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Guerre médiatique : la réplique foudroyante de l’UDPS à Katumbi

August 24, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj6Ch8MoUeKN0gIpWHyroE_PzaTq6vJ4bWzNbDUmE-GbB-2tuTZOFLs_W6idJEr-fwPyvDZTlCkOaGLsonGmG398cyYKKpfEtRoqfkuU9Wch5DNtj0kkbu2OEiB-hB8KEOWKXBWJnQj8K1z/s995/bvcxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxq.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="567" data-original-width="995" height="182" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj6Ch8MoUeKN0gIpWHyroE_PzaTq6vJ4bWzNbDUmE-GbB-2tuTZOFLs_W6idJEr-fwPyvDZTlCkOaGLsonGmG398cyYKKpfEtRoqfkuU9Wch5DNtj0kkbu2OEiB-hB8KEOWKXBWJnQj8K1z/s320/bvcxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxq.png" width="320" /></a></div>L’UDPS digère mal la dernière sortie médiatique de Moïse Katumbi dans les colonnes du magazine Jeune Afrique. Le leader de Ensemble et allié principal du président Tshisekedi avait notamment menacé de quitter l’Union sacrée une fois la controversée loi Tshiani alignée à l’assemblée nationale. Et c’est Hervé Ntini, cadre du parti présidentiel qui s’est chargé de régler son compte à l’ancien gouverneur. Hervé Ntini était l’invité de Jean Pierre Kayembe sur le plateau de la chaîne Non à la Balkanisation.<br /> <p></p>

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L’UDPS digère mal la dernière sortie médiatique de Moïse Katumbi dans les colonnes du magazine Jeune Afrique. Le leader de Ensemble et allié...

Affaire Kalev Mutondo : Sa famille dénonce « des attouchements sexuels forcés d’un officier militaire »

August 24, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZBDPGYmK8Ye1zYPzqfJM2UrCNsDZn5vEt_yk8q0iZuklYy16m6I5KeUOA5QoUB0yW4I99MPwCnlZcNSCR_pbqk5oLzYBPPLco6ngMG85qqfrO3b2fFbWYbtJnqcnPiO9vri_36XBdVTts/s872/bbbbbbbbbbbbbbbbbbbb.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="487" data-original-width="872" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZBDPGYmK8Ye1zYPzqfJM2UrCNsDZn5vEt_yk8q0iZuklYy16m6I5KeUOA5QoUB0yW4I99MPwCnlZcNSCR_pbqk5oLzYBPPLco6ngMG85qqfrO3b2fFbWYbtJnqcnPiO9vri_36XBdVTts/s320/bbbbbbbbbbbbbbbbbbbb.png" width="320" /></a></div><br />Il faut être vertébré pour tenir fort face à ce que la famille de l’ancien Administrateur Général de l’Agence Nationale de Renseignements (ANR), Kalev Mutondo, est entrain de vivre en ce moment.<br /><br />Malgré les dénonciations précédentes, la famille de l’ancien AG de l’ANR est toujours victime de certaines mauvaises pratiques lors de différentes perquisitions des résidences de Kalev Mutond.<br /><br />Cette fois-ci, la famille<br />de l’AG honoraire de l’ANR dénonce des perquisitions ‹‹irrégulières et illégales opérées par une unité de l’armée›› dans ses résidences et dénonce ‹‹des attouchements sexuels forcés d’un officier militaire ››, entendez, ‹‹ Caresse à caractère sexuel ›› pendant des perquisitions.

<br /><br />‹‹ J’ai constaté, en janvier-Février 2021, un déferlement et une avalanche de plaintes contre monsieur Kalev Mutondo, AG honoraire de l’ANR (2011_2019), déposées au même moment, et à la même période aux parquets généraux Kin_Gombe et Kin_Matete…›› dénonce la fille de Kalev Mutondo.<br /><br />Et d’ajouter : ‹‹ Militaires FARDC de la 14 ème région militaire commandés pour la circonstance par le général Hugo Ilondo commandant de la 14eme région militaire, assisté par une dizaine d’agents de l’ANR, et ce, sans aucun mandat de justice ››.

<br /><br />‹‹ Ces deux perquisitions interviennent après celle du 18 mars 2021, menée par une trentaine de militaires commandos spéciales des FARDC qui s’était soldée par la saisie de toutes les clés de la maison principale et de ses annexes ainsi que des effets d’un particulier ››, déplore-t-elle.<br /><br />Pilier du système Kabila, Kalev Mutond est accusé de tortures, menaces de mort, arrestations arbitraires et tentative d’assassinat.<br /><br />Celui qui a dirigé l’ANR de 2011 à 2018 a boudé de se présenter devant la justice pour comparaitre. Il vit actuellement en clendestinité.<p></p><div><br /></div><div>Par Olivier Rolland Tshimanga</div>

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Il faut être vertébré pour tenir fort face à ce que la famille de l’ancien Administrateur Général de l’Agence Nationale de Renseignements (A...

MAITRE RICHARD MPINDA : MOÏSE KATUMBI UTILISE LES MÉDIAS INTERNATIONAUX POUR DÉSTABILISER FÉLIX TSHISEKEDI . ( VIDEO )

August 23, 2021

MAITRE RICHARD MPINDA : MOÏSE KATUMBI UTILISE LES MÉDIAS INTERNATIONAUX POUR DÉSTABILISER FÉLIX TSHISEKEDI . ( VIDEO )

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MOISE KATUMBI DEVOILE SON PLAN CACHE CONTRE LE PRESIDENT FELIX TSHISEKEDI . PRESIDENT RENE DEVOILE LE POT AUX ROSES . EMISSION LE PEUPLE D ' ABORD DU 23 AOUT 2021 . ( VIDEO )

August 23, 2021

MOISE KATUMBI DEVOILE SON PLAN CACHE CONTRE LE PRESIDENT FELIX TSHISEKEDI . PRESIDENT RENE DEVOILE LE POT AUX ROSES . EMISSION LE PEUPLE D ' ABORD DU 23 AOUT 2021 . ( VIDEO )

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PASTEUR GUILY DU 23 AOUT 2021: MOISE KATUMBI EST UN AVENTURIER POLITIQUE , NGA NA LEKI NA POLITIQUE YA CONGO , YE ALEKI NGA KAKA NA KO YIBA MBONGO YA CONGO NA NZELA YA FELIX TSHISEKEDI . QU ' EST CE QUI SE CACHE DERRIERE LA MORT DE GABRIEL KYUNGU . ( VIDEO )

August 23, 2021

PASTEUR GUILY DU 23 AOUT 2021: MOISE KATUMBI EST UN AVENTURIER POLITIQUE , NGA NA LEKI NA POLITIQUE YA CONGO , YE ALEKI NGA KAKA NA KO YIBA MBONGO YA CONGO NA NZELA YA FELIX TSHISEKEDI . QU ' EST CE QUI SE CACHE DERRIERE LA MORT DE GABRIEL KYUNGU . ( VIDEO )

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RDC : Félix Tshisekedi un héros ou un zéro

August 23, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhn1gSHzJJo6H9rgfDY74bw-w0ez7I2TBvLtrbDi63jNbxIrfUa7tyQsGPUj_v_IoglQ1ZZesE9Xz9i0Vaa_gO70HFc_k5M1yWoez7EN4_kM1JxsgfZT2QGyC_UorkYC3R-QySi6vN_MLW4/s1024/2089f8340b.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="573" data-original-width="1024" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhn1gSHzJJo6H9rgfDY74bw-w0ez7I2TBvLtrbDi63jNbxIrfUa7tyQsGPUj_v_IoglQ1ZZesE9Xz9i0Vaa_gO70HFc_k5M1yWoez7EN4_kM1JxsgfZT2QGyC_UorkYC3R-QySi6vN_MLW4/s320/2089f8340b.jpg" width="320" /></a></div>Au moment où les élections prévues en 2023 s’approchent, le sort du président Félix-Antoine Tshisekedi reste en filigrane, depuis qu’il a annoncé sa candidature pour 2023 devant la presse.<br />Les agitations autour de la désignation du Président de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) n’a d’autres raisons que l’intention des uns et des autres de s’assurer le contrôle de la CENI. Mais, au-delà de la configuration de la CENI, l’élément déterminant de l’avenir politique de Félix Tshisekedi reste le bilan du mandat en cours. Ce bilan peut être évalué sous trois axes : politique, socioéconomique et sécuritaire.<br /><br />SUR LE PLAN POLITIQUE,<p></p><p><br />Félix aura un bilan facile à défendre : réforme de la justice ; avènement de l’Union sacrée ; revalorisation de l’Inspection Générale des Finances (IGF) ; arrestation ou suspension des gestionnaires accusés de malversation, notamment Vital Kamerhe, son Directeur de cabinet ; réforme de la CENI et l’organisation des élections voulues dans les délais, etc..<br />Félix Tshisekedi pourrait brandir le déboulonnage du système Kabila grâce à l’avènement de l’Union sacré et la démystification des caciques du pouvoir dont certains ont pris le chemin de l’exil. Même si la gestion politique de l’Union sacrée semble poser quelques problèmes en interne, la déception que les Congolais ont cumulée du régime Kabila donne du crédit à l’Union sacrée, quelles que soient les modalités de sa mise en place.
  
  
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  <br /><br />Félix Tshisekedi qui a commencé très faible avec la coalition FCC-CACH, a surpris plus d’un analyste politique au regard de l’emprise que cet accord avait sur lui. Mais, c’était sans compter sur le fait que Félix, c’est le fils de Etienne Tshisekedi. Si l’homme n’a pas occupé des hautes fonctions politiques avant d’arriver au sommet de l’État, il a été néanmoins formé sur les tas. Il était à la meilleure école politique du pays dont le siège était à domicile. Ayant vécu toutes les stratégies d’isolement dont son père était l’objet et la manière dont Mobutu a dribblé l’opposition pendant toutes ces années, Félix Tshisekedi était témoin des négociations politiques au plan local et international qui ont permis à l’Udps de tenir pendant plus de trente ans. Aucune faculté ne pouvait faire mieux en termes de formation.
  
  
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  <br />C’est à tort que beaucoup l’ont minimisé pour son inexpérience en politique. Félix Tshisekedi ne fait qu’appliquer aux Kabilistes ce que Mobutu et les Kabila ont fait vivre à l’opposition.<br /><br />SUR LE PLAN SOCIOÉCONOMIQUE,</p><p><br />le bilan sera plutôt difficile à défendre, d’autant qu’il est mitigé. Il y a, certes, beaucoup de bonne volonté, mais la bonne foi ne suffit pas. Les Congolais attendent des résultats concrets et leur impact sur le vécu quotidien. Sinon, le discours restera politique. Même les efforts de l’IGF à traquer les mauvais gestionnaires resteront une action politique si elles ne produisent pas d’impact économique et social. Il faudra multiplier et consolider des mesures comme la gratuité de l’enseignement de base, des billets d’avion sur les lignes domestiques, et des vivres sur le marché. Choses qu’il n’est pas facile de consolider du fait que l’économie congolaise est toujours sous contrôle du clan Kabila et de leurs amis étrangers.<br /><br />SUR LE PLAN SÉCURITAIRE, </p><p>le bilan parait encore plus difficile à négocier. Il s’agit de ramener la paix dans l’Est où l’insécurité règne depuis plus d’un quart de siècle, selon sa promesse électorale. L’état de siège décrété dans les provinces de l’Est en proie à l’insécurité est certes l’une des décisions courageuses que Félix Tshisekedi a prises dans la recherche des solutions aux problèmes de l’Est du Congo, même si les résultats se font attendre.
  
  
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  <br />La présence des États Unis d’Amérique dans les parcs de l’Est du Congo est diversement interprétée. Alors que les uns la trouvent encourageante en termes d’échanges d’informations avec les Fardc, les autres soupçonnent un agenda caché, car cette présence coïncide avec les vœux exprimés par l’Ouganda d’accueillir des réfugiés afghans sur son sol. Hier, c’était le Rwanda qui se disait prêt à accueillir les clandestins africains malmenés en Lybie sur son petit territoire déjà exigu pour sa propre population. Ces pays sous-traitants des firmes occidentales dans l’exploitation du Congo et qui n’ont déjà pas assez d’espace pour eux-mêmes penseraient-ils déverser le trop plein dans l’Est du Congo ?<br /><br />Au-delà de tout, Félix Tshisekedi doit tenir compte de l’opinion de la population de l’Est dans la recherche des solutions à ce conflit qui présente plusieurs facettes. Le fait d’imposer Tommy Tambwe dont la désignation est contestée par la plupart des communautés de l’Est comme coordonnateur du programme DDRCS n’est pas de nature à faciliter les choses. Ces dernières lui reprochent son passé de rebelle et surtout son accointance avec le Rwanda impliqué dans l’insécurité que connait la partie Est du pays, au risque de déverser encore, comme en 2003, des milliers des soldats et officiers étrangers dans l’armée congolaise.<br /><br />Toutefois, alors que le processus du retrait des troupes de la Monusco est en discussion, l’Est de la RDC n’a jamais été si proche de la paix depuis 1994.
  
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  Tout en sachant que celui qui gagne les élections dans l’Est, gagne les élections en Rdc, il faudra bien négocier la paix en faveur de cette population pour que cela ne paraisse pas comme une énième trahison. Ce qui pourrait avoir un impact direct sur l’issue des prochaines élections. La situation serait encore plus compliquée si, malgré tous les efforts consentis, la paix ne revenait toujours pas dans l’Est avant la fin du mandat.<br /><br />L’avenir politique de Félix Tshisekedi se joue véritablement dans cette guerre où il s’est engagé. Ou il la gagne et il devient un héros, ou il ne la gagne pas et cela annule tout le bilan.</p><p>(Une chronique du Prof Voto)</p>

Politique RDC : Félix Tshisekedi un héros ou un zéro

Au moment où les élections prévues en 2023 s’approchent, le sort du président Félix-Antoine Tshisekedi reste en filigrane, depuis qu’il a an...

MOISE KATUMBI MONTRE SA DEFICIENCE INTELLECTUELLE AVEC SA COMEDIE POLITIQUE EN VOULANT PARDONNER KABILA ET SON FCC: ABBE SHOLE ANALYSE ET CRITIQUE CE 23 AOUT 2021 ( VIDEO )

August 23, 2021

MOISE KATUMBI MONTRE SA DEFICIENCE INTELLECTUELLE AVEC SA COMEDIE POLITIQUE EN VOULANT PARDONNER KABILA ET SON FCC: ABBE SHOLE ANALYSE ET CRITIQUE CE 23 AOUT 2021 ( VIDEO )

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FCC BA SEPELI NA LIWA YA KYNGU WA KUMWANZA POUR FRAGILISER FELIX TSHISEKEDI . PARLEMENT DEBOUT JC DU 23 AOUT 2021 . ( VIDEO )

August 23, 2021

FCC BA SEPELI NA LIWA YA KYNGU WA KUMWANZA POUR FRAGILISER FELIX TSHISEKEDI . PARLEMENT DEBOUT JC DU 23 AOUT 2021 . ( VIDEO )

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MOISE KATUMBI PLUS PROCHE DE KABILA QUE DE FATSHI : PARLEMENT DEBOUT UDPS MOUSTAPHA DU 22/08/2021 ( VIDEO )

August 21, 2021

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Katumbi sur Kabila : « Je n’ai jamais eu de problème avec lui, c’est avec son entourage que ça coinçait »

August 21, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjcq_6yg6-fBS69GH5ckYhtPLFpvn8nsmQqtsdrdbIjlk7bJf2EIrf46We5tOhGB9MlWwWLwZfexkfvKP1MNm0qPMrSYT3vrjalQZXxEM9E26oApJEG2UzJOyRwSU5Fq2Uo_NIsl7w41SFb/s991/qzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzrf.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="548" data-original-width="991" height="177" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjcq_6yg6-fBS69GH5ckYhtPLFpvn8nsmQqtsdrdbIjlk7bJf2EIrf46We5tOhGB9MlWwWLwZfexkfvKP1MNm0qPMrSYT3vrjalQZXxEM9E26oApJEG2UzJOyRwSU5Fq2Uo_NIsl7w41SFb/s320/qzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzrf.png" width="320" /></a></div> Entre Kabila et moi, il n’y a jamais eu de problème, assure vendredi Katumbi dans une interview à Jeune Afrique.<br /><br />Le boss du TP Mazembe indique c’est plutôt avec l’entourage de Kabila que cela coinçait. Il se passe la même chose au sein de l’Union sacrée. « Il y a des gens qui pensent que, quand vous êtes proche de quelqu’un, c’est pour prendre son poste. Moi je ne suis pas un demandeur d’emploi », insiste Katumbi.<br /><br />Pour lui, ils ne se sont jamais reparlés depuis six ans (2015).

L’année où il avait quitté les rangs de l’ancienne coalition au pouvoir dénonçant au passage les trois faux penalties. « On ne s’est jamais reparlé depuis que j’ai quitté la majorité, en 2015. Mais si un jour le besoin s’en fait sentir, je chercherai son numéro et je l’appellerai« .<br /><br />Pas conflictuel, bon chrétien qui sait pardonner, Katumbi n’exclut pas donc d’adresser la parole pour tourner une longue page noire où il a subi traitements inhumains et humiliations.<br />Dan Kalala Kalambay<br />Ouragan FM <p></p><p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /><br /></div><br /><p></p>

Politique Katumbi sur Kabila : « Je n’ai jamais eu de problème avec lui, c’est avec son entourage que ça coinçait »

Entre Kabila et moi, il n’y a jamais eu de problème, assure vendredi Katumbi dans une interview à Jeune Afrique. Le boss du TP Mazembe indi...

La condamnation de Jacky Ndala est « inadmissible et injuste », dénonce Katumbi

August 21, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgxUXBiMicBw6KBS-EeggTO8wtFjbynQeq7oRndL7tXv4t4HVhpFDE6J4UZN4yp-lVr4Np08dtztAh3IkxF4YXgye_EA9m7cST6OI3OwkahTUQdkU8CJWSNEhO0sEv9HzbZJl2G6zhW7lzu/s767/aqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqq.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="457" data-original-width="767" height="191" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgxUXBiMicBw6KBS-EeggTO8wtFjbynQeq7oRndL7tXv4t4HVhpFDE6J4UZN4yp-lVr4Np08dtztAh3IkxF4YXgye_EA9m7cST6OI3OwkahTUQdkU8CJWSNEhO0sEv9HzbZJl2G6zhW7lzu/s320/aqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqq.png" width="320" /></a></div>Le Président d’Ensemble pour la République, Moïse Katumbi Chapwe, a dénoncé dans une interview accordée à Jeune-Afrique jeudi 19 août, la condamnation de Jacky Ndala, président de la Ligue des jeunes de son parti, par la justice congolaise.<br /><br />Pour lui, cette condamnation en première instance est « d’inadmissible et injuste » car, estime-t-il, un politicien qui n’est pas critique, c’est un politicien mort.<br /><br />« Cette condamnation est inadmissible et injuste. D’abord parce qu’un politicien qui n’est pas critique, c’est un politicien mort. Et puis d’autres ont tenu des propos autrement plus dangereux et sont toujours en liberté.

On les invite même très souvent sur les plateaux de télévision », dénonce Moïse Katumbi.<br /><br />Jugé en fragrance au tribunal de paix de Kinkole, le coordonnateur national de la jeunesse d’Ensemble pour la République a été condamné mardi 20 juillet, tard dans la soirée, à 24 mois de prison ferme et au paiement de la somme de 500.000 francs congolais (250 USD) d’amende, avec arrestation immédiate, pour incitation à la désobéissance civile.

<br /><br />Ses avocats ont interjeté l’appel de cette décision. Le procès, en second degré, est en cours.<br /><br />Pour rappel, Jacky Ndala est parmi les gens qui sont contre la proposition de loi dite sur la « congolité » de Noël Tshiani. Ce texte, un fois adopté et promulgué, pourrait exclure de la prochaine présidentielle des candidats, comme son leader Moïse Katumbi, qui ne sont pas de père et de mère congolais.<p> </p>

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Politique La condamnation de Jacky Ndala est « inadmissible et injuste », dénonce Katumbi

Le Président d’Ensemble pour la République, Moïse Katumbi Chapwe, a dénoncé dans une interview accordée à Jeune-Afrique jeudi 19 août, la co...

Faux exil de Kikaya bin Karubi : La vérité que le fuyard ne dit pas !

August 21, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvNivU8vdyk9aPyb4KuI9pRS7ybbyS0r_DV8ijr3wxVXMOuns0c9JUgztGqGon0eo77C_v6NTc8FYPzKuc6u8qil0PMgNhaEvmcniy5wdZ-xAKk0cxxxqxbwpmTar57Guvj0JfpkvJIvTW/s1164/vbbbbbbbbbbbbbbbbbbbbbbb.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="732" data-original-width="1164" height="201" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhvNivU8vdyk9aPyb4KuI9pRS7ybbyS0r_DV8ijr3wxVXMOuns0c9JUgztGqGon0eo77C_v6NTc8FYPzKuc6u8qil0PMgNhaEvmcniy5wdZ-xAKk0cxxxqxbwpmTar57Guvj0JfpkvJIvTW/s320/vbbbbbbbbbbbbbbbbbbbbbbb.png" width="320" /></a></div>La pratique commence à être la même lorsque l’on veut quitter le pays pour rester à l’étranger : charger le régime au pouvoir. Seulement, cette astuce venant d’un citoyen lambda ne poserait pas un problème au regard de la misère que connaît l’Afrique en général et la RDC en particulier, que cela puisse être un argument de taille des immigrés en vue de leur faciliter l’obtention des documents de séjour. <div><br /></div><div>Mais venant d’un ancien diplomatique de la trempe de Kikabi bin Karubi, qui pourra aisément et facilement à travers toutes ses relations tissées, aller rester à l’étranger, étonne.<br /><br />En effet, intervenant sur les antennes de Top Congo FM, le collaborateur de Joseph Kabila allègue que sa fuite du pays par l’Angola, est consécutive des menaces reçues du régime en place. «J’ai été inquiété, j’ai eu des menaces très sérieuses que j’ai négligées au début. Mais par la suite, es menaces devenaient de plus en plus persistantes, raison pour laquelle avec les miens, nous avons organisé une évacuation qui s’apparente à une évacuation commando, planifiée et exécutée par mes proches. <div><br /></div><div>C’est ainsi que j’ai quitté le pays.
  
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  Je me trouve quelque part mais je ne peux pas vous dire où, mais vous le saurez bientôt», a-t-il déclaré au journaliste interviewer en ajoutant : «Il n’est un secret pour personne que mes prises de position, mes critiques et analyses sur la gouvernance de M. Félix Tshisekedi dérangeaint les personnes au pouvoir…Lorsqu’une  justice devient injuste, je m’excuse de le dire, la nation ne se lève pas».<br /><br />Ce discours de l’ancien diplomatique est celui utilisé chez les Blancs du temps de Mobutu et Kabila par les «prétendus militants» de l’UDPS pour justifier leur «fuite» du pays en vue d’obtenir les documents de séjour dans les pays occidentaux. La pratique que Kikaya bin Karubi utilise est connue et n’est pas nouvelle. 
  
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  A leur époque de gouvernance et celle de Mobutu, les journaux (presse écrite) ont favorisé beaucoup de Congolais d’obtenir ces documents de séjour avec des articles du genre «avis de recherche», «enlèvement d’un tel ou tel militant de l’UDPS», «menace et intimidation de tel militant de l’UDPS», etc.<br /><br />Au jour d’aujourd’hui, sieur Kikaya bin Karubi ne dira pas aux autorités du pays qui va l’accueillir que l’ANR de Justin Inzun Kakiak sous Tshisekedi est terroriste comme celle de Kalev Mutondo sous Kabila, leur régime ! Pince-sans-rire, Kikaya cite parmi les gens qui le menaçait feu Kitenge Yesu dit Le tomatier ! Dommage qu’il n’a même pas du respect pour un mort. Et pour couronner sa vaste blague d’exil, l’ancien homme fort du régime Kabila déclare : «Je vis en clandestinité pour combattre la dictature instaurée par Félix Tshisekedi».
  
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  <br /><br />Ce qui fait beaucoup rire les oiseaux. Non, monsieur l’ambassadeur, on ne combat pas la dictature en dehors du pays, c’est de la lâcheté. Tshisekedi «dictateur» aujourd’hui a combattu le régime Kabila tout en étant au pays. Son père l’a fait également jusqu’à être relégué dans son village par Mzée Laurent Désiré Kabila. Aussi, Kikaya ne va pas dire qu’il est virulent sur Twitter que la bande à India Omari, Papy Tamba et Popol Badjegete  ! Qui les inquiète ? Faux fuyant.<br /><br />La vraie vérité que Kikaya bin Karubi ne dit pas sur sa fuite est que sa plainte déposée contre le journaliste Israël Mutombo du magazine Bosolo ya politik, au sujet de la dénonciation faite par l’Inspection générale des finances des cartes de crédit prépayé détenues par les anciens dignitaires au pouvoir du FCC et relayée par le journaliste, était à sa totale défaveur. Annonçant cette plainte avec pompe, Kikaya pensait faire trembler Israël Mutombo. Serein, ce dernier avec toutes les preuves de l’IGF, l’attendait au tournant. 
  
  
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  C’est lorsque le parquet demande à Kikaya de venir confirmer sa plainte que ce dernier réalise le danger qu’il courait. Il était impliqué pieds et mains liés dans ce détournement des deniers publics dans cette sorte de mafia embellie à travers ces cartes de crédit prépayé. C’est ce qui a justifié sa fuite et il n’y a pas une autre raison. Kikaya s’est senti déjà coupable et c’est la vérité qu’il ne veut pas dire malheureusement…<br /><br /><a class="tdb-author-name" href="https://scooprdc.net/author/agnelo-agnade/" style="box-sizing: border-box; color: black; font-family: Rajdhani !important; font-size: 18px !important; margin-right: 3px; outline: 0px; text-decoration-line: none !important; vertical-align: middle;">Agnelo Agnade</a> </div></div>

Politique Faux exil de Kikaya bin Karubi : La vérité que le fuyard ne dit pas !

La pratique commence à être la même lorsque l’on veut quitter le pays pour rester à l’étranger : charger le régime au pouvoir. Seulement, ce...

Moïse Katumbi-Félix Tshisekedi : en route vers la rupture ?

August 21, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEicd0eFP2a9Id4-QE1R7DUGnCLAffTHWHHcyAmNyKm5p3WhBQFg424jJ0xBjE1w_lXZ7KoSflFFOoWuuDq-Vof4T5Ur-svq8AiKjSV2BBuB3dar1HeVrA_LwyN1avFSt85I0ka2MFfeJM8m/s725/bhbbbbbbbbbbbbb.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="467" data-original-width="725" height="206" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEicd0eFP2a9Id4-QE1R7DUGnCLAffTHWHHcyAmNyKm5p3WhBQFg424jJ0xBjE1w_lXZ7KoSflFFOoWuuDq-Vof4T5Ur-svq8AiKjSV2BBuB3dar1HeVrA_LwyN1avFSt85I0ka2MFfeJM8m/s320/bhbbbbbbbbbbbbb.png" width="320" /></a></div>Comme pour annoncer sa rupture en 2015 avec Joseph Kabila, Moïse Katumbi parla du troisième faux penalty, l’ancien gouverneur de l’ex-Katanga et président de Ensemble pour la république tacle et titille le régime Tshisekedi en se faisant même avocat de Kikaya Bin Karubi, John Numbi, Kalev Mutond, Ngoy Mulunda, Vital Kamerhe et Augustin Matata Ponyo  dans une interview tout récemment accordée au Magazine Jeune Afrique. Du débat autour de la loi Tshiani aux pénibles négociations sur la commission électorale, en passant par ses relations avec le président Tshisekedi et ses propres ambitions pour 2023, Moïse Katumbi a néanmoins accepté de répondre aux questions de Jeune Afrique. Ci-dessous l’intégration de cet entretien que Scooprdc.net livre à ses lecteurs en reprenant le titre du magazine :<br /><br />Jeune Afrique : Plus de cent jours après l’investiture du gouvernement de Sama Lukonde Kyenge, l’Union sacrée va-t-elle dans la bonne direction ?<br /><br />Moïse Katumbi : Parler des cent jours n’a, selon moi, aucun sens. C’est un concept essentiellement médiatique. La RDC est un pays à terre, où tout est à refaire. Il faut donner du temps à ce gouvernement. Nous ferons le bilan au bout d’un an ou deux.<br /><br />Pour ce qui est de l’Union sacrée en elle-même, il nous manque pour l’instant un cadre de concertation collectif. Nous n’avons d’ailleurs eu aucune réunion qui nous aurait permis de jauger l’efficacité de notre action.

<br /><br />Diriez-vous, comme certains, que l’état de siège décrété en mai dernier dans l’Est pour lutter contre l’insécurité est un échec ?<br /><br />Il faut voir ce qui a été bien fait et ce qui ne marche pas. Chaque jour ou presque, on déplore des morts. C’est donc que le problème persiste et nous devons accepter d’en parler entre nous, même si cela gêne certaines personnes.<br /><br />Sur le plan judiciaire, plusieurs proches de l’ancien président Joseph Kabila sont aujourd’hui poursuivis ou en exil. L’état de droit vous paraît-il sur la bonne voie ?<br /><br />La justice doit être indépendante et non pas instrumentalisée, en particulier à des fins politiques.

C’est ce que nous avions dénoncé avec l’UDPS [l’Union pour la démocratie et le progrès social, de Félix Tshisekedi] quand nous étions ensemble dans l’opposition. La justice ne peut pas se montrer sélective, il faut mettre un terme à la chasse aux sorcières.<br /><br />C’est de cela qu’il s’agit selon vous, d’une « chasse aux sorcières » ?<br /><br />Soyons clairs : il est important que les méfaits commis soient jugés. Pour autant, s’il faut condamner, il faut aussi savoir pardonner. La place des Congolais est au Congo. On ne peut se réjouir d’en voir prendre la route de l’exil, quoi qu’ils aient fait. Cela vaut pour Kikaya Bin Karubi, John Numbi, Kalev Mutond et les autres.<br /><br />Il ne faut pas avoir la mémoire courte : certains de ceux qui sont aujourd’hui en difficultés ont beaucoup apporté à notre pays.

Notamment le pasteur Ngoy Mulunda, un homme de Dieu qui a beaucoup œuvré pour la paix, mais aussi Vital Kamerhe, l’un des principaux acteurs de la vie politique ces dernières années, ou encore Augustin Matata Ponyo, qui fut un valeureux Premier ministre.<br /><br />Le président Tshisekedi a fait de la lutte contre la corruption l’une de ses priorités. Quel bilan tirez-vous de son action en la matière ?<br /><br />Les pratiques d’hier persistent. Le directeur de cabinet du chef de l’État l’a d’ailleurs reconnu en condamnant l’instrumentalisation des institutions par certains conseillers de la présidence. Je le dis parce qu’être membre de l’Union sacrée, ce n’est pas se taire ni fermer les yeux sur ce qui se passe et sur des faits qui sont répréhensibles.<br /><br />Avec cinq ministres étiquetés « Ensemble pour la République », estimez-vous avoir obtenu votre juste part lors de la formation du gouvernement ?<br /><br />Nous aurions dû avoir un minimum de douze ministres et vice-ministres. Malgré cela, j’ai estimé, contre l’avis de la majorité de mes députés, qu’il était de notre devoir de ne pas bloquer la machine en retardant davantage la mise en place du gouvernement. Moi-même, on m’a proposé le poste de Premier ministre, mais j’ai décliné.<br /><br />Pourquoi ?<br /><br />Je n’ai pas pour habitude de rendre public le contenu de mes conversations avec le président.<br /><br />Regrettez-vous d’avoir accepté de prendre part aux consultations lancées par Félix Tshisekedi après sa rupture avec Joseph Kabila ?<br /><br />

Je ne regrette jamais ce que je fais. Il fallait donner sa chance à l’Union sacrée sans présager de l’avenir.<br /><br />Que répondez-vous à ceux qui vous accusent de jouer sur les deux tableaux en gardant un pied dans l’opposition et un autre dans la majorité ?<br /><br />Je suis un homme libre. Quand j’étais avec le président Kabila, j’étais son gouverneur le plus puissant. Cela ne m’a pas empêché, quand je n’ai plus été d’accord avec lui, d’aller le voir et de le lui dire. Je ne suis pas un hypocrite. Quand j’ai défendu notre Constitution, c’était sur la place de la Poste à Lubumbashi. Je ne cache jamais mes intentions. Nous n’avons pas rejoint la majorité pour applaudir. Il faut avoir le courage de dire tout haut ce qui ne marche pas.<br /><br />Votre retour au sein de la majorité et le passage de Kabila dans l’opposition constituent-t-il une revanche ?<br /><br />Je suis chrétien, je ne peux être dans une logique de vengeance. Je laisse cela à Dieu. Mais lorsque l’on est dans la majorité, on ne doit jamais oublier que le pouvoir est passager et qu’un jour, la situation peut s’inverser.<br /><br />Avez-vous pardonné à l’ancien président les quatre années d’exil auxquelles vous avez été contraint ?<br /><br />Entre Kabila et moi, il n’y a jamais eu de problème. C’était avec son entourage que cela coinçait. Il se passe la même chose au sein de l’Union sacrée. Il y a des gens qui pensent que, quand vous êtes proche de quelqu’un, c’est pour prendre son poste. Moi je ne suis pas un demandeur d’emploi.<br /><br />Avez-vous échangé avec Kabila ces derniers mois ?<br /><br />On ne s’est jamais reparlé depuis que j’ai quitté la majorité, en 2015. Mais si un jour le besoin s’en fait sentir, je chercherai son numéro et je l’appellerai.<br /><br />Depuis plusieurs semaines, la loi Tshiani, qui vise à interdire la fonction présidentielle aux Congolais nés d’un parent étranger, fait réagir. Estimez-vous, comme certains de vos collaborateurs, qu’il s’agit d’une manœuvre du pouvoir pour empêcher certaines candidatures en 2023 ?<br /><br />Je ne peux pas accuser le pouvoir en place, mais je peux accuser une partie de l’Union sacrée, parce que ce projet de loi est porté par un député issu de ses rangs. La RDC de 2021 n’a pas besoin d’une loi comme celles qui furent votées en Afrique du Sud dans les années 1940. Notre pays ne s’honorerait pas à être le seul au monde à adopter un texte raciste, ségrégationniste et inconstitutionnel.<br /><br />Vous sentez-vous personnellement visé ?<br /><br />Des Moïse Katumbi , il y en a des millions en RDC ! Quelle famille ici n’a pas un parent, un cousin, un fils ou une fille, une nièce ou un neveu qui n’est pas congolais d’origine ? Nous partageons neuf frontières avec nos voisins, ce qui est un cas unique en Afrique. Chaque année, des milliers de mariages mixtes sont célébrés.<br /><br />Si une telle loi venait à s’appliquer, cela signifierait que demain, concrètement, des jeunes Congolais ne pourraient pas prétendre aux plus hautes fonctions bien qu’étant compétents et méritants. Cela porte un nom : le racisme.<br /><br />Quitteriez-vous l’Union sacrée si cette loi venait à être adoptée ?<br /><br />Oui, il s’agit clairement d’une ligne rouge. Si elle venait à être ne serait-ce que programmée pour être débattue au Parlement, nous quitterions la majorité.<br /><br />Attendez-vous que le chef de l’État se positionne sur la question ?<br /><br />Je crois qu’il a dit aux sénateurs qu’il n’était pas d’accord avec cette proposition de loi, mais le débat public continue. Il faut sonner la fin de la récréation.<br /><br />Comment avez-vous réagi à la condamnation du président de la Ligue des jeunes de votre parti, Jacky Ndala, qui avait critiqué la loi Tshiani ?<br /><br />Cette condamnation est inadmissible et injuste. D’abord parce qu’un politicien qui n’est pas critiqué, c’est un politicien mort. Et puis d’autres ont tenu des propos autrement plus dangereux et sont toujours en liberté. On les invite même très souvent sur les plateaux de télévision.<br /><br />En refusant d’envoyer vos délégués à la Commission électorale nationale indépendante [Ceni], ne contribuez-vous pas à retarder le processus électoral ?<br /><br />Ce n’est pas nous qui retardons les choses mais ceux qui manœuvrent pour faire en sorte que ce scrutin ne soit ni équitable, ni transparent, ni inclusif. Je parlais tout à l’heure de ligne rouge. La désignation du président et des autres membres de la Ceni en est une autre. Leur nomination doit être consensuelle et conforme à la loi. Ce qui signifie qu’il faut laisser les confessions religieuses travailler sans pression, menace, intimidation ou manipulation, et qu’il faut tenir compte du poids de chacun des partenaires au sein de la majorité.<br /><br />La nouvelle loi électorale dépolitise-t-elle suffisamment la Ceni ?<br /><br />Non, et je me rappelle très bien du discours du président disant qu’il allait le faire pour éviter les erreurs du passé. Cela m’avait encouragé, mais nous sommes en train de nous éloigner. Que l’on se rappelle 2006, 2011, 2018… Les mêmes causes produiront les mêmes effets en 2023. Nous voulons que, si le président Tshisekedi gagne les prochaines élections à la régulière, tout le monde puisse le reconnaître et l’applaudir. Idem s’il s’agit de quelqu’un d’autre.<br /><br />Les élections pourront-elles se tenir en 2023 ?<br /><br />Ce n’est pas une option mais une obligation, et il revient aux institutions de se conformer au calendrier électoral plutôt que d’essayer d’adapter la Constitution à je ne sais quel agenda politique.<br /><br />Au sein de l’Union sacrée, certains mettent en doute votre loyauté envers le chef de l’État…<br /><br />Mes relations avec lui sont empreintes de franchise. Quand j’ai quelque chose à lui dire, je le lui dis ouvertement et sans détour.<br /><br />Plusieurs ténors de la majorité, tel Modeste Bahati Lukwebo, le président du Sénat, ont déjà formulé leur soutien à la candidature de Félix Tshisekedi en 2023. Pas vous. Pourquoi ?<br /><br />Bahati Lukwebo est libre de se prononcer au nom de son parti. Jean-Pierre Bemba [le président du Mouvement de libération du Congo, MLC] l’est tout autant, et c’est la même chose pour moi.  C’est cela, la démocratie. Assimiler à un manque de loyauté le fait que je ne me sois pas encore prononcé sur le sujet, c’est de l’escroquerie politique.<br /><br />Serez-vous candidat ?<br /><br />Si j’avais déjà décidé de me présenter en 2023, je le dirais ouvertement. La décision n’a pas encore été prise, ni dans un sens ni dans un autre.<br /><br />Aujourd’hui, je suis à la tête d’Ensemble. Nous avons des instances, dont un comité directeur et un bureau politique. La décision ne pourra donc être prise qu’à l’issue de notre congrès et de manière collective.<br /><br />Quand vous étiez dans l’opposition, vous estimiez que le président serait le seul responsable de son bilan. Qu’en est-il maintenant que vous appartenez à la majorité ?<br /><br />En tant que membre de l’Union sacrée, nous assumerons notre part de responsabilité, mais seulement celle-ci. Ne nous voilons pas la face : le responsable numéro un aux yeux des Congolais, ce sera Félix Tshisekedi.<br /><br />Au regard des dynamiques politiques actuelles, un rapprochement entre Ensemble et le FCC est-il possible ?<br /><br />Je ne peux pas exclure a priori une coalition avec qui que ce soit. Quand nous étions dans l’opposition, Jean-Pierre Bemba et moi, qui aurait pensé que nous pourrions finalement nous retrouver dans la majorité ? Quand je négocie, je le fais toujours au grand jour. Si je constate que l’intérêt de la population ne réside plus dans l’Union sacrée, je le dirai.<p> scoop.cd</p>

Politique Moïse Katumbi-Félix Tshisekedi : en route vers la rupture ?

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Vers un rapprochement Kabila-Katumbi ?

August 21, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgoVIH07O81C5Ilo8aByWf3nJqPpfV88_R0imKKfdawy-dRb716pxemcdp9NPPEGaCSSv6933wJGAkV5D5c52sKRfP_TMUweQLjAkAdrEa-9eN7gyzF6e1T7UkEzSxpB5KTJ65WwdFkZht2/s1019/azazazzzzzzzzzzzz.png" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="743" data-original-width="1019" height="233" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgoVIH07O81C5Ilo8aByWf3nJqPpfV88_R0imKKfdawy-dRb716pxemcdp9NPPEGaCSSv6933wJGAkV5D5c52sKRfP_TMUweQLjAkAdrEa-9eN7gyzF6e1T7UkEzSxpB5KTJ65WwdFkZht2/s320/azazazzzzzzzzzzzz.png" width="320" /></a></div> Au regard des dynamiques politiques actuelles, le président d'Ensemble pour le Changement n'exclut pas la possibilité de rapprochement entre Ensemble et le Front Commun pour le Congo FCC.
<p></p>
<p>Répondant aux questions de Jeune Afrique au cours d'une interview ce vendredi 20 août 2021, Moise Katumbi promet d'entamer des négociations au grand jour si jamais il constate que l'intérêt de la population ne réside plus dans l'Union sacrée.</p>

<p>"Je ne peux pas exclure a priori une coalition avec qui que ce soit. Quand nous étions dans l’opposition, Jean-Pierre Bemba et moi, qui aurait pensé que nous pourrions finalement nous retrouver dans la majorité ? Quand je négocie, je le fais toujours au grand jour. Si je constate que l’intérêt de la population ne réside plus dans l’Union sacrée, je le dirai." dit-il à jeune Afrique</p>

<p>L'ex-opposant sous régime de Kabila se réserve quant à sa candidature comme président de la république en 2023.</p>
<p></p>
<p>" Si j’avais déjà décidé de me présenter en 2023, je le dirais ouvertement. La décision n’a pas encore été prise, ni dans un sens ni dans un autre. Aujourd’hui, je suis à la tête d’Ensemble. Nous avons des instances, dont un comité directeur et un bureau politique. La décision ne pourra donc être prise qu’à l’issue de notre congrès et de manière collective." dit Moïse Katumbi, président d'Ensemble pour la République.</p>
<p></p>

Politique Vers un rapprochement Kabila-Katumbi ?

Au regard des dynamiques politiques actuelles, le président d'Ensemble pour le Changement n'exclut pas la possibilité de rapprochem...

Moïse Katumbi prêche le pardon citant Mulunda, Kamerhe et Matata

August 21, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg3X96MGIePgPsD0idW05Y2ck0b4TUteoyEBx6a_zD-68jDnrx3hMwcVAb8pq48Fu4pFt1iQymSjHkTouwD3JB1WYArrO_ok-jLFDuzr72g5Sw5p1mXfU4ygOoZPl9bFrLcWrxcGYhwwlgX/s809/qsqssqsqsq.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="420" data-original-width="809" height="166" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg3X96MGIePgPsD0idW05Y2ck0b4TUteoyEBx6a_zD-68jDnrx3hMwcVAb8pq48Fu4pFt1iQymSjHkTouwD3JB1WYArrO_ok-jLFDuzr72g5Sw5p1mXfU4ygOoZPl9bFrLcWrxcGYhwwlgX/s320/qsqssqsqsq.png" width="320" /></a></div> A Kashobwe dans son fief, Moïse Katumbi a accordé vendredi une interview à Jeune Afrique qui fera date.<br /><br />L’ex-gouverneur du Katanga s’est inquiété de nouvelles pratiques de la justice congolaise. Une justice qui paraît, à ses yeux, aux ordres.<br /><br /><br />Dans les lignes qui suivent, il a rappelé que « la justice doit être indépendante et non pas instrumentalisée, à des fins politiques ». Lors du régime Kabila, explique-t-il, l’Udps de Félix Tshisekedi et son camp politique avaient dénoncé ce fléau. « La justice ne peut pas se montrer sélective, il faut mettre un terme à la chasse aux sorcières », a-t-il insisté.<br /><br />Même s’il est d’accord que certains anciens dignitaires soient jugés, il rejette la chasse aux sorcières.

Pourtant, se désole-t-il, c’est l’image que reflète la justice congolaise aujourd’hui. « Soyons clairs : il est important que les méfaits commis soient jugés. Pour autant, s’il faut condamner, il faut aussi savoir pardonner. La place des Congolais est au Congo. On ne peut se réjouir d’en voir prendre la route de l’exil, quoi qu’ils aient fait. Cela vaut pour Kikaya Bin Karubi, John Numbi, Kalev Mutond et les autres », a-t-il ajouté.<br /><br />Pour Moïse Katumbi, il faut savoir pardonner et passer l’éponge. Quelques personnalités politiques que traque aujourd’hui le régime Tshisekedi, ont beaucoup contribué pour le pays. Il cite les cas de Ngoy Mulunda, Matata Ponyo et Vital Kamerhe.

« Il ne faut pas avoir la mémoire courte : certains de ceux qui sont aujourd’hui en difficultés ont beaucoup, apporté à notre pays. Notamment le pasteur Ngoy Mulunda, un homme de Dieu qui a beaucoup œuvré pour la paix, mais aussi Vital Kamerhe, l’un des principaux acteurs de la vie politique ces dernières années, ou encore Augustin Matata Ponyo, qui fut un valeureux Premier ministre ».<p></p><p style="-webkit-font-smoothing: antialiased; background-color: white; box-sizing: border-box; color: #222222; font-family: Roboto; font-size: 19px; margin: 0px 0px 17px;"><span style="box-sizing: border-box; font-weight: 700;"><em style="box-sizing: border-box;">Ouragan</em></span></p>

Politique Moïse Katumbi prêche le pardon citant Mulunda, Kamerhe et Matata

A Kashobwe dans son fief, Moïse Katumbi a accordé vendredi une interview à Jeune Afrique qui fera date. L’ex-gouverneur du Katanga s’est in...

DOSSIER CENI : GUERRE ENTRE LES CONFESSIONS RELIGIEUSES LA CENCO ET L'ECC EXECUTENT LE PLAN DE LAMUKA (VIDEO)

August 21, 2021

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FATSHI REJETTE LA DEMANDE D'ACCUEILLIR LES REFUGIES AFGHANS EN RDC, LE MEA CULPA DE LA CENCO . MWANA AKOLI DE L'UDPS (VIDEO)

August 21, 2021

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Urgent : Mike Hammer a tourné le dos à Tshisekedi ?

August 21, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj9p005Jx9I78pRqCyjfcnmTmDlD4edIFqOttwW2f9PSgs2IIgnGAzTK4a_zWW1drFamVt91f6eB5i5NE40FyOAkydqp3n2xwa7uIr8QP_KzxLEEDvTMzyQ40qF9sBxC8NmH-KwmAxlEze-/s988/bhbhbhhhhhhhhh.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="552" data-original-width="988" height="179" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj9p005Jx9I78pRqCyjfcnmTmDlD4edIFqOttwW2f9PSgs2IIgnGAzTK4a_zWW1drFamVt91f6eB5i5NE40FyOAkydqp3n2xwa7uIr8QP_KzxLEEDvTMzyQ40qF9sBxC8NmH-KwmAxlEze-/s320/bhbhbhhhhhhhhh.png" width="320" /></a></div>L’évolution des travaux sur l’étendue du territoire national congolais ne cesse de préoccuper les politiques. Dans un tête à tête ce vendredi 20 août avec l’ambassadeur américain en République Démocratique du Congo,Mike Hammer et Moïse Katumbi ont abordé les questions essentielles à la vie du peuple congolais.<br /><br /><br />Les deux autorités ont échangé sur la question de la sécurité à l’Est de la République Démocratique du Congo. Mettre fin aux groupes armés qui oeuvrent dans la région de Beni préoccupe tout le monde.

L’amélioration du climat macroéconomique et l’emploi ont été sur la table du présentant du gouvernement américain en RDC et de son invité, Moïse Katumbi.<br /><br />« Merci à @USAmbRDC pour ce très cordial échange de vues sur la situation du pays. Toutes les questions d’actualité ont été abordées. La sécurité à l’Est, le climat des affaires & des investissements et l’emploi demeurent des préoccupations partagées», a tweeté Moïse Katumbi.

<br /><br />Pour rappel, le gouvernement congolais a fait appel à une délégation des forces américaines pour travailler sur la paix dans la région de Beni. Mettre fin au groupe ADF qui décime les vies humaines est une priorité.<br /><br />Gaël Hombo<p> </p>

Politique Urgent : Mike Hammer a tourné le dos à Tshisekedi ?

L’évolution des travaux sur l’étendue du territoire national congolais ne cesse de préoccuper les politiques. Dans un tête à tête ce vendred...

MOÏSE KATUMBI MENACE DE QUITTER L'UNION SACRÉE DANS QUELQUES JOURS SI LA LOI TIANI EST INSCRIT A L'ORDRE A L'ASSEMBLÉE NATIONALE . ARMAND MUMBILAY DANS ACTU DU JOUR DU 20 AOUT 2021 . ( VIDEO )

August 20, 2021

MOÏSE KATUMBI MENACE DE QUITTER L'UNION SACRÉE DANS QUELQUES JOURS SI LA LOI TIANI EST INSCRIT A L'ORDRE A L'ASSEMBLÉE NATIONALE . ARMAND MUMBILAY DANS ACTU DU JOUR DU 20 AOUT 2021 . ( VIDEO )

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PRESIDENT RENE DENONCE LE PLAN DE MOISE KATUMBI POUR ELIMINER LES PROCHES DE FELIX TSHISEKEDI A KINSHASA . PARLEMENT DEBOUT DEBONHOMME AVEC PRESIDENT RENE DU 20 AOUT 2021 . ( VIDEO )

August 20, 2021

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LE PALU DECLARE SOUTENIR FELIX TSHISEKEDI EN 2023, L ' EGLISE PROTESTANTE TOURNE LE DOS A LA CENCO . PATIENT MWANA AKOLI DU 19 AOUT 2021 . ( VIDEO )

August 20, 2021

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FATSHI SORT GAGNANT SUR LEURS HAINE : PRESIDENT RENE TIRE SUR JACKY NDALA , ONYEMBA ET LA CENCO . PRESIDENT RENE DE L ' UDPS DU 19 AOUT 2021 . ( VIDEO )

August 19, 2021

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MOISE KATUMBI PRET A TOUT POUR RENVERSER FATSHI EN 2023, QUE CACHE LUTUNDULA ? KAMITATU EN FRANCE ! FELIX A LA SADEC CONGO IS BACK, MOÏSE KATUMBI PARLE DE SA NATIONALITÉ ZAMBIENNE , IGF ET TONY MWABA ça tire à balles réelles . MAITRE RICHARD MPINDA DU 19 AOUT 2021 . ( VIDEO )

August 19, 2021

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ARRIVÉE DES EXPERTS AMÉRICAINS DE L'AFGHANISTAN AU CONGO ? MAÎTRE RICHARD MPINDA EXPLIQUE ET RECADRE INDIA OMARI . ( VIDEO )

August 19, 2021

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"Je suis en clandestinité pour continuer la lutte contre la dictature" (Kikaya)

August 18, 2021

<p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgzLAmIibLBGWLuYKMZMlmdNamUYWApexF4VjyZ_vV8wHAmgHgE6l-iK1C47ZkiZPH_6ILTF4d0QWrhTfvKf4bQUkWI_JaNqygbPav8zaYpjR6WtDcf663yGYxMzS4gJXuhXVohmo_bhd-j/s1164/vbbbbbbbbbbbbbbbbbbbbbbb.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="732" data-original-width="1164" height="201" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgzLAmIibLBGWLuYKMZMlmdNamUYWApexF4VjyZ_vV8wHAmgHgE6l-iK1C47ZkiZPH_6ILTF4d0QWrhTfvKf4bQUkWI_JaNqygbPav8zaYpjR6WtDcf663yGYxMzS4gJXuhXVohmo_bhd-j/s320/vbbbbbbbbbbbbbbbbbbbbbbb.png" width="320" /></a></div>"Je suis en clandestinité, en train de se chercher un statut qui va me permettre, en tant qu'exilé politique, de poursuivre la résistance contre la dictature que M. Félix Tshisekedi est en train d'implanter en RDC", déclare, sur Top congo fm, l'ambassadeur Barnabé Kikaya bin Karubi, ancien conseiller diplomatique du président Joseph Kabila, qui, il y a plusieurs semaines maintenant, a quitté le pays, dans des conditions pour le moins digne d'une production Hollywoodienne, pour se réfugier dans un pays africain dont il tait encore le nom.<br /><br /><b>
  
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  Évacuation commando</b><br /><br />"J'ai été inquiété, j'ai eu des menaces très sérieuses que j'ai négligées au début", raconte-t-il, "mais par la suite, ces menaces devenaient de plus en plus persistantes, raison pour laquelle avec les miens, nous avons organisé une évacuation qui s'apparente à une évacuation commando, planifiée et exécutée par mes proches", confie celui qui fut notamment ambassadeur de la RDC en Grande-Bretagne.<br /><br />"C'est ainsi que j'ai quitté le pays. Je me trouve quelque part mais je ne peux pas vous dire où, mais vous le saurez bientôt", promet-il. <br /><br />Interrogé sur les péripéties de cette exfiltration, embarcation à bord d'une pirogue et/ou bateau depuis Moanda, dans le Kongo central, pour rejoindre un territoire Angolais frontalier, "qu'importe", commente sans plus Kikaya bin Karubi.<br /><br />"En pareilles circonstances, en pareille situation, tous les moyens sont bons.

Que ce soit la route, l'avion, le bateau, le vélo, la moto, tout ce que vous voulez, en tout cas, tous les moyens sont bons, pourvu qu'on s'échappe, qu'on ait la vie sauve", lâche celui qui estime avoir été traqué en raison de ses opinions hostiles au régime.<br /><br />"Il n'est un secret pour personne que mes prises de position, mes critiques et analyses sur la gouvernance de M. Félix Tshisekedi dérangeaient les personnes au pouvoir. Il suffit de voir mes échanges avec feu Kitenge yezu (haut représentant du Chef de l'État, décédé il y a quelques mois) pour s'en rendre compte", raconte Kikaya bin Karubi, professeur des sciences de l'information et communication et ancien journaliste qui animait un compte Twitter et un blog, où il ne s'empêchait de dire tout haut ce qu'il pense.<br /><br />Et donc, "la dernière en date, mon papier sur les ratés politiques et diplomatiques du Chef de l'État, était, il paraît, la goûte qui a fait déborder le vase", explique-t-il.

<br /><br />Si cet "exil forcé", comme l'affirme ce cadre du Front commun (FCC), a pour cause des "opinions politiques", hostiles au pouvoir en place, quid alors des autres opposants Martin Fayulu, Adolphe Muzito, notamment, qui dans ce registre, font tout autant sinon pire?  <br /><br />"Nous sommes des personnes différentes", fait observer Kikaya. <br /><br />Et de poursuivre : "à chacun ses méthodes. Moi, en tout cas, j'ai eu des menaces. Je ne sais si ceux qui ont décidé de résister de l'intérieur, ont eu les mêmes menaces que moi. Si je suis parti du pays, c'est parce que ma vie était en danger",  clame-t-il.<br /><br />Enfin, "je suis un homme politique et un homme politique ne se laisse pas monter à l'échafaud comme un mouton", justifie celui qui a décidé de "disparaître", la veille de sa convocation devant la justice dans le cadre du sulfureux dossier des cartes visa liées au trésor public.

<br /><b><br />Justice injuste </b><br /><br />"Lorsque, une justice devient injuste, je m'excuse de le dire, la nation ne s'élève pas. Qu'on se le dise, la nation s'écroule. Et notre nation est entrain de s'écrouler parce qu'il y a une justice injuste", commente Kikaya.<br /><br />Et à propos justement de l'affaire cartes visa, l'ancien ambassadeur, soutient "avoir détenu et utilisé l'argent au travers de cette carte visa lors (qu'il exerçait) les fonctions de secrétaire particulier du Chef de l'État ou de conseiller".<br />Éric Lukoki<br />Top Congo Fm<p> </p>

Politique "Je suis en clandestinité pour continuer la lutte contre la dictature" (Kikaya)

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