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Gouvernement : « Cela va durer encore longtemps tant que l’un voudra avoir plus que l’autre », JC Katende

March 17, 2021

Nombre d’observateurs semblent aujourd’hui être passés à la vitesse supérieure, et exercer des pressions pour faire accélérer les tractations un mois après la nomination de Sama Lukonde pour former le prochain gouvernement. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiuAMT8SW9gF5mVxxqZDbqxNgOt41YVks2QwFs_NCrwk7lFqszIU9WeeD-A1fkJ61iNrivuyPPiWVX-PXpvc_WqkKkP1G_nwbJdJ9QOtggpzEfMN1J2cl7Rt5wSfZqx_w3Ptq3t0Az-3Q/s800/Sama7_1.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="400" data-original-width="800" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiuAMT8SW9gF5mVxxqZDbqxNgOt41YVks2QwFs_NCrwk7lFqszIU9WeeD-A1fkJ61iNrivuyPPiWVX-PXpvc_WqkKkP1G_nwbJdJ9QOtggpzEfMN1J2cl7Rt5wSfZqx_w3Ptq3t0Az-3Q/w640-h320/Sama7_1.png" width="640" /></a></div> Selon Jean-Claude Katende , la majorité au pouvoir est responsable du blocage gouvernemental en raison de l’envie démesurée à avoir le gros du lot dans la répartition des postes ministériels.
 
 
 
 
 
 
 
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 « Je ne suis pas surpris que le premier ministre prenne trop de temps pour la mise en place du gouvernement. Les politiciens aiment plus les postes et l’argent que le Congo », a dit ce lanceur d’alerte. Le Président de l’ASADHO fait naufrage par rapport à la suite des événements.   «Cela va durer encore plus longtemps tant que l’un voudra avoir plus que l’autre », prévient-il. Interrogé sur ce point, un analyste politique proche des cercles présidentiels met en garde contre toute « conclusion hâtive ». Sous couvert d’anonymat, il explique à 24H.CD que « Félix Tshisekedi voudrait voir le pays se doter d’un cabinet efficace et capable de mettre sur les rails le processus de réformes.
 
 
 
 
 
 
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 Beaucoup de congolais en ce jour ne semblent pas « convaincus de la mise en place d’un tel cabinet prochainement » au regard de l’agitation et bousculade qui s’observent dans le chef des ministrables. Sama Lukonde arrivera-t-il à gérer les tensions, les attaques et les couacs en interne ? Le Premier ministre vit actuellement une zone de turbulences.

Politique Gouvernement : « Cela va durer encore longtemps tant que l’un voudra avoir plus que l’autre », JC Katende

Nombre d’observateurs semblent aujourd’hui être passés à la vitesse supérieure, et exercer des pressions pour faire accélérer les tractation...

Hommages à Lokondo : « Désormais le chiffre 121 sera le code de référence de tout parlementaire qui se distingue »

March 17, 2021

Tous se disent « émus », et tous retiennent l’« homme libre » qu’était Thomas Lokondo. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjDxHAor0VZeNxxQiAvKI4FVaDIeC_7YH4e_gMmW4l6KfUKex3ep9l5za15SYCMxuT1d_s_ZknXIDs7JYWQjMG8eX8Ys_NDI1RvFC3hIo9AC3DW29nYf_lB2cPhh4rKA_1VyybCk6yCqA/s720/IMG_20210317_031637.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="503" data-original-width="720" height="448" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjDxHAor0VZeNxxQiAvKI4FVaDIeC_7YH4e_gMmW4l6KfUKex3ep9l5za15SYCMxuT1d_s_ZknXIDs7JYWQjMG8eX8Ys_NDI1RvFC3hIo9AC3DW29nYf_lB2cPhh4rKA_1VyybCk6yCqA/w640-h448/IMG_20210317_031637.jpg" width="640" /></a></div> Après l’annonce du décès de l’ancien Vice-ministre des Affaires étrangères de Mobutu à l’âge de 65 ans, les hommages affluent de toutes parts.
 
 
 
 
 
 
 
 
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 Saluant la mémoire d’un homme d’État , un héros parlementaire d’exception , Laurent Onyemba va lui au-delà de ce simple hommage en proposant que l’Assemblée nationale dédie à jamais ce siège en la mémoire de Thomas Lokondo. « Je garderai à jamais un souvenir positif pour cette fleur déposée par l’honorable Mboso Nkodia », a-t-il déclaré. Ce cadre de Ensemble pour la République de Moïse Katumbi fait savoir que « désormais le chiffre 121 sera le code de référence de tout parlementaire qui se distingue ». Allusion faire au siège de Thomas Lokondo où il se mettait fréquemment.
 
 
 
 
 
 
 
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 Signalons que Thomas Lokondo est décédé depuis le 10 mars dernier en Afrique du Sud où il était évacué d’urgence pour des soins médicaux.

Politique Hommages à Lokondo : « Désormais le chiffre 121 sera le code de référence de tout parlementaire qui se distingue »

Tous se disent « émus », et tous retiennent l’« homme libre » qu’était Thomas Lokondo. Après l’annonce du décès de l’ancien Vice-ministre de...

Pius Muabilu récompense ses députés restés « fidèles » pendant la révolution parlementaire des jeeps

March 17, 2021

Au regroupement AA/a on s’en inspire pour récompenser ceux et celles  qui ont, dès le départ,  soutenu le mouvement de « la Révolution parlementaire » <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQzHLKd1Ht-eq2iY6qwrtet_7gAfqtZWhHvtHthX4L0RISfkQSKckUxrr_SlkQQAL3GuQszVTGtLP-UDWPcbStaM4m4zlUsGrcc9T2VwtmQsrwTgXjCQ5TggBLRlAs1GOJFKE1zE2Jmg/s1032/img-20201111-wa0194.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="688" data-original-width="1032" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQzHLKd1Ht-eq2iY6qwrtet_7gAfqtZWhHvtHthX4L0RISfkQSKckUxrr_SlkQQAL3GuQszVTGtLP-UDWPcbStaM4m4zlUsGrcc9T2VwtmQsrwTgXjCQ5TggBLRlAs1GOJFKE1zE2Jmg/w640-h426/img-20201111-wa0194.jpg" width="640" /></a></div> Pius Muabilu a remis 15 jeeps aux députés de son regroupement qui l’ont soutenu pendant la révolution parlementaire de décembre 2020 ayant abouti à la création de l’Union Sacrée de la Nation.
 
 
 
 
 
 
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 On laisse entendre au sein de ce regroupement cher au Ministre de l’Urbanisme et Habitat que  » ces députés ont soutenu en porte étendard la vision du Chef de l’État ».
 
 
 
 
 
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 Pius Muabilu fait partie de ces premiers soutiens de Félix Tshisekedi ayant permis à donner la majorité  absolue aux députés étiquetés  » Union Sacrée ».

Politique Pius Muabilu récompense ses députés restés « fidèles » pendant la révolution parlementaire des jeeps

Au regroupement AA/a on s’en inspire pour récompenser ceux et celles qui ont, dès le départ, soutenu le mouvement de « la Révolution parle...

Réformes électorales : les 11 propositions de Mutamba pour crédibiliser la CENI

March 17, 2021

Après les propositions de reformes liées à l’organisation de la commission électorale rendues publiques par les deux membres de l’aile dure du présidium de Lamuka, le leader de la Nouvelle génération pour l’émergence du Congo (NOGEC), Me Constant Mutamba Tungunga a présenté aussi lundi 15 mars devant un parterre des chevaliers de la plume ses 11 propositions pour refondre la centrale électorale. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgjQEHCM6dVqq2mft9LsvEeYu6h2TpNj63AWBnjpZcucDWRGQWl65RbxB4ee0zr9OvK2I_wJLmIc4OAuo-5SS1vSEQMSs7L69YeQAbGp-Ra1tlWEfWLD6qtdA_2bSE0-78cS3EIv9ljPA/s800/Constant-Mutamba.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="600" data-original-width="800" height="480" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgjQEHCM6dVqq2mft9LsvEeYu6h2TpNj63AWBnjpZcucDWRGQWl65RbxB4ee0zr9OvK2I_wJLmIc4OAuo-5SS1vSEQMSs7L69YeQAbGp-Ra1tlWEfWLD6qtdA_2bSE0-78cS3EIv9ljPA/w640-h480/Constant-Mutamba.jpg" width="640" /></a></div> Il s’agit de dépolitiser totalement la CENI; de supprimer l’Assemblée plénière de la CENI, inutilement budgetivore; de confier la gestion du bureau de la centrale électorale aux confessions religieuses, en répartissant les postes de la manière suivante : 1. Présidence : Église catholique ;1er V/P: Église protestante ;2ème V/P: Église musulmane;Rapporteur : Église Kimbanguiste;1er rapporteur adjoint : Église de réveil ;2ème rapporteur adjoint: Églises indépendantes ;7.Questeur : Église orthodoxe ; Questeur adjoint : Église armée du salut. La NOGEC suggère aussi de rendre exécutoire le procès-verbal de désignation des membres du bureau qui entre en vigueur à la date de sa signature ; de supprimer toute influence politique lors du processus de désignation et de prise de fonction des membres du bureau de la CENI, pas ordonnance d’investiture ; de faire désigner le secrétaire exécutif national par appel à candidature ; d’instaurer le consensus comme mode de prise de décisions au sein du bureau de la CENI. A défaut du consensus, seul le vote de 2/3 de membres composant le bureau est valable ; rendre bénévoles les services des membres du bureau de la CENI.
 
 
 
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 Eriger en infraction toute acquisition à titre onéreux ou par donation des biens mobiliers de valeur/ immobiliers, par un membre du bureau ou pour tout autre membre du secrétariat exécutif, durant l’exercice de ses fonctions ; rendre public les audits trimestriels de gestion de la CENI et du processus électoral ; faire démissionner d’office , pour conflit d’intérêts, les membres du bureau du secrétariat exécutif ayant un lien de parenté, du premier au 3ème degré, avec un ou plusieurs candidats. Autant de propositions avancées par la NOGEC. Ces propositions jugées ambitieuses et surtout d’une grande maturité, sont venues du constat amer fait par Me Mutamba sur les trois cycles électoraux consécutifs organisés au pays. D’après la NOGEC, il a été observé après la tenue de ces trois cycles électoraux que la CENI a accusé de nombreuses lacunes dans son fonctionnement et partant reste loin d’assurer l’impartialité du processus électoral. Ces trois cycles électoraux, a-t-elle noté, ont donné lieu à des vives contestations post-électorales occasionnant d’énormes dégâts matériels et d’innombrables pertes en vies humaines. Le regroupement politique membre de la famille politique de Joseph Kabila estime que la défaillance des textes régulant le fonctionnement de la CENI et leurs animateurs sont des problèmes majeurs qui constituent le véritable frein au processus électoral.
 
 
 
 
 
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 En effet, la loi qui organise la centrale électorale est d’une complaisance sans pareil et caricaturée au gré des intérêts politiciens, a dénoncé Mutamba. Le secrétaire rapporteur de la Conférence des présidents du FCC a fait savoir que l’indépendance de la commission électorale n’est que de nom, car composée d’animateurs placés par les politiciens, même ceux qui feignent de porter le manteau de la société civile, sont en réalité au service des camps politiques. La CENI, dit-il, est devenue aujourd’hui un lieu d’enrichissement illicite pour tous ceux qui y accèdent et une machine à fabrication d’élus. Elle est donc tout simplement un instrument politique au service de quelques partis politiques, qui décident de qui doit être proclamé. Et le vote n’est plus l’expression de la volonté du souverain primaire, mais plutôt celle de quelques partis politiques représentés à la CENI.
 
 
 
 
 
 
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 Pour Me Mutamba, ce tableau sombre nécessite une révolution. Et son regroupement politique considère ses propositions comme une rupture totale à ce jeu des dupes aux conséquences incalculables pour le peuple congolais et un frein pour l’essor du pays.

Politique Réformes électorales : les 11 propositions de Mutamba pour crédibiliser la CENI

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Gouvernement: faute de l’équilibre politique, Tshisekedi « rejette » la première mouture de Sama Lukonde

March 17, 2021

L’information est encore dans les tuyaux qui relient la Primature à la Présidence de la République Démocratique du Congo. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh9uu3OABFzuPPDl4WaOjiruxwbF3q_DtSQeXDwE3_UnQyXlK6BvZ6uCzbRroxLTmHN4DtGGsQNq8zq1kMPialbK_kf4byl4Rh6tGjh3HmxMVRk6nP8IH70xFbr6olblEYA3CjWsbykxw/s1080/20210215_223736.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="720" data-original-width="1080" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh9uu3OABFzuPPDl4WaOjiruxwbF3q_DtSQeXDwE3_UnQyXlK6BvZ6uCzbRroxLTmHN4DtGGsQNq8zq1kMPialbK_kf4byl4Rh6tGjh3HmxMVRk6nP8IH70xFbr6olblEYA3CjWsbykxw/w640-h426/20210215_223736.jpg" width="640" /></a></div> Candidats ministrables et le peuple congolais doivent encore retenir leurs souffles avant de connaitre le deuxième gouvernement de Félix Tshisekedi.
 
 
 
 
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 D’après des sources bien introduites à la Présidence, le chef de l’État, Félix Tshisekedi a rejeté la première mouture du Gouvernement proposée par le premier ministre, nouvellement nommé Sama Lukonde. Ces sources affirment que la liste de Sama Lukonde ne prenait pas suffisamment en compte l’équilibre politique des partis et regroupements politiques, membres de l’Union sacrée.
 
 
 
 
 
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 Cependant, dans le premier cercle de Tshisekedi, on précise que nonobstant ce rejet, le Gouvernement Sama sera publié dans une semaine, après bien entendu réaménagement de la mouture.

A LA UNE Politique Gouvernement: faute de l’équilibre politique, Tshisekedi « rejette » la première mouture de Sama Lukonde

L’information est encore dans les tuyaux qui relient la Primature à la Présidence de la République Démocratique du Congo. Candidats ministra...

Delly Sesanga : " pas de mise en place des nouveaux animateurs de la CENI avant les réformes "

March 17, 2021

Delly Sesanga reste intransigeant. Le leader de l’Envol insiste sur la réforme de la CENI avant la mise en place de ses animateurs. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4evG1BvYM-bzuP8_QAJyDX4DqopIl6z8bnpaFABgyaC0UJlWmxqTxxLCjf4gdONImk3eQSTcJc23sRsnpNpRGqkA0NcMg2l4zDZdPgB97rOQkwT1atSg7Unancd936xUTvDYk5h0oig/s600/sessanga+%25281%2529.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="399" data-original-width="600" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4evG1BvYM-bzuP8_QAJyDX4DqopIl6z8bnpaFABgyaC0UJlWmxqTxxLCjf4gdONImk3eQSTcJc23sRsnpNpRGqkA0NcMg2l4zDZdPgB97rOQkwT1atSg7Unancd936xUTvDYk5h0oig/w640-h426/sessanga+%25281%2529.jpg" width="640" /></a></div> L’un des ténors du G13 constate que le président de l’Assemblée nationale, n’a pas été clair lors de son discours d’ouverture de la session ordinaire, au sujet de la désignation des animateurs de la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Pour Delly Sesanga, un consensus serait dégagé au sein de la société civile et de la classe politique en rapport avec la désignation des animateurs de la centrale électorale.
 
 
 
 
 
 
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 « Le président a souligné l’intérêt des réformes qui est une bonne chose. En revanche, il faudrait qu’on se mette d’accord lors des discussions de ce calendrier sur l’agencement de la mise en œuvre des réformes. Il y a en particulier la question de la mise en place de la CENI et il y a un consensus aujourd’hui dans la société civile, dans la classe politique que l’on puisse procéder à la mise en place de la CENI après avoir passé la loi sur la CENI. Cet élément n’a pas été bien clarifié lors du discours du président de l’Assemblée nationale, de la même manière que les outils pour pouvoir conduire ces réformes électorales. Je parle de la loi électorale déposée par le G13 et la pétition pour la révision de la constitution déposée par l’Envol, de la loi Lutundula sur la CENI. Tous ces outils sont à l’Assemblée nationale », a rappelé Delly Sesanga. L’élu de Luiza au Kasaï Central suggère qu’on procède d’abord à la réforme de la CENI avant d’effectuer la mise en place des nouveaux animateurs. « Et je pense que si on veut procéder en ordre, il faut qu’on lance ce débat en donnant une priorité sur la loi Lutundula, ne pas commencer avec la mise en place de la CENI avant de l’avoir réformée. Je rappelle que si nous avons eu des soubresauts au mois de juillet et août de l’année dernière, c’est parce que le bureau sortant voulait procéder à la mise en place de la CENI avant de l’avoir réformée. J’espère que notre bureau ne commettra pas la même erreur que le bureau sortant. Et cette question sera discutée lorsque nous allons évaluer le projet de calendrier », a-t-il renchéri.
 
 
 
 
 
 
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 A l’ouverture de la session ordinaire du mois de mars, le président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso N’kodia a indiqué que les questions liées aux réformes électorales seront prioritaires.

Politique Delly Sesanga : " pas de mise en place des nouveaux animateurs de la CENI avant les réformes "

Delly Sesanga reste intransigeant. Le leader de l’Envol insiste sur la réforme de la CENI avant la mise en place de ses animateurs. L’un de...

Sénat : « A part le président, aucun membre du bureau n’a trouvé un véhicule des fonctions » (Bahati Lukwebo)

March 17, 2021

Le Président du Sénat, Modeste Bahati Lukwebo a, ce lundi 15 mars dans son discours d’ouverture de la session ordinaire, dénoncé une mauvaise gestion de la chambre haute par l’ancien bureau dirigé par Alexis Thambwe Mwamba. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiLciIfrUCpRZm2V8NuYFcUNibWJ46pk6RjFNemH5IJc7RSx-Jfilbguk18etBuEBDzlcUMYvpkAslY_5JAeJUvxyidzMgMveDk9yxacMUgSA8_dsw5qY0D5WnEyUr8ivnQRcM_NAZLjg/s730/6015debc12857794407895.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="548" data-original-width="730" height="480" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiLciIfrUCpRZm2V8NuYFcUNibWJ46pk6RjFNemH5IJc7RSx-Jfilbguk18etBuEBDzlcUMYvpkAslY_5JAeJUvxyidzMgMveDk9yxacMUgSA8_dsw5qY0D5WnEyUr8ivnQRcM_NAZLjg/w640-h480/6015debc12857794407895.jpg" width="640" /></a></div> Faisant un bref état des lieux de la situation du Sénat, Modeste Bahati a notamment déclaré que seulement le président du Sénat, qu’il est, a trouvé un véhicule des fonctions.
 
 
 
 
 
 
 
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 « Votre bureau vient d’hériter d’une situation financière très difficile pour ne pas dire catastrophique sur tous les plans. Situation du personnel administratif, prise en charge médicale des sénateurs et tant d’autres. A part le président, aucun membre du bureau n’a trouvé un véhicule des fonctions. C’est la même situation dans l’administration du Sénat », a-t-il dit. Le speaker du Sénat a, à cet effet, insisté sur sa vision de redorer l’image du Sénat à travers notamment la transparence dans la gestion quotidienne de cette institution. Déjà, lors de sa rencontre du vendredi 12 mars avec le Président de la République, Félix Tshisekedi, Bahati Lukwebo avait indiqué avoir trouvé une dette de près de 14 millions USD laissée par l’ancien bureau du Sénat.

Politique Sénat : « A part le président, aucun membre du bureau n’a trouvé un véhicule des fonctions » (Bahati Lukwebo)

Le Président du Sénat, Modeste Bahati Lukwebo a, ce lundi 15 mars dans son discours d’ouverture de la session ordinaire, dénoncé une mauvais...

« Le critère du poids politique, c'est du Kabilisme » (Bitakwira)

March 17, 2021

"Le critère de 8 députés pour un ministère (pour faire partie du gouvernement Sala Lukonde), c'est du Kabilisme et Shadarisme pur et simple", estime, sur Top congo FM, Justin Bitakwira, président de l'Alliance pour la République et la conscience nationale (ARC) <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi5Xyd-r_nY7ebKV1NdEdPwsmTmJTKXB9O4d3NSt7cmKPdTg3ofLF9aYKBSZ45HogBQhPrzmBfsbgoL3ZuhB8P-iop9Kd5qYQtNUKdAztwN2DnP47Flgqj8uoZfwQWvC7ocSe2CRy5nVA/s640/bitakwira_justin_17_0002_jpg_640_350_1+%25282%2529.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="350" data-original-width="640" height="350" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi5Xyd-r_nY7ebKV1NdEdPwsmTmJTKXB9O4d3NSt7cmKPdTg3ofLF9aYKBSZ45HogBQhPrzmBfsbgoL3ZuhB8P-iop9Kd5qYQtNUKdAztwN2DnP47Flgqj8uoZfwQWvC7ocSe2CRy5nVA/w640-h350/bitakwira_justin_17_0002_jpg_640_350_1+%25282%2529.jpeg" width="640" /></a></div> Cet ancien membre du Comité stratégique du Front commun pour le Congo (FCC) de Joseph Kabila pense que ''tenir uniquement compte du poids politique, ce sera de la quantité. Si on veut de la qualité, il y a des députés et des personnalités dont on connaît les compétences. Que le président en tienne compte et qu'il brise le passé de Kabila".Alors que la composition du gouvernement qui devrait intervenir avant la session parlementaire de mars se fait encore attendre depuis plus d'un mois, il reconnaît que ''le Premier ministre et le président de la République sont embêtés. Mais à leur place, je fermerais les yeux pour mettre sur pied un gouvernement qui tient compte du poids politique à 50%. Et les 50% restant, je prends les hommes qui vont transformer ce pays".
 
 
 
 
 
 
 
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 Il indique que "ma grand mère m'a appris qu'il ne faut pas donner aux borgnes ce qu'on devrait donner à ceux qui ont des yeux". Vrais et faux députés Raison pour laquelle "il faut un assainissement de la classe de la classe politique. Nous ne devons pas imiter les modèles qui ont échoué. Il faut que le président de la République évite de calquer le FCC". Prceque, explique-t-il, "au FCC, en tenant compte du poids politique, il faut savoir qu'il y a de vrais et de faux députés. Certains n'étaient même pas candidats, mais ils se retrouvent à l'Assemblée nationale. D'autres n'étaient pas élus, mais ils se retrouvent à l'Assemblée nationale. Mais les vrais élus sont en dehors de l'Assemblée nationale''

Politique « Le critère du poids politique, c'est du Kabilisme » (Bitakwira)

"Le critère de 8 députés pour un ministère (pour faire partie du gouvernement Sala Lukonde), c'est du Kabilisme et Shadarisme pur e...

Sama Lukonde écartelé entre le poids politique et la solidarité!

March 17, 2021

<h1 style="text-align: left;">Le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde n'a pas encore même sur papier la composition de son gouvernement. Du fait que côté Union sacrée de la nation de Félix Tshisekedi, les violons ne s'accordent pas encore entre différents groupes politiques. Ils en sont encore à des chamailleries sur le critère de répartition des postes ministériels aux composantes membres de l'Union sacrée. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNEl0oEj4gZ4hQI8o_whh2u-PEg4Lps-66W1OJneGf9wKyAdnVm40zIj2kE7tuiV34pP75hpWkRY5J4S-i1RrHPsG9EeTf0Rk_zIG-P41xSqeDyBD35Gm49276CsolbJjNN5fsBgEnwg/s1919/arton30126.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1919" data-original-width="1623" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjNEl0oEj4gZ4hQI8o_whh2u-PEg4Lps-66W1OJneGf9wKyAdnVm40zIj2kE7tuiV34pP75hpWkRY5J4S-i1RrHPsG9EeTf0Rk_zIG-P41xSqeDyBD35Gm49276CsolbJjNN5fsBgEnwg/w701-h640/arton30126.jpg" width="701" /></a></div> Ceux qui ont plus des députés nationaux dans leur gibecière comme "Ensemble" de Moïse Katumbi Chapwe ne jurent que par le critère objectif du poids politique pour prétendre au ticket d'entrée au gouvernement de Sama Lukonde. Normal. Tandis que tous les autres, et ils sont les plus nombreux, font valoir l'argument de la solidarité entre membres de l'Union sacrée.Pourtant, une fourchette de huit députés par poste ministériel était déjà dégagée pour un Exécutif de 45 membres, tout au plus. Partant, le Premier ministre Sama Lukonde pouvait déjà clôturer ses consultations et publier son gouvernement qui est très attendu. Mais, c'était sans compter avec ceux qui ne se retrouvent pas dans cette formule. Ils ont curieusement fait cette trouvaille de la solidarité entre membres de l'Union sacrée.
 
 
 
 
 
 
 
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 Ce qui fait que même les groupes politiques qui n'ont pas un seul député national doivent entrer au gouvernement par la magie de la solidarité. Le blocage n'est donc pas le fait du Premier ministre Sama Lukonde mais bien de ceux qui se disputent les postes ministériels au niveau de l'Union sacrée de la nation. On risque bien si on tient à les satisfaire coûte que coûte à se retrouver avec un gouvernement éléphantesque comme celui sortant du PPRD Sylvestre Ilunga IIunkamba qu'avait abhorré le Président de la République Félix Tshisekedi en parlant de 35 à 40.QUid du gouvernement representatif?Il faut peut-être noter que le gouvernement représentatif dont parle la Constitution du 18 Février 2006 doit refléter les forces politiques majoritaires à l'Assemblée nationale dont il est l'émanation. Ces forces politiques sont représentées par les députés nationaux qui constituent la majorité parlementaire. C'est de là que part l'exigence du poids politique pour faire partie de ce gouvernement représentatif, c'est-à-dire en d'autres termes, le nombre des députés nationaux.Si on rompt avec ce critère de poids politique en faisant venir au gouvernement les groupes politiques qui n'ont aucun député ou pas assez, comment va-t-on alors investir le gouvernement si les forces politiques représentatives sont mises hors-jeu ? Dans ce cas de figure, le gouvernement Sama Lukonde risque bien de ne pas être investi par l'Assemblée nationale. Ce qui induirait une crise politique inutile créée simplement par le fait qu'à l'Union sacrée on aurait marché sur les principes d'un gouvernement représentatif.Il ne s'agit pas d'un gouvernement d'union nationale, loin s'en faut, mais de celui qui représente la majorité parlementaire. N'y entre pas qui veut. Car après l'étape de l'investiture du gouvernement, il faudra disposer d'une majorité qualifiée de 2/3 pour le vote des lois, dans les deux Chambres parlementaires.
 
 
 
 
 
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 Ce n'est pas par la solidarité qu'ils vont atteindre ces 2/3 des députés. Même difficulté lorsqu'il sera question de s'attaquer aux réformes institutionnelles et constitutionnelles. Comme l'Union sacrée envisage de procéder à la révision de certaines dispositions de la Constitution, le vote y relatif au niveau du congrès est d'atteindre le vote à la majorité qualifiée des 2/3 des membres qui composent le Congrès.Ces 2/3 du Congrès, l'Union sacrée ne va pas les atteindre par la solidarité entre sociétaires. Voici pourquoi à la constitution du gouvernement Sama Lukonde, la règle de la représentativité, c'est-à-dire du poids politique doit être d'application rigoureuse dans la répartition des postes ministériels en dehors de tout sentiment. Autrement le gouvernement aura du mal à remplir sa mission d'autant plus qu'il est censé être l'émanation de l'Assemblée nationale.</h1>

Politique Sama Lukonde écartelé entre le poids politique et la solidarité!

Le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde n'a pas encore même sur papier la composition de son gouvernement. Du fait que côté Union s...

RDC : LE PONT N’DJILI EN PARTIE EFFONDRÉ ET LA CAPITALE KINSHASA INONDÉE PAR LES EAUX CE 16 MARS 2021 . LES LARMES DE NGOBILA ! ( ARTICLE + VIDEO )

March 16, 2021

Des quartiers entiers de la capitale de la République démocratique du Congo (RDC), Kinshasa, étaient sous les eaux mardi matin à la suite des fortes pluies enregistrées depuis les premières heures de la journée. Le prestigieux boulevard du 30 juin qui traverse le centre-ville était inondé par les eaux sorties des caniveaux et les activités économiques bloquées dans la quasi-totalité des rues , a constaté le correspondant d'Anadolu.

Le pont N’djili qui relie le district populaire de Tshangu (Est) au reste de la ville via le boulevard Lumumba s’est effondré, selon des images partagées sur les réseaux sociaux. Joints par Anadolu peu après midi, différents bourgmestres de commune (maires) se sont réservés de livrer de bilan, reconnaissant toutefois que des dégâts matériels énormes ont été enregistrés et que des pertes en vies humaines étaient probables. La ville de Kinshasa longe le fleuve Congo qui la sépare du Congo (Brazzaville). Elle est également traversée par plusieurs rivières qui sortent régulièrement de leurs lits. Fin 2019, au moins 54 personnes avaient trouvé la mort dans des inondations à Kinshasa.

RDC : LE PONT N’DJILI EN PARTIE EFFONDRÉ ET LA CAPITALE KINSHASA INONDÉE PAR LES EAUX CE 16 MARS 2021 . LES LARMES DE NGOBILA ! ( ARTICLE + VIDEO )

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Des quartiers entiers de la capitale de la République démocratique du Congo (RDC), Kinshasa, étaient sous les eaux mardi matin à la suite de...

NEHIMIE MWILANYA EN GUERRE CONTRE OLIVE L ET SAMY BADIBANGA FUTUR DG DE LA GECAMINE . MWANA AKOLI DU 16/03/2021 ( VIDEO )

March 16, 2021

NEHIMIE MWILANYA EN GUERRE CONTRE OLIVE L ET SAMY BADIBANGA FUTUR DG DE LA GECAMINE . MWANA AKOLI DU 16/03/2021 ( VIDEO )

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LE PEUPLE D' ABORD 16-03-2021 AVEC PRESIDENT RENE : LA CHUTE DE ZOE KABILA ET LE FCC PROPOSE LE CARDINAL LAURENT MONSENGWO PASINYA A LA TETE DE LA CENI . ( VIDEO )

March 16, 2021

LE PEUPLE D' ABORD 16-03-2021 AVEC PRESIDENT RENE : LA CHUTE DE ZOE KABILA ET LE FCC PROPOSE LE CARDINAL LAURENT MONSENGWO PASINYA A LA TETE DE LA CENI . ( VIDEO )

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KALEV MUTOMB LA BIBLIOTEQUE CRIMINELE DE LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO SOUS LE REGIME KABILA. HERITIER NGASHI AU MICRO DE MAITRE JOEL KITENGE ( VIDEO )

March 16, 2021

KALEV MUTOMB LA BIBLIOTEQUE CRIMINELE DE LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO SOUS LE REGIME KABILA. HERITIER NGASHI AU MICRO DE MAITRE JOEL KITENGE ( VIDEO )

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RENTRÉE PARLEMENTAIRE : HON.SAFU, NSINGI ET LES AUTRES SOUTIENNENT L'IDENTIFICATION DE LA POPULATION ( VIDEO )

March 16, 2021

infos en vidéos Nos vidéos Politique RENTRÉE PARLEMENTAIRE : HON.SAFU, NSINGI ET LES AUTRES SOUTIENNENT L'IDENTIFICATION DE LA POPULATION ( VIDEO )

PASTEUR GUILY 16-03-21 : LES VERITES SUR PERO LUWARA ET PAPA MOLIERE . LES REALISATIONS DE FELIX TSHISEKEDI . ( VIDEO )

March 16, 2021

PASTEUR GUILY 16-03-21 : LES VERITES SUR PERO LUWARA ET PAPA MOLIERE . LES REALISATIONS DE FELIX TSHISEKEDI . ( VIDEO )

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Élections 2023 en RDC : Monsengwo pasinya, le choix de la NOGEC pour la CENI

March 16, 2021

La Nouvelle génération pour l’émergence du Congo (NOGEC), regroupement politique dirigé par Me Constant Mutamba Tungunga, jette son dévolu sur le cardinal Laurent Monsengwo Pasinya pour piloter la Commission électorale nationale indépendante (CENI), cette institution d’appui à la démocratie chargée d’organiser les élections dans le pays. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjjBtnODewFeHzhFfGkahJp_GRMlPmxWaT4DCZbGeXe5DHF8R8o4H-pmA88voxRWte1nDvULkCZxcFBGa8NzLjZsHNV3q8PMUWgE00BkuxCzyv7bzpG7eEag3S8PUK7dnD00_8PfP6Gow/s825/pasinya6.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="616" data-original-width="825" height="478" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjjBtnODewFeHzhFfGkahJp_GRMlPmxWaT4DCZbGeXe5DHF8R8o4H-pmA88voxRWte1nDvULkCZxcFBGa8NzLjZsHNV3q8PMUWgE00BkuxCzyv7bzpG7eEag3S8PUK7dnD00_8PfP6Gow/w640-h478/pasinya6.jpg" width="640" /></a></div> « La NOGEC se réjouirait du choix du cardinal Laurent Monsengwo Pasinya pour présider à la destinée de la CENI lors de prochaines élections étant donné sa probité morale, son indépendance d’esprit, son statut et surtout sa longue expérience », a déclaré Me Constant Mutamba, président national de la NOGEC, à l’occasion de la présentation lundi de ses propositions pour réformer la CENI. Le président national de ce regroupement politique a peint un tableau nébuleux des cycles électoraux consécutifs organisés au pays qui ont été, selon lui, émaillés des vives contestations et surtout occasionnés d’énormes dégâts matériels et d’innombrables pertes en vies humaines.
 
 
 
 
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 Pour la NOGEC, la gestion du bureau de la CENI doit être confiée aux confessions religieuses et la présidence à l’Église catholique. Le choix de l’ancien archevêque de Kinshasa, Laurent Monsengwo parait judicieux et responsable pour la crédibilité des scrutins, a estimé Me Mutamba.Par ailleurs, pour refondre la centrale électorale, il a suggéré entre autres la dépolitisation totale de la CENI, la suppression de l’Assemblée plénière de la CENI, de rendre exécutoire le procès-verbal de désignation des membres du bureau, de supprimer toute influence politique lors du processus de désignation et de prise de fonction des membres du bureau de la CENI, pas d’ordonnance d’investiture, de faire désigner le secrétaire exécutif national par appel à candidature, d’instaurer le consensus comme mode de prise de décisions au sein du bureau de la CENI. A défaut du consensus, seul le vote de 2/3 de membres composant le bureau est valable, rendre bénévoles les services des membres du bureau de la CENI. Pour ce regroupement politique, ces différentes propositions trop ambitieuses et surtout d’une grande maturité, sont venues du constat amer fait par Me Mutamba sur les trois cycles électoraux consécutifs organisés au pays. La défaillance des textes régulant le fonctionnement de la CENI et leurs animateurs sont des problèmes majeurs qui constituent le véritable frein au processus électoral, a insisté le président national de la NOGEC. Le cadre FCC a souligné également que la loi qui organise la centrale électorale est d’une complaisance sans pareil et caricaturée au gré des intérêts politiciens. L’indépendance de la commission électorale n’est que de nom, car composée d’animateurs placés par les politiciens, même ceux qui feignent de porter le manteau de la société civile, sont en réalité au service des camps politiques, a-t-il poursuivi.
 
 
 
 
 
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 Pour lui, la CENI est devenue aujourd’hui un lieu d’enrichissement illicite pour tous ceux qui y accèdent et une machine à fabrication d’élus. Elle est donc tout simplement un instrument politique au service de quelques partis politiques, qui décident de qui doit être proclamé. Le vote n’est plus l’expression de la volonté du souverain primaire, mais plutôt celle de quelques partis politiques représentés à la CENI. Par conséquent, Me Mutamba estime qu’au regard de ce tableau sombre, une révolution est nécessaire. Son regroupement politique considère ses propositions, comme une rupture totale à ce jeu des dupes. A une question sur la mise en oeuvre de cette réforme, Me Mutamba a fait observer que son regroupement politique va se battre à travers des actions, des plaidoyers pour faire passer ses propositions.

Politique Élections 2023 en RDC : Monsengwo pasinya, le choix de la NOGEC pour la CENI

La Nouvelle génération pour l’émergence du Congo (NOGEC), regroupement politique dirigé par Me Constant Mutamba Tungunga, jette son dévolu s...

RDC : Ce qu'il faut retenir de la visite du président du Botswana à Kinshasa

March 16, 2021

Le président du Botswana, Dr Mokgweetsi Eric Keabetswe Masisi, a effectué une visite de travail à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo, le lundi 15 mars 2021, sur invitation de son homologue Congolais Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4EbPoFAnHRoc3D-CsUaW-N3NpA0ps9qeCcKZTi3IwrjBsu8cXRQaT1Cdcgy0C4fPsIt-pQRVe4LRNwVxGsg6mToESvL19TcCjaCRt4mzL1Qa3-ivI1iSy-1MLaRshOdmmApnpRwm0Og/s1024/IMG-20210316-WA0018.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="683" data-original-width="1024" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj4EbPoFAnHRoc3D-CsUaW-N3NpA0ps9qeCcKZTi3IwrjBsu8cXRQaT1Cdcgy0C4fPsIt-pQRVe4LRNwVxGsg6mToESvL19TcCjaCRt4mzL1Qa3-ivI1iSy-1MLaRshOdmmApnpRwm0Og/w640-h426/IMG-20210316-WA0018.jpg" width="640" /></a></div> Cette visite s'inscrit dans le cadre du renforcement des relations bilatérales entre la République démocratique du Congo et le Botswana.  Mokgweetsi Eric Keabetswe Masisi et Félix Tshisekedi ont eu une séance de travail au Palais de la Nation situé dans la commune de la Gombe. Les deux chefs d'États étaient accompagnés de leurs collaborateurs, conseillers et experts de leurs ministères respectifs.
 
 
 
 
 
 
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 D'après la cellule de communication de la présidence, cette séance de travail a réaffirmé la nécessité du renforcement de la coopération multisectorielle stratégique entre la RDC et le Botswana dont les deux chefs d’États assument des responsabilités au niveau continental ou sous-régional.Sur le plan continental, les deux personnalités ont évoqué la crise de la Covid-19. Ils ont convenu sur la nécessité de partager leurs expériences dans la lutte contre la pandemie et vont soutenir une plus grande solidarité entre les pays africains.  D'après la même source, les deux chefs d'États sont tombés d’accord pour signer dans un bref délai un protocole d'accord pour une coopération sanitaire.  Le Botswana, via son président, a pris l’engagement d’aider la RDC au renforcement des capacités en ressources humaines mais aussi une aide dans les secteurs d’activités où ce pays dispose d’un avantage compétitif. Pour sa part, Félix Tshisekedi n'a pas caché sa satisfaction de la visite de son homologue du Botswana. Il s'est dit confiant pour le futur des relations bilatérales entre les deux États qui, assure-t-il, connaîtront une nouvelle dynamique et seront renforcées avec des actions concrètes dans différents domaines d'intérêt commun.
 
 
 
 Mokgweetsi Eric Keabetswe Masisi et Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo ont convenu de se retrouver ultérieurement pour la tenue d’une nouvelle session de travail dans le cadre d’une commission mixte bilatérale à mettre en place par les deux pays.

Politique RDC : Ce qu'il faut retenir de la visite du président du Botswana à Kinshasa

Le président du Botswana, Dr Mokgweetsi Eric Keabetswe Masisi, a effectué une visite de travail à Kinshasa, la capitale de la République dém...

"Polémique" sur l'anniversaire de la 1ère Dame : "L'acte posé par le chef de l'État est une leçon pédagogique pour les hommes qui n'honorent pas leurs femmes", (Kabuya)

March 16, 2021

Le secrétaire général de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) a, au cours de la cérémonie d'installation du comité fédéral de la Lukunga le dimanche 14 mars 2021, réagi à la "polémique" sur la surprise que le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a faite à son épouse, Denise Nyakeru Tshisekedi, lors de son anniversaire de naissance. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhe_1r40EqtcY2RgYqht2a-5EAbz9XzZXQqhm4mCA8dIf_73vo-SZPIdL6z3o2jNBV6VEz5B5xZnRmtiP_CRfm3fy8vqnSqPY1SinpeZihMqS94OBVVKCanM9FtyFvzv3gLHUUY4Xvzbg/s2048/A%252B+Gallery_150.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1006" data-original-width="2048" height="314" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhe_1r40EqtcY2RgYqht2a-5EAbz9XzZXQqhm4mCA8dIf_73vo-SZPIdL6z3o2jNBV6VEz5B5xZnRmtiP_CRfm3fy8vqnSqPY1SinpeZihMqS94OBVVKCanM9FtyFvzv3gLHUUY4Xvzbg/w640-h314/A%252B+Gallery_150.jpg" width="640" /></a></div> Pour le numéro deux du parti présidentiel, le geste posé par le président Tshisekedi est un acte pédagogique pour tous les hommes à travers le monde qui n'honorent pas leurs épouses. "...qui ne sait pas qu'il y a la guerre à Beni ? Est-ce que c'est Félix Tshisekedi qui a amené la guerre à Beni ? Si toi tu as honte de présenter ta femme aux yeux de tout le monde, ça n'a rien à voir avec Félix Tshisekedi. Caches ta femme, toi-même tu sais pourquoi tu la caches. L'acte posé par le chef de l'État est une leçon pédagogique pour ces hommes qui ne veulent pas honorer leurs femmes. Applaudissez très fort pour le chef de l'État parce qu'il a honoré les femmes", a dit Augustin Kabuya aux militants du Parti présidentiel.
 
 
 
 
 
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   Pour appuyer son argumentaire, Augustin Kabuya a tenu à rappeler que cet acte a été posé durant le mois de mars, dédié aux femmes. "Toi ton problème c'est où ? Tu transpires en disant que Félix m'a déçu. Surtout que nous sommes pendant le mois de mars, applaudissez aussi fortement pour la première Dame. Le jeudi passé, j'ai demandé au chef de l'État mais c'est comment cette histoire de la porte du bureau ? Il m'a dit qu'il était dans salle où ils attendaient la première Dame, et ça s'est fait que lorsqu'on a ouvert la porte, il s'est retrouvé derrière, maintenant où est son péché ? ", s'est interrogé Augustin Kabuya. Pour rappel, le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a fait une surprise à son épouse lors de son anniversaire, en se cachant derrière la porte du bureau de la première Dame avec un bouquet des fleurs en mains. Un geste qui n'a pas laissé indifférente Denise Nyakeru Tshisekedi qui, d'après ses proches, pensaient que son mari (Félix Tshisekedi ndlr) était aux obsèques de l'ancien premier ministre Joseph Untube N'singa Udjuu.
 
 
 
 
 
 
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 Cet acte a suscité beaucoup de réactions au sein de la classe sociopolitique congolaise. Pour certains, le président Tshisekedi n'aurait pas dû s'afficher ainsi étant donné que la situation sécuritaire à l'Est du pays continue d'inquiéter. Mais pour d'autres, c'est un acte louable car le président Tshisekedi a honoré les femmes.

"Polémique" sur l'anniversaire de la 1ère Dame : "L'acte posé par le chef de l'État est une leçon pédagogique pour les hommes qui n'honorent pas leurs femmes", (Kabuya)

Politique Société "Polémique" sur l'anniversaire de la 1ère Dame : "L'acte posé par le chef de l'État est une leçon pédagogique pour les hommes qui n'honorent pas leurs femmes", (Kabuya)

Le secrétaire général de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) a, au cours de la cérémonie d'installation du comité...

RDC/Vaccin AstraZeneca: “Le Gouvernement ne peut pas se permettre des produits toxiques ou piratés” (G. Kankonde)

March 16, 2021

Initialement prévue le 15 mars 2021, la campagne de vaccination contre la Covid-19 n’a pas eu lieu en RDC. Par mesure de précaution, les autorités congolaises ont suspendu l’usage du vaccin AstraZeneca. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjqpgKbCuZX-2kRKejUtcMEbr1-nxbf_4lIKPupkprnIySNV3axMu4zH0w5LvIBQzRZh6LqMDanWo0agYezmwZcDTJt80eGlafMGI-e2sAiyUtL8XIH2kRdnuHn9BwPIHQvpsM0xnUBiA/s720/fb_img_1575542573473.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="480" data-original-width="720" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjqpgKbCuZX-2kRKejUtcMEbr1-nxbf_4lIKPupkprnIySNV3axMu4zH0w5LvIBQzRZh6LqMDanWo0agYezmwZcDTJt80eGlafMGI-e2sAiyUtL8XIH2kRdnuHn9BwPIHQvpsM0xnUBiA/w640-h426/fb_img_1575542573473.jpg" width="640" /></a></div> La décision de surseoir à la vaccination est intervenue après des rapports de cas graves de formation de caillots sanguins chez certaines personnes vaccinées dans quelques pays Européens.Le comité multi-sectoriel de lutte contre la Covid-19, s’est réuni le lundi 15 mars pour faire le point. Il ressort de cette réunion, le report sine die de la campagne de vaccination contre le Coronavirus.
 
 
 
 
 
 
 
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 D’après le compte rendu fait par Gilbert Kankonde, Vice-Premier Ministre et Ministre de l’intérieur, “les incidents enregistrés dans certains pays qui ont administré le vaccin AstraZeneca ont conduit à la surséance de la campagne de vaccination.” Pendant ce temps, experts, scientifiques et médecins mènent des études pour savoir “à quoi sont dus les incidents qui ont poussé d’autres pays à surseoir l’administration de ce vaccin. “Parmi les lots qui nous sont parvenus, nos laboratoires analysent aussi, pour voir la conformité des vaccins qui ont été fournis à leur composition initiale de maisons qui les ont fabriqué”, a dit Gilbert Kankonde. Le Vice-Premier Ministre et Ministre de l’intérieur a insisté sur le fait que “le Gouvernement ne peut pas se permettre des produits toxiques ou piratés”. À l’en croire, l’idée est “d’éliminer les suspicions et mauvaises rumeurs sur le fait que nous, nous recevons les produits piratés, les produits qui pourraient être toxiques à notre population, ce que le Gouvernement ne peut pas se permettre”, a-t-il rassuré.
 
 
 
 
 
 
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 “Après les assurances, dans un avenir proche, nous vous confirmerons que ces produits sont conformes aux vaccins que nous pouvons administrer à la population. Et en ce moment-là, on vous fixera la date du début de lancement de la campagne à travers le pays”, a indiqué le VPM Gilbert Kankonde. En Afrique, la RDC est le premier pays à avoir suspendu l’usage du vaccin AstraZeneca par mesure de précaution. Le Maroc par exemple, a déjà administré 5,6 millions de doses de ce même vaccin.

Santé RDC/Vaccin AstraZeneca: “Le Gouvernement ne peut pas se permettre des produits toxiques ou piratés” (G. Kankonde)

Initialement prévue le 15 mars 2021, la campagne de vaccination contre la Covid-19 n’a pas eu lieu en RDC. Par mesure de précaution, les aut...

Composition du gouvernement: “ce blocage est la conséquence de ce que nous avons déploré hier” (F. Kambere)

March 16, 2021

Un mois après la nomination du nouveau Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde, la sortie du gouvernement de l’Union Sacrée traîne. Dans une interview exclusive accordée à POLITICO.CD, Ferdinand Kambere, Secrétaire permanent adjoint du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD), parti membre de la coalition de Joseph Kabila qui a perdu la majorité parlementaire, exprime son étonnement.
 
 
 
 
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 Pour lui, c’est le même système déploré sous le régime de Kabila qui revient sous Tshisekedi. “Il est difficile pour un parti politique de gagner une majorité parlementaire homogène. Le modus operandis, c’est que plusieurs partis vont signer un accord, avant ou après les élections. Nous étions étonnés d’entendre qu’il y a eu une majorité, sans accord, pour répondre au dictat d’une seule personne. Et nous disions que le Chef de l’État était en train de perturber le fonctionnement harmonieux des institutions. Est-ce que nous ne sommes pas en train de vivre cela ?” a-t-il rappelé. Rappelons par ailleurs que Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde a été nommé 15 février 2021.

Politique Composition du gouvernement: “ce blocage est la conséquence de ce que nous avons déploré hier” (F. Kambere)

Un mois après la nomination du nouveau Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde, la sortie du gouvernement de l’Union Sacrée traîne. Dans u...

Gouvernement Sama : Pression et tension !

March 16, 2021

Sama Lukonde est entre le marteau et l’enclume. Trente jours après sa nomination au poste de Premier Ministre, les consultations devant aboutir à la publication de son Gouvernement piétinent. Ces travaux de consultation initiés dès son entrée en fonction mi-février dernier s’apparentent désormais aux 12 travaux d’Hercule. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiD77mmlfMS1S3ten_J4EosvPwcj4kumpraS5E8jExI80583JUvVcEXin-GPepAsp3aH5NGc5TyhcASptaAN1wPEa1UwbhKCdlUT5Ms9jvB9oNvpP7QXnO2HOaGKMLEW5hXrZRKPvUV0Q/s1080/20210215_223736.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="720" data-original-width="1080" height="426" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiD77mmlfMS1S3ten_J4EosvPwcj4kumpraS5E8jExI80583JUvVcEXin-GPepAsp3aH5NGc5TyhcASptaAN1wPEa1UwbhKCdlUT5Ms9jvB9oNvpP7QXnO2HOaGKMLEW5hXrZRKPvUV0Q/w640-h426/20210215_223736.jpg" width="640" /></a></div>  Dès le lendemain de l’annonce de la rupture de la coalition FCC-CACH au pouvoir par le Président Félix Tshisekedi, des consultations ont été initiés et ont offert au public un spectaculaire défilé des acteurs politiques et civils congolais de tous bords, avec des déclarations d’adhésion plutôt rassurantes au sortir de ces rencontres, laissant croire que désormais les choses couleraient comme de l’eau sous le pont. Peu de temps après, d’aucuns commencent à déchanter. La vision du Chef de l’État, appelée “Union sacrée de la Nation” et qui a conduit à cet exercice auquel se livre aujourd’hui le Premier Ministre, semble avoir du mal à rassembler. L’unanimité de départ a visiblement laissé place aux guerres de positionnement au sein de la classe politique congolaise proche du pouvoir.
 
 
 
 
 
 
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 À quand le Gouvernement ? Contacté par Politico.cd, un proche du Premier Ministre sous couvert d’anonymat estime que le retard qu’accuse la sortie du nouveau Gouvernement est tributaire aux querelles intestines des partis et regroupements politiques concernant les postes ministériels. À l’en croire, ces partis peinent à accorder leur violons. Dans les couloirs des salons huppés, où l’on rencontre la Gotha politique congolaise, l’on apprend de sources sûres qu’une première mouture déposée sur la table du Président de la République n’a malheureusement pas été approuvée. Elle devra donc être revue et retravaillée. L’une des plus grandes questions qui divisent est notamment celle des quotas. Là où les romains s’empoignèrent Alors que la population s’impatiente dans l’attente interminable de la sortie d’un nouveau Gouvernement, les esprits s’échauffent déjà au sein de certains états-majors politiques conviés au partage du pouvoir de l’Union sacrée. À l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), parti présidentiel, le Secrétaire Général Augustin Kabuya semble dépassé. “J’avais responsabilisé toutes les structures du Parti pour mettre en place des commissions de gestion des ambitions. Mais à notre grande surprise, sur 8 postes, nous avons 72 candidats. C’est comme ça qu’on leur a dit que même les anges ne peuvent pas trancher cette histoire”, a-t-il déploré lors de la cérémonie d’installation du comité fédéral de l’UDPS/Lukunga à Kinshasa. La tâche est encore beaucoup plus ardue pour l’UDPS que l’on y croit. Tenez bien : “J’avais fait mon rapport au Président du parti et au Chef de l’État. Même les ministres du gouvernement sortant disent qu’ils doivent être reconduits”, s’étonne Augustin Kabuya. Mais là, il ne s’agit encore que de l’UDPS. Au sein du regroupement AFDC-A de Bahati Lukwebo, Steve Mbikayi du Parti Travailliste (PT) n’a plus sa langue en poche. Après ses querelles avec Bahati autour de la paternité du regroupement AFDC-A, maintenant que la justice a reconnu à Bahati la qualité d’autorité morale, Mbikayi s’est vu dans l’obligation d’accepter une décision judiciaire contre son gré. Et maintenant que c’est à Bahati de parler à Sama au nom de l’AFDC-A, Steve Mbikayi se trouve en mauvaise posture, dans une situation embarrassante. Virage à 360°. Il crée son nouveau Front Patriotique qui admet comme seul candidat à l’élection présidentielle de 2023 Félix Tshisekedi. Il reste néanmoins au sein de l’AFDC-A mais fait pression désormais sur Bahati Lukwebo, notamment sur les réseaux sociaux. Steve Mbikayi s’indigne du fait que la liste des ministrables envoyée au Premier Ministre a été dressée sans le concourt de son parti. “On a le Deuxième Vice-président de l’Assemblée Nationale et le Président du Sénat pris par l’AFDC-A. Sur les 41 députés,10 appartiennent aux alliés dont le PT est majoritaire. Les alliés ne sont pas associés à la désignation des animateurs dans toutes les institutions comme ailleurs. Dictature éhontée ?”, s’est interrogé Steve Mbikayi. Il dénonce partout sur la toile la “roublardise nationale” qui, selon lui, caractérise Bahati Lukwebo.
 
 
 
 
 
 
 
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 Mais il y a aussi les transfuges du parti de Joseph Kabila. Le PPRD Mosaïque de Jean-Charles Okoto et Godard Motemona, par l’entremise de Ngoy Kasanji, tient à ne pas se faire oublier. Ou mieux, à ne pas se faire rouler. Dans la farine. “Par rapport à la stratégie électorale de notre parti, pour avoir plus de députés, il y avait plusieurs partis fictifs qui n’avaient jamais fonctionné et dont leurs présidents étaient désignés par la hiérarchie, mais notre identité reste toujours PPRD (Mosaïque-PPRD) et nous comptons 51 députés. Dans cette logique-là, il ne faut pas qu’on nous réduise. Je solliciterai qu’on nous considère comme Mosaïque et que notre poids politique ne soit déconsidéré”, a-t-il fait savoir le 14 mars dernier, faisant allusion à la répartition des postes. Cette guéguerre observée ces derniers jours au sein des partis et regroupements acquis à l’Union sacrée ne fait que retarder la nomination des membres du prochain Gouvernement. Pour Maître Odia-Arlette Kashama du Collectif pour le développement et l’unité du Congo (CDUC), la nomination des membres du Gouvernement tardera davantage à cause de la témérité de l’Union sacrée. Selon elle, le salut du pays repose sur l’alliance entre Tshisekedi, Kabila et Fayulu. “Tout le reste n’est que vaste blague”, déclare-t-elle. Du côté du pouvoir par contre, l’on tente de rassurer. Le Professeur Mbata, député UDPS, estime que le temps pris par Sama Lukonde est justifié. « Il ne peut le faire qu’après avoir consulté les leaders politiques et sociaux, c’est tout à fait normal. Je pense que tout sera prêt mais dans tous les cas, le gouvernement n’entre en fonction qu’après que le programme du gouvernement ait été approuvé par l’Assemblée nationale. Donc, même s’il était constitué aujourd’hui ou après-demain, il n’entrerait en fonction avant l’investiture par l’Assemblée nationale. Dans tous le cas aussi, la session qui commence va investir le nouveau gouvernement », défend-t-il. Cet avis, le député provincial de l’UDPS, Peter Kazadi, le partage amplement également. Au Palais du peuple, c’est déjà la nouvelle session. La rentrée parlementaire tant attendue devant consacrer l’investiture d’un nouveau Gouvernement a repris ce lundi 15 mars mais, entre-temps, toujours pas de Gouvernement.

Politique Gouvernement Sama : Pression et tension !

Sama Lukonde est entre le marteau et l’enclume. Trente jours après sa nomination au poste de Premier Ministre, les consultations devant abou...

Les victimes de Kalev Mutond témoignent

March 16, 2021

Pilier du système Kabila et ancien patron de l'Agence nationale des renseignements (ANR), Kalev Mutond est poursuivi devant la justice par ses anciens détenus. <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhflvYjL1E2K0Wx_li5xaqXhwb-DpIjizb2o3amKtd8g8KhjIxk0vGSJ04KAp4IjMYEfS2f-ZrSm2I5U4PU0F6qWxdmNZeXoIW75yzFVbfoH_iJbyAiby43zXJB_B2f3LKF217N8YYJFw/s592/jad20210218-ass-rdc-kalev-mutond-592x296-1613740658.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="296" data-original-width="592" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhflvYjL1E2K0Wx_li5xaqXhwb-DpIjizb2o3amKtd8g8KhjIxk0vGSJ04KAp4IjMYEfS2f-ZrSm2I5U4PU0F6qWxdmNZeXoIW75yzFVbfoH_iJbyAiby43zXJB_B2f3LKF217N8YYJFw/w640-h320/jad20210218-ass-rdc-kalev-mutond-592x296-1613740658.jpg" width="640" /></a></div> Les ennuis s’accumulent pour les proches de l’ancien président Joseph Kabila pourtant considérés comme des intouchables. Après l’ancien président du Sénat Alexis Thambwe Mwamba, l’ex-Premier ministre Matata Ponyo, l'ancien candidat à la présidentielle Emmanuel Ramazani Shadary, ou encore Daniel Ngoy Mulunda, ex-président de la Ceni, c’est au tour de Kalev Mutond, autrefois puissant patron des renseignements congolais, d’être visé par la justice. Il est accusé de tortures, menaces de mort, arrestations arbitraires et tentative d’assassinat. Le parquet général de la cour d’appel de Kinshasa-Gombe a adressé une correspondance à l’actuel administrateur général de l’Agence nationale des renseignements (ANR), Inzun Kakiak, pour requérir son autorisation afin de pouvoir poursuivre en justice, son prédécesseur, Kalev Mutond qui était surnommé à l’époque, "super flic".
 
 
 
 
 
 
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 Après que le procureur général a émis un avis de recherche à son endroit pour n'avoir pas répondu à ses convocations, la famille Mutond s'inquiète et indique que l'ex-chef des renseignements est porté disparu depuis mercredi 10 mars 2021. Mais les plaignants eux se disent impatients et voudraient voir leur ancien bourreau répondre de ses actes le plus rapidement possible. Me Jean-Claude Muyambo a été l'une des victimes présumées de Kalev Mutond. Il a décidé de témoigner et de raconter son histoire.
 
 
 
 
 
 
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 "Ils sont venus à 3 heures du matin et c'est à ce moment qu'ils m'ont cassé le pied. Ils m'ont pris et m'ont emmené à l'ANR. Là-bas, on me pose seulement une question et on me prend pour aller à Makala. Ensuite, on m'a emmené à l'hôpital et quand ça lui plaisait il venait et me prenait. Puis il me jetait encore en prison, on me ramenait encore à l'hôpital et ainsi de suite, jusqu'à ce que je dise ne plus vouloir aller à l'hôpital. Mais on ne pouvait rien faire puisque lui, il était un petit dieu". Plainte d’une dizaine d’anciens détenus Comme Me Jean-Claude Muyambo, ce sont une dizaine d'anciens détenus qui ont déposé plainte contre Kaley Mutond. Tous estiment que le comportement dont ils ont été victimes n'était pas propre à l'ANR mais plutôt du fait d'un seul individu, qu'ils voudraient désormais voir répondre de ses actes. "Effectivement nous sommes impatients. Nous voudrions qu'il soit traduit en justice le plus rapidement possible. Il a reçu deux convocations auxquelles il n'a pas répondu. Aujourd'hui il est recherché et il se cache, il est en cavale. Mais nous, nous pensons qu'au stade actuel, il faudrait que la justice puisse mettre la main sur lui et le présenter aux juges“, témoigne Christopher Ngoy, un autre plaignant.
 
 
 
 
 
 
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 Pendant ce temps, les avocats de Kalev Mutond ont demandé le retrait de l'avis de recherche concernant leur client. Dans un communiqué publié ce week-end, la famille affirme avoir tenté en vain de joindre Kaley Mutong au téléphone, se disant surprise du fait que ce soit un inconnu qui réponde à la place de l'ex-administrateur de l'ANR. La famille Mutond parle aussi d'un acharnement politique et appelle le président Felix Tshisekedi à s'impliquer personnellement dans cette affaire.

Justice Les victimes de Kalev Mutond témoignent

Pilier du système Kabila et ancien patron de l'Agence nationale des renseignements (ANR), Kalev Mutond est poursuivi devant la justice p...

BA SANGO YA CONGO KINSHASA

Gouvernement : « Cela va durer encore longtemps tant que l’un voudra avoir plus que l’autre », JC Katende

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Pius Muabilu récompense ses députés restés « fidèles » pendant la révolution parlementaire des jeeps

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Gouvernement: faute de l’équilibre politique, Tshisekedi « rejette » la première mouture de Sama Lukonde

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RDC : LE PONT N’DJILI EN PARTIE EFFONDRÉ ET LA CAPITALE KINSHASA INONDÉE PAR LES EAUX CE 16 MARS 2021 . LES LARMES DE NGOBILA ! ( ARTICLE + VIDEO )

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KALEV MUTOMB LA BIBLIOTEQUE CRIMINELE DE LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO SOUS LE REGIME KABILA. HERITIER NGASHI AU MICRO DE MAITRE JOEL KITENGE ( VIDEO )

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PASTEUR GUILY 16-03-21 : LES VERITES SUR PERO LUWARA ET PAPA MOLIERE . LES REALISATIONS DE FELIX TSHISEKEDI . ( VIDEO )

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RDC : Ce qu'il faut retenir de la visite du président du Botswana à Kinshasa

"Polémique" sur l'anniversaire de la 1ère Dame : "L'acte posé par le chef de l'État est une leçon pédagogique pour les hommes qui n'honorent pas leurs femmes", (Kabuya)

RDC/Vaccin AstraZeneca: “Le Gouvernement ne peut pas se permettre des produits toxiques ou piratés” (G. Kankonde)

Composition du gouvernement: “ce blocage est la conséquence de ce que nous avons déploré hier” (F. Kambere)

Gouvernement Sama : Pression et tension !

Les victimes de Kalev Mutond témoignent

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