies par T. Ekombe dans un silence total dans la salle, signe que tout le monde le suivait avec intérêt, la majorité des députés votants a opté pour le rejet de la motion de défiance.<br /> <br /> <br /> <br /> Alonga a-t-il trahi sa famille politique ?<br /> <br /> De l’avis des analystes, Toussaint Alonga a ouvert une boite de pandore dont la Majorité se sert gracieusement à ce jour. Alors que c’est lui qui était à la base de l’action dirigée par l’Opposition contre le président de l’Assemblée nationale qu’elle accusait d’orienter des débats subjectivement pour faire la part belle à sa famille politique, T. Alonga s’est fait prendre dans son propre siège.<br /> <br /> Même si son intervention était jugée valable sur le plan juridique, elle n’a pas été la bienvenue sur le plan politique. Car, ayant ouvert la brèche qui sert aujourd’hui la majorité que l’opposition. Ce qui fait que contrairement aux habitudes, les députés de l’opposition n’ont pas pu claquer la porter pour protester contre le rejet de la motion de défiance qui répondait à toutes les exigences.<br /> <br /> Voilà comment l’Opposition a permis à la Majorité de sauver son ministre, sans qu’elle s’enflamme comme d’habitude.<br /> <br /> On se demande par quel mécanisme, l’Opposition parlementaire pourra procéder en vue de se tirer de ce piège où elle s’est enfermée par propre naïveté.<br /> <br /> Dom

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Le miracle n’a pas eu lieu, le vendredi 17 novembre 2017, à l’Assemblée nationale où les députés devraient débattre de la motion de défiance...

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L’UFC quitte l’« Opposition Républicaine »

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhyw0NteVmu4FJ1u15jgTqF2gB_66EtPPWokUuXGmHzWxbJjJ3kUtvMX0D6mG5-tCfst9Uc0m0OMrWVCtxcNb9Pt4IXZTIJnvw2jbHWbBIVLC8QxQmoSWvV_m4014q7Bfv9BgyJyWNJdwM/s1600/Snapshot_1474.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="415" data-original-width="610" height="135" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhyw0NteVmu4FJ1u15jgTqF2gB_66EtPPWokUuXGmHzWxbJjJ3kUtvMX0D6mG5-tCfst9Uc0m0OMrWVCtxcNb9Pt4IXZTIJnvw2jbHWbBIVLC8QxQmoSWvV_m4014q7Bfv9BgyJyWNJdwM/s200/Snapshot_1474.jpg" width="200" /></a>Les « Bilenge ya mwinda », ces célèbres jeunes et laïcs catholiques chrétiens ont décidé de reprendre la direction de l’UFC (Union des Forces du Changement), au terme de l’assemblée générale élective tenue dernièrement à leur siège, dans la ville de Kinshasa. A cette occasion, ils ont porté leur choix sur François Gonda Ngulele Babulu pour la présidence, Augustine Ilingio Kabadi et Tshimpaka Mujinga Joëlle pour la vice-présidence. Le secrétariat général sera désormais tenu par Jean-Léon Ngbengo Mbula-Pimba et Alain Mbimba.<br /> <br /> L’autre point fort de l’assemblée générale électorale a été la décision unanime des membres fondateurs de retirer leur parti de la plate-forme « Opposition Républicaine » chère à Léon Kengo wa Dondo. L’opinion sera fixée, dans un proche avenir, sur le nouveau regroupement politique d’appartenance de l’UFC.<br /> <br /> Dans l’attente de la nouvelle alliance, François Ngonda et les siens ont d’ores et déjà pris position face aux enjeux politiques de l’heure, en soulignant leur rejet de toute prolongation ou négociation politique ayant pour visée le maintien au pouvoir des animateurs actuels des institutions en dehors des élections. Ils en appellent ainsi à l’application stricte de l’Accord de la Saint Sylvestre afin de permettre au souverain primaire de prendre ses responsabilités.<br /> <br /> L’UFC rappelle à cet effet à la classe politique congolaise que selon les prescrits de ce deal politique, le Premier ministre ainsi que le président du Conseil National de Suivi de l’Accord devrait provenir du Rassemblement des Forces Politiques et Sociales Acquises au Changement, dans le cadre d’une courte transition devant conduire rapidement aux élections.<br /> <br /> En ce qui concerner l’organisation de ces dernières, les « Bilenge ya mwinda » en appellent à un contrôle parlementaire sur la gestion de la logistique et des finances de la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante), en vue de favoriser l’organisation des scrutins réellement transparents et apaisés.<br /> <br /> Par ailleurs, l’UFC ne se reconnaît pas dans le calendrier électoral rendu public par la CENI le dimanche 5 novembre 2017. Enfin, ce parti politique préconise le retour du pays à 11 provinces, le découpage ayant démontré le caractère budgétivore et non viable des 15 provinces nouvelles créées. Selon ses membres, la pauvreté de la RDC ne lui permet pas de porter le lourd fardeau de 26 provincettes.<br /> <br /> Myriam Iragi

Politique L’UFC quitte l’« Opposition Républicaine »

Les « Bilenge ya mwinda », ces célèbres jeunes et laïcs catholiques chrétiens ont décidé de reprendre la direction de l’UFC (Union des Force...

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Sesanga et l’Envol : l’enfer de Kenge !

<div style="box-sizing: border-box; line-height: 26px; margin-bottom: 26px;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimZ99eGEMpdp1wT8xaV-z8pxMKuBOArTeAT5aE-QKXhbIrPtxqlhHD31BfVBV15OmMRNFQ-cNgn2Y6qMGMFGXVfNb8LHUz9FSqrMZj5M3obDJ2NagOCHtk3ekJ8RNPTv3PHsuKQpaXvbs/s1600/Snapshot_1398.jpg" imageanchor="1" style="background-color: white; clear: left; color: #222222; float: left; font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 15px; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="452" data-original-width="673" height="133" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimZ99eGEMpdp1wT8xaV-z8pxMKuBOArTeAT5aE-QKXhbIrPtxqlhHD31BfVBV15OmMRNFQ-cNgn2Y6qMGMFGXVfNb8LHUz9FSqrMZj5M3obDJ2NagOCHtk3ekJ8RNPTv3PHsuKQpaXvbs/s200/Snapshot_1398.jpg" width="200" /></a>Le président de l’Envol, le député national Delly Sesanga, sa suite ainsi que les cadres et militants de son parti ont vécu l’enfer le samedi 18 novembre 2017 dans la ville de Kenge, province du Kwango. A son arrivée à 13 heures à Kenge, les forces de l’ordre ont dispersé la population qui avait décidé de l’accompagner au lieu du meeting, dans une sorte de caravane motorisée.<br /> <br /> La police s’est permise d’agresser physiquement le député national, de le déchausser et de procéder à son arrestation. L’élu de Luiza, qui a failli y laisser sa peau, a été sauvé de justesse par son garde du corps rapproché, qui a payé le prix d’une grave blessure sur la tête.<br /> <br /> <br /> <br /> Par ailleurs, une trentaine des membres du parti Envol ont été séquestrés à l’intérieur du siège provincial de leur parti pendant plus 3 heures.<br /> <br /> Alerté par des sources indépendantes, le chef de protection des droits de l’homme de la Monusco n’a été autorisée à y accéder qu’après de longues et interminables palabres avec les responsables de la sécurité locale.<br /> <br /> Face à la répression brutale des forces de l’ordre, Delly Sesanga a finalement décidé de retourner dans la capitale, en compagnie des journalistes ainsi que des cadres et militants de son parti qui faisaient partie de sa suite.<br /> <br /> Ulcéré par ce gâchis causé par les forces de l’ordre, les « Kengois » qui s’étaient mobilisés pour réserver un accueil délirant au président de l’Envol , n’ont pas caché leur indignation et fustigé cet acte d’intolérance police contre un opposant.<br /> <br /> Rentré à Kinshasa, la réaction du parti Envol suite aux allégations du porte-parole de la police justifiant la répression n’a pas tardé. Au cours d’un point de presse qu’il a animé hier dimanche 19 novembre 2017 dans l’après-midi, le porte-parole du parti, Maitre Nicolas Lenga, a souligné que la Coordination provinciale de sa formation politique à Kwango a introduit, conformément à la Constitution, une déclaration de la tenue de sa manifestation en date du 15 novembre 2017 auprès du Maire de la ville de Kenga, avec copie pour information à l’inspecteur provincial de la police ainsi qu’aux responsables de l’ANR (Agence National de Renseignements) et de la DGM (Direction Générale de Migration).<br /> <br /> Il a précisé que la coordination provinciale de l’Envol au Kwango a rencontré ces autorités au cours d’une réunion d’harmonisation le même mercredi, sans que les intéressées n’aient élevé la moindre objection au sujet de la date, du lieu et de l’heure du meeting.<br /> <br /> D’après mitre Nicolas Lenga , le commandant de la police a signifié verbalement au secrétaire général adjoint de l’Envol, 20 minutes avant le début de la manifestation, son interdiction par le Maire de la ville de Kenge.<br /> <br /> Tout en condamnant la violence d’Etat contre des manifestants pacifiques, sans qu’un trouble à l’ordre public n’ait été enregistré, L’Envol a déploré les victimes de cette répression dont 6 blessés, 4 par balles et deux par coups de matraque. Pour ce parti membre du Rassemblement des Forces Politiques et Sociales Acquises au Changement, les propos de la police sont en contradiction flagrante avec la réalité des faits.<br /> <br /> <br /> <br /> ERIC WEMBA (Envoyé spécial à Kenge)</div>

Politique Sesanga et l’Envol : l’enfer de Kenge !

Le président de l’Envol, le député national Delly Sesanga, sa suite ainsi que les cadres et militants de son parti ont vécu l’enfer le same...

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AU TERME DU 3EME DIALOGUE DE HAUT NIVEAU DES MEDIAS 2017 DES JOURNALISTES AFRICAINS S’APPROPRIENT LES PRIORITÉS DE L’AGENDA 2063 DE L’UA

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiSXBZDEgEu5xcgmCRTGs1xZ0HWil-ZpsbhJ1ZvIAyBenw58ShUx3m_MGRwgGTQZ4lguQK5XQcSJz1U8yC8MBXRpD8KR7MhYU7riisYjhpefCBJmeMRaShuUBdpNLxk0KChiAvLTxg11w0/s1600/Snapshot_1473.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="292" data-original-width="526" height="110" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiSXBZDEgEu5xcgmCRTGs1xZ0HWil-ZpsbhJ1ZvIAyBenw58ShUx3m_MGRwgGTQZ4lguQK5XQcSJz1U8yC8MBXRpD8KR7MhYU7riisYjhpefCBJmeMRaShuUBdpNLxk0KChiAvLTxg11w0/s200/Snapshot_1473.jpg" width="200" /></a></div> <br /> <br /> La 3ème édition du "Dialogue de haut niveau avec les médias en Afrique" tenue les 16 et 17 novembre à Addis-Abeba, sur le thème : "le rôle des médias dans le développement de l’Afrique, l’autonomisation des femmes et leur soutien à l’agenda 2063 de l’UA" a débouché sur la déclaration dite d’Addis-Abeba. Dans ce document, les journalistes s’engagent à vulgariser les priorités de l’Agenda 2063 et de s’impliquer dans la promotion du genre. Les médias, en tant que partenaires au développement, soient au cœur des débats pour la démocratie en Afrique.<br /> <br /> La 3ème édition "Senior Media Dialogue 2017" d’Addis-Abeba est la suite logique de deux rencontres à savoir : celles de Vaal, en Afrique du Sud et de Maseru, au Lesotho, deux réunions qui avaient rassemblée les journalistes du Continent respectivement en 2009 et 2011. Dans les deux déclarations il était indiqué que les journalistes soient acteurs de développement aussi que le développement soit exploité comme d’autres sujets qui intéressent ou peuvent intéresser le public.<br /> Parmi les engagements que les journalistes avaient pris à l’époque, un concernait les mécanismes de revues par les pairs de l’Union africaine où ils demandaient que la liberté des médias et le pluralisme soient l’un des critères d’évaluation de la bonne gouvernance et de la démocratie en Afrique. Il a été aussi relevé que les médias soient au cœur des débats pour la démocratie en Afrique. <br /> Cette question est revenue au devant des débats de la rencontre d’Addis-Abeba. Senior Media Dialogue 2017 a mis l’accent sur le genre et l’autonomisation de la femme est un des éléments cruciaux de l’Agenda 2063 de l’UA.<br /> <br /> MEDIAS : PARTENAIRES INCONTOURNABLES.<br /> Les participants au Dialogue d’Addis-Abeba ont exploré en profondeur les moyens par lesquels les médias peuvent donner une perception de l’Afrique afin de la faire avancer dans la paix, la sécurité et le développement. "Le Dialogue a démontré comment les médias africains sont des partenaires incontournables dans la prévention des conflits et peuvent contribuer à la création d’un environnement durable". <br /> Il se fait que les journalistes sont la cible de toutes les personnes : des individus, des gouvernements, des forces de l’ordre et tant d’autres. Cette attitude n’est pas de nature à encourager le travail des journalistes. <br /> Selon les dernières statistiques de l’UNESCO, deux journalistes sont tués chaque semaine, 1200 d’entre eux ont trouvé la mort au cours des 10 dernières années. C’est dans cette optique que les journalistes ont décidé de renverser la tendance par la mise en place d’un certain nombre de mécanismes tels des instruments contraignants (Tribunaux) permettant de faciliter la tâche des judicaires. Les participants ont également levé l’option de renouer avec la solidarité entre journalistes, de faire pression aux gouvernements et mettre en place des mécanismes naturels de coordination dans chaque pays.<br /> <br /> L’AUTONOMISATION DE LA FEMME : CLE DE DEVELOPPEMENT<br /> Selon le dernier rapport de l’ONU-Femmes, les femmes représentent 50% de la population mondiale. Malheureusement, il se fait que c’est la catégorie dont ont parle moins ou l’on voit de moins en moins dans les médias.<br /> Pourtant, il a été largement reconnu que l’autonomisation des femmes est la clé du succès de toute politique de développement. Par ricochet, l’autonomisation des femmes dans le secteur des médias pourrait être un moyen d’exprimer les besoins spécifiques des femmes. C’est dans ce cadre que l’ONU-Femmes a lancé la campagne "He for She" (Lui pour elle). Une occasion pour cette agence onusienne d’impliquer les hommes dans l’égalité des genres et l’autonomisation des femmes. <br /> A ce sujet, l’ONU-Femmes souligne que c’est une façon de créer un environnement où les hommes et les femmes se respectent mutuellement. Le leadership féminin est crucial, mais malheureusement les femmes n’ont pas confiance en elles-mêmes pour prendre des responsabilités. C’est ainsi qu’il faille organiser des formations au nouveau leadership pour les femmes. La considération négative faite à l’endroit de la femme doit être bannie. La recherche de la parité ne veut pas dire remplacer les hommes mais c’est une question de complémentarité mutuelle. <br /> C’est de la sorte que les participants au Forum d’Addis-Abeba ont convenu de chercher des moyens de renforcer les capacités des journalistes africains. Les professionnels des médias africains devraient utiliser leurs atouts pour changer la façon négative dont on présente l’Afrique. Par contre, leurs reportages devraient parler du Continent d’une manière positive en présentant les réalisations et donner les nouvelles positives des femmes. <br /> L’Union africaine croit dur comme fer que les aspirations contenues dans l’Agenda 2063 et les OMDD seront réalisées dans la mesure où il y a déjà certains pays qui sont en plein progrès. C’est ainsi que le journaliste africain devrait se débarrasser de la mauvaise prospection selon laquelle, l’Afrique ne progresse ou connait peu de progrès.<br /> <br /> AGENDA 2063 DE L’UA-OMDD DES NU : DEUX PROGRAMMES COMPLEMENTAIRES<br /> Pour l’UA et les Nations-Unies, l’Agenda 2063 et les Objectifs du millénaire pour le développement (OMDD)sont deux programmes complémentaires. Les initiateurs des ces programmes sont convaincus que les aspirations contenues dans cuex-ci seront réalisées parce que certains pays africains connaissent un progrès notamment en matière de santé, d’éducation etc. Même si le rythme du développement du continent est très varié. Les médias du Continent devraient également faire la promotion de ces paragrammes individuellement et collectivement. D’où l’appel de la déléguée de l’UA, Leslie Richer, aux journalistes de se familiariser avec l’Agenda 2063 afin de le présenter d’une manière positive préciser à quel point il est bénéfique pour les populations africaines, mettre en exergue les projets phares tels la suppression des visas, l’amélioration des infrastructures, la mise en œuvre d’une monnaie unique.<br /> <br /> COMMUNICATION : UN PREMIER CATALYSEUR DE L’AGENDA 2063<br /> Le président de AMI, a révélé que dans la version populaire de l’Agenda 2063, la communication et le plaidoyer ont été reconnus comme les principaux "catalyseurs critiques" pour atteindre sa vision de transformation. Il a souligné que la communication sous ses diverses formes, la société civile et les médias sont les chiens de garde chargés de suivre les progrès réalisés sur les composantes clés de l’Agenda 2063.<br /> Des études menées par AMI à travers l’Afrique sur l’état des médias africains indiquent que les médias consacrent seulement 10% de leur couverture à des problèmes qui touchent aux Africains. Cela, soit par manque d’intérêt ou par l’incapacité technique à rendre compte des problèmes tels que l’urbanisation, l’agriculture, l’énergie, les affaires, les élections, le genre et la sécurité.<br /> Pour toutes ces raisons, affirme Eric Chinje, il est impérieux que l’UA et l’ONU soulignent le rôle central des médias dans la mise en œuvre de l’Agenda 2063.<br /> <br /> PARTICULARITE DE "SENIOR MEDIA 2017"<br /> Le dialogue a réuni des médias locaux et internationaux ainsi que des experts chargés des questions relatives au thème et l’Agenda 2063. Elle été également étendue aux syndicats de la presse et aux établissements d’enseignement de journalisme.<br /> Défenseur du genre, AMI a tenu compte de1léquilibre entre les sexes. C’est ainsi que 50% des femmes et 50% des hommes et des représentants des médias de l’UA par zone géographique ont pris part au Forum. Bien que destinée aux seniors, la rencontre a aligné 50% des seniors et 50% des juniors professionnels, 50% des rédacteurs en chef, des propriétaires et des représentations médiatiques de différentes catégories.<br /> Au regard du rôle capital des médias, plus d’un partenaire a collaboré au Forum avec des contributions enrichissantes. Il s’agit entre autres, des agences des Nations-Unies telles que l’OMPH (section Afrique, UNIC), de l’OSAA de la de l’. UNECA, de l’UNESCO, de ONU Femmes, duPNUD, UNICEF, PAM, OIT, Banque mondiale. <br /> Dina BUHAKE<br /> De retour d’Addis-Abeba

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La 3ème édition du "Dialogue de haut niveau avec les médias en Afrique" tenue les 16 et 17 novembre à Addis-Abeba, sur le thèm...

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CELEBRATION DE LA JOURNEE MONDIALE DE L’ENFANCE DES REPORTERS DE L’UNICEF PLAIDENT POUR LA PROMOTION DES DROITS DES ENFANTS EN RDC

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh-h12uUW3sk8aJ01sMoOwBzrfY-sFko2IMCG6O75bAUPAb0jtl9awmTlQwbtYrrkN6sUMC7OodZv4ariDq8seGlGZmVW_JdMYdArQVe6-D70igKmSSqkq63k0S1po96_mTzmFakvI8TBo/s1600/Snapshot_1472.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="389" data-original-width="517" height="300" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh-h12uUW3sk8aJ01sMoOwBzrfY-sFko2IMCG6O75bAUPAb0jtl9awmTlQwbtYrrkN6sUMC7OodZv4ariDq8seGlGZmVW_JdMYdArQVe6-D70igKmSSqkq63k0S1po96_mTzmFakvI8TBo/s400/Snapshot_1472.jpg" width="400" /></a>L’humanité célèbre le 20 novembre de chaque année, la Journée internationale des Droits de l’enfant. C’est donc aujourd’hui. A cette occasion, les enfants reporters de l’Unicef plaident pour la promotion des droits des enfants en RDC. Ils invitent ainsi leurs camarades à faire respecter leurs droits dans leurs environnements de vie immédiats.<br /> <br /> Pour Elie Otepa, élevé en 4ème année des humanités artistiques, à l’Institut de l’Académie des beaux arts, cette journée revêt une grande importance pour tous les enfants du monde. Il s’agit, explique-t-il, d’un jour où les enfants et tous les acteurs qui travaillent dans ce domaine marquent un arrêt afin de dresser le bilan de la situation des droits des enfants de par le monde et de proposer des pistes pour un monde où les préoccupations des enfants seront au centre de toute action politique.<br /> Cet enfant reporter entend participer activement à la célébration de cette journée en sensibilisant ses collègues enfants et en leur demandant de sensibiliser à leur tour les parents au respect des droits des enfants." En ce qui me concerne, je parle de cette journée auprès de mes amis. Je leur dis qu"il faille faire en sorte que leurs droits soient respectés dans leurs milieux de vie respectifs", rapporte Elie Otepa.<br /> Il estime par ailleurs que les droits des enfants ne sont pas respectés en RDC. Aussi, invite-t-il les autorités, à tous les niveaux, à faire respecter les droits des enfants. "Mon rôle en tant qu’enfant reporter de l’Unicef est de parler en faveur des enfants auprès des autorités pour qu’elles puissent prendre conscience des revendications des enfants et faire respecter leurs droits", a affirmé Gabriella Rubuye, élève en 4ème année des humanités scientifiques au Collège Samuel-levi.<br /> "Cette journée est d’une importance capitale pour tous les enfants du monde. Nous voulons être de véritables acteurs pour cette Journée. Pour faire respecter nos droits en RDC, nous ne cesserons de plaider notre cause. Nous devons commencer par faire prendre conscience aux enfants sur l’importance de faire valoir leurs droits dans leur entourage de vie immédiat", a indiqué Abigaël Muabe.<br /> Les enfants reporters interrogés appellent les autorités politiques congolaises à mettre en place des programmes qui puissent permettre aux jeunes de pouvoir s’épanouir en développant leur potentiel. "J’invite les parents congolais à respecter les droits de leurs enfants. Il s’agit là, des droits à l’éducation, à la vie, à la liberté d’expression ...", a affirmé Elie.<br /> Les enfants rencontrés dans le cadre de cette Journée exhortent tous les enfants du monde, où qu’ils se trouvent, à célébrer cette journée en faisant respecter leurs droits. Quant aux questions de Genre, les enfants reporters de l’Unicef à Kinshasa invitent leurs homologués à militer pour l’égalité des chances entres les hommes et les femmes en RDC. Orly-Darel NGIAMBUKULU

Société CELEBRATION DE LA JOURNEE MONDIALE DE L’ENFANCE DES REPORTERS DE L’UNICEF PLAIDENT POUR LA PROMOTION DES DROITS DES ENFANTS EN RDC

L’humanité célèbre le 20 novembre de chaque année, la Journée internationale des Droits de l’enfant. C’est donc aujourd’hui. A cette occasio...

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ZIMBABWE : DES ENSEIGNEMENTS CONTRADICTOIRES…

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0pXvwBydtfDP8zmCATma4OhmLsM6584k4t9j1astyTPX3eIXfVRY5B41A6r8o9jQIqFhfZUGnSDsTMzOq2-sZzAbQu4tYYRQzXD9GE3dRS93XxBjZc-ABctn8b_e_wdzCIed0LAQHP9M/s1600/Snapshot_1438.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="473" data-original-width="681" height="277" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0pXvwBydtfDP8zmCATma4OhmLsM6584k4t9j1astyTPX3eIXfVRY5B41A6r8o9jQIqFhfZUGnSDsTMzOq2-sZzAbQu4tYYRQzXD9GE3dRS93XxBjZc-ABctn8b_e_wdzCIed0LAQHP9M/s400/Snapshot_1438.jpg" width="400" /></a>Autant le souligner tout de go. Au-delà de certaines constantes et similitudes, chaque pays africain a sa spécificité. Ce serait donc fort de café que de faire des projections du cas zimbabwéen sur les autres pays du Continent. Quoi que cet exercice soit tentant et trahisse, dans la plupart des cas, les penchants des uns et des autres.<br /> <br /> N’empêche. Les événements en cours au Zimbabwe charrient déjà quantité d’enseignements. Et des leçons ? Peut-être. D’abord, à ceux qui seraient enclins à l’oublier : Robert Mugabe tient son pouvoir des urnes. Et son mandat court encore.<br /> De ce point de vue, l’initiative de l’Armée -pour autant qu’elle vise au finish la défenestration d’un président élu en fonction - est un coup d’Etat. L’Union africaine comme d’autres organisations internationales sont donc en droit d’en appeler au rétablissement de l’ordre constitutionnel. <br /> A ceux qui dans d’autres pays africains se prennent à rêver du scénario zimbabwéen, un autre rappel. A savoir que les pires dictatures kaki que l’Afrique a connues ont commencé par se présenter sous des auspices libérateurs, voire démocratiques. <br /> Même notre très cher Colonel Joseph-Désiré Mobutu a pris le pouvoir pour mettre fin à la chienlit. Ce, sur fond d’une certaine approbation populaire. On connaît la suite.<br /> Une fois que l’on a rappelé cela, un autre constat. A l’inverse du vin dont la durée est gage de qualité, la longévité au pouvoir est généralement source d’abus de…pouvoir. Surtout du fait de l’entourage. Ou de différents clans-au propre et au figuré- qui gravitent autour du pouvoir. Et ces abus sont invariablement portés au passif du Chef.<br /> Plus l’exercice du pouvoir s’étale dans le temps, plus les dérives s’accumulent. Les proches étant davantage préoccupés par leurs équations individuelles que par le sort du pays. Une mécanique qui conduit immanquablement à créer un fossé entre le sommet et la base. Au point que le Président s’en trouve isolé et coupé de réalités. Ainsi naissent des "dirigeants hors sol".<br /> Alors, plutôt que d’extrapoler béatement le cas Zimbabwe, méditions sur les enseignements contradictoires que ces événements donnent à tirer. Et ce n’est pas fini. <br /> José NAWEJ

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Autant le souligner tout de go. Au-delà de certaines constantes et similitudes, chaque pays africain a sa spécificité. Ce serait donc fort d...

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Manque criant des canalisations. Kinshasa : les pluies diluviennes causent d’énormes dégâts

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEim4GTW3HaWErpsCQLnP6YaM3YV8HLon_5J138kGlW0mTpwQMGHxm9ekE2j5MH-Oq0E6NTwhcE3EUsrBBnb9rblegzmCQHknDuMV6K0fSzXJwsrFAXJgxj9rRRjgkDyL-31Bbl_fpOPMK0/s1600/Snapshot_1471.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="463" data-original-width="618" height="298" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEim4GTW3HaWErpsCQLnP6YaM3YV8HLon_5J138kGlW0mTpwQMGHxm9ekE2j5MH-Oq0E6NTwhcE3EUsrBBnb9rblegzmCQHknDuMV6K0fSzXJwsrFAXJgxj9rRRjgkDyL-31Bbl_fpOPMK0/s400/Snapshot_1471.jpg" width="400" /></a></div> Généralement, après la pluie sur l’étendue de la Ville-Province de Kinshasa, les routes deviennent impraticables et cela est causé par le manque de canalisations d’eau. La nuit du mercredi 15 au jeudi 16 novembre, une pluie diluvienne s’est abattue sur toute l’étendue de la ville et elle a causé d’énormes dégâts. Une fois de plus, cette donne a été dévoilée avec force.<br /> <br /> Les différentes routes de Kinshasa après la pluie deviennent impraticables faute de canalisation. Et, les déchets, sans ambages, bouchent les caniveaux tout au long des grandes routes. La pluie qui s’est abattue dans la nuit de mercredi 15 au jeudi 16 novembre a été auteur de plusieurs dégâts, surtout matériels. Les maisons s’écroulent, les nids de poules qui existent déjà sur les grandes avenues de la ville s’enfoncent de plus en plus. Le tronçon se trouvant au croissement des avenues Kasa-Vubu et commerce est de plus en plus impraticable. La dernière pluie n’a fait qu’empirer la situation qui était déjà mauvaise. Cette route est totalement négligée par les autorités nationales et provinciales. Pourtant, elle est en plein centre ville. La route de Saïo dans la commune de Kasa-Vubu, à cause de plusieurs nids de poules rencontrés tout au long de cette avenue, devient un enfer pour les chauffeurs qui l’utilisent. Pour ne citer que celles-là. La route CECOMAF, servant de desserte agricole, est, désormais, divisée en deux toujours par manque de canalisation, et quand il pleut l’eau, d’elle-même, s’est frayée une voie et a créé une grande érosion qui a emporté des maisons ainsi que d’autres biens de valeurs.<br /> <br /> Appel<br /> <br /> Les autorités du pays doivent cependant aménager des moyens pour la réhabilitation de différentes grandes artères de la ville, avant que la Ville-Province de Kinshasa n’ait plus des voies de circulation praticable. La population congolaise a aussi tout de même une part de responsabilité dans cette affaire. Elle doit éviter de jeter les déchets en plastiques dans les caniveaux. Elle doit, aussi, faire attention dans les constructions anarchiques.<br /> <br /> Rachel Matala

Au tour de Kinshasa Société Manque criant des canalisations. Kinshasa : les pluies diluviennes causent d’énormes dégâts

Généralement, après la pluie sur l’étendue de la Ville-Province de Kinshasa, les routes deviennent impraticables et cela est causé par le ...

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Décentralisation du pouvoir de publication des résultats. M17 : Augustin Kikukama interpelle les Députés sur la réforme de la Loi électorale !

<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg8ZOb60NBYdjkVyWKL_MiRqdhqvMtXdcX6lIBKyqUQ6hbQlZxbJbW9sn9mTGwjTt0SstQKbbC5BLBuoLVDaeZ6wXwWbIWSr2VcyNq3n_D1Fvr7PDwDpsz1SpuBIn4nI6S4a7VG5JcW2WM/s1600/Snapshot_1470.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="398" data-original-width="790" height="201" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg8ZOb60NBYdjkVyWKL_MiRqdhqvMtXdcX6lIBKyqUQ6hbQlZxbJbW9sn9mTGwjTt0SstQKbbC5BLBuoLVDaeZ6wXwWbIWSr2VcyNq3n_D1Fvr7PDwDpsz1SpuBIn4nI6S4a7VG5JcW2WM/s400/Snapshot_1470.jpg" width="400" /></a>Le nouveau projet de loi électorale est, enfin, là. Il serait, depuis mercredi dernier, sur la table de <br /> l’Honorable Minaku Ndjalandjoko Aubin, Président du Bureau de l’Assemblée nationale. Le M17, entendez le Mouvement du 17 mai, ayant pris connaissance de son contenu, a immédiatement réagi. Il salue, partiellement, les innovations y apportées. Car, en plus de ces dernières, ce parti centriste appelle à la réforme de la CENI mais aussi et surtout, à la décentralisation du pouvoir de publication des résultats des élections. Ainsi, chaque circonscription électorale, propose-t-il, devra être autonome. Augustin Kikukama, Président du M17, l’a suffisamment explicité hier, dimanche 19 novembre, face à la presse. ‘‘Comment faire en sorte que nous ayons de bonnes élections, comment faire en sorte qu’au moins 90% des élus soient réellement la volonté de ceux qui ont voté ?’’ S’est-il interrogé, avant de vociférer que plus jamais d’élus d’une liste qui a été concoctée dans les manœuvres de compilation qui se font à Kinshasa. ‘‘On donne des voix à des gens qui n’en ont pas ; je crois que ce que nous pouvons faire, c’est des réformes pour avoir des bonnes élections’’, ajoute-t-il. Et, les réformes les plus importantes pour Kikukama, c’est d’abord la CENI et la loi électorale. Que cette loi électorale, martèle le Président du M17, décentralise le pouvoir de publication des résultats des scrutins. Qu’il n’y ait plus de compilation à Kinshasa. Que chaque circonscription proclame ses résultats et en assume la responsabilité pénale lorsqu’il y a des cas de fraude. Parce qu’à son avis, c’est au niveau de la compilation des résultats que les choses se gâtent.<br /> <br /> Le nouveau projet de loi électorale est, depuis mercredi dernier, sur la table du président de l’assemblée nationale, l’Honorable Aubin Minaku. Cette loi dont l’adoption et la promulgation étaient reprises parmi les contraintes soulevées par la CENI et susceptible de compromettre le respect du calendrier électoral, devrait en principe faire l’objet d’examen en toute célérité. Ce nouveau projet de loi a, en effet, connu quelques innovations notamment, en ce qui concerne le mode de calcul de la répartition des sièges, qui se fera sur base de nombre d’électeurs enrôlés. Il sera, désormais, aussi question d’un seuil déterminé par un pourcentage en ce qui concerne les listes des candidats. Et, enfin, aider à la moralisation des acteurs politique, en renforçant les conditions d’éligibilité.<br /> <br /> D’après ce projet de loi, le quotient électoral est obtenu en divisant le nombre d’électeurs enrôlés de la RDC et non plus le nombre d’habitants recensés au pays, par le nombre des sièges à pourvoir à l’assemblée nationale qui est de 500. Au niveau de la province, le nombre de sièges est obtenu par la division du nombre total d’électeurs enrôlés dans la province par le quotient électoral. Il en est de même pour chaque circonscription électorale où le nombre de sièges est obtenu en divisant le nombre d’électeurs du lieu par le même quotient. De ce fait, le seuil de représentativité est déterminé au niveau national à 3%. C’est-à-dire, seule la liste de partis et regroupements politiques ou des indépendants ayant atteint les 3% se verront attribués des sièges après l’élection. Cependant, dans les circonscriptions à un seul siège, seul le candidat ayant obtenu le plus grand nombre de voix est proclamé élu. En ce qui concerne enfin la moralisation des acteurs politiques, le projet prévoit la régulation de cas de candidat indépendant qui exerce un mandat électif ou tout autre mandat public pour le compte d’un parti ou regroupement politique. Ce dernier doit, sous peine d’irrecevabilité de sa candidature, établir la preuve de sa démission qui doit intervenir au plus tard trois mois avant l’étape de dépôt de candidatures. En d’autre termes, si un acteur veut se présenter en indépendant pour une élection qui doit se tenir en décembre, il doit quitter son parti ou regroupement trois mois avant, soit en septembre.<br /> <br /> La Pros.<br /> <br />

Politique Décentralisation du pouvoir de publication des résultats. M17 : Augustin Kikukama interpelle les Députés sur la réforme de la Loi électorale !

Le nouveau projet de loi électorale est, enfin, là. Il serait, depuis mercredi dernier, sur la table de l’Honorable Minaku Ndjalandjoko Au...

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